Marché du CO2: terrible vol de trucs sans existence qui ne servent à rien

Horreur ! On apprend, atterré, que plusieurs millions de quotas de CO2 ont été volés !

Oui, vous avez bien lu : des quotas pour 3 millions de tonnes de CO2 ont été volés en République Tchèque, en Grèce et en Roumanie.

Pour rappel, ces quotas sont des droits d’émission d’un truc qui ne pollue pas (le CO2 existe naturellement, ne pollue pas, et n’est pas prouvé responsable de l’effet de serre) qui existe gratuitement partout, et dont les plantes se servent pour produire de la matière qui, elle, nous sert (directement ou indirectement) à vivre.

Ils ont été introduits de façon totalement forcée et artificielle pour obliger les industries à réduire leurs émissions de ce non-polluant, à des prix eux aussi artificiels et inadaptés.

Grâce à l’utilisation d’un marché, lui aussi artificiel, d’échange des droits à polluer entre les acteurs, les quotas des uns (trop importants) sont vendus à d’autres (qui en manquent).

Rappelons que tout ceci n’a pas provoqué de modification sensible, d’une façon ou d’une autre, des émissions réelles calculables, ni de modification dans le climat qui s’entête à faire à peu près ce qu’il veut. Notons aussi que les émissions concernées ne représentent qu’un pourcentage modeste des émissions anthropiques de CO2, et une proportion nanoscopique voire risible des émissions naturelles, toutes sources confondues.

Epic Fail

Et on apprend donc que des petits malins ont réussi à détourner des quotas et vont tenter de les revendre sur le marché “spot”. Je reformule à l’attention de ceux qui n’ont pas tout bien suivi : des gens ont réussi à casser les systèmes de stockage et d’échange de ces quotas (purement artificiels) pour les revendre sur un marché (artificiel).

La seule chose réelle, finalement, dans tout ce bazar, est l’argent déboursé par les industries pour continuer à fonctionner. Au choix, soit ils se le font voler par l’existence même de ce système, soit par les ingénieux hackers.

Non seulement, on a réussi à mettre en place un truc qui ne représente rien de réel, qui ne sert à rien du tout, qui est échangé pour un prix totalement artificiel, mais en plus, on a réussi à se le faire pirater et s’en faire piquer des bouts.

Mieux : ce n’est pas la première fois, et la précédente fraude sur le même marché (fraude à la TVA) avait coûté 5 milliards d’euros aux états européens, et donc, en réalité, aux contribuables.

Ne riez pas, c’est vous.

Extraordinaire.

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Commentaires33

  1. JG2433

    Le marché du carbone : tout ça pour du vent, mais la fraude à la TVA, c’est du lourd ! 🙁
    Contribuables (moutontribuables ou mougeons ?) pleurez vos gentils “roros” perdus !

  2. scaletrans

    Du mensonge de “scientifiques” sans honneur à l’arnaque basée sur ce mensonge: the game is over!

  3. Kelevra

    il y a quelques mois, la bourse de chicago, principal marche des droits carbone a ferme, par manque de transactions et fraudes massives, d ailleurs al gore (le vert pas vert avec une bonne tete de vainqueur) via son fond d investissement est sous le coup d une enquete federale pour malversation et fausses informations!!!!
    il y a eu d autre grand gagnant a cette loterie, par exemple arcelor mittal a realise plus d 1 milliards d euros de profit en cedant ces quotas carbone avec la baisse de la production d acier, et en a profite en meme temps pour fermer une partie de ces acieries en europe pour en ouvrir au maroc par exemple.
    de la delocalisation pas cher, bravo l europe.

    1. Epicier vénéneux

      Un bel exemple de l’intelligence libérale contournant le carcan de règlements stupides socialistes.

  4. boutros

    Amusant. Je croyais que seuls les media et la politicaillerie nous vendaient du vent. J’apprends donc ,horrifié, qu’on vend des quotas de vent (et derrière). Moi, j’aimee boucou l’a’gent, pat’on, d’où mon annonce: à vendre
    – dahut, bon état général, usé d’un seul côté
    – opinion politique très négative et déshonorante (d’occasion)
    – halde, dal et autres associations de nuisibles (TVA très réduite)
    – pays et civilisation has been (état lamentable mais bel écrin presque tout neuf)
    – grande impression de solitude (peut encore servir)
    – mur pour se taper la tête sur laquelle on marche

  5. Bof

    Comment ça qui ne servent à rien ? Alors qu’un grand danger nous menace ?
    Voir la dernière “pignoufferie de presse” à la mode: la température moyenne va augmenter de 2,4° en.. 10 ans (2020). C’est très sérieux: l’AFP, le Monde, Libération, Sciences et Avenir. Tous ont repris cette “étude” d’une… association écolo argentine.
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/01/18/le-rechauffement-climatique-menace-l-agriculture_1467430_3244.html

    Sont-ils bêtes au point de ne plus voir qu’ils sont ridicules ?

  6. wijngaards

    Silence totale sur l’identité des voleurs .
    Dans la police s’il y a crime ils disent cherchez la femme .
    Quand il y a escroquerie à grand échelle et surtout international je me demande qu’il vaut chercher mais je pense que vous avez la réponse mais ne voulant tomber sous la loi gaysotte et autres pressions médiatique comme coupure du site ou carrément physique, actuellement les cadavres tombent sous des balles des tueurs quand les sommes des gains sont dans les milliards la vie ne vaut pas grand chose pour des montant pareille.

  7. Url

    Je ne suis pas pour des crédits carbone, ce qui reviendrait à donner un coup de main aux état pour taxer plus sous prétexte de dirigisme éclairé.

    Néanmoins on ne peut pas tout mélanger et dire que les émissions de CO2 d’origine humaine ne soient pour rien dans l’effet de serre et le réchauffement du climat qui y serait potentiellement lié. Je suis sceptique, mais dans les deux sens donc si je veux être honnête intellectuellement.

    A mon sens, c’est le coût croissant de l’énergie qui sera le juge de paix à l’avenir, nous forçant à nous adapter à la fin d’un énergie quasi-gratuite. En effet je ne crois pas plus aux panneaux solaires ;). Bref, le marché.

    Maintenant entre les pour et les contre, il faut être raisonnable. Je sais bien que le libéralisme a un biais, il n’inclut pas des ressources finies dans un monde qui l’est, notre Terre. Il faudra un jour ou l’autre y intégrer l’environnement, ou bien étendre la notion de respect de la liberté d’autrui, idée libérale, au respect de l’environnement.

    Les quotas d’émission de CO2 sont ce qu’ils sont, c’est un moyen pour les états d’imposer des contraintes aux industries fortement polluantes. Est-ce une bonne solution, je n’en rien. Mais sans contrainte de réglementation je pense que l’air de nos villes ne serait pas si bon, je ne vous ressors pas les images de l’angleterre du XIXème…

    Je comprends que dans ce blog H16 donne de la voix à ses idées face aux blogs “d’en face”, on grossit le trait, on schématise, on milite quoi. Pourtant je pense que les idées libérales ne doivent pas être uniquement populistes. A quand de véritables débats et réflexions sur le “libéralisme durable”, si j’ose dire ?

    1. “Néanmoins on ne peut pas (…) dire que les émissions de CO2 d’origine humaine ne soient pour rien dans l’effet de serre et le réchauffement du climat”

      Si si, on peut. Plusieurs milliers de scientifiques d’une autre trempe que les politiciens du GIEC le peuvent et le font, même.

      http://www.wnd.com/?pageId=64734
      http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_scientists_opposing_the_mainstream_scientific_assessment_of_global_warming
      Et sur l’importance du phénomène en question :
      http://www.geocraft.com/WVFossils/greenhouse_data.html

      Je sais bien que le libéralisme a un biais, il n’inclut pas des ressources finies dans un monde qui l’est, notre Terre.

      Vous connaissez bien mal le libéralisme pour sortir ça, alors. Vraiment mal.

      Les quotas d’émission de CO2 sont ce qu’ils sont, c’est un moyen pour les états d’imposer des contraintes aux industries fortement polluantes.

      Imposer une contrainte, oui. Pour ça, les états sont forts. Aux industries polluantes, clairement non. Et comme ce sont des quotas sur un non-polluant, c’est complètement à côté de la plaque.

      Mais sans contrainte de réglementation je pense que l’air de nos villes ne serait pas si bon, je ne vous ressors pas les images de l’angleterre du XIXème…

      Et vous auriez en effet bien tort de ressortir ces images, puisque si l’air des villes est si bon, ça doit beaucoup, beaucoup plus au simple fait que le capitalisme n’aime absolument pas ni la perte, ni la pollution, qui sont contre-productives et dangereuses pour le business, et très très peu aux normes dont on apprend assez facilement qu’on doit les rendre plus sévères d’années en années pour avoir encore matière à déclencher des alertes “pollution ozone” et autres Sox.

      1. Url

        « Si si, on peut. Plusieurs milliers de scientifiques d’une autre trempe que les politiciens du GIEC le peuvent et le font, même.  »

        Pour commencer je ne milite pas, je dois bien avoir 5-6 actions Total dans mon PEA et basta – ça ne devrait pas faire de moi un partisan de la hausse du baril de brut ou des panneaux solaires.

        Pour schématiser, sur l’effet de l’Homme sur le climat, et on parle de sa petite contribution (possible) dans le système, je le répète, je ne suis le vulgus pecum, pas le spécialiste, je ne puis m’en remettre qu’à la communauté scientifique où le débat a lieu.

        C’est donc le problème de la majorité d’entre nous, gérer en bon père de famille, raisonner sur la base de données scientifiques, être prudent sans tomber dans les travers de l’excès de précautions.

        Donc on ne sait pas s’il ne se passe rien, on a des doutes, des hypothèses sont émises et des camps se forment. Business as usual serait la facilité, ça n’est pas satisfaisant.

        « Vous connaissez bien mal le libéralisme pour sortir ça, alors. Vraiment mal. »

        Tout à fait, d’ailleurs je vous invite à développer, c’est mon caillou dans la chaussure du moment le mix libéralise + écologie=économie libre et durable

        « (…) le capitalisme n’aime absolument pas ni la perte, ni la pollution, qui sont contre-productives et dangereuses pour le business (…) »

        Là désolé mais je veux bien que vous développiez à l’occasion, permettez-moi de douter de la clairvoyance, de la bienveillance et de la gentillesse de l’individu, même le plus librement responsable de lui et des ses actes.

        Alors de là à nier l’existence des crapules… pas ici, pas sur le blog du BisounoursLand !

        Il me semble qu’un état minimal, souhaité par les libéraux (disons pas les plus radicaux), doit entre autres assurer la sécurité. C’est la Loi. Faire des lois pour interdire les pollutions dangereuses ou mortelles me semble pouvoir en faire partie.

        1. Url

          Par contre pardon mais on a dérivé, je ne parle bien entendu plus du CO2 dans la fin de mon dernier commentaire mais des pollutions en général. Comme le dit Ieremenko plus bas, le CO2 n’est pas une pollution en soit en ville c’est évident.

        2. C’est dommage, il y a plein de choses à dire, mais l’espace manque vite dans les commentaires pour répondre en détail. Je fais bref, pour donner des pistes :

          – si on ne sait pas s’il ne passe pas rien, on ne sait pas non plus s’il se passe quelque chose. En clair, il est urgent d’attendre et de réfléchir, collecter les données. Et donc, en tout état de cause, il n’est certainement pas temps d’amonceler les quotas et autres vexations sur les industries dont on ne sait pas si elles sont ou non tournées vers la bonne cible.

          – par définition, si une ressource est limitée, plus elle deviendra rare, plus elle deviendra chère et poussera, naturellement, soit à s’en passer, soit à trouver un dérivatif, soit à changer de business model. De même que le charbon fut remplacé par le pétrole, celui-ci sera remplacé facilement par le nucléaire (qui est, quoi qu’en disent les écolos, rentable, relativement propre et sous-exploité) ou même par d’autres sources. Quant au capitalisme, par nature, il vise à maximiser les profits, et faire de la perte et de la pollution est une source d’ennuis (exemple typique : une société qui pollue est une société qui risque de se mettre à dos ses consommateurs, c’est au plan marketing assez nul : http://www.thefreemanonline.org/columns/book-review-economics-and-the-environment-a-reconciliation-edited-by-walter-block/ donne quelques pistes)

          – pour la gestion des ressources (ici, halieutiques), il y a déjà des idées : http://econlog.econlib.org/archives/2003/04/fishy_economics.html , http://www.thefreemanonline.org/featured/the-commons-tragedy-or-triumph/ , http://www.lewrockwell.com/orig5/walker4.html
          Le problème ne vient donc pas a priori du libéralisme ou du capitalisme, mais plutôt des bâtons qui sont mis dans les roues des entrepreneurs . Comme c’est bizarre.

          – et pour les crapules, elles existent. Mais pas plus que d’habitude. Le libéralisme, au contraire du pipeau socialiste, ne propose pas de transformer la société en éradiquant les voleurs, les violeurs et les tueurs. Il propose d’abord la liberté, et montre facilement que celle-ci permet d’atténuer les problèmes.

        3. Url

          En effet les commentaires restent commenter, il faudra qu’on développe ailleurs.

          Ok et merci pour la réponse, pour finir, mon point ici n’est pas de disculper le libéralisme ou le capitalisme comme s’ils étaient coupables, face à une solution alternative qui serait, en gros, le communisme. Ce qui’ m’interroge est : quelle est la réflexion du libéralisme face à l’écologie (= gestion durable de l’environnement) et que propose t-il ? Car je pense que sans arguments valables et compréhensibles, nos interlocuteurs préfèreront toujours une cage mentale, spacieuse et confortable, à la liberté (qui est une cage dont nous avons la clé).

    2. Ieremenko

      “Les quotas d’émission (…) l’air de nos villes ne serait pas si bon”
      Rappelons à nouveau que le CO2 ne pollue pas, qu’il n’a aucune influence sur l’air de nos villes.

      Concernant les polluants (SO2, NOx etc.), c’est un peu compliqué puisque la responsabilité de leur émission est très dilué, mais les polluants portent atteinte à l’intégrité physique des personnes qui y en sont victimes.
      Une réglementation sur leurs émissions ne semble donc pas totalement antilibérale, lorsqu’elles posent problème. En ville c’est le cas, mais dans des campagnes très reculés, c’est inutile, à moins qu’elles aient un impact global significatif.

      Quand à la finitude des ressources, bien sûr qu’elles le sont. On est pas dans un jeu vidéo. Mais toutes les ressources ne sont pas si finies que ça, ainsi plus le prix d’une ressource minières monte, plus on peut exploiter de gisements, et son recyclage finit par devenir rentable.
      Les ressources écologiques (exemple de la pêche) me paraissent plus délicates, une réglementation (pouah c’est la deuxième fois que j’emploie ce mot) me paraît nécessaire.

      1. Joe

        Pas forcément, par exemple toute la filière du saumon sauvage d’Alaska (le dernier endroit où il y en a) a été “durabilisée” par l’association MSC ( http://www.msc.org/a-propos-du-msc/a-propos-du-msc ) donnant un cahier des charges précis et des quotas de pêches sans aucune intervention étatique.

        Et croyez moi, vous ne trouverez pas de saumon sauvage qui ne soit pas MSC, du moins en France.

    3. Baltazar

      “… Je sais bien que le libéralisme a un biais, il n’inclut pas des ressources finies dans un monde qui l’est, notre Terre.”

      Voilà une critique bien curieuse …. Je vous recommande la lecture d’un traité d’économie politique de toute urgence !!! Inmanquablement, on y débute par la définition d’un “bien” au sens économique, qui est justement une ressource rare.

      “… Il faudra un jour ou l’autre y intégrer l’environnement, ou bien étendre la notion de respect de la liberté d’autrui, idée libérale, au respect de l’environnement.”

      Le point que vous soulevez là trouve une réponse simple dans l’idéologie libérale : Le respect de la propriété. ce que les pastèques apellent “les catastrophes environnementales” sont aux yeux d’un libéral l’application aux ressources naturelles de la “tragédie des biens communs”. Ainsi, quelle est la différence entre un bison et une vache? lequel est un “bien commun”, lequel est un bien privé? En bref, ce qu’il faut étendre, c’est le respect de la propriété …

  8. Francois

    Si l’auteur de cet article ne comprend pas que les quotas de co2 on pour but l’efficacité energetique et la diminution des ressources fossiles, qui ne seront pas eternelles, et que donc, c’est positif, je ne peux rien faire pour lui.

    Et si vous ne comprenez pas que ces taxes, c’est VOUS qui les payez, en pure perte de surcroît, je ne peux rien pour vous. Vous voulez tant baisser votre pouvoir d’achat, vous rapprocher tous les jours un peu plus de la pauvreté, voire de la misère ? Ca tombe bien, c’est ce qui se passe et va continuer de se passer. Heureux pauvre !

    Avec ce genre de discours libéral simpliste, on aurait jamais eu les taxes sur les carburants en Europe, ce qui a eu comme effet que nos voitures consomment 3 a 4 x moins qu’aux USA ( souvenez vous la faillite de GM )

    N’importe quoi. Aux USA comme ici, le litre d’essence permet de parcourir toujours plus de km. Une voiture de 2010, même américaine, n’a rien à voir question consommation, avec une voiture des années 70.

    et que pdt la crise de 2008, le prix n’a pa été multiplié par 2 comme aux usa ( vous auriez vus les révolutions dans nos villes si c’etait arrivé).

    Hmh. Bon, donc, en gros, vous voulez que ça monte ou pas ? Soit ça monte et on choppe la révolutionnite, soit non, et on meurt tous dans des souffrances abominables, grillés par un réchauffement qui provoque des records de chute de neige ? C’est ça, j’ai bon ?

    Donc les quotas et la taxe carbone : BONNE IDEE meme si comme tout, c’est triste de tjs devoir toucher au porte-feuille pour que les gens pensent u n tant soi peu a leur avenir.

    Surtout quand ça ne marche pas.

    Mais a force de réagir comme des gosses, il faut bien en passer par la.
    Qd un parent oblige son gosse a rester a la maison pour étudier au lieu de sortir, ca le fait chier, mais c’est pour son bien plus tard.

    Et voilà l’écolo révélé : il traite les autres comme des gamins, et il espère en retour, le grand dadais, qu’on va le traiter autrement qu’en adolescent aux idées un peu trop courte pour ne pas pouffer. Classique.

    Ca va donner quand la puberté va se déclencher !

  9. Bob

    > n’est pas prouvé responsable de l’effet de serre

    Je t’arrête deux secs : le CO2 est un gaz à effet de serre, c’est certain. Après que tu penses qu’il n’y ai pas assez de preuves pour considérer que les rejets de C02 d’origine anthropique peuvent induire des modifications du climat…

      1. Bob

        Huhuhuh, le papier de Gerlich est d’une médiocrité rare et ne convaincrait même pas un étudiant de 1ère année tellement les erreurs sont grossières. Il me semble en avoir déjà parlé sur lib.org pourtant.

  10. Murps

    Bob, c’est pas le diminutif de Robert ?
    On a un Robert sur le site Skyfal, qui se distingue particulièrement en laissant beaucoup de poils de trolls…

    Cordialement.

    Murps

  11. adnstep

    L’écologie est moins à la mode, ces temps-ci. On ne devrait plus entendre parler des quotas CO2, bientôt.

  12. Green IT

    Le CO2 ne pollue pas mais il est bel et bien responsable (avec d’autres Gaz à Effet de Serre ou GES) de l’effet de serre. Sans lui, la vie n’aurait pas pu se développer sur terre. Tout le problème actuel est le suivant : en émettant subitement trop de GES, l’humanité modifie un équilibre (température moyenne de la terre) qui a nécessité des milliards d’année pour être atteint.

    Les “quotas carbone” ont pour objectifs de réduire nos émissions pour que l’on revienne au point d’équilibre. Afin qu’ils soient acceptés par les industriels, ils ont d’abord été émis en grande quantité et à bas prix. Ces quots sont réduits d’année en année pour créé de la rareté et donc faire augmenter le prix de la tonne CO2.

    1. “en émettant subitement trop de GES, l’humanité modifie un équilibre (température moyenne de la terre) qui a nécessité des milliards d’année pour être atteint.”
      Aucune preuve.

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