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C’est une façon plus légère de réagir à la crise diplomatique qui oppose la France à l’Australie. « Le contrat du siècle », qui concerne la vente de douze sous-marins français à Canberra, a été annulé et, depuis quelques jours, les réactions politiques pleuvent des deux côtés. Peut-être dans une volonté de dédramatiser la situation, un internaute parisien, caché derrière le pseudo BigFlo Parly, a mis en ligne une annonce étonnante cette semaine : un « lot de 12 sous-marins neufs (sous blister) », rapporte le site Actu Normandie. Et l’internaute de préciser dans l’offre : « Suite désistement, cède 12 sous-marins à prix cassé. Ils fonctionnent parfaitement. Remise en main propre uniquement. »
Le lot « en vente » pour 18 milliards d’euros
Dans son offre, le « vendeur » propose un prix alléchant (18 milliards d’euros) si on le compare avec le coût initial fixé à 56 milliards d’euros, relève le site d’information. Mais l’annonce semble avoir disparu de la plateforme, laissant entendre que le plaisantin a peut-être reçu une proposition qu’il ne pouvait pas se permettre de refuser… ou quelques plaintes !
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Un autre usager de la plateforme a partagé une photo d’Emmanuel Macron, à bord d’un sous-marin, accompagnée de la remarque suivante : « Ok, je vois l’Australie, feu ! Ils vont voir s’ils marchent pas bien, nos sous-marins ! »Viens de voir nos sous-marins en vente sur le bon coin...
— Ronan Planchon (@RonanPla) September 16, 2021
Il semblerait qu'annuler un contrat à 56 milliards pour des sous-marins est plus facile qu'annuler un abonnement à France loisirs.
— David von ritter (@gribovitch) September 16, 2021
Emmanuel Macron :
— Ceci est mon tweet (@ceciestmontweet) September 17, 2021
"Ok, je vois l'Australie, feu ! Ils vont voir s'ils marchent pas bien nos sous-marins !" pic.twitter.com/5srwbGwsCG
Autant de réactions qui prouvent que les internautes ne perdent pas une miette du différend qui oppose les deux gouvernements. Samedi 18 septembre, Jean-Yves Le Drian, chef de la diplomatie française, a fustigé une « crise grave », après le torpillage du contrat de sous-marins français à Canberra. De son côté, l’Australie a minimisé la situation. Peter Dutton, ministre de la Défense, a souligné la « nécessité » pour son pays d'« agir dans son intérêt national ».
On les bourre d'énarques, on les amène là où il y a 5000 mètres de fond et on ouvre en grand les ballasts.
Il y aurait à dire. Mais "le sanglier" se satisfait pleinement de ce que la France arrogante de l'armement a pris une méga baffe. Une de plus et d'autres, bien d'autres suivront. Nous, notre clientèle, c'est le tiers monde insolvable. Le reste se répartit entre gens sérieux et qui savent compter.
Vendez-les !
Pour explorer les abysses du trou budgétaire ou des coups tordus politiciens,
ce sont des bathyscaphes qu'il faut.