Thomas Porcher, nouvel économiste de la vieille gauche

Qui est Thomas Porcher, l’économiste médiatique et radical qui prétend offrir une vision hétérodoxe de l’économie contemporaine ? À gauche de la gauche.

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Thomas Porcher, nouvel économiste de la vieille gauche

Publié le 6 septembre 2018
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Par Emmanuel Martin.

La nouvelle coqueluche de la gauche de la gauche est Thomas Porcher, professeur associé à la Paris Business School. Look décontracté, cheveux au vent, moustache à la Zorro. Le ton passionné, la Revolución à fleur de peau. Ce membre du comité des « économistes atterrés » séduit.

Il enchaîne les plateaux TV et radio pour y expliquer ses « principes d’autodéfense contre la pensée dominante » qu’on trouve dans son dernier ouvrage grand public : Traité d’économie hérétique (Fayard, 2017). Il tweete dès qu’il le peut pour critiquer le système Macron, qu’il pense libéral.

Mais voilà que suite à un « portrait » dans Le Monde du 3 août, intitulé « Thomas Porcher, l’économie lui va si bien », la tweetosphère s’est emballée. Un tweet taxant le brave Thomas de charlatan et de pseudo-économiste ainsi qu’un autre, fake celui-ci, attribuant à Porcher des propos sur le caractère fictif de la dette publique ont en effet été largement relayés dans la médiasphère, de Dominique Seux à Jean-Michel Apathie. Comme Porcher a tout de même pas mal de publications scientifiques sur son CV, certains ont pu voir dans le déferlement de critiques une réaction des « chiens de garde ».

Analyses intéressantes, conclusions qui ne suivent pas

Je confesse bien aimer cet économiste qui pourtant se dit antilibéral. En fait, l’économiste libéral que je suis le rejoint sur pas mal de points d’analyse. Dommage que ses conclusions ne suivent pas. Comme si son tropisme vers la gauche et le collectivisme l’empêchait au final de raisonner juste.

À la lecture de son ouvrage, et à l’écouter sur les plateaux, on prendrait la France pour un pays ultra-libéral avec une dépense publique proche de 0 % du PIB et aucune réglementation. Je réagis ici sur quelques points seulement. Il y en aurait bien d’autres, de la critique de l’idée de réussite individuelle à la crise des subprimes, en passant par les « réformes » du marché du travail en France.

Le négationnisme économique

Le « traité » de Porcher est dans une large mesure une contre-critique à l’ouvrage de Pierre Cahuc et André Zylberberg Le négationnisme économique (Flammarion, 2016) qui se voulait lui, une critique à l’hétérodoxie de gauche, et notamment des économistes atterrés. Porcher s’enflamme contre l’idée d’une sorte de monopole de la vérité détenue par quelques-uns (une forme de dogmatisme donc), qui au-delà du champ méthodologique, prôneraient en plus la réforme de l’État providence actuel, le libre échange — et autres horreurs libérales ou presque.

Hérétique et fier de l’être, donc.

Dans une tribune, à l’époque, Pascal Salin et moi-même avions réagi à l’ouvrage de Cahuc et Zylberberg. Nous y dénoncions l’usage du terme « négationnisme » à l’encontre de ses contradicteurs, qui relevait selon nous « d’une attitude arrogante consistant à prétendre qu’on est seul à posséder la vérité ». Contre le monopole « paradigmatique », nous plaidions en faveur du pluralisme, essentiel au processus critique de l’avancée de la connaissance.

Le pluralisme méthodologique et intellectuel est le signe d’un « marché des idées » sain et vivace. Si au plan de la politique économique nous sommes plus proches de Cahuc et Zylberberg, le doute de Thomas est donc également le nôtre en matière d’épistémologie.

Le réchauffement de la pensée

De manière assez ironique cependant, notre économiste ne s’applique pas le même critère lorsqu’il traite du réchauffement climatique. Car sur ce sujet, selon lui, « tout le monde s’accorde à dire que » l’activité de l’homme est la cause majeure de l’évolution du climat. Ici l’idée de consensus qui impose sa vérité ne pose visiblement plus problème à notre économiste atterré…

Pourtant notre capacité à mesurer les causalités extrêmement complexes entre des phénomènes liés au climat (évolutions des courants océaniques, de l’activité solaire, des nuages, de la géothermie, etc. et même du CO2) est en réalité encore limitée. Le climat a varié très fortement bien avant la révolution industrielle. Et la priorité donnée au climat occulte de nombreuses questions environnementales pourtant urgentes.

Beaucoup de personnes « dures de l’oreille », comme le dit Porcher, restent donc sceptiques sur des conclusions définitives en la matière. Pas parce qu’elles sont stupides, sourdes, ou payées par des compagnies pétrolières. Mais parce qu’elles ont justement une certaine idée de la science et des limites du « consensus » ; surtout sur des questions hautement politisées.

En matière de politique climatique d’ailleurs, Porcher dit son scepticisme à l’égard du marché carbone. Beaucoup de libéraux, même s’ils sont en règle générale en faveur de solutions de marchés pour protéger l’environnement, sont tout aussi sceptiques ici, ce dispositif tenant davantage du « marché bureaucratique ».

L’épouvantail de la dette

Un autre dada de Porcher, c’est la dette.

En gros, la dette est un épouvantail pour nous forcer à avaler les couleuvres de l’austérité, et elle n’est pas un problème. Évidemment, parler de l’austérité en France, pays quasi-champion du monde avec plus de 57 % de dépense publique dans le PIB (mais ça non plus ce n’est pas un problème), a de quoi faire un peu sourire.

Les libéraux parlent d’ailleurs bien plus volontiers de « faustérité » en ce qui concerne l’Hexagone : en dépit de quelques efforts, baisser la dépense tient quand même encore essentiellement du discours pour séduire les partenaires européens un tantinet nerveux du Paquebot France filant sur l’iceberg.

Porcher rappelle que la dépense publique ce sont aussi des hôpitaux, des pompiers, des écoles, des soins gratuits etc. On peut lui rétorquer ici deux choses.

D’abord que même en conservant le système interventionniste actuel, il est possible de dépenser beaucoup mieux (la Cour des comptes a quelques idées sur le sujet) et donc de faire in fine des économies par exemple en frais financiers (et donc de pouvoir bénéficier de plus de classes et de lits d’hôpitaux). Rationaliser la dépense là où cela est nécessaire n’est pas systématiquement une mauvaise chose : la Corne d’Abondance n’existe malheureusement pas.

Ensuite, qu’un système alternatif (utopie quand tu nous tiens !) fondé sur la liberté et la responsabilité peut également rendre ces mêmes services sur une base lucrative, et non lucrative (mutualiste etc.).

Mais revenons à la dette : selon Porcher, en 1945 la France se coltinait 200 % d’endettement, ce qui n’a pas été un problème parce qu’une taxe a été mise en place sur les patrimoines, que nous avons laissé filer l’inflation (l’impôt du pauvre) et restructuré la dette. Cela n’a pas été un problème, parce qu’on avait trouvé la solution : en gros, voler tout le monde. Très cool en effet. Passons sur le fait qu’en 1945 la situation était bien particulière compte tenu d’un besoin urgent de reconstruction. Sans doute pas un modèle idéal en temps de paix.

Le libre-échange

« Ne croyez pas que le libre-échange profite à tous ». Certains effectivement peuvent perdre au libre-échange : ce dernier induit des adaptations qui pour beaucoup se révèlent très difficiles, en fonction de leur âge, de leur métier, de leur lieu de vie etc.  Mais de même que certains perdent au jeu de la concurrence et que d’autres perdent du fait de l’innovation…

Je doute que les libéraux remettent en cause le China-shock par exemple. Mais globalement, en tant que consommateurs-producteurs nous gagnons au libre-échange, sans doute d’ailleurs parce qu’il permet, comme Adam Smith le relevait, une augmentation de la taille du marché, c’est-à-dire du potentiel d’opportunités pour chacun d’entre nous.

Mais il est évidemment plus facile de collecter tout un tas d’exemples visibles d’entreprises qui ferment du fait de la concurrence étrangère, que de relever la somme colossale des petits avantages apportés à chacun par le libre-échange, en termes de prix comme d’accès à une diversité impressionnante de produits.

D’un autre côté, le protectionnisme est-il aussi simple à mettre en place sans représailles ? Les gouvernements ont-ils la connaissance suffisante pour instaurer les mesures de protection « intelligentes » comme disent certains, et les moyens d’éviter les lobbies bénéficiant des protections ? Les libéraux ne le pensent pas.

Porcher reprend un refrain bien rodé : le protectionnisme aurait permis aux États-Unis notamment de se développer à l’abri de barrières douanières. Cette idée a été remise en question : les secteurs ayant tiré la croissance américaine au XIXe siècle n’étaient pas « mondialisés » (bâtiment, chemin de fer). En revanche, le renchérissement du prix des équipements importés (machines outils etc.) a réduit l’investissement et donc la croissance. La croissance américaine s’est faite non pas grâce, mais en dépit du protectionnisme.

Et n’oublions pas que les États-Unis ont tout de même profité du libre-échange à l’intérieur du pays, entre États. D’ailleurs, l’un des rares cas de protectionnisme intérieur entre États n’est pas exactement un symbole de réussite : la banque. Au pays du « libéralisme débridé » il était en effet interdit aux banques jusque dans les années 1970 d’avoir des succursales entre États.

Dans certains d’entre eux il était même interdit aux banques d’avoir plusieurs agences (c’était le unit banking ). Cela a évidemment contribué à un dangereux morcellement du secteur, affaiblissant considérablement sa capacité à diversifier les risques, notamment durant la Grande Dépression.

Porcher contre la liberté

Presque logiquement, Porcher cible Adam Smith et David Ricardo, les pères du libre-échange. Vu le portrait rapide et peu flatteur qu’il en fait, il n’a visiblement pas apprécié à sa juste valeur Smith, ni dans sa théorie évolutionniste de l’échange ni sa « théorie des sentiments moraux ».  Sur Ricardo, je concède ma proximité d’analyse, et j’ai écrit naguère un petit article sur le sujet. Mais là encore, Porcher ne va pas assez loin. Oui, Ricardo, avec sa théorie des avantages comparatifs, fondée sur l’exemple « deux pays – deux produits », a pu nous induire en erreur, en insistant sur l’échange entre pays – donc une « nationalisation » du concept d’échange, et dans le cadre d’un échange international inter-branches qui plus est.

En réalité l’échange international se pratique entre individus et/ou firmes et il est surtout intra-branches. En outre, cette nationalisation du concept d’échange couplé à cette vision étriquée de la spécialisation internationale a donné lieu à des politiques industrielles nationales fondées sur le développement d’un avantage national. Politique souvent catastrophique puisque, comme le note justement Porcher, fragilisant ces pays en les rendant vulnérables par manque de diversification. Mais précisément, où se trouve donc le libre échange dans ces pratiques de développement planifié de manière centralisée ?

Droit à l’alternative

Pour Porcher, l’économie est une affaire de rapport de pouvoirs exclusivement, de domination/contre-domination, et il est donc permis de sortir d’un cadre de domination, relié à un cadre de pensée (« le discours dominant »). Le discours dominant nous dit avec Macron, que « l’autre politique est un mirage » (ou Thatcher : « il n’y a pas d’alternative »). Porcher veut remettre en cause ces « vérités absolues » : il suffit de luttes sociales pour faire bouger les lignes de domination, comme en 1936, en 1945 ou même en 1981. Il y a un droit à l’alternative, en somme.

Dans ce cadre de domination, Porcher insiste d’ailleurs sur le pouvoir des lobbies des multinationales. Même s’il oublie au passage les lobbies publics ainsi que les lobbies en faveur du protectionnisme, on se réjouit tout de même de voir qu’il s’inspire de la théorie du Public Choice, développée par des économistes libéraux. Et ces derniers ne sont pas non plus exactement fans du capitalisme de connivence. Sans doute d’ailleurs est-ce là un malentendu fondamental chez Porcher : confondre libéralisme et capitalisme de connivence.

Quoi qu’il en soit, s’il est certain que l’économie est une science humaine, faite de rapports humains, d’institutions humaines, de « conventions », cela veut-il dire qu’il n’y a pas de « lois de causalité » en économie (comme en physique, mais moins précises évidemment) ? Le politique peut-il modeler l’économie aussi facilement sans perturber ces lois ? Peut-on doubler le salaire minimum sans conséquence ? Peut-on instaurer les 25 heures par semaine sans conséquences ?

Les libéraux, dont certains sont de grands théoriciens des institutions, pensent que non. Pas par une espèce de cynisme social, mais par simple humilité : le constructivisme social engendre des conséquences inattendues et des effets pervers que les beaux penseurs n’anticipent pas, et généralement ne paient pas.

C’est pour cela que les libéraux — comme Porcher — étaient réfractaires à l’euro et à la construction européenne bureaucratique. Friedman anticipait dès 1999 que la première grande crise en Europe poserait de sacrés problèmes à la monnaie unique. Au milieu des années 1990 Salin écrivait contre la « monnaie constructiviste ».

Ils avaient raison : les responsables de cette tragédie n’ont pas payé leur dû. En même temps, c’est aussi du fait de l’Europe et de la politique monétaire européenne — et au poids de l’Allemagne dans l’Euro – que la dette française se paie si peu cher aujourd’hui et que la dépense publique peut continuer à ne pas être sérieusement réformée. Au grand bonheur de M. Porcher.

Le droit à l’alternative ? Chiche. C’est ce que proposent justement les vrais libéraux.

 

 

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  • pas un problème, la DEPENSE PUBLIQUE et le PIB …alors pourquoi le gel des retraites et hausse CSG…diminution du pouvoir d’achat…Chômage, pauvreté, non pas un problème ce ne sont que des mots …dite leur a ceux qui sont sous le seuil de pauvreté !!!
    ceux qui survivent ou chaque centime compte !!

  • et hausse de taxes et autres ..pas un problème…il vit sur quelle planète !!

    • il vit sur la même planète que nous , mais pas dans le même monde…..

      • Même monde, même planète pour tous, juste des options qui sont fermées dans l’esprit de beaucoup, d’une majorité même.
        Une résignation a l’ordre établi, intériorisée en chacun, qui nous empêche d’envisager autre chose que ce qui parait logique dans le cadre.
        Or c’est le cadre , mis en place par certains à qui il profite, qui peut être demis par ceux à qui il ne profite pas :la majorité.
        Oui la dette, l’argent , c’est du vent et pourtant ses implications dans la vie courante nous paraissent et SONT bien tangibles.
        C’est cette croyance dure comme fer, dans le caractère concret de l’argent qui est dépassable.
        Le monde est abondance de biens et services, que manque t il ?
        L’argent = le moyen d’échange.
        Qui crée ce moyen d’échange ex nihilo puis détruit se moyen d’échange et réclame intérêt pour se service (spirale de la dette) ?
        Les banques.

        • Je vous rappelle que les libéraux sont pour la concurrence des monnaies aussi (enfin une bonne partie d’entre eux en tout cas).

          • Et moi je suis contre le système ce création/destruction monétaire mondial, archaïque et aliénant, privilège accordé aux banques d’émettre ce précieux moyens d’échange contre dîme au passage, induisant structurellement l’obligation de croissance sous peine de ne plus avoir de moyen d’échange.
            Course folle ou crise en cas de stagnation Economique !
            court ou meurt, voilà le choix qu’induit la monnaie actuelle.
            Bref je suis contre le monopole qui est accordé aux banques.
            Je ne vois pas en quoi il est naturel que quelqu’un se serve au passage pour l’émission/destruction d’un moyen d’échange.
            Qu’un bien ou service permette de tirer profit, oui, un moyen d’échange, non.
            Il porte bien son nom : moyen d’échange.
            L’ai pur rend service, on ne le fait pas encore payer.

            L’argent est considéré comme un bien comme les autres qui rend service et c’est là l’erreur.
            C’est un bien qui sert a l’échange et au stockage.
            donc je ne vois pas en quoi la multitude des monnaies réglerait cet asservissement à peine camouflé à l’émetteur/destructeur, actuellement la banque..
            C’est une servitude séculaire à laquelle peu sont sensibles.
            Que proposez vous en matière de monnaie exactement ?

            • « Que proposez vous en matière de monnaie exactement ? »
              Lisez des livres d’économie au lieu de déblatérer des débilités.

              • Il n’a pourtant pas tort lorsqu il dit que la monnaie a pour fonction de stocker de la valeur et que sa fonction principale est de faciliter les échanges ( division du travail )

                • Il n’a pas tord mais il est indéniable que c’est un service qui doit être rémunéré (comme tout service)

                  • Ne pas confondre la monnaie ( moyen de faire l’échange, ça peut être nimp ) avec la création de crédit ou l investissement ( services ) qui eux bien évidemment doivent être rémunérés ou pas ( risque ). Mais je dis peut être des âneries, c est pas du tout ma partie.

                    • J explique le nimp…Il suffit que deux agents aient confiance dans le moyen qui permet de faire l’échange ( coquillage, peau de bête, euro, coin…) contre une service et si l’échange se fait librement il aura création de richesse et deux intérêts satisfaits . Mais ce n est pas la monnaie, ni la peau de bête ou le coquillage qui crée la richesse, c est l échange et librement c est encore mieux.

                    • « Ne pas confondre…. » sauf que dans les fait c’est confondu.
                      Pas de prêt, pas d’argent pour faire les échanges.

                • Il a tort dans la mesure où il répète la doxa melenchoniste monnaie-dette (alias loi Pompidou-Rothschild), alors que c’est la bête définition de la monnaie scripturale. Mais si moudugenou veut se balader avec des Napoléon, pourquoi pas.

            • « Je ne vois pas en quoi il est naturel que quelqu’un se serve au passage. » Phrase qui pourrait être appliquée aux salariés, au mot près. En réalité, elle pourrait s’appliquer à n’importe qui dans n’importe quelle situation puisque c’est le principe même de l’échange libre, seule et unique source de toute création de richesse, forme la plus élevée de la solidarité humaine, qu’elle condamne irrémédiablement.

              La convocation de l’air pur (à définir ?) dans votre raisonnement est le comble de l’absurde. Dès lors qu’un seul humain apparaît votre concurrent pour respirer « votre » air pur, vous le condamnez pour pollution à votre égard. Petit problème : l’air pur ne vous appartient pas et vous n’avez strictement aucun droit à son égard. Eh oui, que vous le vouliez ou non, vous allez devoir tolérer que d’autres que vous puissent respirer, eux aussi.

              Les monnaies libres en concurrence forment une des conditions de la liberté. Pas étonnant au vu de l’ensemble de vos messages que vous ne voyez pas en quoi elles sont exactement l’inverse de l’asservissement.

              Oui, seules les banques sont en mesure de créer et détruire la monnaie. Il y a une raison à cela : elles sont compétentes pour le faire, contrairement à vous qui en êtes totalement incapable. La limite du système monétaire actuel, son péché originel, réside dans la contrainte d’une création monétaire logée au sein d’un monopole monétaire territorial alors que chaque banque devrait avoir l’obligation d’émettre sa propre monnaie en concurrence avec les autres banques.

              En réalité, dissimulée derrière votre contestation fantasmée d’un asservissement monétaire imaginaire, vous vous demandez pourquoi vous n’êtes pas en mesure de réduire en esclavage le reste de l’humanité, centrée au service exclusif de votre petite personne. Ainsi, plus besoin de monnaies, vous n’auriez plus rien à payer à quiconque, n’est-ce pas ?

              Pathétique et infantile diatribe d’un enfant gâté crachant dans la soupe.

            • « Bref je suis contre le monopole qui est accordé aux banques. »

              N’importe quoi.

              • creusez le sujet, on discutera après.

                • C’est la BCE qui a le monopole, pas les banques. Les banques sont les entreprises les plus réglementées au monde après le secteur nucléaire. Ca vous arrive des fois de vous instruire à minima au lieu de régurgiter les débilités de Mélenchon and Co ?

                  • L’arroseur arrosé n’a pas perdu une ride…
                    secteur réglementé sans aucun doute mais dirigé par qui? les gouverneurs des banques nationales.
                    BCE :
                    Le Conseil des gouverneurs est le principal organe de décision de la BCE. Il se compose
                    des six membres du directoire, et
                    des gouverneurs des banques centrales nationales des dix-neuf pays de la zone euro.
                    BNF : La Banque de France est la banque centrale de la France. Il s’agit d’une institution bicentenaire, de capital privé lors de sa création
                    …La Banque de France est une institution indépendante, membre de l’Eurosystème (ainsi que du Système Européen de Banques Centrales) depuis le 1er janvier 1999.
                    Il en va de ces intérêts privés que tout ne s’effondre pas, car ils tomberaient avec et peut être ont il s une éthique, au fond qui sait ?
                    Bien a vous

                    • Le gouverneur de la Banque de France est nommé par décret du président de la République. Autrement dit, c’est un faux fonctionnaire comme des millions d’autres.

                      La BdF a longtemps été un EPIC sous tutelle de l’exécutif avant de devenir une « filiale » de la BCE, dont elle doit appliquer la politique monétaire sans pouvoir y déroger dans le cadre du SEBC.

                      La BCE quant à elle est dotée d’une personnalité juridique « sui generis » et « jouit, dans chacun des États membres, de la capacité juridique la plus large reconnue aux personnes morales par la législation nationale. La BCE peut notamment acquérir ou aliéner des biens mobiliers et immobiliers et ester en justice. »

                      Là où vous avez involontairement raison, c’est que les faux fonctionnaires agissent en fonction de leurs intérêts particuliers, tout en faisant croire aux naïfs qu’ils servent l’intérêt général.

                    • Je ne doute pas un seul instant des mamailles et connivences.
                      Toujours est- il qu’au final, la monnaie est émise et DETRUITE par les banques commerciales privées, partout dans le monde, à epsilon près.
                      Nous sommes pieds et poings liés à des intérêts privés pour disposer de monnaie afin d’échanger nos biens et services.
                      c’est un impôt déguisé, une sorte de taxe (l’interet) sur les échanges
                      et un asservissement aux banques commerciales, pour disposer du droit d’échanger biens et services.
                      .
                      Je serais libéral , je serait fou de savoir ça !
                      Moi ça me révolte d’être enchaîné a un tel système…

                    • Ce que vous dites est faux. Les banques commerciales agissent toutes dans le cadre de monopoles monétaires imposés et, si elles créent ou détruisent la monnaie, elles le font seulement par délégation dans des limites plus ou moins strictes selon les pays, certainement pas de manière autonome.

                      Pour pouvoir utiliser une monnaie, quel que soit le système, vous dépendez forcément d’un tiers qui acceptera ou non votre monnaie, monnaie qui de facto est une reconnaissance de dette, un droit de tirage sur le reste de la société acceptant cette monnaie. Vous ne pensez quand même pas espérer un jour détenir un droit de tirage à volonté sur le travail d’autrui sans demander l’avis de quiconque ?

                      Vous croyez être lié aux banques commerciales mais c’est faux à nouveau. Ce qui vous enferme irrémédiablement, c’est le monopole monétaire que l’Etat obèse impose à tous, y compris aux banques (qui, il faut le reconnaître, l’acceptent avec joie). Si vous n’aimez pas le système actuel, quelle que soit la légitimité de votre revendication, le seul moyen de vraiment le contrer consiste à militer pour la concurrence monétaire, selon une équation simple : une banque = une monnaie.

                    • Les banques commerciales créent de la monnaient lorsque vous faites un prêt
                      et la détruise lorsque vous le remboursez.
                      Méditez cela et vous arrêterez votre blabla mais je sens que ce n’est pas la vérité qui vous intéresse mais simplement avoir le dernier mot.
                      Alors je vous le laisse volontiers.
                      Bien a vous.

                    • Les banques commerciales créent effectivement de la monnaie quand elles accordent un prêt et la détruise lors de son remboursement, dans la MEME monnaie et sous le contrôle des prix et des quantités de la MEME banque centrale. Il n’y a donc aucune possibilité de concurrence, par les prix et les quantités, de la monnaie. Le problème fondamental réside dans l’existence de la banque centrale, pas dans celle des banques commerciales. La situation serait totalement différente si banques commerciales distribuaient leurs crédits chacune dans leur propre monnaie.

                      A cause du monopole monétaire, vous n’avez pas la possibilité de choisir librement la monnaie dans laquelle vous échangez. C’est précisément ce monopole qui vous piège, pieds et poings liés. C’est ce monopole qui vous force à être solidaire d’individus avec lesquels vous ne souhaitez pas être solidaire (les banquiers dans votre cas).

                      Par exemple, quand le Venezuela fait faillite, nous en sommes peu ou pas affectés, uniquement parce que ce pays fait faillite dans une autre monnaie que la notre. Il n’y a pas de solidarité contrainte entre le Venezuela et nous, et c’est très bien ainsi. Seuls les porteurs du bolivar sont impactés par la faillite du socialisme. Les Vénézueliens auraient certainement préféré vivre sous régime de concurrence monétaire, au lieu de subir le monopole monétaire de l’Etat obèse socialiste qui les a ruinés.

                      Si jamais demain, une monnaie mondiale était imposée, peut-être par le biais des DTS, ce serait une catastrophe économique, le pire monopole jamais créé.

                      Le prix et les quantités des monnaies en concurrence sont des informations parmi les plus importantes de l’économie, notamment parce qu’elles vont déterminer les prix et les quantités des capitaux indispensables au développement économique et à la prospérité générale. En l’absence de concurrence monétaire, c’est une part essentielle de la liberté de chacun qui est arbitrairement supprimée.

          • « donc je ne vois pas en quoi la multitude des monnaies réglerait cet asservissement à peine camouflé à l’émetteur/destructeur, actuellement la banque.. »

            Ça, je ne pige pas. Je pense même exactement le contraire.

            • Moi non plus je ne pige pas ! 🙂
              *Quel autre système proposez vous pour gérer la monnaie et éviter la cavalcade des prêts remboursant les premiers en période de croissance ou la dette insoutenable en période atone ?
              C’est a dire que multiplier les acteurs ayant les mêmes fonctions et règles du jeu que les banques, ne résoudra pas le problème de fond*
              C’est d’autres règles su jeu qu’il faut(puisque les existantes mènes a des impasses) mais je ne sais pas quelles règles seraient meilleures ?

              • Une seule règle du jeu à instaurer : la concurrence monétaire.

                • « Une seule règle du jeu à instaurer : la concurrence monétaire. »
                  si c’est la concurrence sur les taux, ça ne sort pas du cadre et donc pas des 2 impasses :croissance infinie dans un monde fini, ou bien effondrement financier par dette insoutenable.
                  C’est vraiment un autre système d’émission monétaire qu’il faut.

                  • La croissance n’a que très peu à voir avec les limites physiques du monde et dépend essentiellement de l’intelligence, de la créativité et de la solidarité humaines.

                    Seule l’activité privée crée de la richesse grâce à l’échange volontaire. Une fraction de cette richesse nouvelle sera ensuite employée pour rembourser la charge de la dette privée, principal et intérêts, et, accessoirement, payer la charge de l’Etat minimal régalien par les impôts. Au-delà des fonctions régaliennes, l’Etat non régalien ne crée aucune richesse : il n’est qu’une charge en pure perte. En effet, toutes les richesses qu’il crée résultent d’une destruction préalable de richesses créées par ailleurs au moins équivalente, sinon supérieure. Le bilan économique global de l’Etat obèse est donc forcément nul à négatif.

                    En conséquence, la dette publique actuelle est insoutenable car les Etats obèses sont par nature incapables de rembourser leurs dettes inutiles. Le principe même de la dette publique, impôt sur les générations futures, devrait être interdite, ne serait-ce que pour respecter les principes démocratiques les plus élémentaires, sauf cas exceptionnels, guerre ou catastrophe naturelle.

                    Dans le même ordre d’idées, l’émission monétaire sans contrepartie de richesse, sous le contrôle des Etats par l’intermédiaire des monopoles des banques centrales, provoque l’inflation, inflation qui est avant tout un impôt sur les pauvres.

                    Bref, un Etat ne devrait jamais s’endetter, encore moins décider de l’émission de monnaie à son profit. L’émission de monnaie et la dette doivent être réservés au privé et soumis à concurrence.

        • @ bienavous
          Vous faites bien, dans la continuité de l’article, de démontrer qu’il faut bien faire la distinction entre l’économie « science humaine » parmi les autres (politique ou sociologique) aptes à expliquer les événement passés, bien moins douées à prévoir l’avenir: c’est strictement normal! Les événements sont contingents des circonstances, répondant parfois à de courtes équations simples, mais pas à de grande règles infaillibles comme pour les sciences dures où l’acquis reste reproductible, une fois pour toute!
          Après, les considérations politiques (et administratives) tentent d’influencer l’économie, avec peu de résultats triomphants.
          Dire que la monnaie est une illusion n’est pas totalement vraie, tant qu’elle est l’outil (et le symbole) concret et réel d’un pouvoir d’achat!

          • @mikylux
            Bien sur que la monnaie est réelle et a une influence réelle sur l’économie et même sur les esprits en les formatant depuis la plus tendre enfance. Certains se disent libres, tel gillib et sont pourtant incapables de voir assigné à la monnaie un autre mode de création/gestion que celui qui lui a été assigné depuis des siècles.
            Le rôle de la monnaie est réel parce que tout le monde CROIT ce mirage comme immuable er REEL.
            Pas touche !
            *Alors nous avons droit à un scénario séculaire : dette insoutenable, crise, puis au choix, effacement du créancier plutôt que de la créance(lol), ou guerre pour remettre les comptes à plat, et on recommence sur des « bases saines » le même cirque.
            Vu les 2 dernières, là on rechigne à une troisième guerre mondiale, alors on pousse le bouchon, tant que l’élastique tient…
            C’est quand même marrant que des esprits qui aspirent à la liberté, sont incapables de voir les chaines qui nous lient à la création monétaire, incapable de voir les implications néfastes de ce système et par conséquent incapable d’envisager de changer de cadre pour la monnaie.
            Les seules réponses apportées par les libéraux son à ma connaissance « dans le cadre » et pourtant tant que le cadre est respecté, il n’y a pas de solution hors celles annoncées ci dessus*(historique)
            Autant l’état vous révoltes , vous libéraux, autant l’asservissement au système de création monétaire devrait vous révolter tout autant, voir même plus, vu que c’est lui qui rend le poids financier de l’état insupportable, entre autre.
            Qui a dit que l’on ne pouvait pas créer de l’argent sans intérêt pour financer école, hôpitaux (par ex), qui a dit que l’on devrait utiliser l’impôt pour cela ?
            que de limites dépassables….

            Il ne faudrait pas d’emprunt pour éviter la spirale de la dette, sauf que mince dans ce magnifique système monétaire mondial, pas d’emprunt = pas de moyen d’échange.
            Des biens et services et puis retour au troc ?
            Ce système mondial de la monnaie ne fonctionne que s’il y a de la croissance, toujours plus de prêts pour rembourser les précédents.
            L’orque la croissance est atone pour x raisons (pas besoin, énergie trop chère,…), c’est la cata : Dette insoutenable = crise.
            C’est bien l’argent qui dicte sa loi, guide le monde et non la démocratie , à mon grand regret.
            Pourtant nous vivons dans une monde d’abondance de biens et services, alors il est où le problème ?
            si ce n’est pas la monnaie, le rôle qu’on lui assigne, le rôle des banques dans ce jeu de pure construction humaine, donc remodelable à loisir, absolument rien de gravé dans le marbre d’essence divine concernant la monnaie.
            Par contre il faut des baloches pour oser tout remettre a plat…et là je pense que ça coince…

            PS: je ne connais pas très bien Thomas Porcher qui a ma sympathie, je ne suis pas certain qu’il tienne ce discours.

            • Question candide: comment imagineriez-vous le rôle des cryptos pour sortir de ce paradigme?

              • Je ne sais pas.
                Je ne me suis jamais intéressé au sujet, si vous avez une idée, je suis tout ouïe.
                Je dis ce que je sais, ou crois savoir, je suis aussi là pour apprendre et être corrigé, tout le monde évolue au contact des autres.

            • Mais b.rd.l de m.rde si vous voulez créer une monnaie, just do it, les libéraux ne sont pas contre. Dans la mesure où c’est volontaire. Créez un SEL avec vos copains. Faites un kibboutz , mais sur la base du volontariat.
              https://www.wikiberal.org/wiki/Syst%C3%A8mes_d%27%C3%A9changes_locaux
              Partez faire votre coopérative.. mais arrêtez de pleurnichez comme un gamin.

            • sauf que mince dans ce magnifique système monétaire mondial, pas d’emprunt = pas de moyen d’échange.

              En bon escroc étatique, hic, vous n’imaginez dans votre étroit esprit, l’emprunt que comme étatique zappant sinistrement l’individu dans votre trou noir du socialisme.

              Eh bien non, on peut encore emprunter entre particuliers malgré les entraves de plus en plus nombreuses crées par votre état socialiste.

              • @ MichelC
                Oui mais non! Théoriquement rien ne vous défend sans doute de prêter à votre fils ou fille une grosse somme pour un grand projet, sur foi de votre confiance relationnelle (et ce qui est convenu peut être consigné et cosigné par les acteurs au cas où).
                Mais il m’étonnerait que le rapace fiscal français n’impose, un jour, un intérêt (même fictif) minimum sur ce genre de transaction qui deviendra d’autant plus secrète, mais toute transaction financière DOIT rester taxable dans ce beau pays à l’état gourmand!

                • Encore faudrait-il que le vorace rapace eusse-t-il même susse-t-il le détail sans faille. Ce gros dinosaure ne le sait qu’à posteriori.

                  Macache et caramba arriba… trop tard, le magot s’est échappé…

                  Comprenez bien que seul les plus lents seront plumés… comme dans la nature…

              • « vous n’imaginez dans votre étroit esprit, l’emprunt que comme étatique »
                Je ne voudrais pas vous priver du titre mais tous les prêts sont privés, vu que les banques sont privées….

                • Rigolo, la dette privée, qui existe, vous vous en foutez.
                  Ce qui vous rend fou c’est que la toute puissance étatique bute sur un mur; les impôts qui sont au max, et une dette qui devient toxique. Et vous voudriez comme les Grecs, comme le Argentins, etc. ne pas rembourser la dette.
                  Je n’ai rien contre l’état providence (ce n’est pas ma préférence), mais de nbreux pays ont un système de protection sociale, mais ils ont un budget sous contrôle. Pas la France qui vote des budgets en déficit depuis 40 ans.
                  Soyez adulte, c’est à dire de sortez de la pensée magique. Il n’y a pas de solution indolore.

                  • Je crois que nous ne comprenons pas…
                    Vous parlez de résoudre des problèmes concret dans un cadre donné.
                    Je parle de changer de cadre car celui ci mène inévitablement à 2 impasses: croissance finie dans un monde fini ou effondrement financier par la dette insoutenable.
                    La troisième option qui est de ne pas avoir de dette, signifie a terme plus aucun argent nulle pour échanger des biens et services, puisque tout l’argent émis sur la planète est issu d’un prêts qu’il faut rembourser.
                    si, si même votre épargne, la mienne aussi 🙂
                    Pour vous en convaincre, comparez la masse des crédits et la masse monétaire mondiale.

                    • Si j’ai bien compris le pb c’est les autres: pour le FN ce sont les immigrés, pour l’extrême gauche l’Euro. Pour moudugenou, c’est l’argent-dette.
                      C’est fantoche l’économie politique, le prêt à penser melanchoniste. Yaka faucon et nous voila dans le monde merveilleux où le miel coule des fontaines, les maisons poussent du sol, les filles sont souriantes.
                      Alléluia, moudugenou a trouvé LA bonne martingale.

                      Pa thé tique.

                    • Quand vous donnez un euro à votre petit-fils pour s’acheter des bonbons, vous exigez qu’il vous le rembourse avec intérêts ?

                      Quand votre employeur vous verse un salaire, il exige que vous le remboursiez ?

                    • @gillib,
                      En plus de manquer de respect à mes genoux, forts beaux dit on , vous n’apportez aucun argument concret, juste des invectives et caricatures.
                      -Qui a dit que l’on ne pouvait crée de l’argent sans contrepartie pour payer hôpitaux, éducation etc…
                      -Qui a dit qu’il fallait que se soit l’impôt qui finance cela ?
                      Le but n’est pas de trouver un ennemi, le but est de trouver des solutions a un système qui nous dirige vers 2 impasses.
                      c’est vous qui voyez…je sens que vous y êtes attaché a vos impasses.
                      @Theo31
                      Où voulez vous en venir avec vos évidences ?
                      Visiblement vous n’arrivez pas intégrer la réalité, que tout argent en circulation et en épargne existe, parce que des prêts non encore remboursés, existent quelque part dans le monde.
                      Cela vous échappe car il y a une multitude d’intermédiaires.

                    • @Moudugenou.
                      La pensée libérale est bcp plus riche que mantra monnaie-dette, qui n’est que le résultat de la monnaie gérée par les banques qui sont des ,(Oh surprise!) des établissements de.. crédit.
                      Lisez le libéralisme pour les nuls; http://www.dantou.fr/LesBanques.php

                      « En fait, comme nous l’avons vu, les banques ont désespérément souhaité une banque centrale, non pour placer des limites à leur propre désir d’expansion, mais au contraire, pour leur permettre de se développer et augmenter la masse monétaire sans risquer les pénalités d’une économie de marché. M Rothbard »
                      Le système actuel, QE, est fait pour l’intérêt des états au détriment des individus.

                    • @gillib
                      . . …………/´¯/)
                      . . ……….,/¯../
                      . . ………./…./
                      . . …./´¯/´…´/´¯`·¸
                      . . ./´/…/…./…./¨¯
                      . ( ….´….´…….¯/´. ´)
                      . . ………………´…/
                      . . ……………._.·´
                      . . …………….(

                    • Je traduis le message codé de mou du genou :

                      F.CK ❗

                    • @gillib
                      Je me mets a niveau de votre manque d respect récurent.

                    • C’est plutôt vous le manque de respect. Vous étaler vos ‘idées’ qui trainent dans tous les sites melanchonistes et vous nous présentez cela comme révolutionnaire, avec condescendance, mépris de l’interlocuteur à peine dissimulé, sourd à tout dialogue (vous êtes dans la vérité).
                      Vous parlez a plus soif d’un monde sans compétition, de respect mutuel. Vous ne montrez pas l’exemple.
                      Pa thé tique

                    • « C’est plutôt vous le manque de respect. »
                      🙂 🙂 🙂
                       » Vous étaler vos ‘idées’ qui trainent dans tous les sites melanchonistes  »
                      Jamais allé, jamais rien lu, au mieux vu à la TV.
                       » mépris de l’interlocuteur à peine dissimulé  » lorsque l’interlocuteur soutient des âneries en se croyant détenteur de la vérité et ce de manière plus ou moins agressive, j’avoue ne pas rester fair play…

                      « sourd à tout dialogue (vous êtes dans la vérité) »
                      En effet, il faut s’accrocher pour me convaincre du contraire lorsque je sais ou croit savoir.
                      Ne vous inquiétez pas je sais quand j’ignore et quand je doute.
                      Lisez toutes mes réponse ici et vous verrez d’une part que je sais être humble et d’autre part l’effet dévastateur sur mon humeur des sanguins dans votre genre qui soutiennent des âneries . Mes réponses suivantes, aux autres, en pâtissent.
                      « Vous parlez a plus soif d’un monde sans compétition, de respect mutuel. « Vous ne montrez pas l’exemple. » »
                      Comme quoi tout à une limite, même ma tolérance au manque de respect.
                      Bien a vous.

                • Euh des banques publiques privées … MAZETTE ET BOULE DE GOMME ❗

                  • M’enfin renseignez vous toutes les banques commerciales sont privées, et les banques centrales sont des associations de banques privées.

            • @ bienavous
              D’abord merci à vous d’avoir répondu.
              Oui, la monnaie est en fait un moyen intermédiaire de troc quand le vendeur n’est pas intéressé par ce que peut proposer l’acheteur: la monnaie (l’or, l’argent, le sel ou toute autre forme de « monnaie d’échange » pourra en tenir le rôle)!
              Actuellement, la monnaie n’est plus adossée que sur la confiance qui lui est concédée (par consensus de ceux qui l’utilisent).
              De plus, vu l’évolution, on vit de plus en plus, de la même façon dite « virtuelle » (= sans échange de biens matériels), ce qui n’empêche aucun échange de « valeurs »!
              Le bitcoin est bien fondé sur ce système certifié par la blockchain, sans les pièces ni les billets! Mes relations avec ma banque, à 98%, aussi, sont virtuelles!
              Mais si un pays a une dette, si il ne la rembourse pas, il est quand même tenu d’en payer au moins les intérêts prévus.
              En cela, il serait de très mauvais augure de croire pouvoir y échapper!
              Donc non, un état n’a qu’à respecter ses devoirs de débiteur et l’€ a, de ce côté, bien aidé la France à ne plus dévaluer sa monnaie au gré de ses caprices et de sa balance commerciale (comme je l’ai connu du temps de la monnaie nationale!).
              Il est très clair qu’il vaut mieux, actuellement dans l’€zone, ne pas confier plus de 100 000€ à votre banque qui ne vous garantit pas, au delà de cette limite, de vous les rendre au cas où elle-même serait en difficulté! (Comme vous savez, elle prête 8x la somme que vous lui confiez sans forcément en partager les intérêts! Bonne chance pour en faire autant!)
              Mais je suis d’accord: dans un jeu purement conventionnel, il est possible de modifier les conventions!
              Le consensus et la concurrence sont, dans ce cas, les meilleurs et les seuls moyens de défiance dissuasive (pour les banques commerciales, pas centrales!!!).

              • @mikylux
                « Mais si un pays a une dette, si il ne la rembourse pas, il est quand même tenu d’en payer au moins les intérêts prévus. »
                Au jeu de dupe de la création monétaire, si la croissance devient atone, arrive fatalement le moment où un des joueur ne peut plus rembourser prêt et intérêts.
                C’est mécaniquement impossible.
                Doit-on on continuer un jeu, pure convention humaine, qui nous condamne soit a une croissance infinie dans un monde fini, soit à l’effondrement financier.
                On peut rêver système monétaire plus intelligent évitant ces 2 impasses mais pour cela il faut déjà être clairvoyant sur le constat.
                Je parle surtout pour quelques irréductibles qui n’ont pas encore compris… 🙂
                Bien a vous.

            • C’est bien l’argent qui dicte sa loi

              C’est le mâle alpha. CQFD.

              Si vous êtes contre l’argent, soyez bénévole. Assumez un peu, pas comme vos copains degôche qui crache sur l’argent et qui accepte des héritages ou comme ces gros connards d’écolos qui veulent sauver la planète et qui ne sont pas fichus de passer une nuit à la belle étoile dans la montagne par -10° C. Ayez des c******* au moins une fois dans votre vie.

          • Après, les considérations politiques (et administratives) tentent d’influencer l’économie, avec peu de résultats triomphants.

            Vous faites erreur, magistralement. Le résultat est superbement triomphant lorsqu’on inverse les courbes… L’inversion, n’est-ce pas ce que clament les socialistes ❓ Ils devraient clamer le résultat de leur flamboyante réussite :mrgreen:

            • @ MichelC
              Qu’entendez-vous par les courbes? Celle de Laffer est universelle sur les 5 continents!
              C’est le miracle italien: l’état va mal mais les gens vivent bien! La « combinazione » est passée par là!
              Quant à vos socialistes … bon, bref!

        • Les banques.

          Gross Error : ce sont les états obèses qui détruisent la monnaie.

          • Seules les banques, toutes privées, jusqu’aux banques centrales(associations de banques privées) ont le privilège de créer l’argent, lors de l’émission de prêt et de le détruire lors du remboursement du dit prêt.
            L’état n’a aucun pouvoir en la matière.

            • Si, c’est lui qui pourrit la monnaie, en ne remboursant pas les emprunts qu’il fait, au contraire des privés.

              Franchement, vous êtes en dessous de tout en économie : 0/20.

              • « Franchement, vous êtes en dessous de tout en économie : 0/20. »
                si ça vous arrange de le croire…
                et vous 0/20 en lecture.
                « L’état n’a aucun pouvoir en la matière. » : aucun pouvoir directen matière de création et destruction monétaire.
                Pour la route, que se passe-t-il lorsqu’une société privée fait faillite ?Elle rembourse ?
                Certes le créancier s’assoie sur son argent.
                Encore une fois tout n’est que convention dans ce domaine. Lorsque le créancier est un banque, cela ne lui a rien coûté de créer l’argent.(8% de réserve fractionnaire donc 92% ex nihilo)
                On pourrait imaginer de ne pas rentrer cette perte au bilan comptable de la banque, puisque cet argent n’a rien coûte a être crée.
                En quoi le non remboursement dû a la faillite de la société privée devrait être rentré au bilan comptable de la banque comme une perte ?
                On ne le fait pas car sinon se serait afficher à la face du monde que l’argent est du VENT , une fumisterie, une escroquerie mentale à laquelle tout le monde croit dur comme fer.
                Bien a vous.

        • Oui la dette, l’argent , c’est du vent

          Si vous empruntez du fric à des voyous et que vous ne leur rendez pas, vous verrez si la balle qu’ils vos colleront dans la nuque ressemble à du vent.

          Vous en avez beaucoup d’autres des débilités de ce genre ?

      • un peu pressé, que de fautes…dsl

    • dans la mesure où pour ce monsieur ce sont peut-être juste « les riches » qui paient les taxes ce n’est effectivement pas un problème. Du moins tant qu’il y a des « riches ».
      Et quand ils sont partis… bah, il y aura toujours plus riche que nous, non ?

      • @ Anagrys
        Dans la seule vidéo, Th.Porcher dit vrai. Dans ses livres, il prend sans doute position, politiquement, selon ses convictions. Il sort là de son rôle strict d’économiste pour exprimer sa conviction: libéralement, il a le droit d’expression de ses convictions et ses lecteurs, le droit de douter ou de s’y opposer.

    • Hausses j’imagine uniquement pour les autres que lui, n’est-ce pas ?

      • @ AxS
        Si beaucoup de Français pensent et agissent comme ça, alors ils sont individuellement « ultra-libéraux » (la liberté ou le privilège individuel, SANS aucune responsabilité envers autrui ou « collective »): c’est souvent appelé « égoïsme ».

        • « ultra-libéraux » les français ❓

          Vous comprenez ce que vous écrivez ❓
          Vous avez vu le niveau des taxes et impôts qui ne cessent d’enfler ❓
          Si certains sont comme des rats dans le meule de gruyère, ils ont dépassé la taille de la souris, d’autres bossent comme des esclaves pour créer ces meules.

          • @ MichelC
            Non! En France, pour mourir de faim, il faut le faire exprès sauf accident ou maladie!
            Je ne dis pas du tout que les paysans français ne nourrissent pas les fonctionnaires: c’est évident!
            Mais on peut très bien être socialiste (ou +) dans son discours tout en surveillant ses revenus et son avoir de près!
            En disant « ultra-libéral », je ne dis pas « libéral ». Je ne nie pas la différence (d’ailleurs expliquée).
            Oui, taxes et impôts, je suis au courant!
            L’état trouvera les sources dont son appétit juge avoir besoin, vous, pas forcément!
            Croyez-vous la France bien gérée?
            Moi non plus!

            • Euh, docteur, vous faites comment pour manger sans vos dents ❓
              Vu la qualité de la SS (Wafen) concernant les soins imposés (destruction des dents digne de Birkenau…), comment mangez vous ❓

  • Intéressant. La philosophie sous-jacente semble être « la vérité n’existe pas, tout est une affaire de pouvoir. » Si cela est vrai, c’est toujours curieux de voir un économiste – censé faire progresser les sciences – se transformer en chantre de la révolution relativiste.

  • Il y un autre problème comment éviter le capitalisme de connivence dans une économie libérale ?

  • On peut très bien faire un diagnostic valable et appliquer le mauvais traitement.
    Comme les français qui demandent des réformes et les gouvernements qui claironnent en faire, sans se préoccuper de la justesse et des conséquences de leurs actes.
    Le mot réforme est devenu un tout, qui échappe à toute analyse poussée, indépendant de son contenu.
    Y a qu’à écouter les ‘rampeurs’ :
    – nous faisons les réformes nécessaires !
    Bien incapables d’en décrire les détails…

  • Ce type est professeur associé à la Paris Business School ?
    Je ne sais pas si un de mes enfants voudra faire une école de commerce, mais je lui déconseillerai formellement icelle.

    • Pensez que Nathalie Arthaud enseigne l’économie !

      • Et Arlette Laguiller dans une banque ! Il ne sont pas à une incohérence près , ces cocos ! Complètement schizophrène . Comment peut-on travailler pour des entreprises ou organisme que l’on déteste ? C comme quelqu’un qui serait complètement opposé aux Ogm ou à la peine de mort et qui bosserait chez Monsanto ou serait bourreau de métier . Preuve en est , encore une fois , que la réflexion et la cohérence ne sont pas les points forts de ces collectivistes à la pensée déstructurée . Comme Poutou , anti capitaliste , qui bosse chez PSA donc enrichit de par sa force de travail le CAC 40 . Il aide donc le grand capitalisme et les actionnaires qu’il hait à gagner plus d’argent grâce à son travail Pour vous dire ses convictions , en fait . S’il était cohérent , il devrait démissionner et serait par ex berger dans le Larzac . Par contre il sait bien prendre sa paie que lui donne le grand méchant Capital ! Besancenot aussi , foncièrement contre la propriété privée mais qui possède un joli appt en banlieue parisienne . Ce que je hais chez ces gens là , ce que ne supporte PAS , c’est vraiment leur profonde et viscérale hypocrisie ! Faites ce que je dis , pas ce que je fais .

        • @ Jacques
          Refusez-vous tout remboursement de la sécu et de la complémentaire par conviction? Évidemment non! Vous avez cotisé donc vous avez droit!
          Personne ne peut plus réécrire l’histoire à partir d’une feuille blanche!
          Vaut mieux savoir d’où on part avant toute modification du réel!

          • « Refusez-vous tout remboursement de la sécu et de la complémentaire par conviction? »
            Le sécu on la paie non? pourquoi devrait on en plus payer de notre poche nos soins? C’est pourtant ce que j’ai fait des années durant par conviction jusqu’à ce que je me rende compte qu’en agissant ainsi je contribuait à faire perdurer ce système inique. maintenant je dépense comme un goret et je profite de tout et plus du système, c’est comme ça qu’on le fera exploser.

          • Parce que avec la ponction (pas lombaire, fistale hein), il resterait encore des sous dans le porte-monnaie pour payer un docteur privé ❓
            Sur quelle planète vivez-vous ❓

          • Si vous pouviez refuser par conviction mon sale fric génèré par un vil capitaliste ça m’arrangerait.

  • Economiste et gauche sont antinomique puisque le socialisme est incompatible avec l’économie, comme il l’a plus que démontré dans le monde réel. Il faut donc les qualifier d’utopistes ou d’escrocs! Je préfère le second terme! Et on se demande pourquoi les français sont d’une ignorance crasse en économie avec des zozos pareils.

    • Ils sont utopistes , idéologues , escrocs et constructivistes ( au sens d’Hayek ) . Bref , tout ce que haissent les gens comme nous épris de libertés individuelles et d’autonomie personnelle . 2 notions que les gauchistes détestent . Il n’est d’ailleurs pas faux d’affirmer , qu’en France , pratiquement TOUT les partis politiques sont ( hélas ) constructivistes . Hayek avait bien démontré que le constructivisme est bien à l’origine et ne peut qu’engendrer des dictature comme le collectivisme , le communisme , socialisme et fascisme . Le constructivisme , c’est l’horreur du ‘ Meilleur des mondes d’Huxley  » et 84 Big Brother d’Orwell réunis ! A noter que Rousseau , avec son contrat social ( moi d’abord je n’ai jamais rien signé donc il peut mettre son contrat social là où je pense ) et son intérêt général à la noix a été un des premiers communistes et collectivistes !

  • « Sans doute d’ailleurs est-ce là un malentendu fondamental chez Porcher : confondre libéralisme et capitalisme de connivence. »

    Malheureusement il est loin d être le seul à être dans cette confusion.

  • d’autant plus que les salaires des professeurs de cette école ne connaissent pas le SMIG.

  • Cet article est bien trop long et sans intérêt.
    Pourquoi faire de la pub à cet économiste déjà très connu (bizarre, je n’en avait jamais entendu parler), qui plus est de gauche !
    C’est malsain et ça montre que les vrai sujets , et bien nos économistes s’en balancent !.

    • Mais si vous le connaissez…

    • @ Michal
      Je ne connais pas Th.Porcher et je ne compte pas le lire.
      Par contre ce qu’il dit dans la vidéo (l’extrait?), correspondait bien à ce que je pensais déjà depuis un bon moment, même sur le plan libéral.

      À mon avis il y a plus qu’une différence entre ce qu’il dit dans la vidéo et ce qu’il écrit, paraît-il, dans ses livres!!!

  • L’économie aurait elle changé pour qu’on ait besoin de nouveaux economistes pour la comprendre ? Je crois que François Hollande a aussi enseignê l’économie..apparemment n’importe qui fait l’affaire.

  • Invité par France Télévision, comme dans C à dire, repaire de gauchistes, pour débattre de questions économiques on se doute qui est ce guignol. Souvenez vous d’Elie Cohen et des 40 économistes qui avaient appelé à voter Hollande car son programme était le meilleur. On a vu ça!

  • Le droit à l’alternative ? Mais de quelle alternative s’agit-il au juste ?

    « Le socialisme ne fonctionne qu’au paradis, où l’on peut s’en passer, et en enfer, où on l’a vraiment. »

    https://www.wikiberal.org/wiki/Citations_sur_le_socialisme

  • J avais eu l’ occasion de voir ce monsieur à l’ œuvre dans C dans l’ air, j’ en avais conclu que pour lui le problème était justement qu’ il y avait encore 43 % du PIB qui échappait encore à l’ impôt et que là était la cause de tous nos soucis, c’ est vraiment une idée neuve effectivement….

  • « Je confesse bien aimer cet économiste »

    C’est votre droit de bien aimer un complice des crimes du socialisme, s’ébrouant joyeusement dans le sang de dizaines de millions de victimes, sans oublier les centaines de millions d’humains réduits en esclavage et à la pauvreté absolue. La barbarie socialiste n’est pas et ne sera jamais une option tolérable dans le débat.

    Il n’existe qu’une position acceptable pour l’humaniste qui se respecte, refuser définitivement tout débat avec les socialistes. Relisez Revel d’urgence.

    Enfin, vous pouvez le qualifier comme vous voulez mais certainement pas d’économiste. Relisez Bastiat avec attention, lui qui a fort opportunément découvert la distinction fondamentale séparant à jamais les économistes des socialistes.

  • « Sans doute d’ailleurs est-ce là un malentendu fondamental chez Porcher : confondre libéralisme et capitalisme de connivence. »
    Vous êtes tros gentil avec ces gens. Il n’y a pas de « malentendu » ces cryptocommuniste déteste la liberté et choisissent sciemment de ne voire que ce qui va dans le sens de leur idéologie.

  • Il y a des discours qui sont condensés et résumés dans une phrase dont d’ailleurs ils sont la conclusion autant que l’hypothèse initiale…les dettes ne sont pas un problèmes…pour qui? et comment ça?
    et donc prêter de l’argent n’a aucune conséquence…

    Porcher veut bien dire il est légitime de na pas rembourser une dette ….
    vraiment…??

    il y a un monde entre une réalité qui est que toute dette ne sera pas remboursée et l’affirmation la dette publique n’est pas un problème.

    qui réussira à remprunter l’argent en affirmant que la dette n’est pas un problème en soi? personne.

    si on déclare la dette n’est pas un problème on manque simplement à sa parole.

    et oui on peut manquer à sa parole quand on est un état…

    et non ce n’est pas sans conséquence…on déplace le problème /

    mon poing dans ta gueule n’est pas un problème non plus.

    le fait que je me débrouille pour me rembourser sur la bête car ta parole donnée m’en donne le droit n’est pas un problème..

    le fait que je ne te prêtes pas d’autre argent de sitôt n’est pas un problème.

    pas de parole pas de crédit/… pas de contrat…vraiment?

  • Sans lunette, avec une chemise verte à poches de poitrine, un béret sur la tête, il ressemblerait presqu’au bouChé. S’il est aussi « doué » que ce dernier en économie…

    • mais faut il être doué en économie?
      qui a besoin d’une économiste sinon un politicien pour justifier une politique économique et donc entraver les échanges libres..
      ce type veut juste prendre l’argent des autres.

      • @jacques lemiere
        Bonsoir,
        Les politiciens ont besoin du ministère de l’économie car il permet le fauchage des biens en plus de leurs comptage.
        L’Economie consiste à savoir combien distribuer en ponctionnant le plus possbile.
        Il est clair qu’un beauf de campagard qui saurait tenir son budget n’est pas intéressant pour l’Etat : il le mettrait à la diette, voire au pain sec et à l’eau. Quand on dépense 4 fois ce que l’on gagne on est fou. J’aimerais bien pouvoir claquer 4 fois mon salaire mensuel chaque mois sans avoir à me soucier des dettes, des appels dy banquiers, des mises en demeure, des huissiers, tout en sachant pertinemment que quelqu’un d’autre raquera à ma place.

        « ce type veut juste prendre l’argent des autres. »
        C’est ce pourquoi existe le ministère de l’économie. Il ne pouvait pas s’appeler « ministère des économies, de la gestion équilibrée du budget, tenu par un ministre responsable (des dérivies, des « gains », des pertes, des dettes, de par sa signature, en tant que personne libre et responsable, et grâcement rétribuée pour cette fonction) appeler gardien du Trésor Public devant justifier la dépense et les recettes de chaque euro.

    • il a une bonne tête de vainqueur…….déjà méfiance.^^

  • Dans un état totalement libérale comment compter vous empêcher que des entreprises s’entendent entre elles pour imposer leurs tarifs.

    • @clés
      Bonsoir,
      « Dans un état totalement libéral comment comptez-vous empêcher que des entreprises s’entendent entre elles pour imposer leurs tarifs. »
      Du genre Total, B.P, Shell, Exxon dont les gras patrons se réuniraient dans le salon d’un club privé exclusif, où ils fumeraient de gros cigares hors de prix, décideraient que le prix du sans-plomb au galon 3,785 litres (Empire américain oblige) serait de 20 dollars américains (Empire américain oblige), ou $25, voire $30 ?
      Votre interrogation est bien dans le sens où ces entreprises n’auraient d’autre but que de saigner à blanc les consommateurs/clients/usagers, n’est-ce pas ?
      A 20 dollars américain, le gallon (soit 5,28€ le litre) que croyez-vous qu’il se passerait ? Croyez-vous que ces patrons gagneraient beaucoup ?
      Pensez donc aux coûts sur les transporteurs routiers, les livreurs de toutes sortes, le B.T.P, les artisans qui se déplacent (plombiers, chauffagistes, traiteurs,…), les services de secours (Police, S.A.M.U, S.D.I.S), l’Armée, plus tous les autres « usagers » de la route. Perso, si faire le plein pour aller bosser me coûte plus que mon salaire, je ne vais pas bosser. Déjà que travailler n’est pas rentable, si en plus ça doit mener à la ruine, je passe. Heureusement dans un Etat totalement libéral, je ne suis pas tenu de travailler à perte.

    • En laissant faire la concurrence.

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