Elections aux Pays-Bas : un nouvel avertissement pour l’Europe
Nous ne commentons jamais les résultats d’élections nationales. » La Commission européenne ne dévie jamais de cette ligne communicationnelle. Mais, cette fois, preuve du séisme provoqué par Geert Wilders, Eric Mamer, le porte-parole de l’exécutif, s’autorise une nuance, de poids. « Les Pays-Bas sont un membre fondateur de l’Union européenne, un membre important. Nous continuons de compter sur sa pleine participation à l’Union, évidemment. »
Une allusion à peine voilée à la promesse de campagne du leader extrémiste : un référendum sur la sortie de l’UE (le « Nexit »). Aussi brutale soit-elle, cette menace-là n’est sans doute pas la plus inquiétante, à court terme, pour le projet européen… S’il veut gouverner le Royaume néerlandais, le Parti de la liberté (PVV) devra trouver des alliés, parmi lesquels le VVD de Mark Rutte. Or, les libéraux ne pactiseront vraisemblablement avec le diable qu’en lui arrachant des renoncements majeurs, dont le Nexit.
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NOUS RECOLTERONS CE QUE NOUS n'avons pas voulu VOIR - A FORCE DE METTRE LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS - nous avons formé des patients allergiques - TROP TARD - LE mouvement a commencé car cela fait 40 ans que nous aurions dû établir des " règles strictes "pour toute la population - Redresser la situation est utopique - Nous sommes encore trop naïfs et nous devrions nous réveiller -
NOUS RECOLTERONS CE QUE NOUS n'avons pas voulu VOIR - A FORCE DE METTRE LA POUSSIERE SOUS LE TAPIS - nous avons formé des patients allergiques - TROP TARD - LE mouvement a commencé car cela fait 40 ans que nous aurions dû établir des " règles strictes "pour toute la population - Redresser la situation est utopique - Nous sommes encore trop naïfs et nous devrions nous réveiller -
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Si les masses décident de voter extrêmes gauche ou droite, c'est simplement parce que la politique menée précédemment ne leur laisse entrevoir aucune alternative eu égard à leurs propres difficultés. C'est aussi simple que cela. Au lieu de se tirer dans les pattes pour de basses considérations électoralistes, les partis démocratiques devraient se mettre réellement au service du plus grand nombre. C'est leur seule chance, maintenant, d'éviter un raz de marée extrême lors des élections futures il est encore temps mais il faut s'y mettre de suite.
Bien vu.