Certes, le chômage connaît actuellement quelques petites poussées de fièvre, mais cela ne doit surtout pas entamer la bonne humeur vivifiante dont fait preuve la troupe colorée de clowns à roulettes du gouvernement. Que du contraire même : il y a de moins en moins de gens qui bossent en France, il est donc urgent d’asticoter vigoureusement ceux qui travaillent encore. C’est ce à quoi s’emploie François Rebsamen, avec une certaine gourmandise.
Bien sûr, ce ne sera pas présenté comme ça. Et, en toute honnêteté, on peut raisonnablement imaginer que le ministre du Chômage croyait réellement pousser à la roue de l’emploi en proposant, en avril 2014, de rafraîchir un peu certains aspects du code du travail histoire de faciliter la vie des entreprises, notamment en « [levant] un certain nombre de verrous » constitués par les seuils sociaux.
En substance, l’exécutif s’était alors rendu compte, après des décennies de sourde oreille et d’hésitations, que les seuils sociaux pouvaient provoquer des problèmes. Ces fameux seuils, ce sont les nombres quasi-magiques de salariés à partir desquels une entreprise se doit de mettre en place certaines structures spécifiques, ou répondre à différentes obligations légales, comptables plus ou moins rigolotes. L’étude minutieuse de ces seuils montre qu’on trouve 87 obligations différentes, comme par exemple celle de mettre en place un comité d’entreprise ou d’hygiène et de sécurité, de payer pour la formation professionnelle ou l’apprentissage, de mettre en place un réfectoire s’il est demandé par les salariés, d’effectuer le « versement transport », de veiller à l’égalité homme-femme, de prévoir un lieu d’examen médical (la chambre d’allaitement a heureusement disparu, mais c’est récent), etc. en fonction du nombre de personnes dans l’entreprise. En pratique, si les obligations s’accumulent déjà dès 10 et 20 salariés, la véritable foire aux contraintes s’installe à partir de 50 avec 29 obligations supplémentaires d’un coup.
Bondissant comme des cabris (et sentant sans doute que tout miser sur le retour pétaradant de la croissance ne suffirait pas), Hollande et Rebsamen ont donc décidé que, peut-être, en lissant ces seuils, en remaniant vigoureusement ici ou là le code du travail, on pourrait peut-être refroidir l’enfer administratif des entreprises et, en leur dégageant de bonnes marges de manœuvre, créer de l’emploi, n’est-ce pas, youpi youpi.
Ça, c’était en 2014. Plus d’un an après, les syndicats sont passés par là. La réalité, toujours aussi riante avec les deux François, s’est employée à ramener nos deux baudruches sur terre. Le résultat a donc été dévoilé et vient d’être adopté par les députés. Surprise : c’est une soupe clairette de petits bricolages.
C’est ainsi que le lissage de ces seuils n’a pas été retenu. Patatras, contrairement au patronat, « les responsables des centrales syndicales y étaient hostiles » selon Rebsamen. Pour donner le change, des petites améliorations à la marge sont proposées, comme la possibilité de regrouper toutes les instances représentatives du personnel en une seule dans les entreprises jusqu’à 300 salariés et quelques obligations de consultation en moins du comité d’entreprise. Décidément et encore une fois, le changement, c’est super-mollo.
En compensation de ces avancées microscopiques, l’exécutif a décidé d’embarrasser encore un peu les petites entreprises de moins de 11 personnes en imposant la création d’instances régionales de représentation des salariés, et en rendant obligatoire la parité lors des élections professionnelles.
Parallèlement, et sans aucun doute pour rendre #Epic ce #Fail autrement franchement médiocre, le brave François a travaillé comme un fou sur le compte pénibilité. Si le Compte Personnel de Formation indiquait bien quelque chose, c’était qu’on pouvait s’attendre à une belle gamelle. Pour rappel, après un démarrage en fanfare qui n’avait laissé derrière lui que les cotillons et les serpentins colorés d’une fête bien trop arrosée pour être mémorable, on se rappelle que ce CPF avait réussi à fournir toute 1 formation pour les 23 millions de bénéficiaires potentiels. Pour le Compte Pénibilité, la déroute allait être inévitable, et tout se déroula donc comme prévu.
En janvier dernier, je résumais déjà les efforts herculéens de Manuel Valls pour camoufler l’incommensurable imbroglio de législation incompréhensible qui avaient entouré la création de ce fameux Compte Pénibilité dont le nom semblait prédestiné. Accolés au petit paquet législatif de François, les simplifications de Manuel laissent maintenant dubitatifs les acteurs du dossier (du patronat aux syndicats) qui doivent maintenant « faire avec », avec la bonne humeur qu’on peut supposer.
Tous ces chocs, toutes ces simplifications, décidément, on a toujours autant de mal à s’y faire…
Comme tout ceci ne suffisait pas pour donner encore plus de joie, de bonheur, et de latitude administrative aux entreprises qui ont, si on y réfléchit, vraiment trop de place pour s’égayer, la loi Rebsamen met aussi en place la Prime d’Activité pour les bas salaires. Rassurez-vous : cela aurait pu être un simple bonus, une idée de base comme « Plus De Sous-Sous Dans La Popoche ». Il n’en est rien. Dès le premier janvier 2016, cela va fusionner avec la prime pour l’emploi (PPE) et puis aussi avec le RSA-activité, pour faire bonne mesure. Ce sera très simple, vous verrez. Pas autant (espérons-le) que le Compte Pénibilité, mais probablement un peu simple tout de même, probablement entre le niveau de simplicité musclée et le niveau de simplicité luxuriante auxquels nous ont habitué les membres du gouvernement.
Enfin, et parce qu’il fallait bien ajouter une petite cerise sur le pompon et parce que Rebsamen voulait montrer à tous qu’il n’avait pas chômé et s’était bien retroussé les coudes, le régime spécifique des intermittents du spectacle est maintenant pérennisé en chargeant leurs organisations représentatives de négocier leurs modalités d’indemnisation, afin d’accroître leur « autonomie ». Non, rassurez-vous, cela va bien se passer puisque ce sera encadré par une « trajectoire financière » fixée par l’État, aucun dérapage n’est possible et les finances publiques n’auront pas à en souffrir.
En tout cas, une chose est certaine : la « trajectoire législative » du pays est fermement maintenue. Le capitaine, choisissant avec sagacité le cap du changement micro-ajusté, a donné des ordres jusqu’ici scrupuleusement suivis de ne jamais laisser refroidir la vigoureuse machinerie parlementaire forte de ses 288 chevaux moteurs. Lancée à pleine puissance, elle pond donc sans relâche un nombre impressionnant de textes tous plus alambiqués les uns que les autres qui ensevelissent avec efficacité le désir d’entreprendre et relègue toute simplicité au rang de chimère inatteignable.
Allez, encore un effort, mes braves François ! Le bonheur, c’est certain, n’est plus qu’à une loi ou deux !
Peste! Plus que moins de deux ans pour apprécier quel grand capitaine de pédalo nous gouverne! Le monde entier va nous l’ envier…
Et je n’insiste pas sur l’équipage…
plus que 2ans ? ou encore 7 ?
mais bon il fait beau, je ne voudrais pas être pessimiste.
Oui, il fait beau et j’attends avec impatience cette dit canicule …
La plan Canicule est en fait automatique du 1er juin au 31 août. C’est le pendant de la trêve hivernale …
Le 31 mai et le 1er septembre, il ne peut pas faire chaud.
Le 1er avril et le 31 octobre il ne peut pas faire froid.
L’Etat en France, c’est carré et met au pas ce climat pas bien rangé.
Canicule, quelle canicule? 30°C, peinard, comme un poisson dans l’eau.
30° réel ou ressenti ? 😀
Réel, bien sûr. Je ne suis pas de ceux qui croient tellement au virtuel qu’ils s’imaginent que ça y est, on peut télécharger un cerveau!
Un pédalo où le capitaine se fie à sa bonne étoile plutôt qu’à une boussole, dont le gouvernail est tenu par un bras cassé et ceux qui pédalent ont des jambes de bois.
Sur la dunette, il y a un aveugle.
J’oubliais : récif droit devant…
Votre Grace! Typo peut-être? Soupe au lieu de souple
Et paf, les chocs de simplification sont tellement violents et complexes qu’ils deviennent incompréhensibles. Il est maintenant question de moduler les baisses de charges selon les embauches effectuées par l’entreprise, ce qui améliore considérablement la visibilité de celle-ci.
Le chômage n’a pas fini de grimper, car je pense que Toutmou a de très bonnes chances d’être réélu tant les ego de la droite socialiste sont exacerbés.
Le chômage n’est pas prêt de baisser, avec toutes les mutuelles qui vont faire faillite à partir de janvier prochain pour cause d’obligation de résilier les contrats.
Mais RebSSamen n’a-t-il pas dit un jour que le non travail rendait libre ?
C’est écrit à l’entrée du kandubien
« arbeit macht frei » …
Arbeit mach müde.
Ich bin einverstanden. Ich bin müde.
Ah! voilà. A peine le thermomètre frise-t-il les 30 degrés que ces jeunes sont déjà épuisés.
Alors que la France s’offre plus de jours fériés que n’importe quel autre pays industrialisé et a même inventé les 35 heures de travail hebdomadaire.
Sans commentaire.
Les trains de la SNCF ont du mal à circuler car il fait chaud. 20mn de retard minimum en ce qui me concerne: on est en plein dans Atlas Shrugged.
Sinon, ce n’est pas Max qui est la menace mais Valls (la menace).
Pour le train, le retard est désormais de 40 mn en ce qui me concerne, 1h00 à la destination finale. Motif invoqué: conditions météorologiques exceptionnelles!
CPEF
Tenez bon, Major !
Nous vous soutenons mentalement.
Magnum
De la neige en hiver, des orages en été.
Où va le monde ?
Où
Va
Le
Monde ?
C’est la fin !
Repentez-vous !
Ben voilà H16 a parlé d’orage, il pleut maintenant juste au moment où enfin j’appréciais cette douce chaleur… Je suis mouillée … Flûte !
Mais quel magicien, quel magicien !
Faudrait aussi qu’il envoie un hydravion é la rescousse du major Higgins qui risque d’être emporté par une déferlante en rase campagne, sur la voie du chemin de fer.
S’il vous plaît. Merci.
Vous imaginez si. en plus, il y avait des feuilles mortes sur les voies!!!
« des orages en été »
C’est la faute aux syndicalistes en vacances, même quand un train déraille avec des morts à Brétigny.
J’en ai vu d’autres dans l’Hindou Kouch mais la SNCf mérite une offrande à Civah tant elle sait maltraiter ses pauvres usagers qu’elle méprise royalement.
J’ai travaillé dans une dizaine de pays dont la Suisse et ce n’est pas pire pas mieux qu’en france pour les jours fériés.
La seule différence vient du fait qu’en france il n’y a pas de fêtes locales excepté en Alsace… mais si on prend dans les autres pays les jours fériés + les fêtes locales c’est kif kif à 1 ou 2 près suivant les cantons / lands / états.
Là où certains pays sont intelligents c’est d’avoir des jours fériés glissants et qu’ils les accolent à des week end pour éviter des viaducs (Anzac day et queen birthday par exemple)
Et quand le jour férié tombe un weekend ils le transposent pendant la semaine (Hu hu huu !).
Sinon, l’Alsace n’est pas la seule à avoir un traitement de faveur : la Réunion a au moins un jour férié local (le 20 décembre, fête de l’Abolition de l’esclavage).
La Réunion ? oops… on parlait de la fraônce mademoiselle !
Pi d’abord, abolition de l’esclavage ça se saurait si c’était vrai… à moins qu’ils fêtent le jour de libération fiscale… le 20 décembre !
Genau!!!…
Unglaublisch !
Le non travail rend non libre !
Ces usines à gaz font que les entreprises ont encore plus de mal à faire de prévisions budgétaires, les charges variant au gré d’autres facteurs et les lois changeant en cours d’exercice … Donc même si il semble y avoir des besoins de main d’oeuvre, les entreprises attende l’année suivante pour être certaine de pouvoir se le permettre. Donc le chômage n’est pas près de se résorber même en cas de retour de la croissance …
Il est surtout question de faire des annonces tonitruantes que l’on détricote ensuite en loucedé. Cela permettra ensuite à Peak de la Faribole de prétendre, quant au chômage, qu’il a tout fait pour lutter contre mais que ce sont ces s….ds de patrons konrienfé afin de mieux comploter contre ce chevalier preux de l’ emploi. Et il trouvera des masses de Grançais pour le croire, comme d’hab! Plus c’est gros mieux ça passe disait l’ autre…
Tout à fait. D’ailleurs Flamby ne se prive pas dans ses discours de dire péremptoirement sans sourciller (mais en rotant de temps en temps) qu’il a fait une réforme des retraites, une réforme de l’éducation, une réforme de la fiscalité, une réforme du code du travail, une réforme du mariage, une réforme du système social, etc. Et donc qu’il est un grand réformateur qui doit donc être réélu.
Bien entendu, derrière ces « grandes » réformes se cachent toujours des mesurettes complexes aboutissant toujours au final à des contraintes administratives, une baisse des libertés/hausse du contrôle étatique et des prélèvements supplémentaires souvent bien dissimulés.
Gorbatchev aussi réformait le communisme sans toucher à rien hein. Sans pouvoir et pognon gratuit, un socialiste n’est rien qu’une merde.
« Le changement, c’est tout le temps ! »
Et c’est à dose homéopathique pour les nantis de notre république. Dose de cheval pour les autres.
Il faut que ça tienne 2 ans afin que le « dessert lacté » ou un de sa clique puisse se représenter aux élections en se vantant d’avoir traversé la crise sans avoir égratigné « la paix sociale »… En attendant les travailleurs (comme vous le dites si bien, ceux qui ont encore du taf) écopent pour maintenir le pédalo à flot. Misère !
Misère, misè-re ça sera toujours les mêmes salauds qui nous bouff’ront l’caviar sur l’dos, Misère, misè-re
… tu ne frappes que les pauvres gens
« C’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément »… Que dirait Coluche de tout ce cirque ?…
« Je me marre » ?
🙂
» Je me barre « , probablement.
Et dire qu’il y a une majorité de français pour -parait-il- souhaiter une pâle copie de Hollande dans la personne de Jupé. Avec pareil autre énarque, on peut respirer, tous ces textes liberticides ou entrepreneuricides demeureront.
Décidément, CPEF
Une majorité, je n’en suis pas si sûr.
Aucune campagne n’a commencé donc les sondages ne veulent pas dire grand chose.
Et l’exemple Cameron a encore montré leur super fiabilité.
Maintenant ce qui est sûr, c’est que la doxa bien-pensante essaie de nous le fourguer avec une énergie assez extraordinaire.
« Une majorité, je n’en suis pas si sûr. »
Ils étaient plus de 36 millions sur 45 à voter socialiste et à demander la poursuite du modèle social-pétainiste.
Je connais des gens qui ont toujours voté à droite et qui vont pour la première fois s’encarter à l’UMP pour pouvoir désigner Juppé à la primaire. Tellement ils croient en lui.
Si-si. Des vrais gens. Plusieurs.
Les gens de Droite qui votent Juppé c’est en majorité par rejet de Sarkozy.
Maintenant, il ne reste plus qu’à espérer qu’une de ses (nombreuses) casseroles le rattrape.
Et que quelqu’un ose rappeler que le brave Juppé :
est aussi autoritaire que l’autre
qu’il a été condamné pour prise illégale d’intérêt
qu’il touche une retraite confortable de fonctionnaire.
Et là, amha, les choses changeront.
Quand vous dites « plusieurs »… c’est deux, n’est ce pas ?
😉
On a bien vu Rebsamen sa vanter de faire moins d’emplois aidés que Juppé ! Autrement dit de se dire moins socialiste que lui, on croit rêver …
Ce que les gens ne voient pas, c’est qu’ils sont tous, sans exception, étatistes; quant à se dire socialaud ou autre chose, ils sont bien avant tout sionistes (je dirige, tout est pour ma gueule, et toi tu la ferme, tu trime et tu paye.)
Trop de fonctionnaires, trop de députés, trop d’intermédiaires.
Tous ces gens-là veulent vivre et croître, et comme on est en France, laisser leur marque indélébile dans l’Histoire. Donner leur nom à une loi, passer à la télé, embêter son voisin, qu’importe, mais exister.
Rajouter à cela tous les règlements sadiques et schizos en provenance de Bruxelles et vous avez la tableau d’une réserve d’Indiens de science-fiction ou pire, d’un pavillon concentrationnaire dans un asile d’aliénés.
Si à l’époque des Rois l’on trouvait leur attitude indécente, que dire d’aujourd’hui ?
Imaginons un instant que des jeunes filles doivent vendre leur corps en France pour payer leurs études, se faire violer par des motards de la Police, pendant que nos élus se demandent si en 2017, ils seront ré-élus ou pas.
Si leur plat de midi sera assez bon. Si les services de la République seront à la hauteur de leur haute distinction ?!
Ces gens ne sont pas des psychopathes, des schizophrènes, car en réalité ils savent exactement ce qu’ils font. Il n’y a aucune excuse à leur égard.
Monsieur de Seize, vous n’auriez pas oublié l’incontournable Filoche, dans vos gifs accompagnant cet excellent article.
Ben quoi, la réglementation actuelle ne permet pas à nos chers inspecteurs du travail de garantir à coup sûr rapports salés et amendes en conséquences (à défaut de gardes à vue).
Prémonition ?
Ce matin dans le point, notre Filoche adoré en remet un couche. Les bus, c’est mal ? Et tutti quanti…
http://www.lepoint.fr/politique/congres-du-ps-filoche-la-loi-macron-on-ne-la-votera-pas-une-seconde-fois-06-06-2015-1934089_20.php
Bientôt il n’y a aura plus de chômage. Il devient illégal même !
Ce qui vient est le travail obligatoire pour tous en échange d’un ticket repas.
D’ailleurs voilà ma petite analyse de la situation:
A quel degré de communisme sommes-nous ?
Souvent les libéraux lâches ce mot comme pour se libérer le clavier, mais en réalité il existe des étalons, des signes évidents de présence de communisme en France (qui ne sont pas à l’INSEE). Signes que même le bulot nouveau-né socialo-néo-communiste ne pourra contredire.
Récemment des motards de la Police ont été jugés pour viol. A priori il s’agissait d’une prostituée. En réalité celle-ci n’est c’est pas fait « violée » puisque consentante. Fait plus troublant, il s’agissait en finalement d’une étudiante.
Ce cas illustre parfaitement le degré de communisme de la société :
Une étudiante qui doit vendre son corps pour vivre, des policiers corrompus qui profitent de la situation.
Ensuite il faut analyser les couches sociales professionnelles dites « riches » :
Médecins, avocats, financiers, etc…elles s’appauvrissent, laissant place à une économie parallèle florissante : explosion du travail au noir, développement du trafic de drogue professionnalisé, développement de la mafia déclarée.
Les emprunts Français, le budget qui n’est plus contrôlable, l’augmentation de la présence policière dite de proximité, les contrôles du cash, des virements bancaires à l’étranger, de l’immobilier. La manipulation des médias, la propagande de masse.
Chaque ingrédient y est.
Le fait que les Français ne réagissent pas est très troublant, voire même choquant.
Je vais élargir le débat :
L’humain fait souvent preuve de beaucoup plus d’humanité envers les animaux et la planète qu’envers ceux de sa propre espèce. Se considère-t-il, lui-même comme une espèce nuisible qu’il faut détruire ? Sinon, pourquoi agirait-il ainsi ?
Je vois, ou plutôt, je formulerai les choses différemment.
Sur le plan économique, l’avenir sera libéral ou ne sera pas. Tout le monde le sait ou le sent, point n’est besoin d’être docteur en économie pour en avoir l’intuition.
Le problème, c’est que cela va à l’encontre des habitudes de pensée, de l’idéologie ou de l’intérêt bien compris des castes dominantes.
Celle-ci préfèrent annihiler l’avenir plutôt que d’en préparer un qui les contrarie. C’est pour cela que ça ne bouge pas : les agitateurs potentiels, ceux qui devraient faire bouger les choses, ne veulent pas de la solution et préfèrent que tout s’effondre. Il s’agit juste de profiter de la situation le plus longtemps possible, le joug totalitaire prolongera un peu l’agonie.
En toute logique ils nous conduisent à la mort, ils seront là pour reconstruire….
Trouvez vous que le Français puisse devenir liberal alors qu’il accepte sans broncher son sort ?
Il y a 400 ans environ nous avons déjà refusé le liberalisme et les lumières du progrès.
Depuis 1789 nous déclinons pendant que d’autres réforment.
Si nous tombons cela sera la faute au liberalisme, à la mondialisation débridée, à la pollution, aux méchants capitalistes, à la finance…
Heureusement les socialos-communistes seront là pour se nourrir de la putréfaction humaine et pour y planter des graines ignobles de haine, de cynisme, de rascisme et de décadence humaine.
« Trouvez vous que le Français puisse devenir liberal » : non et c’est le noeud du problème, car la clef de l’avenir est là. Le pire, c’est que tout le monde en a plus ou moins conscience, mais la plupart s’y refuse, d’où cette sorte de résignation que l’on perçoit facilement et qui, à mon avis, est plus lourde de menace que tous les problèmes actuels mis en tas.
Le libéralisme est une forme de décentralisation de la hiérarchie sociale car il cherche à mettre le maximum de décision au niveau individuel qui est le plus bas possible. Les élites ne peuvent donc qu’être viscéralement anti-libérale car le libéralisme sape leur absolutisme. Le système actuel est un moyen de se passer du consentement des individus. ceux-ci doivent obéir face à des décisions qui vont toujours à l’encontre de leurs intérêts réels. On le voit bien quand cela ne pose strictement aucun problème aux parlementaires de voter des hausse de prélèvement tout azimut, ce qui montre qu’ils ne travaillent aucunement dans l’intérêt de ceux qui les élisent.
Je ne crois pas que le terme de communisme soit encore applicable dans ce contexte.
L’enjeu a changé fondamentalement de nature ainsi que la répartition du pouvoir. Il s’agit ici d’une nouvelle classe sociale, d’une « élite » composée de fonctionnaires qui se cooptent entre eux, affiliés qu’ils sont à des « loges », des filières universitaires dont l’ENA, et qui a peu à peu mis en place un système machiavélique visant à transformer la société de fond en comble, Sur les directives bienveillantes de l’UE et soufflées par l’oncle américain.
Il n’est pas anodin de voir pleuvoir toutes ces lois contre nature les unes après les autres. Il s’agit évidemment d’un plan structuré et non de quelque caprice hollandais (lequel s’est déjà fait récupérer par ses maîtres).
Pourtant le communisme c’était bien ça : une classe d’apparatchiks ayant un revenu très élevé, ses propres magasins, ses propres hopitaux, écoles etc…. et les autres.
+1 @go @bonsaï, nous vivons un communisme « light » , on conserve un embryon de privé pour nourrir un public qui grossit comme une truie, on en est pas encore à l’embastillement des récalcitrants ni au maintien forcé des populations productives sur dans le pays mais ça pourrait venir . Je les verrai bien nous pondre une exit taxe . Pour ce qui est de la surveillance , ça progresse en suivant le cap coco, voile bien bordée . Vous oubliez une chose Bonsaï : rien n’est stable en ce bas monde , l’immobilisme n’existe pas , quand on n’avance pas , on coule. Dans notre cas , pour maintenir le canot à flot , la route empruntée est celle qui mène droit au communisme.
Hum… les récalcitrants ont déjà des problèmes :
-garde à vue pour les veilleurs
-gaz lacrymo dans la manif pour tous (alors que les émeutes au troca…)
-et le traitement psychologiquement brutal pour ceux qui souhaitent s’ émanciper de l’étreinte étouffante de l’Etat Maman (voir le cas du président des tondus, la présence de plus en plus régulière d’huissiers dans les réunions d’infos pour quitter la SS, etc…)
– arrestations préventives de bonnets rouges
– licenciement ou convocation au commissariat si vous n’êtes pas Charlie
– contrôles fiscaux pour les résistants un peu remuants
– mise au ban de la société de l' »élite » bobo selon le principe bien connu « tous ceux qui ne pensent pas comme moi = facho »
– sans oublier un lynchage médiatique pour ceux dont l’ombre sortirait du camp du Bien
Liste non exhaustive
CCPPEEFF (bis)
Certaines entreprises s’en sortent encore malgré tous les bâtons jetés sur les roues, malgré tous les clous et obstacles parsemés sur la route .
La solution est de ne pas avoir trop d’employés, il faut rester en dessous du seuil , ne surtout pas embaucher même si on a la capacité et que le besoin se fait sentir car les emmerdes augmenteront fatidiquement .
CCCPEF, tu veux dire
On voit qu’il ne reste aux chefs d’entreprise qu’une solution à tant de contraintes, pour ne pas dire tant de bêtises: la désobéissance civile. La solution, un commissaire du gouvernement derrière chaque chef d’entreprise. A quand la même solution pour chaque Français? Et la même solution: ainsi le problème du chômage dans notre pays sera résolu, chacun employant un double sous la forme d’un commissaire politique.
Ca existe déjà, ça s’appelle un inspecteur du travail.
Si le socialisme ne marche pas, c’est qu’il n’y a pas assez de commissaires… ou trop d’entreprises !
HS mais je signale que l’inénarrable Stéphane Foucard « informe » les lecteurs du journal de référence que la stabilisation des températures observée depuis près de vingt ans est un …. mirage. L’étude présentée sort fort opportunément à quelques mois de la kermesse institutionnelle de la fin de l’année. Curieux, non?
😆 en effet, quelle coïncidence.
J’aime surtout la fin de l’article : « …saluant un « travail solide », qui « confirme surtout ce que nous savions déjà »
On dirait comme un biais….
Sympa l’etude. En gros, les temperatures ne montant plus, on part du principe que les outils de mesure sont obsoletes, on propose une maniere de corriger les mesures dans le sens qui nous convient, et roulez jeunesse.
Exactement comme le centrage partiel des marqueurs pour la fameuse courbe en crosse de hockey : on centre avec des criteres arbitraires pour obtenir le resultat voulu.
Il y a quand meme un commentaire d’un lecteur du monde qui trouve la methode cavaliere: « Si j’ai bien compris les données du GIEC étant considérées comme fausses, il faut les corriger pour démontrer la persistance du réchauffement climatique ! », et les reponses a ce commentaire vont dans le meme sens. Tout n’est pas perdu.
Oui et on voit aussi ceux qui n’ont rien compris et qui parlent de « modèle » au niveau des relevés de température ou du fait que les relevés satellites seraient moins précis que les relevés « au seau ».
C’est d’autant plus amusant que, pour les relevés anciens (+50 ans…) météo France n’hésite pas à « redresser » les données brutes. Cela se fait sur des critères objectifs, comme, heu, ce qui les arrange.
Ce qui serait intéressant c’est de savoir comment sont interprétées les mesures quand les capteurs se retrouvent dans des zones urbanisées alors qu’à l’origine ils étaient en pleine cambrousse. Il y a quelques photos assez marrantes sur le net.
Ce serait aussi intéressant de connaître le poids de chaque capteur dans la moyenne vu que la densité n’est pas la même partout. Il serait logique que la bande d’incertitude soit plus élevée lorsque la densité diminue.
C’est typiquement le cas à Paris, où la station est située parc Montsouris, en bordure du périphérique. Aujourd’hui, c’est au coeur de l’agglomération, mais à sa création au XIXème siècle c’était en lisière de la ville, dans une zone où l’urbanisation était encore discontinue.
Je ne suis pas sur pour autant que météo-france réévalue les mesures d’époque à la hausse, bien au contraire…
Donc, les données sur les 20 dernières années sont pourries mais les précédentes, qui ont servi à établir les modèles, sont toujours valables.
Euh…
Oui c’est ce que je m’etais dit aussi.
« ministre du Chômage »
Merci de ne pas etre tombe dans le piege de la novlangue, j’en ai moi aussi assez d’entendre Ministre de la Defense pour Ministre de la Guerre ou Ministre de l’Economie pour Ministre de la Depense…
Ça a déjà commencé en 1932 quand le ministère de l’éducation nationale a remplacé celui de l’instruction publique, tout un symbole.
Je fais un essai avec Tor/firefox. Il semble bien maintenant !
Par contre il attribue une IP et rend la connexion très lente.
(sauf si l’on passe par son VPN, mais est-ce bien utile ?)
Sympa quand même 🙂
« Ce qui constitue le sérieux danger de cette intervention des foules dans les Gouvernements démocratiques, ce n’est pas seulement les dépenses exagérées qui en sont la suite, mais surtout cette illusion populaire redoutable qu’on peut remédier à tous les maux par des lois. Les parlements sont ainsi condamnés à enfanter un nombre immense de lois et de règlements dont personne ne prévoit les conséquences et qui ne font guère qu’entourer de mille entraves la liberté des citoyens et accroître les maux auxquels ils devraient remédier. » Du bon M. Le Bon, dans sa « Psychologie du Socialisme ».
Admettons que le fatras législatif autour du chom-pardon de l’emploi, résulte d’une demande populaire ; quand on regarde le monstre difforme que les nouvelles réformes simplificatrices ont engendré, qui peut encore dire quelles étaient les intentions initiales ? J’avoue que je m’y perds un peu… Voulait-on protéger les salariés ? favoriser l’embauche ? instaurer des cadres de travail exemplaires dans les entreprises ? S’il est distrayant de voir nos zélites vaillamment brasser de l’air à prix d’or, j’apprécierais au moins de savoir les motifs qui les animent – ou les lobbies qui les aiguillonnent, à la base. Quelqu’un pourrait-il m’expliquer ?
Ce que je trouve le plus affligeant, c’est qu’ils n’en sont plus à chercher des simplifications du système global. Non, ils en sont réduits à chercher des simplifications sur leur propre mesure de l’année précédente. Autrement dit, ils admettent à demi-mot que de toute façon, leurs actions ne font que complexifier toujours plus et qu’ils veulent juste limiter cet effet. C’est la même chose que les dépenses de personnels où le gouvernement se félicite de la baisse de hausse des dépenses ! cela croît toujours mais un peu moins qu’avant : quelle victoire éclatante !
La créature échappe à son créateur, qui mime le contrôle comme il peut. Le fameux « choc de simplification » (très bon titre d’ailleurs, bien vendeur, avec rien derrière) n’est qu’un énième simulacre.
La fière devise socialiste : LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS
Il semble qu’il y a une grande disparité suivant les sources de données.
En 2006 l’INSEE avait fait de beaux graphiques pour les seuils de 10,20 et 50 en tenant compte des données fiscales.
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?reg_id=0&ref_id=iana2&page=graph#graphique1
34000 entreprises de 9 salariés ; 18500 de 10 salariés… divisé par près de 2
7100 entreprises de 19 salariés ; 4200 de 20 salariés… divisé par 1.7
1600 entreprises de 49 salariés ; 600 de 50 salariés…. divisé par 2.7
Sur ce dernier exemple on a même une augmentation du nombre d’entreprises de 46 à 47 à 48 à 49… ce qui rend énorme la marche à 50.
Il y a des études complètes sur ce sujet à l’IFRAP avec des études précises sur l’effet de suppression des seuils.
Euh… y a même pas besoin de faire d’études 😀
Il n’est pas nécessaire de faire des études pour constater les effets mais un technicien des chiffres comme toi ne peut que demander des preuves tangibles et nous faire un rapport sur 15 colonnes au moins
Méchante, méchante,….. méchante ! 😀
Ils sont trop mignons ces deux-là …
Les premiers ravages de la canicule, sans doute.
Vite une taxe
Tu es de retour ?
Je te croyais définitivement rayé de la liste des vivants 😉
C’est Calvin qui a fait un tour de prestidigitation : en lui envoyant des bisoux, il l’a matérialisé subito presto !
Trop fort ! (il faut que je vérifie, un peu plus de 24 heures quand même, l’opération).
La morale de cette histoire, c’est qu’on a toujours intérêt à lire attentivement les oracles du jeune maître Calvin …
Ne dit-on pas que la vérité sort de la bouche des enfants ?
Je ne savais pas que Jack L. avait donné ce petit nom à son zizi.
Waouh ! Monsieur H16 ! Vous avez des infos très croustillantes sur notre ami le Végétal 😆
Le pire dans cette loi n’est jamais mis en avant.
En effet, ils ont décidé, pour faire plaisir aux féministes, d’instaurer « la représentation équilibrée des hommes et des femmes aux élections professionnelles ». Quiconque ici a le malheur de diriger une entreprise d’une certaine taille sait à quel point c’est la galère. Hé bien, allez lire l’article 5 du projet de loi. Morceaux choisis :
« « Art. L. 2314-24-1. – Pour chaque collège électoral, les listes mentionnées à l’article L. 2314-24 qui comportent plusieurs candidats sont composées d’un nombre de femmes et d’hommes correspondant à la part de femmes et d’hommes inscrits sur la liste électorale. Les listes sont composées alternativement d’un candidat de chaque sexe jusqu’à épuisement des candidats d’un des sexes.
« Lorsque l’application du premier alinéa du présent article n’aboutit pas à un nombre entier de candidats à désigner pour chacun des deux sexes, il est procédé à l’arrondi arithmétique suivant :
« 1° Arrondi à l’entier supérieur en cas de décimale supérieure ou égale à 5 ;
« 2° Arrondi à l’entier inférieur en cas de décimale strictement inférieure à 5.
« En cas de nombre impair de sièges à pourvoir et de stricte égalité entre les femmes et les hommes inscrits sur les listes électorales, la liste comprend indifféremment un homme ou une femme supplémentaire.
« Le présent article s’applique à la liste des délégués titulaires et à la liste des délégués suppléants.
« Art. L. 2314-24-2. – Dès qu’un accord ou une décision de l’autorité compétente sur la répartition du personnel est intervenu, l’employeur porte à la connaissance des salariés, par tout moyen permettant de donner date certaine à cette information, la part de femmes et d’hommes composant chaque collège électoral.» »
[…]
« La constatation par le juge, postérieurement à l’élection, du non-respect par une liste de candidats des prescriptions prévues à la première phrase du premier alinéa de l’article L. 2324-22-1 entraîne l’annulation de l’élection du ou des candidats du sexe surreprésenté au regard de la proportion de femmes et d’hommes que devait respecter la liste de candidats.
« La constatation par le juge, postérieurement à l’élection, du non-respect par une liste de candidats des prescriptions prévues à la seconde phrase du premier alinéa du même article L. 2324-22-1 entraîne l’annulation de l’élection du ou des élus dont le positionnement sur la liste de candidats ne respecte ces prescriptions. »
Concrètement, ça veut dire que ça va être le CHAOS.
En effet, les listes de candidats ont devoir être composées alternativement d’un homme et d’une femme. Les résultats doivent respecter les proportions d’électeurs de chaque collège.
Or, imaginons un cas où il y a 80% de femmes et 20% d’hommes. Les listes commencent par un homme, puis une femme, ou l’inverse. Les voix sont réparties entre les différentes listes ; 2 candidats sont élus par listes.
On se retrouve avec 50% d’hommes, 50% de femmes ==> nullité des élections pour les hommes uniquement.
Quelle erreur avez-vous faites? Aucune. Les gens ont voté pour leurs listes. Qui va payer pour réorganiser? L’employeur. Qui va se prendre la tête? L’employeur.
C’est la pire usine à gaz que j’ai jamais vu. Vous allez en entendre parler, croyez-moi.
Si vous avez des amis entrepreneurs, alertez-les sur cette connerie monumentale. Qu’ils se cassent de France, qu’ils fassent pression sur leur fédération patronale, qu’ils gueulent. Les journaux n’ont rien vu, mais à mon avis ça promet de grosses crises de nerfs.
(En passant, on notera que le « burn-out » dont parle la presse n’existe pas dans le projet de loi. Ils parlent de « pathologies psychiques » (article 19 bis). Je ne suis pas psychiatre, mais ça m’a l’air un petit peu plus vaste…).
Je suis un horrible exploiteur turbolibéral capialiste (mais de connivence, hein faut pas déconner!) bouffeur de chaton mignon vu que je suis salarié dans un groupe de grande distribution.
La semaine dernière, je recevais un fournisseur : le patron d’une PME d’une trentaine de personnes. Il pestait comme pas possible avec cette histoire de nouveaux modes de représentativité.
Je comprends mieux son ire maintenant après avoir lu quelques les quelques commentaires explicatifs à ce sujet.
Encore mieux : la DSN, une DADS mensuelle avec tout un tas de nouvelles cases à cocher mais qui n’empêche pas de toujours renseigner ces infos par ailleurs (net entreprises par ex). Non seulement cela représente un temps de travail supplémentaire non négligeables mais en plus un flicage en bon et du forme. une usine à contrôle et à redressement se met en place. L’administration finira par savoir quand vous êtes aux toilettes !
Raisonnement socialiste :
plus le chômage monte vite, plus on se rapproche rapidement du point d’inflexion ou la courbe s’inverse, plus c’est bon signe !
Imparable.
plus tu pédales moins vite, moins t’avances plus rapidement.
Variante suisse : plus t’as de Gruyère moins t’as de gruyère.
C’est dans l’Emmental, les trous. Pas dans le Vrai Gruyère.
C’est dans le faux gruyère (sans majuscule!) fait en france, qu’il y a des trous.
Et puis, c’est pas:
« Plus tu pédales moins fort, moins tu vas plus vite » la citation?
HS mais peut être le début des vrais difficultés pour le budget de l’État :
http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/05/la-volatilite-des-marches-atteint-des-sommets_4648054_3234.html
« Dialoggue social, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces annees sans service.
Dialogue social, bientot les annees de sevices,
Vois-tu temps perdu qu’on ne rattrape plus ? »
Barbara, c’est toi ?
@royaumont j ai un grand respect pour Barbara mais je suis absolument rock …
@ Val ; « In Trust we trust »
@pheldge 🙂 🙂 je comptais sur toi et tu n as pas failli 🙂 !
L’effet de seuil 19-20 n’est pas négligeable non plus : plus de 15k€ de charges supplémentaires, pour une activité en forte concurrence, j’en connais au moins un qu’on ne reprendra plus à embaucher plus de 18.5 salariés.
Ce ne sont pas 288 chevaux moteur mais 288 ânes bâtés.
Avez-vous aussi entendu parler du fait qu’il y aurait un audit du CICE, pour connaître le résultat des 40 Milliards dépensés en regard du nombre d’emplois créés et si le ratio n’est pas bon, le CICE sera supprimé ?
Heureusement, l’argent va aux petites entreprises : Casino, Carrefour, L’Oreal, Auchan, etc. C’est tout notre tissu économique qui se trouve ainsi revigoré !
HS, mais si ces fous réussissent, il s’agira probablement du plus gros vol de l’histoire depuis les événements de 1917 en Russie :
http://leblogalupus.com/2015/06/04/les-banquiers-planifient-en-secret-une-reunion-a-londres-sur-la-fin-du-cash-pourquoi-largent-liquide-pourrait-etre-aboli/
Merci pour le lien !
MDR… Chut c’est secret…
Ça puait à plein nez depuis une paire de mois, mais là il semble qu’ils veuillent mettre le turbo.
Avec, en toile de fond, la sempiternelle question: que vont réellement faire les gens si un tel cas se présente ?
@jiff comme ds les pays cocos : le bon vieux troc qui tâche. … back in ussr
Y’a le chômage qui croît et y’a les p’tits cadeaux : http://www.eric-verhaeghe.fr/republique-des-petits-marquis-deux-nouveaux-sauvetages/
plus il y aurait de chômage, plus le PS recruterait ?