Effondrement des cours !
Brève rapide sur une terrible nouvelle tombée cet après-midi sur les téléscripteurs de l’agence Demaerd Financials : l’indice de la construction est en chute libre, et notamment celui des réacteurs nucléaires…
Brève rapide sur une terrible nouvelle tombée cet après-midi sur les téléscripteurs de l’agence Demaerd Financials : l’indice de la construction est en chute libre, et notamment celui des réacteurs nucléaires…
Cela ne peut plus durer : non seulement il a été élu avec une confortable avance, non seulement il détériore la concurrence à coup d’encommissionage honteux de vieux caciques socialistes, mais en plus, il parle trop ! Pas de doute, Sarkozy est devenu omniprésent dans les média ! A tel point que le pauvre Didier Mathus, député socialiste de Saône-et-Loire, n’en peut plus d’entendre les interventions incessantes du président…
Le temps s’ensoleille et le farniente gagne petit à petit toutes les strates de la population française, tant celles du haut que celles du bas. Toute la population ? Non, une petite frange, la politicienne, continue à s’agiter dans les affres des chaleurs estivales, ne ralentissant son rythme que pour s’adapter aux calmes exigences d’une saison normalement vouée au repos. Ainsi, alors que la Royal Air Force faisait dans le carton, le Sarkoshow continue benoitement dans la fanfreluche institutionnelle…
Depuis l’avènement des Lumières au 18ème siècle, et – 14 juillet oblige – depuis la Révolution, les « élites » françaises se croient souvent en avance sur le reste du monde alors que depuis un petit moment, ils ressassent des idées relativement usées qui n’ont pas vraiment fait leurs preuves ou qui sont déjà monnaie courante partout ailleurs. Ceci pourrait être un constat amer, mais pour le coup, il est plutôt rassurant. Pour une fois, la France est en retard sur les idioties protectivistes que certains pays mettent en place avec gourmandise…
Parfois, la gravité l’emporte sur l’humour. « On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde » avait dit en son temps Desproges. Et bien que ce blog soit pourtant dédié à la poilade occasionnelle et au petit rire narquois de derrière les fagots, ce billet sera l’occasion d’explorer les méandres tortueux de la commisération, de la tristesse compassée et des petits sanglots soubresautants snif snif. En effet, c’est avec une douleur à peine soutenable que j’ai appris de source sûre que le président français, Nicolas Sarkozy, est atteint d’une terrible maladie.
Cela fera bientôt deux années complètes que je tiens ce blog et il est parfois bon de faire un petit bilan de ces vingt-quatre mois passés à dégoiser sur la toile…
Nous sommes en juillet, et si le temps n’était pas aussi peu ensoleillé qu’actuellement en France, on pourrait laisser vagabonder son esprit et s’imaginer rôtissant mollement sur une plage en lisant le journal, par exemple, pour tomber sur une de ces petites perles d’absurdités où le bête se mêle au délétère dans une farandole sucrée de moraline. On n’y prendrait pas forcément plaisir, mais cela permettrait de conserver un oeil exercé à repérer les sophismes, les failles ou les paradoxes qui se glissent subrepticement dans notre société, tout en bronzant sur du sable chaud.
S’il y a bien une doctrine simple, courte et parfaitement représentative de la psyché collectiviste, c’est bien celle qui peut se résumer dans la sentence : « L’Argent, C’est Maâal ». Tout, dans l’inconscient collectiviste, est basé sur une répulsion affichée face à la monnaie, l’argent, le capital, la richesse. Ainsi, disposer d’une somme importante, brasser de l’argent, essayer d’en gagner deviennent des vices coupables et honteux. Comme le chien apeuré dont tous les sphincters se referment devant la menace ou le danger, le collectiviste ne peut s’empêcher de compulsifs réflexes glutéaux à l’évocation sulfureuse de l’argent.