Une bonne décharge de Grenelle
Le gros ennui des fausses bonnes idées, c’est qu’une fois implantées, elles sont là pour durer. Collectiviser la santé ou la retraite, par exemple, est une fausse bonne idée d’il y a soixante ans et qui, comme Duracell, dure, dure, dure et coûte, coûte, coûte. Elle oblige ainsi tout le monde à travailler plus pour dépenser trop. L’autre souci des fausses bonnes idées, c’est qu’on finit par se rendre compte qu’elles n’étaient pas bonnes. Et quand on a usé de celles-ci pour sucer des fonds, il faut vite trouver un remplacement.