Les mauvais comptes font les bons états
Comme je l’avais remarqué dans ce petit billet précédent, l’état est pétri de paradoxes. Le dernier en date, c’est celui qui consiste pour lui à mettre en place des institutions pour donner le change, et, au final, d’avoir à subir les désagréments provoqués par ces mêmes institutions qui, contre toute attente, finissent par faire leur travail.