Un nouveau moteur…
Si vous arrivez à lire ceci sur mon blog, c’est que tout s’est bien passé.
Si vous arrivez à lire ceci sur mon blog, c’est que tout s’est bien passé.
Tiens, Autheuil parle de courage politique… Dans ce pays, voilà qui fait doucement rire. Même si l’on peut bien trouver quelques parlementaires un peu plus à jour sur la question, comme le sénateur Alain Lambert, qui voudrait mettre des questions qui fâchent à l’ordre du jour, on ne peut que constater l’absolue pleutrerie de ceux qui nous gouvernent : lorsqu’il s’agit de prendre le taureau par les cornes … pfuit, plus personne.
En musardant sur la toile, on tombe des fois sur des choses amusantes.
Lire la suite “Les performances d’Odette, de Louis et de Kevin”
Je l’ai déjà dit à de multiples reprises sur ce blog : la différence entre la droite et la gauche, tout particulièrement en France, se réduit de jour en jour. Ainsi, alors que l’UMP devient une véritable auberge espagnole où l’on trouve de tout et où ses « mouvements » ratissent de plus en plus large, le PS, par un jeu subtil et pas du tout prévisible d’alliances et de petites contorsions intestinales, se lance à l’assaut d’un centre trop content de lui tomber dans les bras…
Lire la suite “Les yeux vers l’avenir et les pieds dans le tapis”
J’avais déjà évoqué, lors d’un précédent billet, toute la puissance d’action du fluffy, c’est-à-dire le gentil écologiste extrémiste, cette personne cohérente qui souhaite de façon relax la mort de son prochain pour assurer, par exemple, une descendance nombreuse aux otaries, baleines et autres crustacés au détriment de sa voisine de palier dont il sait pertinemment qu’elle ne trie pas ses déchets, cette vieille radasse. Il m’arrive aussi de souligner l’incurie de l’état dans la gestion des affaires courantes, et sa propension assez incroyable à foirer lamentablement une planification, quinquennale ou pas. Aujourd’hui, nous allons pouvoir étudier les conséquences sur le long terme d’un esprit fluffy couplé à toute la puissance de l’inattention laxiste des états.
Cela faisait longtemps que, du haut de son sérail, la Présidence n’avait plus entretenu le bon peuple sur ce qu’il faut penser en matière de technologies de communication. Cette attente a pris fin vendredi dernier, grâce à la plume brillante et lumineuse du Conseiller en Communication de Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, qui nous fait l’honneur de sa fulgurante pensée dans un article d’opinion du Monde. Vite vite, une petite bière, quelques chips, et lisons ceci avec attention : ce n’est pas tous les jours que la Présidence nous parle de l’Interweb.
C’est dimanche, il fait beau et l’actualité politique est assez calme. Fillon fait un petit tour en Bretagne, Sarkozy se livre des pizzas en frétillant d’impatience pour demain, lundi, où il ouvrira à nouveau les vannes à amphétamines, et les socialistes continuent à se bouder les uns les autres dans la plus grande amitié. C’est donc relativement décontracté que je peux me consacrer à la cuisson du poulet dominical et à la réponse d’une question essentielle, qui bruisse actuellement sur la blogosphère et qui me fut relayée par b.mode de Ruminances : Peut-on vivre à plein temps avec une moitié de droite (si l’on est à soi-même à gauche), ou à gauche (si l’on est soi-même à droite) ?
A peine mon précédent billet sur les pignouferies du Monde se refroidit-il lentement qu’une autre pignouferie fait jour. Et celle-ci, bien malheureusement, est d’une toute autre ampleur puisqu’elle ne concerne pas qu’un seul organe, mais bien toute la presse en générale, consternante de vacuité.
La politique, ce n’est pas toujours joli joli. Vu de loin, on peut toujours prétendre qu’elle est une façon de gérer les affaires d’une société. Vu de près, cela ressemble beaucoup plus à une bataille de chiffonniers pour conserver sa parcelle de pouvoir, son paquet de strass et de paillettes…
Pour ce nouvel article dans la catégories des pignouferies de la presse, découvrons à présent une pignouferie … du Monde. Attention, ce n’est pas forcément facile de taper sur Le Monde : moins de fautes d’orthographe que Libé, plus mollement consensuel, moins définitivement marqué à gauche que Libé sans toutefois l’obséquiosité droitière du Figaro, quelques belles plumes, ce journal a su conserver une certaine tenue au fil des années, même si le niveau général s’est amoindri à mesure que les journalistes du quotidien étaient renouvelés par les bataillons de pigistes lourdement ednatisés. Mais, parfois, la moiteur d’un mois d’août aidant, la rédaction se relâche. Et c’est le drame.
Lire la suite “Patatras : Quand le Monde chute sur la monnaie privée”