Et encore un dimanche avec un billet tout gentil tout sympa. Je vais vous parler de… Ah et puis zut. Certes, c’est dimanche, normalement, je suis gentil, mais là, non : j’ai envie de vous secouer un peu. C’est la fin du printemps, à la fin. Du nerf ! Du peps ! Aujourd’hui, on va prendre un sujet explosif, méchant, mortel : on va parler de Pousses De Soja. Paf !
Mais attention !
Pas de n’importe quelles pousses de soja.
On va les prendre estampillés bio.
On aurait pu prendre des concombres, bio aussi. Apparemment, quand c’est bio, c’est plus efficace, puisque nos concombres pousses de soja labellisées ont réussi le pari de faire claboter une trentaine de personnes dans des souffrances abominables.
On ne croirait pas, quand on voit ces petites pousses toutes mimis, qu’un tel déchaînement de violence et de haine soit possible de leur part, et pourtant, certaines d’entre elles peuvent vous filer une tourista qui vous retourne les boyaux de l’intérieur et vous les extirpe sans anesthésie !
Il est tout de même ironique, quelque part, et toute bonne foi mise de côté, de constater que ce sont des légumes bio qui auront déclenché une panique assez monumentale en Europe. D’ailleurs, il n’y a guère besoin d’insister sur la nature éco-responsable et fluffy-compatible des végétaux-ninja : on pouvait s’attendre, un jour ou l’autre, qu’à force de consommer bien plus de cinq fruits et cinq légumes par jour, certains allaient choper une maladie bien carabinée !
Bien fait.
Tout ce vert, toutes ces vitamines agressivement frémissantes de vie qui gigote et sent le tonus léger d’un repas stato-compatible devait bien finir, lui aussi et comme tout progrès, par se retourner contre ses laudateurs.
Le mangibougisme atteint ici ses limites puisqu’on le constate, ce sont des bouffeurs de légumes qui ont claqué, de tristes grignoteurs de racines et autres graines molles et vertes, des gens qui, en somme, font attention à leur ligne, qui éprouvent un malin plaisir à mâchouiller sous leurs dents — forcément refaites, lavées trois fois par jour comme le recommande la faculté et les publicités Pepsodent — des petits morceaux de feuillage et d’herbe ! Et notez aussi que non, ce ne sont pas des alcooliques, des fumeurs, des conducteurs du dimanche ou des énergumènes ridicules en moule-bite jaune sur des vélos de compèt, un téléphone de combat vissé sur l’oreille, qui sont morts.
Ici, j’introduis un aparté : je parle de ces cyclistes ridicules car j’ai souvent noté que les candidats au suicide à vélo avaient cette habitude d’enfiler des shorts très moulants, hideusement jaune fluo, et profitaient de leur pédalage en dilettante pour dégoiser de consternantes banalités dans leur téléphone, ne faisant donc absolument pas attention à leur environnement, constitué fort souvent de voitures qui déboîtent sans tenir compte des frêles imbéciles à pédales.
De ce point de vue, les écolos ont raison : il faut toujours faire attention à l’environnement, surtout parce qu’on ne sait jamais d’où il attaque !
Et en parlant d’environnement, on ne peut que faire le rapprochement de cette terrible affaire qui aura décanillé plus de trente personnes et les récentes catastrophes environnementales de Fukushima et de Deep Water Horizon.
Rapprochement qui permet de noter, calmement, que Fukushima a tout de même fait zéro mort, et que l’explosion de la plateforme off-shore a, quant à elle, fait 11 morts. Soit un total de 11 morts en tout pour deux catastrophes comptant parmi les pires que l’humanité ait eues à connaître, au moins sur le plan médiatique, compte tenu du déchaînement de stupidités affolantes que les journalistes nous auront pondues à ces sujets.
Le bilan humain est parfaitement clair : les pousses soja bio représentent plus de deux fois un Fukushima et un Deep Water Horizon.
Dès lors, il est plus que temps de se demander : combien de morts supplémentaires faudra-t-il pour enfin se poser la question de savoir si on doit ou non laisser les écolos continuer à produire leurs semences de mort ?
J’irai plus loin.
Compte-tenu là encore de la tendance particulièrement lourde de ces mêmes écolos à vouloir absolument ramener l’humanité à une humilité millimétrée ainsi qu’à un nombre d’individus plus facilement … manipulable, disons, je vais me glisser dans la peau d’un socialiste au matin du 14 mai 2011 et répondre à la question « À Qui Profite Le Crime ? » de la même façon qu’eux :
Il s’agit d’un complot !
Oui ! C’est évident !
Notez qu'au pied de la pyramide qu'on peut voir dans le billet de 1 dollar, on trouve des pousses. De soja, bien sûr. L'étau se resserre. La machination est évidente !
Ces pousses infectées étaient en réalité le fer de lance d’une nouvelle opération écolo visant à réduire une bonne fois pour toute la population de la planète à un nombre raisonnable, permettant à la planète de survivre et à l’humanité d’entrer enfin en résonance avec Gaïa !
Tout s’explique !
…
Un point tout de même reste à éclaircir. Pourquoi l’opération secrète s’est-elle déclenchée près d’Hambourg et non dans la banlieue de Fukushima où son retentissement aurait été plus fort ?
Je vous laisse. J’ai des frites à préparer.
Incidemment, le soja est une cause majeure d’impuissance masculine (c’est chargé d’estrogènes, en plus d’un tas d’autres trucs toxiques). Le problème d’infestation de fluffies verts devrait donc se résoudre de lui-même en quelques générations.
@Jesrad:
Rappelons que « les pousses de soja » n’ont RIEN à voir avec le SOJA et ne SONT PAS du soja. Il s’agit de haricot Mungo.
De plus comment qualifier ces pousses de « bio ». Leur production est simple: humidifiez les et laissez germer 5 jours avant récolte: aucun engrais ou autre molécule n’intervient.
Cher Hashtable, pour une fois je ne vous suis pas lorsque vous comparez le nombres de victimes de Fukushima (et de la plat forme pétrolière dans le golf du Mexique) et cet histoire de pousses de soja bio serial killer.
En effet, d’un coté on a des fuites radio actives, qui et d’un, ne sont pas stoppées, ne seront peut être jamais stoppées, et donc qui peuvent rendre potentiellement le Japon tous simplement inhabitable (voir la zone d’exclusion de tchernobyl, si elle était strictement appliquée au Japon, ce qui resterait d’habitable… C’est édifiant).
Je ne parle même pas des effets à long termes des radiations, non seulement pour les Japonais, mais pour tout le reste des habitants de cette petite planète.
Alors comparer cet accident nucléaire avec une épidémie, un truc biologique, maîtrisable avec nos connaissances actuelles… Là, à mon sens, ça n’est pas possible de comparer ces deux catastrophes.
L’une sera oubliée, réglée, dans quelques jours/semaines.
L’autre, on ne sait pas, peut être jamais. Allez savoir…
Et ce que je viens d’écrire sur le nucléaire s’applique aussi sur la catastrophe pétrolière.
Tout comme vous, je trouve que nos amis vert dehors et rouge dedans sont une plaie, mais vous n’arriverez pas à convaincre de leur nuisance en utilisant ce genre de comparaison.
Heu. Ce qui est étonnant est que vous prenez ce billet au premier degré.
Désolé, mais pour la partie comparaison, j’ai beau la retourner dans tous les sens, je ne vois pas d’indices pour un deuxième degrés ou plus…
D’un autre coté, j’ai peut être manqué un truc. Dans ce cas, je vous en prie, faites mon éducation!
Ah oui ok, c’est bon. Je viens de saisir… Pfffff.
J’espère que vous en aurez pas trop des comme moi qui prendront au pied de la lettre ce genre de texte ^^
Pour Tchernobyl, lire ici : http://bit.ly/ftqVRd (Baby-boom à Tchernobyl)
Je ne sais pas pour Hash, mais moi, quand il s’agit d’écologie militante et casse couilles, je revendique mon droit inaliénanble à la mauvaise fois. Ils la tartinent bien dans tous les médias. Les comparaisons à la con est les probabilités à plus de 100%, ils nous en gavent partout. Alors fuck, et moi aussi je veux jouer.
s/inaliénanble/inaliénable/
fichu clavier
Gaïa teste ses plus dévoués serviteurs. L’heure est venue du Jugement Dernier. Seuls ceux qui oseront tout de même manger des graines naturellement contaminées et périr par Gaïa et pour Gaïa seront sauvés de l’enfer de béton et d’acier, et rejoidront pour l’éternité le Paradis Terrestre, où soixante-douze concombres les attendent.
Soixante-douze concombres vierges, c’est à dire inutilisés, mes petits choux.
Les clients des fascistes verts qui clamsent avant les élections, ça va pas être bon pour leur karma. Faut s’attendre à un nouveau déluge de conneries insondables dans les semaines à venir.
Une coquille : estampilléEs.
Et les frites, TOUJOURS avec de la mayonnaise. 😀
Bien grasse et pas bio, la mayonnaise.
Bonjour et bravo de ne pas avoir laissé passer cette bonne rigolade : c’est le bio qui nous extermine, quelle ironie!
Incidemment, quand on en parle dans les diners en ville, on découvre toute la dimension religieuse des écolos et autres amateurs de bio : ils réagissent comme si on avait commis un blasphème, et pestent contre ces journalistes qui ont osé dire que c’était une ferme bio.
Pour eux, le bio est forcément bon, et surtout : meilleur, cet épisode de contamination est donc du négationisme pur : la réalité ose aller à l’encontre de leur croyance.. quel choc!
Cordialement!
Lors de ces diners ils faut leur soutenir que José Bové n’est en réalité qu’un agent de la CIA.
Sa mission : plomber définitivement le developpement industriel des OGM en France et en Europe.
Ce pourquoi, nos ingénieurs agronomes de l’INRA ont depuis longtemps arrêté de travailler et suivent le sacro saint « principe de précaution ». Comme le diner est bien souvent gâché et qu’ils risquent de vous dénoncer pour ne pas trier vos déchets, soutenez leur aussi que Mulder est le fils de l’homme à la cigarette…
Détail piquant: le copain pastèque (Méluchophile et vert à n’en plus pouvoir) me disait récemment qu’il fallait revoir toute cette agriculture … il parlait de l’autre, la pas-bio, celle qui tue n’est-ce pas mon bon monsieur.
Je crois me souvenir que le fond de son argumentation était « le bio, ce n’est pas le problème » … les parents et amis des décédés doivent effectivement avoir conclu eux aussi que ce n’est pas le problème!
La démonstration par l’exemple. Ici, on se fout gentiment de la gueule du bio, mais personne n’exige d’interdiction, ni de réforme, ni même d’assurance qualité sur le bio. Eux veulent « revoir toute cette agriculture » (pincement de nez).
Toujours la même logique liberticide.
Pourquoi tant de haine – il faut rester les pieds sur terre – et ne pas tout jeter après un accident – il est certain que l’origine de la contamination appelle à relativiser les qualités et le bienfait du bio – appelle aussi à l’humilité et reconnaître que rien dans les productions humaines n’est absent de danger. Je vous trouve tous un peu disons excessifs – même si j’ai bien rigolé à vous lire. Bien conscient qu’il y ait des extrémistes dans tous les coins gardez vous de l’être dans le vôtre; après l’anti-américanisme primaire qui n’a plus droit de cité – reconvertissez-vous donc en anti-écologiste primaire – il en restera toujours quelque chose … le primaire 😉 Bizzz à vous tous.
Pas tout jeter après un accident ? Ca vaut pour Fukushima aussi, alors ?
Forcément – aussi pour ça – même si c’est pas le premier et même si c’est en siècles que se comptent les nuisances 😉 – sinon il faudrait arrêter les voitures – l’électricité – les médicaments – bref un petit suicide collectif pour éviter d’être victime d’une horreur quelconque mais toujours inéluctable …
« après l’anti-américanisme primaire qui n’a plus droit de cité »
c’est une blague? l’antiamericanisme primaire ne s’est jamais aussi bien porte; de plus, il est bien plus souvent le fait des memes gens que ceux qui fluffysent, et ceux qui socialisent dans le partage.
Perso, pour les frites, je recommande un mélange crème fraiche, ail et persil. Une pure merveille.
Et en plus, ça soigne le développement du râble.
Pour accompagner les frites rien ne vaut la béarnaise.
Et bien sur un bébé cuit à la broche.
Communiste, le bébé. Communiste. On est pas des bêtes.
En carpaccio alors, bien rouge. Ssssluuurppp !
Les bactéries c’est comme le mercure, la nicotine, le monoxyde de carbone ou les séismes : c’est NA-TU-REL.
Alors c’est quoi le problème ?
le pétrole aussi est 100% bio et d’origine naturelle
Vous avez une preuve que c’est un légume bio qui a fait le coup ? Je vous trouve léger sur ce coup-là… Même si c’est pour dézinguer de l’écolo bobo, ce qui est toujours bon à prendre.
Jetez plutôt un coup d’oeil à cette version « en coulisse » de notre Grand Maître libertarien à tous, le plus courageux et le plus cohérent que je connaisse, j’ai nommé Alex Jones :
http://www.dailymotion.com/video/xj7gnr_1-2-mike-adams-la-bacterie-tueuse-s-t_news
De la logorrhée bout d’ficelle-selle de cheval…Pas pu regarder plus d’une minute.
Et la culpabilité d’une ferme bio produisant des graines germées a été prouvée.Sa production a été arrêtée.
On attend la grande campagne de presse;faut-il sortir du bio?,si les journalistes sont honnêtes et logiques.
– Gnaaaaaaaa! C est les salauds de concombres espagnols. Enfoiré d’espingouins…
(bave aux lèvres, regard fou)
– GNNNNNAAAAA !!! c’est ce petit pourri de restaurateur…. Butez leeeeeee.
– Baaaanzaaaiiii c’est les tomates…..
– Geronimoooo c’est les graines germés de ces dégénérés de bouffeurs de salade écolo meuglant….
– Heuu Maurice, dis la communauté international, tu vas te calmer deux seconde, t évacue coke… Tu fais peur aux enfants…Laaaa voila ! Caaalme. Bon t es sur la ?
– heuuuu….vui…………………….
nul
Je ne comprends pas ta détermination à défendre le nucléaire à tout prix, quitte a nier les conséquences d’un accident de cette ampleur. Il faudra un jour que tu te rende compte que c’est l’Etat et lui seul qui a décidé, par la force, et par la pire des propagande d’imposer cette industrie en France. Pour un libéral comme toi, ça m’étonne que tu approuves.
Et un jour, j’aimerai que quelqu’un un tant soit peu crédible, aligne les vrais chiffres ( Actif / Passif sur … disons 300 ans) que coutera cette energie si peu chère. Mais c’est pas grave. De toute façon, c’est l’Etat qui finira, comme toujours, par les sauver de la faillite et payer les dettes.
Ceci dit, cet article d’une mauvaise foi crasse m’a bien fait rigoler !
Sans parler de ce que nous coûtent déjà (et pas qu’un peu), les énergies dites « renouvelables » assistées par centrales à charbon et au fuel.
La vision qu’on a du nucléaire serait à hurler de rire si ce n’était pas tragique. Fukushima zéro mort… le charbon combien ?
Avec la perte de toute faculté de raisonnement, on va jusqu’à S’INTERDIRE de connaître les réserves de gaz dans notre sous-sol profond.
Ce pays est foutu car ses élites ont perdu tout sens commun… ou travaillent à sa perte (voir le GISTI).
Le charbon, c’est 6000 morts en Chine seulement pour l’exploitation, et plusieurs centaines de milliers par silicose. Par an.
On en a déjà discuté ici et ailleurs ; le nucléaire n’est pas la panacée, loin s’en faut. Mais des solutions nucléaires & libérales existent, sont sûres et peu coûteuses.
Et la question ne se pose malheureusement pas en ces termes : oui, certes, le passif du nucléaire est problématique, mais quelle solution avons-nous actuellement en remplacement crédible ? Le pétrole, le charbon ? Même le gaz de schiste est considéré comme « pas bien ».
La mort est naturelle et, à ce qu’on sait, à part pour un individu louche (un Palestinien, pensez donc) nommé Jesus, durable. C’est l’idéal écolo.
Un exemple parmi tant d’autres de mort naturelle et durable : l’ergot de seigle. Voyons Wikipedia :
L’ergot de seigle (Claviceps purpurea Tul.) est un champignon du groupe des ascomycètes, parasite du seigle (et d’autres céréales). Il contient des alcaloïdes responsables de l’ergotisme.
L’ergotisme est le résultat d’un empoisonnement à long terme habituellement suite à l’ingestion d’alcaloïdes produits par l’ergot du seigle (Claviceps purpurea), un champignon qui infecte le seigle et d’autres céréales. Plus récemment, il a pu être lié à l’administration de certains médicaments dérivés de l’ergoline.
L’ergotisme est également connu sous le nom de mal des ardents et feu de Saint-Antoine. L’intoxication par l’ergot est l’une des explications médicales et psychologiques de la sorcellerie ou de la possession démoniaque.
Une mycotoxine peut-être produite par l’ascomycète Claviceps purpurea, pourrait aussi avoir été responsable en 994 d’une épidémie induite par la consommation de pain ayant tué environ 40 000 personnes [10 fois Tchernobyl]. Selon Mary Matossian, l’ergot de seigle aurait fait partie des causes de la Grande Peur de 1789.
Pendant l’été 1951, une série d’intoxications alimentaires frappe la France, dont la plus sérieuse à partir du 17 août à Pont-Saint-Esprit, où elle fait sept morts, 50 internés dans des hôpitaux psychiatriques et 250 personnes affligées de symptômes plus ou moins graves ou durables. Le corps médical pense alors que le pain maudit aurait pu contenir de l’ergot de seigle, mais sans en avoir la preuve. Le pain acheté dans la boulangerie Briand provoque vomissements, maux de têtes, douleurs gastriques, musculaires, et accès de folie (convulsions démoniaques, hallucinations et tentatives de suicide), troubles pouvant évoquer l’ergotisme. La ville est prise de panique ; un journal, cité par l’historien Steven Kaplan, observe :
Alors, faute du nom du mal, on veut connaître celui de l’homme responsable. Les versions les plus abracadabrantes circulent. On accuse le boulanger (ancien candidat RPF, protégé d’un conseiller général gaulliste), son mitron, puis l’eau des fontaines, puis les modernes machines à battre, les puissances étrangères, la guerre bactériologique, le diable, la SNCF, le pape, Staline, l’Église, les nationalisations.
Les Spiripontains applaudissent l’arrestation d’un meunier poitevin, fournisseur de la farine employée à Pont-Saint-Esprit, incarcéré à Nîmes, avant de s’élever contre sa libération.
Certains traitements de semences, ont montré aussi leur efficacité pour empêcher la germination des sclérotes (exemple fluquinconazol, azoxystrobine et prochloraze sous réserve d’autorisation) [d’horribles substances pas bios produites par la démoniaque industrie agroalimentaire qui veut tous nous intoxiquer pour faire du blé].
Il y a encore plus ironique: un processus de radiation aux rayons gamma aurait pu désinfecter ces germes tueurs. Ce processus est sans danger selon les scientifiques. Voyez ici:
http://online.wsj.com/article/SB10001424052702304432304576369142982006926.html?mod=WSJ_Opinion_AboveLEFTTop
C’est le nucléaire qui sauve le bio!
excellent comme d’habitude
« les publicité pepsodant » ont perdu leur S à « publicité » (ou alors c’était LA publicité » ?) , et plutôt que « pepsodant », soit « Pepsodent » (la marque bien connue), soit « pepsodantes » (néologisme mais bienvenu)
Allez, va pour « publicités Pepsodent ».
A effacer… « Les pires que l’humanité ait euES à connaître » ainsi que « de stupidités affolantes que les journalistes nous auront ponduES »… l’histoire du COD antéposé qui s’accorde avec le participe passé, cela dit, pour la première, je ne suis pas sûr du tout, ça pourrait relever du cas particulier ou de la forme incorrecte (mes aïeux se confondent en excuses jusqu’à la quatrième génération devant mon outrecuidance) personnellement, j’écrirais « que l’humanité ait connues » (jusqu’à la cinquième génération)!
Corrigé.
Je suis tout à fait frappé par ceci : au moindre événement qui peu ou prou peut apporter de l’eau au moulin écolo, c’est immédiatement partout dans les « médias » le tambour de guerre dévastateur condamnant ceci ou cela en toute généralité. Ici, on a à l’origine du drame une ferme bio : je n’ai pas entendu UN journaliste mettre ce fait en avant. On est bel et bien dans un système idéologique qui nous enserre de tout côté, distillé par les médias, les enseignants de toute espèce etc.