Article initialement paru le 12.08.2014
Les années passent et les constats restent les mêmes : il n’est jamais trop tard et on ne fait jamais assez de propagande contre les méchants humains qui polluent. Ce qui était vrai en 2014 l’est encore plus de nos jours, quitte à complètement oublier les échecs répétés des prévisionnistes de malheur (exemple au hasard : ce magnifique article du Monde de 2012, prévoyant une disparition de la banquise arctique en 2016… Ce qui ne s’est jamais produit, au contraire). Au passage, on attend avec gourmandise le bilan en 2023, après 4 années de soi-disant réchauffement caniculaire ; parions qu’aucun mea culpa ne sera émis en cas d’échec (cuisant).
En attendant, la propagande anti-Humanité, anti-progrès, anti-tout continue. Et si, en plus, elle permet d’écrabouiller dans l’œuf ces festivités qui n’ont pas reçu l’imprimatur écolo, c’est encore mieux…
On le sait, je l’ai déjà écrit à de multiples reprises, l’humain est plus qu’un fardeau pour cette Terre : c’est, véritablement, une nuisance. Et une nuisance qu’il est même devenu simple de quantifier : un peu en dessous de l’astéroïde qui décima les dinosaures, mais pas tant que ça. Car oui, l’humain est responsable d’une véritable extinction de masse.
Pour rappel, la dernière extinction de masse, survenue au crétacé-tertiaire, serait due, selon la théorie la plus solide actuellement, à un gros caillou (d’une dizaine de kilomètres de diamètre) ayant heurté la Terre au niveau du Mexique. L’humain n’existant pas à l’époque, il n’a pas pu être blâmé pour cette extinction et cette diminution tragiques de la biodiversité, mais rassurez-vous, il n’en va pas de même aujourd’hui. Grâce à la conjonction d’une étude, réalisé à Stanford et qui manipule le conditionnel et les précautions rhétoriques par packs de douze, et à une presse déchaînée qui ne s’embarrasse pas, elle, de ce conditionnel et de ces précautions, on apprend que l’humain est directement responsable de la sixième extinction de masse sur la planète.
Vous avez bien lu, on parle en effet d’extinction de masse, rien de moins, et provoquée par l’Humain avec ses petits bras. Enfin, petits, pas tant que ça. D’abord, l’humain a le mauvais goût d’être très nombreux, de péter, de roter et de parler fort quand il est en groupe. Ensuite, il a inventé tout un paquet de machines, toujours plus polluantes, qui amplifient largement sa capacité à faire d’innommables dégâts en plus de ses caquetages insupportables. Enfin, l’humain, au lieu d’assumer sa nature pourtant évidente de parasite mal embouché qui fait trop de bruit, adore se culpabiliser et faire des petits calculs, et a donc décidé d’inventer un concept, la biodiversité, définie de façon aussi peu claire que possible.
Parce qu’en effet, il y a biodiversité et biodiversité. S’il est simple d’accoler l’image de multiples races de félins à celle de biodiversité (même si les cougars viennent de disparaître, semble-t-il), s’il semble convenu que la biodiversité englobe bien le fait qu’on trouve plusieurs espèces de moules sur les bouchots ou les canapés, une définition plus précise est délicate à trouver. Ça sent le concept un peu fourre-tout.
Ainsi, la récente apparition d’une nouvelle espèce de virus Ebola ne semble absolument pas réjouir nos vaillants défenseurs de Gaïa. Il semble que lutter contre la biodiversité virale ne pose guère de problème. À leur décharge, il faut dire que mourir du virus Ebola, ce n’est pas franchement glamour, et que s’il prenait la fantaisie à nos écolos de combat de sautiller de joie à l’idée d’une prochaine disparition de l’humanité (ne riez pas, ils en sont capables, comme jadis le prince d’Édimbourg souhaitant être réincarné en virus mortel afin de réduire la population terrestre), cela nuirait probablement à leur image de marque, si propre et verte nette par ailleurs. Ceci permet d’affirmer que cette biodiversité n’a pas vraiment besoin d’être définie, et qu’il suffira de simplement en parler avec un air attristé pour que tout le monde (les humains, surtout) comprenne.
Moyennant quoi, la conclusion s’impose : non seulement, cela va de mal en pis, mais en plus, c’est de la faute des humains. En effet, la biodiversité (définie par l’humain), qui atteignait jadis la valeur précise mais non discutable de 2733.276 brols (calculée par des humains) est en train de s’effondrer (c’est vérifié par des humains) parce qu’elle n’atteint plus que 1801.123 brols, et c’est mal (disent des humains) parce que c’est l’humain qui est à l’origine de cet effondrement pour 93.74% (à peu près). Et c’est mal parce que, parce que, parce que bon c’est mal.
Bon, bien sûr, il y a une petite incertitude sur les valeurs, les mesures et les pourcentages. Et sur les causes. Et sur les effets de l’humain sur la planète, à court, moyen et long terme. Sur le plan géologique, où la centaine de milliers d’années est la norme, peut-être est-il aussi envisageable de se dire que l’humanité n’a pas tout à fait un impact aussi percutant qu’un gros caillou de 11 km de diamètre et 400.000 milliards de tonnes, lancé à 20.000 km/h de plein fouet sur la péninsule du Yucatan. Mais vu depuis les petits papiers subventionnés de certains chercheurs ou dans la presse elle aussi subventionnée et acquise à la cause écologiste, en revanche, l’identité des deux impacts (celui de l’Homme d’un côté, et celui du Gros Caillou de l’autre) est absolument évidente : lâchez sur la planète sept milliards de petits mammifères idiots avec des voitures, des iPhones, des déodorants alcoolisés et une absence chronique de préservatifs solides, et hop, vous avez l’équivalent sur le biotope d’une explosion de plusieurs milliards de bombes atomiques.
C’est absolument évident.
Il faut donc lutter, pied à pied, contre tout ce que l’humain fait de mal. Et il y en a, des choses que l’humain fait de travers, à commencer par respirer. Ça va, bien sûr, des feux de brousse (même ceux, nombreux, déclenchés par la foudre qui sont en réalité le résultat du réchauffement climatique, lui aussi de la fautàlom) jusqu’aux … ballons lors des événements festifs.
Oui oui, les ballons lâchés lors d’événements commémoratifs, festifs ou autres sont autant de marques répugnantes du passage cradingue de l’Homme sur Terre et doivent être ardemment combattus, comme en atteste le récent dépôt de plainte d’une association écologiste contre la très méchante et très polluante mairie de Reims qui a eu l’impudence biochoquante de lâcher 2000 ballons dans le ciel champenois. Deux p*t@1n de milliers de ballons en latex pour commémorer le centenaire de la Première Guerre Mondiale, c’est une véritable offensive contre la Nature, une bastonnade en règle des ours, des dauphins et des tortues qui ont la pénible habitude de mâchouiller de la baudruche lorsqu’ils en trouvent, quitte à s’en étouffer (parce qu’aussi mignons soient-ils, ils ne sont tout de même pas très futés, ces bestiaux). Ces 2000 ballons sont une déclaration de guerre scandaleuse, que dis-je, un tortucide, un dauphicide voire un oursicide éhonté !
Et comme on sent l’association Robin Déboire Des Bois bien chaude dans sa lutte contre les commémorations et le fun coloré des petits ballons tortucidaires, je leur propose d’une part d’attaquer Disney pour incitation à la pollution avec son film d’animation, Là-Haut, qui présente un retraité écophage et pollugène déplaçant sa maison avec — horreur — des milliers de ballons gonflés — horreur des horreurs — à l’hélium, et d’autre part d’étendre leur combat à toutes ces manifestations un peu trop démonstratives et beaucoup trop polluantes qui ajoutent l’outrance et la démesure aux bruits agaçants que cette Humanité qui rote et qui pète n’arrête pas de faire. Il faudrait par exemple déposer une bonne grosse plainte à chaque fois qu’un feu d’artifice municipal est tiré. Non seulement, cela fait un tapage d’enfer, mais cela pollue un maximum, produit une quantité non négligeable de gaz à effet de serre, ne sert absolument à rien et diminue à l’évidence la biodiversité. Il en sera de même pour les raves-parties, les manifestations culturelles diverses et les rassemblements politiques ou syndicaux qui laissent souvent un bien triste paysage, couvert de cochonneries polluantes, après leur passage.
De plaintes en plaintes, l’association pourra clairement montrer qu’elle a, elle, œuvré concrètement à la protection de la faune et de la flore que ces études ont montré si menacées. Bien sûr, l’Humanité s’en trouvera nettement moins joyeuse. Mais la sauvegarde des espèces passe par là : sans repentance, nulle biodiversité.
Repentez vous, pauvres pêcheurs, la fin du monde est proche, et le cinquième cavalier de l’Apocalypse est déjà là sous la forme immonde de l’homme blanc, hétérosexuel et abominablement pollueur.
Il faut que les pêcheurs se repentent pour tout le plomb qu’ils ont disséminés dans les rivières!
Vous m’avez fait peur avec votre « les cougars viennent de disparaître », il ne s’agit que du puma de l’est américain et non pas de certaines espèces féminines dont on peut admirer des spécimens jusque dans les palais nationaux.
jalouse ^^
C’est minable, al ! C’est comme si je vous avais traité de p’tite bite, sans avoir pu juger sur pièce !
Et pourquoi pas aussi tant que vous y êtes ne pas le traiter de fils d’unijambiste!
Vous n’auriez pas dû faire sauter la sieste, bibi !
Parce que c’est vrai. 😉
manquerait plus qu’il mange des graines…
Je ne comprends pas le raccourcis, si je puis dire, je n’ai en aucun cas évoqué votre poids ou autres caractéristiques physiques déplaisantes au cerveau du genre 1 !
Un de mes coreligionnaire forcé d’armée, celui ci supportait avec décontraction les boutades désobligeantes concernant sont appareillage génétique, m’avait glissé à l’esprit en terme simple « mieux vaut une petite travailleuse qu’une grosse qui reste à la porte »
Mais bon, n’est ce pas, il reste sans doute du genre 1 s’arrêtant au détails de ce qui fait un homme 😥
Non, non, patron ! Les cougars n’ont pas disparu. Ils se sont multiplié. Et elles vivent de plus en plus vieilles, s’attaquant lâchement aux petits futurs présidents de la république !
Quand aux moules, leur diversité peut être vérifiée sur les plages aoutiennes. Seule la moule barbue a disparu, au grand dam des (rares) connaisseurs. Je l’ai vainement cherchée en explorant plusieurs sites de la côte atlantique (courtesy of amigos of the blog).
Pour moi, c’est fini, la pêche aux moules ; avec ou sans latex destructeur de biodiversité.
Shit, Mildred m’a doublé !
En effet, René-Pierre, vous répertoriez certaines catégories féminines, à savoir celles qui vous sont les plus accessibles et qui montent volontiers à bord de votre yacht. Vous prenez grand soin d’éviter les amazones, les femmes libres qui sont moins sensibles à la drague banale.
« Vous prenez grand soin d’éviter (…) les femmes libres »
Ça existe ?
Et les hommes libres, à votre avis ?
Tout est une question de contexte.
Quand un homme demande à une femme si elle est libre, cela signifie souvent qu’il aimerait coucher avec elle.
Si une femme demande à un homme s’il est libre, il s’agit généralement d’un chauffeur de taxi.
Mais il paraît, d’après le Figaro Madame de l’autre jour, que de plus en plus fréquemment les femmes « draguent », ou font les premiers pas.
Je n’en croie pas un mot.
Oh ! ces verbes du troisième groupe… Je les hais !
Philou, au secours !
voilà voilà :
leconjugueur.lefigaro.fr/conjugaison/verbe/croire.html
Ce sont les filles qui draguent. Les femmes séduisent.
« Mais il paraît, d’après le Figaro Madame de l’autre jour, que de plus en plus fréquemment les femmes « draguent », ou font les premiers pas. «
En Australie c’était le cas…
100% me sont tombées dans les bras sans avoir rien à faire, alors que je suis loin d’être un apollon. C’est le pays qui veut ça
Et celle qui occupe mes nuits en ce moment, c’est elle qui m’a dragué… et pourtant je lui avais dit non ! Arghhhh…
« C’est le pays qui veut ça »
A moins que ce soit le slip Kangourou, qui met les attributs en valeur.
Moi c’est boxer !
Les connaisseurs prennent de la bouchot bien propre, et amènent l’extase d’un Sancerre en fouillant la cave de façon appliquée !
La bouchot : petit emballage, petite bestiole et rien à becqueter de sérieux dedans.
Celles de Hollande (le pays, pas ce qui a servi d’ersatz de PR) sont nettement plus fournies…
[dans quinze jours, ce sera leur fête à Lille]
Je n’aime pas les grosses, si ça te branche tant que ça opte pour celles d’Espagne…
Vu sa prolifération, la pêche au thon princesse est l’avenir de l’homme.
Toi t’as eu un problème avec une princesse dernièrement…
Princesse est un titre aulique. Toutes celles qui s’en prévalent sans l’accord du roi ou de la reine sont des usurpatrices. C’est valable également pour les faux nobles.
RPS, pour « la moule barbue » fais une recherche sur « hairy pussy » ou « women with Bushes », tu devrais trouver ton bonheur 😀
l’aricle de l’Immonde 2012 : https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/20/la-banquise-arctique-a-fondu-comme-jamais-cet-ete_1762769_3244.html
Oui, j’ai mis le lien oublié. Merci 🙂 !
Il y a une vile espèce qui refuse, malgré tout notre pouvoir malfaisant, de se laisser exterminer, j’ai nommé: les moustiques. Variété dont la taille est aussi minuscule que ses méfaits hénaurmes: ça fait zzzz dans vos oreilles la nuit alors que vous essayez de dormir, ça énerve, ça pique, et ça gratte. Et puis ça fait des dizaines de milliers de morts par an dans le monde, mais ça c’est accessoire, ce sont autant d’humains malfaisants en moins sur la surface de la terre.
Vile espèce d’autant plus méprisable que le moustique ne sert à rien, même pas à nourrir les oiseaux. En effet, quelle hirondelle serait assez stupide pour chasser le moustique? Il y a bien des péronnelles pour chasser ces bestioles, mais c’est une sous-espèce politicienne endémique du pays de France, trop rare et trop protégée pour être significative.
Restent leurs larves, qui peut-être nourrissent les alevins et les têtards dans les mares inertes au printemps. Quoique les alevins, ça ne se trouve pas souvent dans les mares. Et les têtards, il y en a déjà une surpopulation dans tous les bureaux de l’administration du pays de France, sans que cela n’affecte la population des culicidés.
En conséquence de quoi, le moustique continue de pulluler et de pourrir la vie des ovins, des bovins, et des humains. Peut-être est-ce là son utilité: contenir l’expansion humaine par le biais du palu et du chikungunya. Incidemment, ces maladies sont justement inoculées dans les pays où se précipitent tous les écolos pour dispenser leurs oeuvres de charité et de protection de la nature. La nature est vraiment bien faite: il suffit d’attendre, elle finira par faire disparaître l’espèce diabolicus politicus ecologis. Finalement, les moustiques ont du bon.
Les mésanges mangent des moustiques et pas qu’un peu, et il y a aussi les chauve-souris, Alfred peut en témoigner car c’est lui qui nettoie le pare-brise de la batmobile.
J’adore les reportages sur Tschernobyl, où l’on y apprend que ô surprise, étonnement, kommenèspossible, la nature se régènère sans l’intervention d’associations bien mal faisantes.
j’ai lu avec beaucoup d’hilarité un article consternant de deux bulots estampillés « les verts » qui s’intitulait « seule l’écologie politique peut résoudre le problème du réchauffement climatique ». Rien que le titre vous fait froid dans le dos, il m’évoque une belle dictature, des brochettes de connards subventionnés, des lois liberticides et j’en passe. Quand vous voyez que ces abrutis ne sont même pas capables de garder les villes propres et qu’ils se voient déjà en grands défenseurs de Gaia…
Notre civilisation occidentale s’auto desteste. C’est un vice.
Si ce n’était pas l’écologie, les « minorités », l’argent, la masculinité, on trouverait autre chose !!
Devant le vide de véritables combats, l’interdiction absolue de conquérir quoi que ce soit, c’est à qui mieux mieux signalera sa vertu zélée infusée aux oestrogènes dans la repentance à travers les « petits gestes du quotidien ».
Sourire à bouffer de la merde de rigueur.
Remercions donc les écolos.
Si ils n’étaient pas là, on serait peut être déjà tous obligés de laisser ses revenus et sa femme à une « minorité ».
Très difficile de se faire une idée éclairée sur la question tant les avis sont contradictoires.
Voici l’avis d’un scientifique russe qui ne semble pas être un rigolo et un passage très intéressant sur l’aspect visuel du permafrost en Sibérie.
https://www.youtube.com/watch?v=13yeu29GnXI
S’il y a des traces de vie dans le permafrost c’est bien qu’il y avait de la vie avant le permafrost… i.e. quand il faisait plus chaud…
On pourrait même en déduire que c’est l’époque glacière qui a tué ces animaux… à cause de la raréfaction de la nourriture… il pousse pas grand chose sur la glace…
Ce permafrost, pas de grandes différences avec les glaciers qui reculent…
Non-information donc… mais fallait-il en attendre autre chose de quelqu’un qui se nomme spécialiste du réchauffement climatique…: les spécialistes des diligences ont disparu aussi… mais bon, eux ils ne vivaient pas avec notre pognon…
C’est marrant (façon de parler) cette boutade du prince d’Edimbourg. Ça me rappelle (coq à l’âne) ce personnage des Avengers, Thanos, qui extermine purement et simplement grâce à ses pouvoirs la moitié de tous les êtres vivants de l’univers, qu’il considère comme nuisibles de par leur surnombre (dans les films, car apparemment son parcours est un peu plus tortueux que ça dans les BD) C’est un personnage à l’apparence aussi massive et tristounette que le Penseur de Rodin (remarque qui n’engage que moi)
Tout cela pour dire que, dans la saga cinématographique, ce réducteur patenté d’espèces parasites et surnuméraires (exemple : l’homme) incarne bel et bien le Mal. La preuve, c’est que les Avengers le combattent (ça, c’est de l’argument !)
Alors ? Sommes-nous trop nombreux sur Terre ou pas ? Pour ma part, je pense que nous sommes sûrement trop concentrés à certains endroits à certains moments (dans les transports à l’heure de pointe, à la piscine par fortes chaleurs, à la boulangerie le dimanche matin, dans la plupart des concours de recrutement etc etc. )
Tout blague mise à part, je serais bien curieuse de savoir par quels moyens les personnes qui considèrent que l’espèce humaine est sur-représentée sur Terre envisagent, concrètement, de réduire nos effectifs…