Article initialement paru le 26.06.2013
Ce mois de novembre est l’occasion de revenir sur une série d’articles que j’avais écrit courant 2013 et qui offraient quelques pistes de réflexion sur la mise en place d’une résistance active à l’immixtion de l’Etat dans tous les domaines. En quatre années, rien n’a véritablement changé (ou sinon, c’est plutôt en pire) et ces méthodes et pratiques sont d’autant plus d’actualité.
Aujourd’hui, passons aux travaux pratiques ! Certes, la France s’enfonce doucement dans le tiers-monde, mais ce n’est pas une raison pour rester les bras croisés, à regarder la télé en mangeant des chips. Au contraire. Voici quelques pistes à explorer.
Il est en effet nécessaire, une fois de temps en temps, de mettre la main à la pâte et d’exercer un peu notre capacité d’action sur les choses du monde matériel. Mais attention : avant tout, utilisons notre intelligence. En effet, si, pour certains, l’action consiste surtout à aller taper sur les autres (avec un succès parfois mitigé), lorsqu’il s’agit de faire quelque chose de vraiment utile, qui aide à débloquer la situation, il faut vraiment taper là où ça fait mal.
Pour le libéral qui tente de survivre en France, les circonstances actuelles sont devenues proprement invivables. Chaque jour qui passe est une nouvelle ode à la taxation, à la répression du talent, à l’écrasement des motivations, et l’occasion renouvelée, pour la classe politicienne, de débiter des inepties de plus en plus énormes. Chaque jour qui passe est, véritablement, l’opportunité pour ceux qui nous gouvernent, ainsi que toutes les institutions qui sont à leurs ordres, de rogner un peu plus sur nos libertés. Chaque jour qui passe en France est une nouvelle façon d’assombrir l’avenir de ceux qui entendent mener leur vie honnêtement, et d’accroître l’emprise des parasites qui se nourrissent de ces trop aimables idéalistes.
Et lorsqu’on se fait attaquer, il faut, à un moment ou un autre, se protéger. Et si l’on sait comment, il faut même répliquer.
Organisez votre fuite à l’extérieur.
Certains ont déjà suggéré, devant l’appétit du Léviathan, la solution évidente qui consiste à l’affamer. Concrètement, cela veut dire que tous ces Français qui le peuvent ont le devoir de quitter le pays, en emportant avec eux le maximum de ce qu’ils pourront, que ce soit fortune, intelligence, force de travail ou perspectives d’investissement, d’innovation, de motivation pour le pays. Du point de vue de l’individu pourchassé par l’État, il faut savoir couper ses pertes.
En effet, chaque étudiant qui ne revient pas, chaque expatrié qui ne paye plus ses impôts en France, chaque travailleur qui s’en va consommer ailleurs sont autant de coups de canifs dans le Léviathan. Chaque départ d’une intelligence, d’une force ou d’une richesse est un message de plus lancé à la clique politicienne pour dire « Cela suffit, cela se fera sans moi ». C’est une opportunité de moins que l’État spoliateur aura de perdurer, de laisser les profiteurs continuer leur petit jeu de ponction.
Cependant, si, à l’évidence, ces actes affament progressivement le plus froid des monstres froids, force est de reconnaître qu’ils ne sont pas à la portée de tous. Le combat, s’il peut se mener de l’extérieur, coûte beaucoup : on doit se couper de ses habitudes, de ses amis, de sa famille, de ses relations, on doit sortir (et pas qu’un peu) de sa zone de confort. Et puis surtout, tout le monde ne peut pas aussi simplement fuir.
Pour ceux qui restent, il y a bien sûr ces combats gris, dissimulés, illégaux ; si, il y a quelques décennies, celui qui pratiquait, encourageait ou finançait le travail au noir était clairement illégitime et ne pouvait recevoir le soutient de l’honnête homme, il en va autrement de nos jours : les taux actuels de cotisation, d’impôts et la quantité de paperasserie demandée de façon permanente par la myriade d’administrations toutes aussi inutiles les unes que les autres, sont tels que la légitimité, devant la machine étatique devenue folle, a changé de camp.
Mais soyons bien clair : le travail au noir reste parfaitement illégal et hautement déconseillé. Quand je parle de résistance, ici, je ne pense pas à ça.
Car sur le plan légal, il existe quelques autres méthodes qui, elles aussi, sont autant de coups portés à la machine bureaucratique. Et le mieux est que ces méthodes n’ont pas besoin d’aboutir pour être efficace. Elles ont simplement besoin d’être lancées, par tous ceux qui, ne pouvant fuir, comptent cependant résister à leur façon à ce que l’État est en train de faire au pays, au peuple.
Organisez votre fuite à l’intérieur.
Un des combats qu’on peut mener est, comme le montre actuellement Laurent C. sur Contrepoints, celui qui consiste à se désaffilier des systèmes de retraite et d’assurance maladie de la Sécurité Sociale, et ce, même si les institutions en question font tout pour vous en empêcher (comme le montre le dernier épisode) : que la démarche aboutisse ou non est ici sans importance puisque chaque individu qui la tente s’ajoute à la cohorte de ceux qui le font aussi de leur côté, et constitue par nature ce message que j’évoquais quelques paragraphes au-dessus.
Une autre solution consiste à rejoindre la cohorte de ceux qui, tous calculs faits, ont autant à gagner à rester chez eux dormir qu’à se lever le matin pour aller travailler. Ceux-là, en France, sont de plus en plus nombreux. Beaucoup subissent cette situation ; si vous devez en passer par là, mettez-la à profit : demandez toutes les formations, toutes les aides, toutes les facilités que vous pourrez. Épluchez les sites des administrations qui rêvent de vous aider. Réclamez tout ce que vous pouvez, que vous y ayez droit ou non : aide personnalisée au logement, allocation de logement, prime de déménagement, aide au versement du dépôt de garantie, prime à l’amélioration de l’habitat, aide à la formation, aide à la création d’entreprise, aide pour ceci, aide pour cela, etc … Cela prend du temps ? Cela tombe bien, vous en avez !
Ne laissez passer aucune opportunité : chaque dossier rempli constitue deux occasions distinctes d’affamer la bête.
(1) D’une part, si vous obtenez l’aide correspondante, vous accroîtrez les difficultés de l’État. Ne l’oubliez pas : vous aviez, en votre temps, prévenu tous et chacun autour de vous ce qu’il en coûterait, au final, de céder aux sirènes collectivistes. Vous aviez à chaque fois alerté sur le caractère insoutenable des dettes et des redistributions toujours plus généreuses que les socialistes prônaient pour flatter leurs clientèles. Personne ne vous a écouté. Beaucoup ont ri. Les systèmes sont maintenant en place. Montrez par l’exemple que vous aviez raison.
(2) Et d’autre part, même si vous n’obtenez pas l’aide que vous demandiez, vous avez participé au grippage de la machine : chaque dossier, chaque papier rempli et envoyé dans les rouages bureaucratiques est un petit delta de travail supplémentaire que la Bête devra absorber. Des milliers de nouveaux demandeurs de subventions, ce sont des milliers de dossiers à traiter, des milliers de cas à vérifier, des dizaines, des centaines de milliers de formulaires à échanger, d’e-mails à envoyer, de bordereaux à remplir, au sein des administrations.
Mais on peut faire plus fort.
Légalement, rien ne vous oblige à payer le montant exact de vos impôts en un chèque unique. N’hésitez pas : joignez un, deux, trois, huit chèques, qui couvrent bien l’intégralité de vos impôts. Refusez le prélèvement mensualisé, mécanisé, automatique, qui demande peu d’intervention manuelle. Oubliez internet. Pouah. Préférez-lui les bon gros chèques qui tachent. Et rien ne vous oblige à avoir des chèques lisibles en machine (une tache d’encre ou une bête rature dans les numéros de contrôle est si vite arrivée) : un traitement manuel est bien plus utile pour notre exercice.
Mieux : payez, systématiquement, douze, vingt-trois ou trente et un centimes de plus que nécessaire, pour chaque impôt, chaque taxe, chaque putain de paiement de merde que ce pays vous vole en l’échange d’un service public de plus en plus minable, en l’échange de tous ces répondeurs téléphoniques dans des administrations qui vous méprisent, en l’échange de tous ces « Je n’ai pas que ça à faire » de préposés syndiqués, en l’échange de ce mépris de plus en plus ouvert de la classe politique qui vous dirige.
Pour chaque trop perçu, demandez un remboursement. Il vous est dû.
Quel que soient les circonstances, que cela soit justifié ou non pour vous, demandez, tous et chacun, un échelonnement des impôts. Dans un courrier séparé, adressé à un autre service de votre centre des impôts, demandez une réduction. Toutes les raisons sont envisageables : la mort de votre chien, la dernière carie du petit, le renouvellement de l’eau de l’aquarium : n’hésitez pas. Bien sûr, si vous pouvez l’obtenir, c’est mieux. Mais l’important est ici de générer un dossier qui devra être traité par un des bouts de la machine infernale qui gangrène la France. Si vos courriers restent sans réponse, alertez votre maire. Alertez votre député. Faites pleurer dans les chaumières avec des raisons crédibles et tristes. Généralement, la réalité suffit. Et demandez poliment. Mais demandez systématiquement.
Pour les taxes foncières ou d’habitation, des exemptions temporaires sont possibles. Là encore, ça ne coûte pas grand-chose de les demander et je le rappelle, le but n’est pas, à proprement parler, de les obtenir, mais bien de créer un vaste mouvement de papier dans la machine.
On peut étendre la manœuvre à toutes les ponctions que l’État nous fait subir, depuis les amendes jusqu’aux taxes diverses et variées : dans beaucoup de cas, les trop-perçus sont traités automatiquement, et remboursés de même. Utilisez ces mécanismes contre l’Etat lui-même. Des milliers de plis postaux à renvoyer pour des remboursements de quelques centimes, à faire voyager, à manutentionner, à distribuer, ce sont rapidement des sommes colossales, irrécouvrables, qui seront mises en jeu.
Enfin, on peut s’amuser avec le système.
Après tout, les administrations sont si efficaces les unes avec les autres, et si efficaces en elles-mêmes pour égarer des dossiers, pour vous faire courir lorsqu’il s’agit de votre vie, qu’après tout, on peut utiliser cette capacité contre elles-mêmes.
Demandez à obtenir toutes les informations détenues de façon informatique aux administrations fiscales (loi 78-17 du 6 janvier 1978), ou, de façon générale, à toutes les administrations qui vous envoient des courriers. Envoyez dans tous les services que vous pouvez des informations qu’ils ne sauront pas traiter. Par exemple, vous pouvez envoyer des lettres informant de votre situation (familiale, par exemple) à l’URSSAF, à la CAF de quinze ou vingt départements où vous ne résidez pas. Envoyez des dossiers fantaisistes mais crédibles, sans aucune sollicitation, à des douzaines d’agences Pole Emploi, des centre d’impôts, des caisses différentes, des administrations diverses et variées, en leur posant des questions nécessitant une réponse de leur part (peu importe que la réponse soit possible ou intéressante, ici, on l’aura compris). N’hésitez pas à régulariser vos dossiers, tous, auprès de toutes ces administrations qui ne vous connaissent pas et ne sauront que faire de ces gentilles informations que vous leur envoyez. En somme, appliquez un magnifique Distributed Denial Of Service sur toutes les administrations françaises.
Je vous le rappelle : il est maintenant trop tard pour corriger les errements des collectivistes. Il est trop tard pour nettoyer le monstre. Il est trop tard pour redresser la barre. Le Titanic français a déjà heurté l’iceberg et même si tant le croient insubmersible, il coulera.
Mais surtout : le gouvernement et les politiciens vous prennent pour des cons ? Il est plus que temps de leur montrer que vous en avez autant à leur égard.
Il y a de bonnes idées à piocher. Malheureusement, je suis trop vieux pour partir. Le mieux est d’optimiser ses revenus pour payer le moins possible, puisque au delà d’un certain niveau, l’impôt devient confiscatoire et bosser plus pour payer plus ne m’intéresse pas du tout. et puis jamais acheter de voiture neuve qui rapporte de la TVA à l’Etat, il y a de très bonnes occases.
Vous critiquez la mauvaise gestion de l’état, mais vous voulez en devenir une des causes ? Pourquoi ne pas faire partie de la solution plutôt que d’amplifier ces problèmes que vous décriez ?
Le jour où la bête sera a terre, il sera trop tard pour se plaindre des conséquences, et ce sera bien pire qu’aujourd’hui. Vous croyez que l’on n’a rien a perdre ? …
Faire partie de la solution ? Quelle bouffonnerie ! Cela fait 40 ans qu’on connaît les solutions et que tous les gouvernements, les politiciens et une bonne partie de la population refuse catégoriquement de les entendre et de les appliquer ! Cela fait 40 ans qu’une part croissante des gens autour de vous nourrit la jalousie, l’envie et le ressentiment au point d’en faire une institution ! Et vous imaginez que la bête va se corriger d’elle-même ?
Trop drôle !
C’est justement parce que la bête ne se corrige pas assez d’elle même qu’il faut que vous poussiez « vos solutions connu depuis 40 ans ».
Chacun a sa compréhension des problèmes, chacun a ses solutions, et chacun a sa manière d’agir pour atteindre ses solutions, mais la dernière chose à faire est ce que vous devrivez, vous avez exactement le même raisonnement que ceux contre qui vous voulez vous débarrasser, c’est désolant..
» la bête ne se corrige pas assez d’elle même »
lol
Non seulement elle ne se corrige pas assez, mais elle ne se corrige pas du tout, et elle empire d’années en années. Pire : exposez les solutions en question (essentiellement, c’est repris ici) et vous avez une armée contre vous. Physiquement. Prête à vous taper sur la gueule.
Le « il faut exposer des solutions », c’est ce qui est prôné depuis 40 ans. 40 ans d’échec misérable, 40 ans de nullité et 40 ans de médiocrité abyssale. Forcément, c’est parce qu’on n’en a pas fait assez, bien sûr !
Il ne faut pas « exposer des solutions », ils faut « exposer vos solutions » qui de votre point de vue remettra ce monde dans le droit chemin. C’est bien pour cela que vous écrivez ce blog (j’imagine entre autres bien sûr) , et c’est extrêmement normal et essentiel d’avoir « une armée contre vous ». Il n’y a que dans les dictature où les solutions font l’unanimité, ce qui n’est pas encore le cas de la France officiellement.
Pour reprendre votre exemple de l’aspirine, pourquoi écrivez vous encore ce blog depuis 2006 alors que rien n’a changé ? Vous reprenez et partagez des doses de « votre aspirine » à tour de bras depuis 2006 et c’est exactement ça qu’il faut faire pour que ça change. Mais en aucun cas ce que vous expliquez dans votre article, qui se résume à prendre un marteau et taper sur votre bras cassé.
« c’est extrêmement normal et essentiel d’avoir « une armée contre vous » »
Non. Normalement, dans un pays qui n’a pas déjà sombré, des solutions raisonnables aboutissent à une part raisonnable de personnes raisonnables qui sont raisonnablement pour.
Et si vous aviez lu le lien fourni, vous n’auriez pas sorti votre dernière phrase.
Je suis d’accord avec votre phrase. Malheureusement « une part raisonnable » n’implique pas que ce soit la majorité, comme indiqué dans votre article.
J’ai bien lu le lien fourni, mais je ne suis juste pas d’accord avec le fait que c’est trop tard.
Eh bien battez vous, transmettez, faites connaître.
Je vous regarde faire, moi, c’est bon, j’ai donné, j’ai vu et ça ne m’amuse pas même 1% de ce que foutre la bête en l’air peut m’amuser.
Les salauds ont essayé de te gazer?
Nan, il te dit qu’il est un bras cassé
Feu Jacques Marseille (paix à son âme) a écrit le grand gaspillage qui est un ouvrage compulsant les rapports de la cours des comptes et listant l’ensemble des dépenses publiques improductives.
Il ne s’agissait même pas de faire quoi que ce soit de révolutionnaire juste d’arrêter des erreurs qui sont parfaitement identifiées sans qu’il soit question d’idéologie, mais voyez-vous, il est impossible pour la caste qui nous gouverne d’admettre qu’ils ont tort, et c’est pourquoi cela fait 40 ans qu’ils sont dans le déni.
Tous les ans ils nous proposent la même solution n’a jamais porté ses fruits à savoir plus de dépense, plus d’impôts plus de dette, en nous promettant que promis cette fois ça va marcher mais si cela a échoué les 39 premières.
Ces gens là sont des fous et toute l’argumentation du monde n’arrivera jamais à leur faire entendre raison.
Il faut rendre comptables les gens qui gèrent notre argent. Aujourd’hui, s’il n’y a pas enrichissement personnel, le décideur ne risque absolument rien, pas même le licenciement, pas même s’il est agit de plusieurs milliards foutus aux orties. La loi punit le défaut de gestion dans le privé. Dans le public, ça vaut souvent une médaille et une promotion !
Et donc instituer un contrôle de gestion de l’Etat. Le fisc vient bien nous pourrir pour un aller retour avec le véhicule de fonction ? Ben les fonctionnaires, les hauts fonctionnaires, pareil. Les budgets ne sont pas passés à décembre, et on les crame avec du mobilier hors de prix, des téléphones inutiles et des buffets de fin d’année gargantuesques ? Ben sanction. Vraie sanction.
le rapport de la cour des Comptes ne sert à rien, sinon nous faire pleurer encore plus sans que rien ne change. Cela suffit.
Il y a un paquet de pays dans lesquels des dirigeants on récemment été incarcérés pour ce genre de fautes, associés aux pots de vin afférents, mais ici, ils sont trop propres sur eux.
Bien trop sales dessous : ça devrait marcher ! Mais il faut gratter un peu pour le voir : mettez des gants et un masque !
En plus ils n’ont aucun humour :
lepoint.fr/video/francois-fillon-refuse-une-offre-croustillante-02-11-2017-2169385_738.php#xtmc=costume-fillon-publicite&xtnp=1&xtcr=1
Le Brésil, par exemple, que peu se seraient attendus à voir aussi sourcilleux avec Lula ou Roussef (destituée comme un vulgaire Président US)…
C’est bien de vous, tiens, d’évoquer les mânes d’un pareil individu.
Voici ce qu’en dit sa fiche Wiki :
Jacques Marseille a analysé ce qu’il appelait « le mal français », issu de la difficulté à mettre en pratique des réformes par le dialogue. Il critiquait ce qu’il considérait être des « archaïsmes français », notamment ceux de l’État qui n’aurait pas été réformé comme l’ont été ceux d’autres pays19. Il dénonçait une grande injustice qui existerait selon lui entre les salariés du privé et les fonctionnaires français : « un secteur public pléthorique aux privilèges sans égal, d’un côté ; une insécurité croissante de l’emploi plus forte que dans la moyenne des pays européens, de l’autre. » Cette dichotomie était pour le lui le « cancer qui ronge le pseudo-modèle social français
Au passage, il confirme bien la thèse de Monseigneur de 16H46…
Quant à la notice, il est aisé également au passage, de constater qu’elle n’a pas été écrite avec une grande indépendance d’esprit puisque l’injustice de traitement entre fonx et secteur privé n’existerait que dans ses délires personnels (alors que cette injustice a été plus que sérieusement documentée moult fois)
C’est parce qu’il y a trop de gens « raisonnables » comme vous que le pays est à terre. Dette officielle au delà de 100%, à 110% dans 5 ans, part de l’état réelle à plus de 60% du PIB, à chaque tentative de modifier quoi que ce soit, on ouvre la bourse à pognon gratuit des autres, des augmentations permanentes d’impôts de toutes sortes, à tel point qu’il y en a un différent pour chaque repas, deux fois plus de fonctionnaires qu’il est possible d’en avoir, RIEN mais absolument RIEN n’est fait pour rendre le pays plus compétitif.
Munissez vous de vaseline…
J’ai son adresse! Vient, on va lui manger les yeux avec des mouillettes façon coco mollets. Il parait que c’est plein de protéine…
En Syrie, ce genre de gus, c’était une source de pièces détachées de haute valeur…
C’est plus une histoire d’attitude. Je n’ai aucune illusion sur le sujet, je sais a quel point le système est verrouillé.
Mais je ne pense pas que ce soit une raison pour « s’amuser avec le système ». Qu’allez vous gagner en donnant des coups a un addict semi-comateux ? Le plaisir d’avoir pu participer ?
Vous ne semblez pas saisir que tout ce qu’écrit H16 est motivé par une sincère frustration, une énorme amertume d’assister quasi impuissant (malgré sa prose inégalée et qui demande un effort, ne l’oublions pas) à la décrépitude de notre pays, qu’il semble malgré tout aimer tout comme la plupart d’entre nous. Et, sans préjuger de ses motivations profondes, je pense pouvoir dire que le souhait de H16 de couler le pays le plus vite possible n’est que le résultat de sa conviction que le salut de ce pays ne pourra être envisagé qu’une fois débarrassé de tous les boulets qu’il se traîne. Et pour cela, il faut qu’il (le pays) se prenne le mur, en pleine face, qu’il dégringole, qu’il s’écrase, et c’est seulement là qu’il pourra (peut-être) se relever. Plus vite cela arrivera, mieux ce sera.
Donc en aucun cas H16 ne tient le même raisonnement que ceux dont il souhaite se débarrasser ! La clique collectiviste est aux antipodes du raisonnement de H16 !
Qu’avez-vous à gagner à vivre de l’argent de l’impôt plutôt que de faire vivre l’état avec votre argent?
Quand on se pose cette question c’est qu’en fait on a jamais eu affaire aux hommes de l’état.
Quiconque a un jour eu affaire au RSI vous répondra simplement qu’en faisant le choix de vivre de l’argent des impôts au moins on ne vie plus dans l’angoisse permanente.
Hâter sa fin pour passer à autre chose.
Oui, faut voter meluche, à défaut d’haollande
La clique au pouvoir, semi-comateuse ❓
Pas pour profiter malheureusement.
La clique, je la claque ❗
J’ai cessé d’être une des causes de la mauvaise gestion de l’état, le jour ou j’ai arrêté de veauter.
Plus aucun homme de l’état ne peut prétendre agir en mon nom quand il détrousse Pierre au profit de Björn en prenant sa part au passage.
Il est probable qu’il faudrait plutôt écrire « détrousse Pierre à son profit principal et à celui secondaire de ses affidés en partageant ce qui reste avec Björn… »
N’oubliez pas que pour camoufler semblables vilenies, d’immenses machines collectivistes sont inventées et mises en route.
Illustrons l’exemple avec le RSI qui, en dépit de toute la catastrophe industrielle qu’il a été, va valoir de très généreuses primes à son personnel pour fêter sa disparition/fusion dans la SS (cf le blog d’Eric Verhaeghe sur ce sujet, il y a environ un mois)
Il ne s’appelle pas Björn ! 🙂
Le prénom a été changé pour ne pas stigmatiser, eus-je dû préciser… 😥
L’état gère parfaitement SES affaires au contraire. Il a créé un système mafieux dont la première préoccupation est sa propre survivance avec le plus de confort possible. Si je gérais mon entreprise comme ça, je goûterais à la prison et pour longtemps. Mais l’état pratique l’abus de bien social en toute décontraction et bénéficie d’un crédit illimité pour toutes ses malversations ou ses gabegies, crédit qui font couler la barque dans laquelle tu rames. Mon consentement à l’impôt est proche du -273,15 °C, car je sais qu’une bonne partie est captée par des gens qui ne veulent pas du bien à leur citoyens.
Quant à changer le Léviathan en partant des entrailles, c’est une pure illusion tellement tout a été pensé pour que la fête continue jusqu’à disparition complète du punch et des petits fours. Toute voix préconisant la modération (sans parler d’un changement radical des pratiques) sera châtiée et traitée en ennemi de la nation.
« Mon consentement à l’impôt est proche du -273,15 °C »
Oui, oui et encore oui
Mes jours de grandes bonté je peux admettre que le peuple français ait un consentement à l’impôt pour financer les fonctions régaliennes proches des 20K (K n’étant pas ici des kelvins mais des kerviels).
C’est curieux cette manie de prendre toujours les problèmes à l’envers. Qui a cinq mille milliards de dettes, qui emprunte tous les jours un milliard pour payer ses nervis et acheter des clients pour les élections en distribuant du pognon qu’il n’a pas ? Et ce serait ceux qui se font enculer par les sbires de l’Etat qui serait la cause du problème ?
Cette manie est celle des constructivistes qui sont toujours prêts à beaucoup pardonner du moment que l’intention est ou était louable.
C’est ainsi qu’ils absolvent généreusement les 80 à 100 millions de morts du communisme parce que les buts de ce régime politique étaient vraiment de la plus haute élévation spirituelle et temporelle, peu importe que cela se soit soldé en désastres multiples et d’ampleur biblique (comme dirait un auteur bien connu ici… 😉 ).
Au mieux, les plus gênés aux entournures se défausseront (et soulageront les tiraillements de leur conscience engendré par le constat du désastre conséquence inévitable d’une aussi belle utopie) en affirmant, toute honte bue, que ce n’était pas là le « véritable » communisme…
Bref du communisme Canada dry…
Je ne te vous dis pas ce qu’entendrait et subirait l’inconscient qui affirmerait sans rire la même chose pour le nazisme pratiqué par Hitler et consorts comme n’étant pas le véritable nazisme…
La gauche crache sur l’Etat français tout en oubliant de rappeler qu’elle en a conservé les réalisations sociales les plus dégueulasses.
De la même manière, la gauche crache sur la droite quand elle crée des impôts mais oublie curieusement de les abolir une fois revenue aux affaires.
C’est vrai que Pol pot n’était pas communiste : il ne s’est jamais appliqué ce qu’il prônait. Et l’idole des jeunes s’est faite choper en 1967 avec deux Rolex.
Bonnes idées ! Il est temps de se reprendre en main face à l’État.
Le Français végéta trop longtemps, il faut qu’il entre en résistance active !!
Il est passé où d’ailleurs notre “Végéta “ … j’espère que tout va bien pour lui
Il parait qu’il a rejoint l’équipe qui conseille T Lepaon, l’ancien SG de la CGT, désormais en charge, à nos frais doit-on le préciser, d’une mission sur illettrisme … 😉
Pour être tout à fait franc, je pense que devenir un professionnel de l’allocation est sûrement jouissif en tant qu’idée mais très chiant à appliquer ! De plus, comme vous l’écriviez il y a déjà 5 ans, le titanic ayant déjà heurté l’iceberg, la situation est désormais irréversible : tout fera que s’empirer pour probablement très mal finir.
Reste AMHA la seule solution valable : quitter le navire. Comme je l’écrivais dans un commentaire précédent, l’argent des autres sans les autres, ça va poser de sérieux problèmes. Même si indubitablement le nouveau gouvernement est moins pire que bien des précédents, ils ne pourront au mieux que reculer l’échéance. Ma décision est donc prise : je pars.
Je prévois mon départ en 2018. Ça sent de plus en plus le roussi ici. Et je conseillerai clairement au maximum d’en faire autant. Alors reste la question : où ?
Mon choix se porte sur le Portugal ou le costa Rica… l’un me plaît moins mais a une convention fiscale avec la France, l’autre me plaît plus mais n’a pas de convention. Quand on a encore des revenus de source française c’est un aspect à ne pas négliger. J’en profite pour vous demander, lecteurs libertariens que vous êtes, quels seraient pour vous les lieux de prédilection ?
Oui quitter la France résout pas mal de tracas mais, parce qu’il y a un mais, ça ne veut pas dire être affranchi de la bureaucratie tricolore. A moins de TOUT quitter à savoir la famille, son identité et tous ses avoir, l’état communiste français n’en aura jamais fini avec toi.
A l’autre bout du monde ou sur une autre planète tu restes français. Si un de tes proche décède, hop tu devras régler la succession. S’il te reste un petit logement que tu loues, hop CSG (C’est Sur ta Gueule) + CRDS (Connard de Riche Double Sodomie). S’il te reste un pied à terre que tu ne loues pas, hop taxe d’habitation, foncier, charges, remises aux normes climato compatibles (ça viendra)…
Au moment de dire au revoir aux collectivistes écolos bobos solidaires, n’oublie pas de passer à la caisse, le fisc adore les fuyards, et pourra te soumettre à une petite ponction de départ sur ton épargne qui, je le rappelle, n’est que le résidu après spoliation. J’oubliais, si tu as un enfant mineur contraint de rester en France pour les études par exemple ou que tu es divorcé sans la garde, la Bercy Kommandantur peut considérer que tu as une attache au pays et te soumettre à l’impôt, peu importe si tu payes déjà dans le pays de ton choix; double peine, double péné.
Si tu souhaites revoir ta Normandie, le retour sera un long chemin de croix que les petits tortionnaires de l’administration sèmeront de cactus avec un large sourire qui contrastera avec leur regard plein de jalousie et de rancœur envers le traître à la patrie que tu es, non solidaire des indigents dont l’état grossit les rangs avec une réussite qui suscite l’étonnement de l’OCDE. Organise ta fuite scrupuleusement, dilue ton épargne dans de la crypto (bien que le moment soit quelque peu flottant) pour pouvoir la sortir plus aisément hors de vue des commissaires politiques. Bon vent, belle mère cammarade!
« Organise ta fuite scrupuleusement, dilue ton épargne dans de la crypto »
C’est évident !
Belle mer évidemment, pas belle mère que tu laisseras certainement au pays.
Ça me fait penser à l’histoire des deux types dont un demande à l’autre comment est sa belle mère et qui lui répond que c’est un ange. Le premier rétorque qu’il a de la chance, la sienne est encore en vie!
Sur ce, bon dimanche à tous. Soyez heureux en France ou ailleurs, et soyez impitoyables avec ceux qui en veulent à votre joie de vivre…
Vous allez vous apercevoir qu’il est plus simple de ne rien posséder en France.
Les actions, normalement cela peut se transférer d’un banque à une autre.
Sinon, si vous voulez liquider une assurance-vie, attendez d’être loin, au Portugal, faites remplir les formulaires 5000 et 5002 par votre nouvelle administration fiscale, transmettez un exemplaire à l’assureur. L’impôt à payer en France est de 7.5% sur les intérêts, sauf erreur, mais c’est ce que j’ai payé. Suivant le pays, ce n’est pas imposable.
Perso, on a passé la frontière suisse, mais je pense que c’est juste une étape : Genève la socialiste se rapproche doucement de la France
« ou le costa Rica »
ha…
Pasque trump vient d’effacer la dette ?
ça a l’air super bien géré, ou c’est ptet fait à la grecque ?
Vous semblez confondre puerto rico et costa Rica… bah, ça doit être le même merdier à la grecque… ou à la française ?
Oups, oui ^^ la honte 🙄
Pour le paiement de l’impôt en plusieurs chèques, c’est ce que je faisais mais au delà de 2000 euros d’IR, le paiement dématérialisé est obligatoire. Si t’es vieux et que tu croies que méga bit veut dire un énorme sexe masculin, le centre des impôt t’accueillera et te prodiguera toute son aide pour pouvoir te dépouiller. Pareil pour les nombreux infortunés privés d’internet malgré des installations à la pointe, dignes de la 6ème puissance éco-comique mondiale (enfin sur le papier).
Par contre, je pratique la chose pour les amendes. Je joins par exemple un chèque avec signature débordant sur les numéros en bas (adios lecteurs optiques) et avec un montant dépassant systématiquement d’un ou deux euros. L’administration me renvoie la différence que je n’encaisse pas. Des courriers sont alors envoyés pour me demander d’encaisser mais je perds ces courriers simples sans preuve de réception (pourtant je les classe soigneusement dans ma cheminée). Ca dure des mois, ça les emmerde copieusement, et tant que je n’encaisse pas leurs remboursements, ils ne peuvent pas « classer » la prune et les points qui vont avec. Je fais pareil avec les impôts locos (si senõr), la flotte, l’électricité…et le RSI qui ne me lâche pas la grappe pour mes arriérés (pas mes gosses hein). Avec ces derniers, c’est la guerre totale. Je ne prends connaissance que des significations d’huissiers, voire des recommandé sauf ceux non signés par moi-même (ma chérie par exemple ou ma fille). Je poursuis systématiquement toute entorse à la loi y compris pour l’huissier que j’ai faillis mettre au chômage pour pratiques illicites. Professionnellement, je fais pareil avec la préfecture, la CCI, la mairie, les organismes pseudo étatiques qui viennent contrôler les accès handicapés…Au besoin, je menace de m’en prendre physiquement aux cloportes désignés qui franchiraient le seuil, réclamant une commission rogatoire pour tout contrôle provenant de l’état ou une de ses strates odorantes. Je me souviens d’un malfaisant de ce genre pour un contrôle sur mes installations de sécurité (je n’ai pas une usine, j’ai une activité de bureau!). Je lui ai dit que j’étais atteins d’un cancer du certainement aux tracasseries de ceux de son espèce et que je ne croyais pas à l’enfer suite à un homicide par exemple. Le mec à foutu le camp, et a du passer le mot à ses collègues – ils ne donnent plus de nouvelles!
L’état m’emmerde et je réplique avec les armes dont je dispose, mais il est amusant de voir que l’énorme pachyderme s’emmêle les pattes graisseuses avec une facilité déconcertante. C’est énergivore certes, mais tellement plus gratifiant que le canevas 🙂
Impressionnant !
Magnifique ! Le coup des amendes inclassables si on n’encaisse pas les remboursements, je note :-). Je m’en servirai. Bon, pour tout dire, moi, toutes mes amendes pour excès de vitesse sont systématiquement commises depuis 10 ans par un ami habitant en Grèce. Ni points en moins ni amende à payer, jamais… C’est systématiquement classé sans suite. Je sais qu’il a déjà reçu 2 ou 3 avis là-bas, mais comme il n’y a aucune contrainte possible…
Encore plus magnifique ! Quoi de mieux qu’un grec pour enculer l’État
Je suppose que pour ses excès de vitesse grecs, c’est son ami de Grance qui est responsable (si on poursuit vraiment les excès de vitesse en Grèce ? Il est possible que ce soit très mollement…)
Effectivement, je vous confirme que l’inverse n’est pas nécessaire : en Grèce, s’agissant de l’efficacité administrative, ils sont très très loin des Grançais ! Même se prendre un pv pour mauvais stationnement à Athènes relève de l’exploit !
Ο ένοχος ζει στο 21 ??? 😛
Très impressionnant Ari. Vous maîtrisez donc toutes les langues !
J’ai, autrefois, roulé ma bosse entre Sparte, Thèbes et Athènes, affirme mon biographe attitré, Pheldge lui-même…
😛
Voilà ! 😉
Je me demande ce que Mounir Mahjoubi va penser en lisant tout cela aujourd’hui, après avoir été encensé – n’ayons pas peur des mots – hier ?
« Mais soyons bien clair : le travail au noir reste parfaitement illégal et hautement déconseillé. »
Ah, H16 … je comprends que dans un blog bien tenu, on ne puisse s’engager sur des terrains glissants, sans risque de se payer une gamelle … Mais quand, ceux qui sont en charge de la légalité, en ont une vision suffisamment élastique, pour se permettre de la tordre à leur profit, je ne vois pas pourquoi les autres seraient plus royaliste que le roi …
Par contre, si l’expression travail « au noir » peut rebuter certains, parce que connotée… le terme travail dans une dimension parallèle (un même lieu, dans un autre espace/temps), peut leur convenir … il faut avoir l’esprit pratique … Ce qui peut apaiser les consciences …
https://docs.google.com/document/d/1bmUisEHiVeQ0jEi68PDEn3Oj1V8CUZe9VP97E3mk3EM/edit?copiedFromTrash
Un lien repompé du billet véritable de juin 2013 qui avait enthousismé Monseigneur à cette époque.
Attention, le nom du dirlo doit être vérifié car il est possible qu’il ne soit plus le même, quatre ans et demi après.
t’as pas un autre lien, hors censure ? çuila il est soumis à validation par Google …
Tu n’as pas de compte gmail???
J’ai ouvert ce lien sans difficulté avec cette clé là.
Si fait, mais ça reste en attente de validation jusqu’à cette heure …
En passant, ce billet est un des meilleurs du Patron qui a suscité de nombreux commentaires postérieurs, y compris à l’occasion d’autres billets.
Aller relire les commentaires d’il y a quatre ans vaut ainsi l’effort, là aussi…
Un des meilleurs, oui et non, il est surtout très engagé anar.
Ce qui est marrant c’est qu’en appliquant, les ponx vont réclamer plus de ponx ^^
+1 pour Ari.
Je me souviens, j’avais à peine 8 ans, et cet article m’a vraiment remué.
Le temps s’est arrêté pour toi, tu as cessé d’evoleur…
En 2013, quand fut écrit ce billet assez rageur (et comme je le comprends), cela faisait treize ans que j’avais mis les voiles. Ficher le camp, sortir de cette caverne de voleurs qu’est devenu notre pays, est évidemment la solution. Il faut pour cela laisser beaucoup de choses derrière soi, et avoir certaines dispositions pour un ascétisme mesuré… C’est parfois impossible. Reste l’exil intérieur : cesser de pousser les brancards de la machine à se foutre du monde, ou du moins mesurer ses efforts au minimum.
Vu chez mes vieux, en couverture d’un Télérama sur sa pile (oui je sais, mais bon, ce sont mes parents quand même), accrochez-vous à votre chaise parce que ça fait tourner la tête:
« Poutine fossoyeur de la révolution d’octobre – C’est Lénine qu’on assassine »
Fin de citation. De quoi dire que Maître Hash a raison sur toute la ligne, et que ce pays est irrécupérable. Qu’il coule pour de bon. Vite.
Il faut vraiment être un irrécupérable à donf pour imaginer que l’héritage de Lénine ne mérite pas d’être préservé…
Vous pouvez aussi préserver l’héritage de Félix D. : »Quatre murs, c’est trois de trop ». Eh bien, si vous pensez qu’il en a fait abattre trois, vous vous trompez !
Ce bon Félix de fer… Combien de morts (supplémentaires) du communisme n’aurait-il occasionné s’il n’avait eu le bon goût en 26, de mourir jeune d’ « une crise cardiaque » (certains historiens se laissent aller à penser que le Petit Père des Peuples ne serait pas totalement étranger à cette survenue bien arrangeante pour ses affaires d’alors)
Ce qui est génial, c’est lorsque les différents bras armés de l’état ce sont déplacés chez vous pour votre bien et pour tenter de vous alléger de vos ressources, et qu’après ces chaleureuses rencontres, un énième service vous contacte pour vous proposer son aide (que dis-je son expertise) en matière de développement et de recrutement ! trop fort l’état.
L’état, c’est kafka
Euh caca ❗
J’aimerai juste rappeler cela :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs » (Article 35 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen, et préambule de la Constitution du 24 juin 1793).