Propreté de Paris : les factures, les rapports et les rats s’accumulent

Traditionnellement dans ce pays, le vendredi est plutôt le jour du poisson. Cependant, ce vendredi-ci, à la faveur d’une actualité très humide, je vous propose plutôt du rat et de l’âne.

Ces dernières semaines, il a beaucoup plu. La Seine s’est donc naturellement gonflée. Ses berges peu entretenues et de plus en plus encombrées des aménagements humains qui la contraignent fort ont pas mal contribué à l’augmentation du niveau des eaux au point d’inquiéter la capitale du pays dont les doigts de pieds ont commencé à tremper.

Parallèlement, savamment entretenue dans une crasse indigne par des générations de syndicalistes, de politiciens dogmatiques et de fonctionnaires déresponsabilisés, la Ville a vu ces dernières années sa population de rats et d’autres parasites des sociétés humaines exploser au point qu’on constate maintenant leur présence bien au-delà des seuls laboratoires de l’institut Pasteur (ou de ceux de Volkswagen dont la rupture de stock les a sans doute poussé à prendre des sociali singes).

Et si la plupart de ces parasites n’ont pas eu à souffrir des crues soudaines (c’est le cas des agents de verbalisation qui ont pu continuer leurs rondes sans problème), il en va différemment des rats qui, repoussés par les eaux hors des égouts, sont devenus nettement plus visibles ces dernières semaines au point de faire grogner un peu partout dans les journaux. Apparemment, la Seine et ses inondations ont un bras séculier et le glaive rongeur…

J’avais d’ailleurs évoqué le problème dans un précédent billet en me demandant ce qu’allait bien pouvoir faire pour résoudre ce problème récurrent une équipe en place depuis des années et qui n’a pour le moment montré ni sa capacité d’action, ni un historique particulièrement flamboyant en matière de gestion de l’hygiène en général et les rats en particulier.

Question qui n’est pas restée en suspens très longtemps puisqu’un début de réponse se profile déjà : on apprend en effet, par le truchement du journal Le Canard Enchaîné et du magazine Capital, que la Maire de Paris, Anne Hidalgo, a organisé des conférences citoyennes sur la propreté des rues.

Cependant, quelques détails rendent l’affaire particulièrement poivrée (et quand on parle de rats, il vaut mieux, ça occulte certaines odeurs) : afin de mettre en œuvre la volonté de la Maire de plus impliquer les citoyens dans son plan propreté de mars 2017 (le troisième depuis son élection), Anne Hidalgo a fait organiser des conférences citoyennes dans ce thème, soit sept commissions de 15 habitants chacune. On attend les marches exploratoires sur le thème avec gourmandise.

Avec son phrasé inimitable et si spécifique de la nouvelle logorrhée socialiste, à la fois creuse et pleine d’adjectifs agressivement niais, la Maire souhaitait alors « faire émerger de belles propositions » pour rendre à Paris une hygiène un tantinet plus en ligne avec son statut de grande capitale touristique.

Or, l’émergence a un coût : 224.580 euros selon un rapport d’une mission d’enquête du Conseil de Paris. Plus de 200.000 euros qui couvrent bien sûr l’organisation de ces intéressantes réunions de quartier depuis l’automne dernier mais aussi la réalisation d’un rapport dont les résultats méritent un détour dont nous fait profiter le Canard, avec par exemple une conclusion qui laisse songeur puisqu’on peut lire dans le document de 14 pages que, je cite, “la perception de la propreté à Paris se fonde en négatif sur des constats relatifs à la malpropreté”, probablement pour dire en plus diplomatique que Paris est devenu assez crado.

Le montant de l’addition reste particulièrement salée pour un document de 14 pages dont on se doute qu’il contient quelques belles évidences et qui ne risque pas révolutionner la gestion des parasites, la dératisation en milieu urbain et les idées en matière de poubelles, d’égouts et de détritus. Cependant, cette addition, ce document et ces comités de quartiers vitaminés animés par l’Anne de Paris s’ajoutent en pratique à une précédente mission d’information et d’évaluation (MIE) sur la propreté de la ville, qui n’a elle pas coûté un rond aux contribuables et avait déjà effectué le gros du travail que la Mairie s’est empressée de lancer en parallèle.

Comme nous l’apprend cet article du Figaro, il apparaît en effet que cette MIE, lancée par Florence Berthout, maire « Les Républicains » du 5e arrondissement de la capitale, a auditionné, sur l’année écoulée, 78 maires d’arrondissements, adjoints, bailleurs sociaux, représentants de syndicats hôteliers, et d’autres pour collecter leurs constats et idées sur la propreté de la ville, aboutissant à un rapport de 232 pages et 45 propositions.

La conclusion de la présidente de cette MIE est sans appel :

« 90% de ce qui est dit dans cette étude est (…) présent dans notre rapport. On a bâti des propositions concrètes sur le ‘moins salir’ et le ‘mieux nettoyer’ »

Oui, vous l’aurez compris : on a donc dépensé une coquette somme pour rassembler des données et des idées pardon de « belles propositions » sur un sujet qui avait déjà été traité et qui avait déjà permis l’élaboration d’un épais document dans lequel se trouvait déjà des propositions concrètes.

Propositions concrètes qui, sans surprise, reviennent à passer le balai… dans certaines pratiques depuis celles concernant l’absentéisme chez certains agents de la municipalité et les sanctions afférentes jusqu’au processus décisionnel trop complexe nécessitant une vraie simplification. Comme tout ceci provient de l’opposition, cela n’a probablement aucune chance d’aboutir à quoi que ce soit de concret auprès d’une Maire aussi dogmatique qu’arc-boutée sur ses procédés dilatoires. De réunions en comités, de happenings festifs et citoyens en commissions consultatives colorées, les discussions vont donc âprement continuer pour savoir qui va nettoyer la capitale, quand et comment.

En attendant, les rats de Paris dansent.

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Commentaires170

  1. Aristarkke

    Annihildalgo ne se promène donc jamais dans sa bonne ville de Paris qu’elle ait besoin d’un rapport pour en mesurer la saleté (et à quel prix de rapport !!!)

    1. deres

      Seulement en grosse berline de la municipalité avec des vitres fumées pour la protéger de la plèbe et des méchants journalistes de l’ultra-droito-sphère « qui font que dire des méchancetés sur elle ».

  2. Le Gnôme

    Durant la guerre de 14, les trancchées étant envahies de rats, le Haut Commandement offrit une prime de 5 sous par queue de rat amenée par les poilus.

    Ceux-ci commencèrent à en faire l’élevage pour gagner quelque argent supplémentaire.

    Peut être faudrait il offrir une prime au Parisien ?

    1. Aristarkke

      La même histoire court ayant pour acteurs Mao et ses assujettis durant je ne sais quel « plan de prospérité à venir » du premier cité.
      Comme quoi, à problème identique, solution identique… 😛

    2. deres

      Note bien qu’au final, c’est ce qui se produit avec toute les règlementations. le souci est qu’en plus d’avoir de très lourdes règlementations, notre Etat ne réagit avec retard que quand les contournements de la règlementation ne deviennent « mainstream » c’est à dire pratiqué par tout le monde te décrit dans les journaux. Il se passe donc généralement au moins 5 ans, souvent 10 ans avant la moindre réaction. Et si cela touche un lobby, les choses restent en place éternellement …

      Exemple au hasard, les intermittents du spectacle. Ils ont mis une législation en place permettant de vivre en travaillant la moitié de l’année : c’est devenu quasiment la norme et impossible de changer quoi que ce soit.

      Si des gens connus aux bras longs se lancent dans l’élevage de rats, cela deviendra une industrie pérenne, avec juste des règlementations pour empêcher les particuliers de rentrer sur le marché genre. Par exemple, le besoin de regrouper les queues par paquets de mille …

  3. Aristarkke

    Panaméen, je serais vachement content de voir et constater l’inefficacité crasse et coûteuse de cette morue…
    Rappelons qu’à Paris, existe une taxe spécifique de balayage et d’entretien de propreté des voiries qui est fort opportunément appelée auprès des propriétaires d’immeubles ou des copropriétés, même si elle est récupérable auprès des locataires au lieu d’être appelée comme partout ailleurs avec la taxe d’hab…
    Cela permet de faire croire aux locataires qu’ils sont avantagés par rapport à la vilaine banlieue dans l’outland et la terra incognita (sauf pour les week-ends et vacances, faut pas dec…er de trop non plus) au delà du périph’

  4. Aristarkke

    Delanopolis indique que cela ne fera jamais que le troisième plan propreté de la ville qu’Annihildalgo va proposer à la suite de ce « rapport »…
    Donc que les deux premiers ont été du pipeautage de compétition…

  5. Aristarkke

    « Ses berges [de la Seine] peu entretenues »
    Il est stupéfiant de constater, en aval proche de Paris et compte tenu du risque potentiel désastreux qui reste en suspens à chaque crue, que les berges soient restées en terrain naturel et peu renforcées par des palplanches ou systèmes similaires, surtout dans les extrados des courbes du fleuve, là où le frottement des eaux est plus intense. (*)
    D’autant que la Seine, dans cette région de l’IDF entre Essonne et Paris, coule toujours plutôt rapidement par rapport à d’autres fleuves ou rivières.

    (*) je suis exigeant. La Grance est trop pauvre avec ses budgets de famine, pour se livrer à ce genre de travaux qui ne peuvent être gérés que par les fonx, eux-mêmes en sous-effectifs criants…

    1. Aristarkke

      Pardon pas aval mais amont.
      Les lecteurs avisés n’auront pas manqué de rectifier d’eux-mêmes, grâce leur en soit rendue…
      Quoique ce ne doit pas être mieux en aval.

      1. Pheldge

        Papet, je suis sidéré ! tu as changé de smartphone ? ou bien Windows/Nokkia a fait une mise à jour, qui te permet d’afficher des caractères gras ? 😉

    2. Higgins

      Avec la crue (assez minime par rapport à d’autres: 5, 84 m contre 6,10 m en 2016 et 8,68 en 1910), Hidaldingue peut se vanter d’avoir enfin chassé les voitures des voies sur berge. Le Gif illustre parfaitement le rôle de cette dame et des politiciens. Il tombe à point nommé.
      Sinon, pour les rats, j’en ai vu cette semaine sur un quai de la gare Montparnasse, fortement impactée par la montée des eaux comme chacun sait et sur le bld des Invalides à proximité de l’hôpital Necker.
      Pour les réunions inutiles style « conférences citoyennes », j’en subis tous les jours. Impressionnant d’inefficacité. Mais comme a dit Clémenceau « Quand on veut enterrer un problème, on créé une commission (ou on fait une réunion ou on organise une conférence citoyenne) ». Il a également déclaré « L’homme (la femme) absurde est celui qui ne change jamais. ».

      1. MCA

        Ah Major, votre citation m’interpelle :

        « L’homme (la femme) absurde est celui / celle qui ne change jamais. »

        Il a oublié une autre facette :

        « L’homme (la femme) absurde est celui / celle qui change sans arrêt. »

        Et encore une autre:

        Pourquoi changer quand on a réussi à cerner la vérité, si ce n’est se plier à la loi du plus grand nombre?

      2. Jules

        Ce que je trouve effarant, c’est que ces conférences à défaut d’être inutile ne peuvent aboutir qu’à des évidences… qui échappent à ces « responsables » public (!?!!).
        Ce qui devrait mettre en lumière leur incompétence !
        Il n’en sortira pas une idée industrielle révolutionnaire 🙂
        Au pire des poncifs ou des énormités, au mieux des évidences.
        Le seul but, à mon avis, c’est de donner une impression de démocratie au gogo qui vote et de s’offrir une « légitimité » au frais du contribuable (on vous a demander votre avis « directement »).
        Et tous les jours, on repousse les limites d’accepter l’inacceptable … Kafkaïen

        1. René-Pierre Samary

          « ces conférences ne peuvent aboutir qu’à des évidences »
          Normal, Hidalgo est la reine de la tautologie. En témoignent ses performances en matière de circulation automobile.

    3. albundy17

      « peu renforcées par des palplanches ou systèmes similaires, »

      ça parait plutôt logique, Cologne a grandement amélioré sa situation concernant les crues en réaménageant des déversoirs naturels autrefois supprimés par des dispositifs que tu évoques

      1. Aristarkke

        Aménager la protection des berges aux endroits exposés n’ est pas incompatible avec la création de déversoirs de soulagement du débit de crue. Seulement, en Nord Essonne, les endroits potentiels sont peu nombreux et entourés par l’urbanisation déjà bien dense.

        1. albundy17

          « Seulement, en Nord Essonne, les endroits potentiels sont peu nombreux et entourés par l’urbanisation déjà bien dense. »

          Evidemment, mais entre inonder quelques pavillons ou Paris, le choix n’est
          pas cornélien…

      2. sam player

        Je ne vois pas trop en quoi la mise en place de palplanches (qui permet de conserver la section d’écoulement) vient interférer avec la mise en place de déversoirs naturels…

          1. sam player

            Non Al, ça ne relève pas la berge, ça évite juste qu’elle s’effondre et ce, pour conserver la section d’écoulement.
            Et les palplanches n’empêchent pas les déversoirs : il y en a plein les canaux et les rivières et les fleuves en france au moins 100 mètres en amont des déversoirs dont le seuil est aussi protégé contre l’érosion… pour pas qu’il s’abaisse.

            1. albundy17

              T’es rigolo, toto, si ça évite qu’elle s’effondre c’est bien que ça la relève par rapport à son cours naturel. T’inquiète pas pour les sections d’écoulements, fleuves et rivières ne sont jamais restés bloqués bien longtemps, et on voit le résultat de tenter leur domestication qui fonctionne uniquement quand ils sont bien pépère et qu’il ne pleut pas trop.

              Avant d’encore nous faire un fromage de bite pour prouver par a+z que t’as raison dans ta tête:

              Renseigne toi concernant le rhin, après une 40 aine d’années de bétonnage, et de palplanchage, bizarre, ils ont arraché des dizaines de kilomètre de toute intervention divine humaine, bizarrement ce fleuve qui doit faire bien 4 fois la seine n’inonde pratiquement plus…. les villes principales.

              1. sam player

                Ah oui, c’est vrai que pour toi, tes jambes te servent pour te relever…
                Pi draguer les rivières, d’après toi ça ne sert strictement à rien… vu que les berges qui s’effondrent ce n’est pas un problème…
                Tu t’enfonces…

                1. albundy17

                  Vui vui, c’est bien connu que les fleuves ont attendu l’homme pour trouver leur chemins, et bien sûr à ton habitude, tu dévies sur un autre sujet sans rapport avec mon propos.

                  1. Moudtoncafénoir

                    Quand les bergè-re-s s’effondrent en rivière de larmes il est temps de les draguer, en tout bien tout honneur va de soi 🙂

        1. Moudtoncafénoir

          Peut être parce que si, et que si, les déversoirs sont naturels il n’est pas nécessaire de les mettre en place :/ ils sont déjà là 🙂

          Et que ceux ci se remplissent lorsque le niveau du cours d’eau s’élève au dessus d’un niveau critique et déborde par certains endroits hors de son lit habituel. Endroits étant des sortes de rives-digues qui si elles sont habillées de palplanches ou autres aménagements trop haut ne servent plus d’exutoires naturels.

          Mais ce n’est qu’un peut être. Je ne connais pas bien cette région parisienne dans le Texas 😉

      3. Pheldge

        @ l’Al 7 h 18 : Cologne a également su tirer profit des eaux de crues, vendues embouteillées sous le nom « d’eau de Cologne » ou Kölnisch Wasser … 😉

        On attend donc une initiative parisienne, la ville ayant déjà une solide réputation côté embouteillages !

  6. Cyril45

     » avec par exemple une conclusion qui laisse songeur  »
    J’aurais osé : qui laisse rongeur !

  7. Aristarkke

    Comme d’hab’ Annihildalgo prétendra que tout ça, c’est rien que de la fake news lancée pour lui nuire parce qu’elle est femme et espagnole d’origine… Bref que c’est vache…

  8. Bonsaï

    Où l’on voit que le Parisien est toujours le champion du verbe creux, en passant du Figaro puis du Parisien au Canard Enchaîné et Anne H. est son prophète !

  9. sam player

    Cher Maître des lieux… en suspenS
    Ca doit être la tâche de fond qu’a déconné

    L’arbre me dit que ça vient du latin « suspensus » = incertain… c’est sûr !

  10. sam player

    Si ça tombe, c’est pas dégueu le rat…
    Il suffit parfois d’une bonne recette pour lancer une mode, cf les wings de KFC

    1. Pheldge

      Nous autres, doux sauvages des isles indo-océaniques, nous délectons d’un proche cousin du rat des villes. Plusieurs recettes disponibles, Avis aux gourmets ! 😉

      1. Le Gnôme

        Pas besoin d’aller si loin, dans nos contrées, le ragondin est parfaitement comestible, fin et goûteux.

        Le rat valait 60 centimes pièce lors du siège de 1870, voilà de la nourriture pas chère qui devrait ravir les gargotiers de la capitale.

        1. sam player

          « …60 centimes pièce… »
          Pour respecter la réglementation, merci de mettre le prix au kg 😀

          1. Le Gnôme

            Le rat mâle pèse en moyenne 500 g, ce qui fait 1,20 F le kilo. Ce prix était pour le rat complet, dépouillé et prêt à cuire, c’était 75 centimes (1,50 F). La femelle est plus légère (même les rats sont sexistes), cela fait donc plus cher au kilo.

            1. channy

              La dernière fois que j’en ai vu à la vente sur un marché en Asie, c’était environ 0.50 euros le rat entier, ouvert en 2 par le ventre,
              La bas on dit que quand la viande de rat apparait sur les marchés, c’est que les temps sont très difficiles…

              Comme quand chez nous on se tarte la tronche pour du Nutella, ou des Pampers?

        2. Citoyen

          Albundy, pourra le confirmer, mais dans sa région, des « braconniers » qui chassaient ce genre de mets, paraît-il délicieux, se sont plaint de la concurrence déloyale des zautorités, qui éradiquant ce genre de bestiole aux produits chimiques … les rendant de fait, impropres à la consommation !

          1. albundy17

            Encore un effet de bords: Le ragondin, pur herbivore, viande pas superbe mais excellent en paté, interdiction de le chasser pasque pov bête,, puis prolifération qui nique les berges, donc chimique pour les buter donc interdiction de les chasser pasque intoxication, pis interdiction du chimique, donc retour du braconnage et des patés.

            1. Citoyen

              ça confirme bien… De passage à Marennes, du coté de la noël, voir des amis, j’ai trouvé cette info hilarante dans le canard local « sud-ouest ».

            2. MCA

              Dis donc Al’, ça vaut le coup le ragondin en pâté?

              Car à St Pierre il y a une boutique qui s’en fait une spécialité et j’hésite à mettre ça à table quand Madame est avec moi ..

              Cela dit, j’ai déjà mangé de la chauve souris, de l’autruche, du crocodile alors je ne suis plus à une expérimentation près… :o))))

              1. albundy17

                c’est du paté, et pas du 20 % de ce qui est marqué comme origine sur les boites des autres viandes ds le commerce, enfin pour ceux que je mange, pas de conservateurs et autre E XXX.

                J’ai des conserves de 2007 toujours impeccables, mais évidement je laisse manger avant de donner les ingrédients surtout avec le genre 1.

                De la chauve souris à table, ça doit jeter, doit en falloir beaucoup ^^

                Crocodile, jamais goûté non plus.

                De toute façon, l’important, c’est la sauce, comme avec les cagouilles

                1. Aristarkke

                  « J’ai des conserves de 2007 toujours impeccables, mais évidemment, je laisse manger [d’abord] »

                  La bonne vieille tradition du goûteur remise à jour version 2.0 ???
                  😛

                2. MCA

                  @albundy17 3 février 2018, 21 h 53 min

                  La chauve souris est un plat national aux Seychelles.

                  Il s’agit en fait d’une bestiole assez grosse appelée roussette (du volume d’un petit chat je pense, ou d’un gros rat pour faire raccord avec l’article!), frugivore et qui, à ce titre, pille leurs vergers.

                  Pour se venger de l’impertinent animal, les seychellois(es) en font une sorte de ragoût ressemblant visuellement à un bœuf bourguignon mais en oubliant l’ingrédient principal :le pinard.

                  Ca donne donc un truc bizarre, noirâtre, sans trop de goût; par contre avec un immense avantage: à défaut d’alimenter le bonhomme, ça alimente bigrement les discussions de salon des touristes. :o)))

                  « J’ai des conserves de 2007 toujours impeccables »

                  LOL, tu veux dire qu’une fois le poil qui pousse dessus enlevé, il reste encore de la viande à manger? :o))))

                  1. albundy17

                    « LOL, tu veux dire qu’une fois le poil qui pousse dessus enlevé, il reste encore de la viande à manger?  »

                    Je peux t’assurer que ça n’a pas bougé d’un poil et on ne se choppe même pas une petite chiasse quand on en mange…

                    Mdr RPS, tu vois que tu n’aimes pas vraiment ^^

                  2. BDC

                    MCA, il y a plein de rats aussi aux Seychelles, j’en ai vu un sur une plage de La Digue en pleine journée, mais ils sont roux couleur sable là-bas, c’est (un peu) moins dégoûtant que leurs cousins parisiens.

                3. BDC

                  Des conserves de 2007 ? Pourquoi ne sont-elles pas mangées depuis tout ce temps, hein ? Et t’as intérêt à les manger dans les 2h après ouverture j’imagine. Ça me rappelle celles de ma mère spéciales pour les chiens, une odeur insoutenable à l’ouverture, pouahhh !

                  1. albundy17

                    « Pourquoi ne sont-elles pas mangées depuis tout ce temps, hein ? »

                    Grosse quantité, y a un peu de tout ce qu’un chasseur peut mettre en conserve, héritage d’un client (non, pas après qu’il en ait consommé) ça devait être ds les 6 à 700 pots…

                    Doit m’en rester une trentaine, t’en veuuuux ? 😀

                    1. Pheldge

                      T’as pas une belle-mère, des beaufs que tu détestes, bref, des gens à qui tu veux du bien ? t’aurais pu en écouler un bon paquet : »je les ai faites faitent* spécialement pour vous … »

                      * Al qui cause … 😉

                  2. MCA

                    Le Al’ en a encore de la guerre de ̶1̶8̶7̶0̶ 1914, toutes plus goûteuses les unes que les autres.

                    Il faut simplement une pince à linge pour les manger (sur le nez la pince à linge, hein?).

              2. Aristarkke

                Dis donc Al’, ça vaut le coup le ragondin en pâté?

                Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
                D’écritoire, monsieur, ou de boîtes à ciseaux ? » 😛

    2. Pythagore

      oh! Oui! surtout qu’ils doivent être nourris au maïs bio, c’est sûr. C’est bon le gésier de rats ?

        1. Aristarkke

          Moi Souris ! Des méchants vous ont dit ces nouvelles :
          Grâce à l’Auteur de l’univers,
          Je suis Oiseau : voyez mes ailes ;
          Vive la gent qui fend les airs !

          1. Pheldge

            Ouais , bin à Paris c’est aussi « Vive la gent qui, verbe à l’aise, vive la gent qui vert balise ! » 😉

  11. Duff

    Paris devient une décharge à ciel ouvert. Des travaux inutiles qui n’en finissent plus, des ordures partout, le métro qui pue le shit ma dernière escapade était saisissante. Je n’y vais presque plus. J’habite juste de l’autre côté du bois de Boulogne…

    1. Jacques Huse de Royaumont

      De toute façon, entre les RER qui ne circulent pas un W-E sur 2 et la chasse aux automobilistes, il vaut mieux ne pas s’y aventurer.

    2. Gosseyn

      De l’autre côté du bois de Boulogne …
      C’est vous qui avez rapporté cette conversation :
      –  »Bonjour, j’ai 42 ans, je suis député et honnête homme…
      –  »Et moi j’ai 30 ans, je suis pute et vierge !

  12. René-Pierre Samary

    “la perception de la propreté à Paris se fonde en négatif sur des constats relatifs à la malpropreté »
    Cet énoncé est un chef-d’oeuvre, qu’en amateur de style je ne peux qu’admirer sans réserve.
    On pourrait traduire par : ‘La propreté c’est le contraire de la malpropreté », et critiquer une inutile verbosité. Bien au contraire, admirons la concision de cette phrase, qui en quelques mots résument toute une histoire. Voici un observateur se baladant au milieu des détritus. Son esprit de synthèse l’amène à qualifier cet état de choses d’un mot : « malpropreté ». Loin de se contenter de ce diagnostic élémentaire, il réfléchit à ce qui pourrait être le contraire de ce qu’il voit. Il supprime mentalement ce qui l’amenait à conclure par le constat « malpropre », et découvre le concept de « propre ». Il a « fondé en négatif ».
    Comme notre observateur est un homme prudent, il se méfie de sa propre subjectivité. Si la vision d’ordures répandues sur le trottoir peut être objectivement qualifiée d’un constat, la représentation de son contraire, née de son imagination, peut être fallacieuse. Il le qualifie précautionneusement de « perception ».
    Un pareil travail, ça mérité bien une coquette rémunération, non ?

    1. Calvin

      Aveugle devenu malvoyant,
      Sourd devenu malentendant,
      Saleté devenue malpropreté…

      Les mots, les maux de ce pays. .
      Ils sont modifiés mais les problèmes demeurent.

      1. Moudtoncafénoir

        La novlangue (en anglais Newspeak) est la langue officielle d’Océania, inventée par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949)[1].

        Le principe est simple : plus on diminue le nombre de mots d’une langue, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir, plus on réduit les finesses du langage, moins les gens sont capables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l’affect. La mauvaise maîtrise de la langue rend ainsi les gens stupides et dépendants. Ils deviennent des sujets aisément manipulables par les médias de masse tels que la télévision.

        C’est donc une simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l’expression des idées potentiellement subversives et à éviter toute formulation de critique de l’État, l’objectif ultime étant d’aller jusqu’à empêcher l’« idée » même de cette critique

        Exemple:
        Si la langue possède le mot « bon », il est inutile qu’elle ait aussi le mot « mauvais », car cela suppose l’existence de nuances entre ces deux termes. Le concept « mauvais » est donc détruit pour être remplacé par le « non bon », fabriqué en ajoutant un préfixe marquant la négation (cela donnera « inbon »). En langue anglaise, cela donne : « good », « ungood » et « plusgood » et même « doubleplusgood ».

        https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Novlangue

        1. MCA

          @Moudtoncafénoir 2 février 2018, 11 h 36 min

          Ce qui explique que celui qui ne possède qu’un vocabulaire rudimentaire ne peut pas exposer et défendre son point de vue d’une façon civilisée et convaincante et se trouve réduit à la dérive de la violence physique pour obtenir gain de cause.

          L’ed nat a du boulot sur la planche!

          1. Moudtoncafénoir

            « L’ed nat a du boulot sur la planche! »
            Si tant est qu’ils aient conscience des réels enjeux ou qu’ils n’aient pas capitulé en en prenant conscience. Il faut reconnaître que le néo-fascisme se dissimule plutôt bien derrière la social démocratie, idiote utile d’un néo libéralisme ultra agressif.

          2. astazou

            « L’ed nat a du boulot sur la planche! »
            Bah non, pas du tout. Mission parfaitement accomplie. C’est juste que ces naïfs de profs et de mougeons n’ont pas compris.

    2. Pheldge

      RPS du rapport ça-comme, je t’en ponds autant que tu veux, surtout à ce tarif ! d’autant que tu connais at apprécies mon style unique, inimitable « The Pheldge’s Touch™ ».
      Alors, je commence quand ? et prépare les talbins ! 😉

      1. Aristarkke

        A t’en croire, ce ne peut être que tes ex petites protégées qui soient réellement capables de parler le mieux de la Pheldge’s Touch…

        1. Pheldge

          Vous-z-êtes rien que des gros jalminces de pervers libidineux, je parlais de rapports écrits ! 😉

      1. René-Pierre Samary

        C’est assez bidonnant, ces confusions caractéristiques entre une « oeuvre d’art » et une vulgaire saleté. Entraîné par une amatrice d’art contemporain dans une exposition où des personnages en chair et en os prenaient des poses, j’ai fini par m’asseoir dans un coin sur une chaise qui se trouvait là. Les amateurs s’arrêtaient devant moi, me regardaient comme une des « oeuvres d’art ». Mon amie, quand elle me découvrit, n’était pas très contente…

        1. sam player

          Moi j’avais posé ma montre XXème siècle Gucci sur une étagère de tocantes… les gens s’esclaffaient…

        2. Jacques Huse de Royaumont

          Cf « la grande falsification » de JL Harouet, pour ceux qui aiment dégommer l’art contemporain.

              1. Gosseyn

                Comme le rapport Hideusego sur la saleté : Arriver à verser plus de 200 000 euros à une personne soigneusement choisie, en paiement d’un fascicule, c’est aussi de l’art !

                Le refrain d’une chanson de Tachan disait  »Sachant que le maire touche dix pour cent … »

          1. Jérôme

            Pour avoir travailler dans un musée d’art contemporain, je peux vous assurer que la majorité fes fonctionnaires s’occupant de l’exposition de ces merdes sont du même calibres que ces dernières. Et les pseudos artistes bien comptant de vivre au crochet des contribuables et grâce au snobisme des élites municipales.

            1. Val

              Chapeau Jérôme ça n a pas du être facile … vous tentiez une experience de survie en milieu hostile ?

              1. Jérôme

                Oui en quelque sorte :mrgreen: , mais j’ai échoué en envoyant se faire foutre un responsable de collections . Viré mais vacciné à vie. Quand j’y repense, si c’était à refaire je recommencerai sans hésiter car ça m’a ouvert bien grand les yeux et fait gagner du temps dans ma carrière.

                1. Pheldge

                  quelle déveine que d’être tombé sur l’un des rares hétéros de la profession, qui n’a donc pas vraiment apprécié !

            2. Semaphore

              Le Mac Val (musée d’art contemporain-mauvais esprits!) de Vitry sur Seine fait à peu près 70/75.000 entrées annuelles (compris les visites scolaires qui meublent le score)… Quelle foule…

        3. Aristarkke

          Craignait elle que cela ne fasse monter les enchères trop haut pour elle ???
          Cela doit remonter loin en arrière, ta sensibilité à l’ opinion du genre un… 😉

  13. Calvin

    Le track record d’Annhidaldingue est vraiment impressionnant.
    Tout, absolument tout ce qu’elle tente, finit en catastrophe, gabegie, dysfonctionnement ou tout ça réunis.

    Je me demande s’il n’y a pas un lien de parenté avec F. Hollande…

    1. Citoyen

      Si, à Paris, il y a des rats à éradiquer, mais il y a beaucoup d’espèces … Et les plus nuisibles, ne sont pas ceux qui sont dans les égouts …. Il y a bien pire !

  14. sam player

    Il semble d’après wiki que les rats ont un rôle utile car ils dévorent 800 tonnes d’ordure par jour sur Paris et que sans eux les égouts seraient bouchés en permanence…

    1. Val

      @sam commentaire de mon mari : si tu veux des rats pour vider tes poubelles on peut t en livrer chez toi . :mrgreen:

  15. MCA

    Allez, puisqu’on arrive à l’heure de l’apéro, je vous apporte les cacahuètes :

    Lorsqu’il s’agit de propreté, l’attrait réside aussi dans la diversité des sujets abordés.

    Je vais donc évoquer un autre domaine d’actualité que les rats et poubelles :

    5 800 000 kilos de crottes de chien sont délaissés sur les trottoirs parisiens chaque année.

    Dit comme cela ça ne parle pas trop à l’esprit, alors imaginez que ça fait environ 10 trains complets de 20 wagons transportant 30 tonnes chacun.

    Assez curieusement, le génie qui nous avait gratifié de moto-crottes s’est fait assez discret lorsqu’il s’est agit de supprimer cette curiosité aussi bruyante que rigolote.

    Et pour terminer, parlons aussi du nettoyage au Karcher de ces souillures malodorantes.
    Ca revient in fine à transformer une matière brune, grasse et glissante en nébulisations bienfaitrices pour nos bronches qui commençaient à s’encrasser par les particules fines de ces maudits diésels.

    Bon apéro à tous !

    1. René-Pierre Samary

      Ma fille, qui d’habitude ramasse soigneusement les déjections de son animal, oublia un jour de le faire. Elle fut aussitôt verbalisée, et l’amende n’est pas légère. Environ 70 E., si je me souviens bien. Les agents l’ont même accompagnée jusqu’en bas de son immeuble, pour être sûrs qu’elle s’exécuterait.

  16. Theo31

    Vais pas les plaindre les Parigots : ils aiment tellement se faire enculer par les soces qu’il n’y aura pas besoin de donner le droit de vote aux rats pour se faire réélire.

    1. Vassinhac

      Le problème est que ceux qui apportent les sousous à la Ville, savoir les salariés travaillant à Paris, n’ont pour beaucoup pas le droit de vote.

  17. Guillaume_rc

    « Traditionnellement dans ce pays, le vendredi est plutôt le jour du poisson. »
    ouh la la Patron !
    Que dîtes vous là cette phrase foule au pied notre laïcité chérie en faisant allusion à d’imaginaires racines chrétiennes brandies par des nostalgiques des zeureslesplussombresdenotrehistoire qui veulent porter atteinte au merveilleux vivre-ensemble de notre territoire, tant il est vrai qu’il est toujours fécond le ventre de la bête immonde.
    J’ai bon ?
    Bref, faites gaffe ou Plenel va intervenir

  18. Pencilivy

    A 16.040 euros la page, c’est un rapport qu’il faut garder au propre !

    Ce n’est donc pas aux agents de la « propreté de Paris » que je le demanderai, les ayant vus le weekend dernier à trainer leur balai derrière eux (parce que apparemment, ça doit peser très lourd)… sans balayer les ordures sur le trottoir.
    14×16.040 pour dire qu’il faudrait passer un coup de balai…
    Visiblement l’argent des autres, ça brûle les doigts. Mais pas les ordures.

  19. LaurentaLA

    « Le montant de l’addition reste particulièrement salée »: la phrase a un soucis je crois. Vu comme ca on devrait ecrire « Le montant de l’addition reste particulièrement salé », mais meme comme ca on arrive a un truc curieux. Une addition est salee, pas un montant.

    1. sam player

      Là on touche à la diptérophilie et seul un spécialiste peut répondre : Harry, on te demande !

        1. Moudtoncafénoir

          Certes « Le montant de l’addition » est redondant.
          Et l’ensemble du total des parisien-ne-s est redindon.

  20. WorldTour73

    En 2020, la ratpublique en marche devrait faire un malheur à l’election municipale. Selon le premier sondage de l’ifop la liste de la ratpublique en marche représente par Ratatouille devrait faire 57% face à la liste ps d’Hidalgo. Mais rien n est encore joué.

  21. Daniel

    Il ne faut pas oublier que les écolos bobos parisiens ont interdit l’usage des produits efficaces pour éliminer les rats, les puces de lits, les fourmis, politiques et autres bestioles qui maintenant prolifères. Pour compléter le tableau, il ne reste plus qu’un retour de la peste, ce qui ne va pas tarder.

    1. Gosseyn

      Les punaises de lits …
      À ne pas confondre avec les punaises infestant les fauteuils de la République …

    1. Higgins

      Les Sables d’Olonne sont une assez grande station balnéaire qui vit également l’hiver. Je crois bien que le remblai est piéton l’été ce qui n’est pas choquant car il n’a pas, en largeur et en longueur, l’ampleur de celui de Saint-Jean de Mont. Cette dernière cité est, en comparaison, plutôt morte à la même saison.
      Aux Sables, la proximité du centre-ville et de la plage, point d’attraction majeure l’été, interdit les politialacons qui fleurissent partout en France au nom des egos surdimensionnés des élus et de leur dogmatisme escrologiste imbécile (c’est le cas chez moi où la conjonction de la connerie abyssale de la municipalité alliée au changement d’habitudes des consommateurs et aux grandes surfaces qui ont fleuri bizaremment en périphérie avec des parkings gratuits de 10 000 places aboutissent à un centre-ville autrefois dynamique en pleine désertification). Pas de parking pour aller à la plage, pas de touristes. CQFD.

  22. albundy17

    « Paris a connu une « baisse record » du trafic automobile en 2017 (- 4,8 %), affirme Anne Hidalgo, qui se félicite d’une « politique des transports qui porte ses fruits ». » Qu’en pensent les parisiens ?

    1. MCA

      Elle peut bien dire ce qu’elle veut, ça sent la propagande à plein nez, d’autant que nous n’avons aucun instrument de mesure pour confirmer ou infirmer ses dires.

      Tout au plus avec ses interdits divers et variés, les bouchons s’accumulent et la pollution qui va avec aussi.

      C’est dingue ce que la conn*rie et le dogmatisme associés au pouvoir peuvent générer de nuisances.

      En la matière, les voitures affichent un retard certain.

  23. Pheldge

    sans commentaire :
    lepoint.fr/politique/proprete-a-paris-anne-hidalgo-fustige-l-incivisme-05-02-2018-2192282_20.php

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