L’article scanné ci-après (cliquez dessus pour le détail) provient des Echos du mardi 13 septembre. J’espère ne pas enfreindre les lois du copyright en le présentant ici, mais ne puis résister à porter à votre connaissance ce nouveau scandale de nos amis cégétistes de front, magouilleurs de dos.
Cet article appelle une prochaine action d’envergure (que je vous soumets ci-après sous la forme d’une simple équation de bon sens) qu’il faudrait prévoir dès que le trou abyssal financier sera déterminé (si tant est que cela soit possible) et que les têtes seront connues.
(Trou / nombre de clients EDF-GDF – malandrins cégétistes à l’origine du scandale) = franchise de facture par client-contribuable
ce qui signifie que vous pourriez dès lors :
– tout laisser allumé chez vous, même en partant en vacances (pas en centre EDF parce que ça aura disparu)
– reporter sine die les travaux de calfreutrement ou de doublage onéreux de l’appartement ou de la maison
– condamner tous les interrupteurs (ça ne servirait plus à rien)
– laisser les fenêtres ouvertes de novembre à novembre, pendant toute votre vie (même si vous vivez en montagne à 2 500 m)
– bronzer aux halogènes 300W gratuitement quand ça vous chante
– etc…
… parce qu’avant de consommer personnellement
quelques milliers (millions ??) d’euros d’électricité et de gaz… même les futurs prochains petits-petits enfants conserveront la gratuité.
Plus sérieusement :
Bilan et préconisations :
– il faut mener une pétition d’envergure contre ce scandale;
– refuser de payer la note qui suivra les résultats du procès (EDF récupèrera ses billes au 263 Rue de Paris 93516 Montreuil Cedex, auprès de sa nouvelle pompe à fric – a priori ils ont déjà de l’avance);
– y associer des représentants parlementaires permettant éventuellement de créditer la démarche du refus, du moins de porter l’opposition et le raz-le-bol de cette énième bâtardise (ça suffit !) au niveau du Parlement;
– interdire définitivement la main-mise cupide de la petite CGT (ne jouissant d’ailleurs d’aucune représentativité) et de ses affiliés sur les organes internes aux entreprises publiques (refuser ainsi qu’un seul euro de nos prélèvements ne soit touché par ces opportunistes de la grêve généralisée).
A suivre début novembre dans (peut-être) tous les kiosques et sur les ondes.