Quand je lis la presse nationale, je suis souvent plongé dans une intense réflexion. En effet, le lecteur moyen que je suis ne sait pas comment se déroule le processus intellectuel qui aboutit à produire un éditorial tel qu’on peut les lire dans les « grands » quotidiens français. Alors, ma pensée vagabonde et se prend à imaginer les événements et le contexte qui ont présidé à la réalisation d’un truc comme … ça.
Rien que la lecture de ce court articulet de quelques centaines de signes permet de classer immédiatement ce qui suit dans les Pignouferies de la presse.
En effet, même si l’article est court, il est renversant d’illogisme, d’idées toutes (mal) faites, et, pour résumer, un grand n’importe quoi indigent assez représentatif tant des capacités moyennes de Joffrin que des meilleures analyses du quotidien pour lequel il sévit.
Il y a d’ailleurs quelque chose de quasi-héroïque dans cette propension phénoménale à raconter autant d’inepties dans un aussi petit volume. Pas facile, quand on y réfléchit.
C’est d’ailleurs en y réfléchissant (d’où mon introduction) que je me suis demandé comment on pouvait en arriver là. J’ai donc imaginé un Laurent Joffrin, égal à lui-même, courant les pieds nus dans une pièce remplie d’objets bas avec le doigt profondément enfoncé dans l’œil, comme à son habitude, essayant sans doute d’atteindre son rectum par le mauvais côté. Il court, s’époumone, zigue et zague vaillamment, et là, patatras, c’est le drame.
Dans les secondes qui suivent la chute, de fulgurantes idées lui passent par la tête. Il les couchera plus tard sur papier. Quatre paragraphes de bonheur ? Allez, zou, envoyez les rotatives, c’est du bon, les enfants !
Ohpopopopop attendez un peu avant de faire tourner les machines.
…
Calmons-nous.
Car à bien y regarder, dans ces quatre paragraphes, Joffrin démontre à la fois sa parfaite méconnaissance de ce qu’est le libéralisme (normal, c’est un journaliste à Libé), son ignorance du marché des télécoms (logique, il en parle), la pauvreté de son argumentation pro/anti concurrence, particulièrement foutraque, et pose une question en fin d’article à laquelle il s’empresse de ne pas répondre et de ne surtout pas mener ou faire mener d’enquête, dans la plus pure tradition du journalisme d’investigation qu’on a oubliée depuis des lustres.
En effet, à l’entendre, il n’y a pas contradiction à s’opposer à la privatisation de la Poste, et dans la même foulée athlétique, à requérir une plus grande ouverture de la concurrence pour les télécoms.
Et son explication de cette position paradoxale ?
Pour la Poste, le gouvernement devrait bien arriver à bien gérer le bazar. Et pour les télécoms, la privatisation est acquise, donc un concurrent de plus, c’est toujours bon à prendre.
Voilà. Emballez c’est pesé et envoyez les rotatives, c’est du bon, les enfants !
Ohpopopopop attendez encore !
C’est quoi cette explication qui n’en est pas une ? Monsieur Joffrin, c’est tout ce que vous avez dans votre ventre repu de journaliste-people salarié par un grand quotidien ?
Allons ! Un peu de sérieux, tout de même. Même si les informations du monde réel semblent difficilement parvenir jusqu’à la rédaction de Libé, vous devriez avoir entendu dire qu’un marché sur lequel l’état met une très très importante barrière à l’entrée (plusieurs centaine de millions d’euros) est tout sauf libéralisé, non ?
Il est vrai que la cohérence générale ne vous étouffe pas … Et bien qu’en général très critique de ce que peut dire un gouvernement, surtout s’il est de droite, vous n’avez pas eu de mal à gober ce mot de « libéralisation » claironné à longueur de temps par les politiques.
Mais non, décidément non : le marché des télécoms en France n’est pas libéralisé. Il a été transformé en cartel, avec la bienveillance de l’état qui, contre une absence de guerre des prix et – par voie de conséquence – une TVA élevée, récupère des monceaux de thune auprès des consommateurs qui payent cet oligopole de fait.
Quant à l’autre remarque sur la Poste, vous nous dites donc, je cite:
« il doit être possible de bien gérer la Poste en la maintenant dans le périmètre public. »
Ah oui, puisqu’il suffit de, y’a qu’à. Fastoche. Allez, emballez c’est pesé et envoyez les rotatives, c’est du bon, les enfants !
Ohpopopopop Monsieur Joffrin, calmez vos hormones !
Il n’aura pas échappé à la sagacité des immenses journalistes d’investigation de Libé, dont, je suis sûr, vous faites partie, que la Poste est dans une situation financière globalement pas top depuis … des dizaines d’années : sans le milliard d’euro de l’Etat pour payer ses retraités, la Poste serait mise en faillite, purement et simplement.
Alors prétendre que l’affaire pourrait être bien gérée, alors qu’on patauge dans cette situation depuis plus d’un demi-siècle et qu’elle s’est dégradée au fur et à mesure qu’aucune décision n’a été prise, cela revient à dire que sur les années passées, les gouvernements et les patrons de La Poste ont été des branquignoles et qu’à présent, il suffit de trouver quelqu’un de compétent.
Autrement dit, avant, on ne savait pas faire, mais maintenant, on va faire comme il faut, pouf, comme ça. Suffisait de le dire. Sacré Laurent.
En outre, le soutient des journalistes de presse, et de toute la presse en générale, à la Poste, ne proviendrait pas des accointances naturelles de l’une avec l’autre ? N’y aurait-il pas là matière à investigation ? Ce serait pourtant intéressant de mesurer exactement de combien dépendent les organes de presses des accords passés avec la Poste. Accords qui, finalement, n’améliorent certainement pas le sort de la Poste et, malgré tout, ne permettent pas à la presse de briller dans les kiosques…
Voilà : ça, c’est du grââând journalisme à la française, début XXIè siècle, dans un journal sous perfusion de subventions étatiques, au milieu d’un gouvernement de droite auquel il est sensément opposé.
Bah.
Monsieur Joffrin, il n’y a guère de doute. Vous pouvez vous cacher derrière votre petit doigt en prétendant rester cohérent avec vos piètres arguments, mais en réalité, il s’agit d’opposition. Purement, simplement, bêtement et stérilement, de l’opposition.
Le gouvernement est, notamment pour des raisons européennes, pour la privatisation de la Poste ?
Alors Libé et Joffrin seront contre.
Le gouvernement est, pour des raisons de lobbyisme qu’il serait dangereux pour un organe financé par l’état de dénoncer, de plus en plus favorable au statu quo dans les télécoms ?
Alors Libé et Joffrin seront contre.
Mécaniquement.
Le souci étant, et vous l’avez bien compris, sacré Laurent, que les deux positions ne sont pas cohérentes sur le plan de la logique pure, mais seulement sur le plan de la logique partisane, celle du militant engagé… Pour ma part, quand on ne sait être ni cohérent, ni pertinent, on ne mérite pas de subventions. Et couper vos subventions, c’est à coup sûr faire disparaître Libé.
Et bien soit.
Delenda Est Libération.
Clap clap *applaudissements*
Monsieur Joffrin ne voit manifestement pas le lien pourtant évident entre le moindre cout à tout prix et les suicides à France Telecom,
Pour le coup, il n’est pas le seul. En revanche, je vois bien le lien entre la récupération assez dégueulasse du malheur de certains pour faire passer un agenda politique. C’est beau, la politique socialiste.
pourtant il est évident que la logique boursière, concurrentielle est generatrice de ce management par la terreur.
Ah oui d’ailleurs IBM, Microsoft ou Google et tutti frutti cotés au NASDAQ et complètement dans la logique boursière sont réputés pour leur nombre de suicides ! Ah mais ah oui zut c’est vrai, ce sont des entreprises gérées correctement, c’est à dire dont l’état n’est pas l’actionnaire principal !
Les 70 suicides en 18 mois à France Telecom
Et en plus, ça bidonne de la stat à tour de bras !
dont 24 sont prouvés comme etant directement liés à ces methodes de management
Prouvées ? Vite, des sources, des sources, Lulu ! Phare de la pensée gaulliste, dites nous en plus !
ne sont hélas pas les seuls, la situation n’est pas brillante non plus à SFR ou chez Bouygues selon les synidcats du secteur des telecommunications.
Ah bon ? Mais pourtant, ça ne se suicide pas à tour de bras chez eux. Et toujours pas de suicides par douzaines chez Toyota (pourtant mal en point) ou Nokia (pourtant dans les télécoms, il me semble), et tous, pourtant confrontés à la méchante réalité boursière… Ah oui mais zut, l’Etat n’est pas actionnaire chez eux.
Y aurait-il un lien ?
Non, je ne peux pas le croire.
Dans la recherche du moins cher, du plus concurrentiel on aboutit aussi fatalement au moins disant social et aussi au management par la terreur et à la surexploitation, les employés de banques soumis au même regime qu’à France Telecom, les employés de la grande distribution avec des horaires de retour dementiels idem.
Oui oui. C’est cela. Bien sûr.
Mais cela n’interpelle pas Laurent Joffrin, il semble être incapable de faire le lien entre un principe et les derives qu’il induit.
Oh, vous savez, Joffrin, il a de petits moyens. Vous devriez bien vous entendre avec lui, pourtant.
Certes il y a des managers voyous, mais il y a aussi tout un contexte un système qui les y pousse ou le leur permet, et Laurent Joffrin se fait complice de ce système.
Z’avez raison. Joffrin, à la potence ! Salaud de suicideur à FT !
De plus bien entendu on sait aussi très bien que le court termisme s’accomode mal des grandes avancées technologiques, genre la fibre optique partout,
Impressionnant concentré de conneries.
mais Laurent Joffrin en bon liberal est incapable de le voir,
Encore plus fort, Joffrin libéral. Et aussi unijambiste guatémaltèque cracheur de feu, à ses heures perdues. Si si. Vérifiez.
je lui conseille de changer de lunettes pour qu’il voit la réalité en face, parce que quand des principes ideologiques conduisent à l’hecatombe qu’on voit à France Telecom je crois qu’il faut au minimum s’interroger, n’est ce pas ?
Hécatombe ? Allons ! Holocauste, mon cher, rien moins ! Holocauste, vous dis-je.
Vous avez passé la surmultipliée, vous, là. Incroyable.
Peut-être que si le secteur public bossait un peu plus et qu’il y avait moins d’assistés à nourrir, le secteur privé aurait les épaules moins chargées, vous ne pensez pas ?
Ou alors on devient tous fonctionnaires, comme ça plus de stress ?
Les libéraux vantent la casse des services publics comme un miracle qui va apporter qualité de service et prix en baisse en raison de la concurrence entre prestataires ( et je ne parle même pas de vos fantasmes sur la fonction publique).
Ah, intéressant. Disons que Les Gaullistes Imaginent Que Les Libéraux patati patata, c’est plus proche et moins caricatural de la réalité, à la limite.
La réalité s’avère être l’exact contraire.
Quelle réalité ? Je préfère demander, parce que je ne suis pas sûr d’être du même univers que le vôtre, qui, perpendiculaire au nôtre, ne se touche manifestement que pendant quelques secondes, pendant lesquelles vous postez un flot impressionnant de trucs fort rigolo (si si) mais en rapport de plus en plus ténu à la réalité, au fur et à mesure que vous vous ré-éloignez de nous.
Les prix grimpent en flèche, la qualité de service devient proche du néant, le client, une fois dans les filets, est considéré comme une vache à lait qui a juste le droit de donner ses coordonnées bancaires pour se faire traire à date fixe et surtout la « concurrence » est la pire des escroquerie.
Oui, c’est totalement exact. D’ailleurs, les yaourts, les voitures, les entreprises de maçonnerie, les aspirateurs, les avions et les logiciels (entre des millions d’autres produits) ne doivent rien à la concurrence, leurs prix grimpent en flèche – des yaourts à 2650€ le pack de 4, franchement, ça peut plus durer, il faut que le gouvernement intervienne ! – et une qualité de service proche du néant, avec ces voitures kleenex tout en carton, achetées à 104.440 euros minimum et qu’on jette au bout de 25 km !
L’exemple de la téléphonie mobile en est l’exemple le plus flagrant, le plus concluant. Les trois opérateurs « concurrents » proposent les mêmes services, les mêmes prix et ont tous autant d’égard pour leurs vaches, leurs clients pardon. Quand vous n’êtes pas satisfait de votre prestataire actuel, en changer ne réglera rien. Loin de là.
Oh et la barrière à l’entrée à 600 millions d’euro la licence, c’est du poulet libéral, aussi ? Non seulement, vous êtes en surmultipliée, mais en plus, vous êtes en roue-libre. Paradoxman, en somme !
Ce modèle merveilleux arrive pour le domaine de l’énergie, bientôt pour la Poste (malgré la campagne héroïque du non à la privatisation), et bientôt encore pour la santé, les transports, l’Éducation, la Justice, …
Héroïque ? Ah oui, c’est mené par des communistes. Normal que vous aimiez. Et quand on vous dit socialiste, vous renfrognez votre petit nez en disant que nenni.
C’est un peu hypocrite, ça.
Pas très joli joli.
FT, SFR et bouygues à la recherche du moins cher et du plus concurrentiel ?
Décidément, on aura tout entendu…
Pour votre gouverne, Debout la République a participé et soutenu le référendum populaire sur la poste qui s’est tenu il y a peu. Pour le reste je ne répondrais même pas tellement cela est bas, vous chercher toujours à caricaturer les gens, et à jour a plus libéral que moi tu meurs.
Povtiboudchou. Je caricature ? Allons, je n’en ai même pas besoin : vous enfilez les perles et les clichés avec une telle aisance ! D’un côté, vous dites que la recherche du prix bas entraîne les suicides, mais de l’autre vous dites que les prix sont trop élevés à cause de la concurrence ! Tout ce que vous racontez est incohérent, vous vous défendez d’être socialiste et vous allez soutenir un mouvement anti-privatisation composé exclusivement de socialistes et de communistes, etc… Et vous me dites que je caricature ?
Laissez-moi rire.
> Ce modèle merveilleux arrive pour le domaine de l’énergie, bientôt pour la Poste (malgré la campagne héroïque du non à la privatisation), et bientôt encore pour la santé, les transports, l’Éducation, la Justice, …
Ce modèle merveilleux fonctionne déjà plus bien pour les vêtements, les tondeuses à gazon, les compagnies aériennes, les parcs d’attraction, le dentifrice, etc.
Mais comme je dis toujours, je suis prêt à faire un deal avec les socialistes : on vous laisse nationaliser les usines de dentifrice, vous nous laissez privatiser l’éducation (ou les transports, ou de manière générale tout ce qui est important). Avoir une marque de dentifrice unique, dont chaque tube coûte 0.5% de votre salaire, c’est assez gênant mais ce n’est pas la fin du monde (le plus gênant, c’est surtout quand il y a pénurie de dentifrice parce qu’il y a encore une grève à France Dentifrice).
> Pour votre gouverne, Debout la République a participé et soutenu le référendum populaire sur la poste qui s’est tenu il y a peu.
En effet, on peut voir sur le site web du référendum en question ( http://www.appelpourlaposte.rezisti.org/spip.php?article77 ) le nom de votre parti politique, au milieu de celui d’organisations comme la CNT, SUD PTT, Alternative Libertaire, le NPA ou ATTAC (y’a même les marxistes-léninistes du PCOF).
Socialiste.
Il ne faut surtout pas privatiser la Poste.
Mieux vaut laisser les concurrents se développer, et laisser la Poste mourir à petit feu.
Il y a encore des gaullistes? Quelle bonne blague.
Non, il y a encore des gens qui se réclament du gaullisme pour prétendre ratisser à droite avec une philosophie rad-soc.
(Au temps pour cette petite digression mais que c’est horripilant. J’aurais bien une comparaison à formuler entre la récupération du « gaullisme » par certains et un autre type de récupération beaucoup plus courante de nos jours, mais ce serait de mauvais goût…)
Sinon, pour la Poste, voir ce billet d’Authueil (http://authueil.org/?2009/10/02/1451-escroquerie-democratique) qui cerne la question avec justesse.
Libé est payé par l’Etat (nombreuses subventions) pour dire tout le contraire du gouvernement, pour que les Français aient l’illusion qu’il y a un débat dans ce pays. Simple et efficace.
Concernant la situation financière de La Poste,vous écrivez que « sans le milliard d’euro de l’Etat pour payer ses retraités, la Poste serait mise en faillite, purement et simplement. » alors que l’hérétique écrit sur son billet sur ce sujet que :
« La Poste, jusqu’à 2006, réduisait régulièrement son endettement, grâce à ses bénéfices (un bon exemple à suivre pour l’État). Mais l’État a opéré alors une sévère ponction sur cette entreprise pour financer des retraites et a de ce fait doublé son endettement (près de 6 milliards d’euros). En dépit de ce lourd handicap, la Poste a recommencé à réduire son endettement. »
Je connais mal ce sujet : Qui ou que croire ?
Comptablement, l’Etat prend à sa charge environ 1 Geuros de retraites, mais a réclamé de la part de la Poste des provisionnements d’où le trou constaté. Ceci posé, j’ai eu pour ma part un peu de mal à trouver mes chiffres, et je suis tout prêt à me faire corriger. Et de façon plus générale, la situation publique de la Poste et son régime spécial rendent les calculs comptables difficiles mais il n’en reste pas moins que :
J’en veux pour preuve que si l’Etat est très réticent à ouvrir le capital de la Poste, c’est parce qu’il sait très bien qu’il lui sera difficile de trouver des acquéreurs. La concurrence sera très rude sur le marché du <50g, et elle est déjà terrible sur les paquets. Si on ajoute à ça que l'internet progresse plus vite et mieux que la Poste, on comprend les soucis qu'elle a à se faire.
La vache, il est en forme le Lulu…!
Toujours cette impression de Deja vu dans cette critique purement ideologique.
Parcequ’il est tellement evident que c’est la ou les libertes sont ecrasees au maximum que l’on vit le mieux. Certes a Cuba il n’y a pas trop de probleme niveau communication, d’ailleurs le monde entier profite aujourd’hui des technologies developpees en urss, en Chine et en Coree du Nord. C’est exagere? Oui c’est vrai, la France socialo-communiste a su imposer sa technologie via le minitel dont plus personne ne peut se passer aujourd’hui. Tant que la France sera peuple de ce type de cretin congenital, aucun risque de voir deferler les vagues meurtrieres d’un liberalisme qui ravage le monde. Une question tout de meme; pourquoi tous ces gentils anti-liberaux ne degagent pas vivre leur reve totalitaire a Cuba ou encore en Coree du Nord? la peur sans doute…
Lulu berlue?
Lulu est le fils de Maurice b.Il a voulu dépasser son père en radicalisme,alors il a adhéré à DLR.
Autrement,il faudrait dire à ceusses de DLR que De Gaulle au début avait comme conseiller économique Jacques Rueff,économiste orthodoxe et libéral.
« Pour votre gouverne, Debout la République a participé et soutenu le référendum populaire sur la poste qui s’est tenu il y a peu. » : des supplétifs ?
FT, SFR et bouygues à la recherche du moins cher et du plus concurrentiel ?