Je profite de ce dimanche pascal pour annoncer à mes quelques lecteurs que, eh oui, c’est comme ça, c’est très triste, mais je vais prendre quelques jours de repos. Car oui, même si je les remercie chaleureusement de me lire avec assiduité, de partager mes chroniques autant que possible sur Facebook, de retweeter avec ferveur mes petits billets, je dois prendre congé : ma réserve de chatons communistes est épuisée, ce qui compromet mes prochaines grillades. Il va falloir renouveler le stock et comme s’en procurer devient de plus en plus difficile, je suis obligé de m’y prendre sur plusieurs jours.
D’autre part, cette période est celle où les cloches sont très manifestement de sortie, comme en témoigne le rythme législatif et politique endiablé auquel nous soumettent la brochette de clowns semi-débiles qui se font passer pour des élus du peuple. Il m’est nécessaire de prendre un peu de recul, ne voulant pas être gagné par leur fébrilité stérile.
Pendant cette période, n’hésitez pas à vous procurer mes ouvrages qui auront le mérite de fournir d’excellents sujets de conversations autour de l’agneau traditionnel, plat œcuménique s’il en est et que je vous souhaite goûtu. Bien évidemment, vous aurez soin de ne pas le manger trop gras, trop salé ou (misère de misère) trop sucré, que pour votre santé, vous bougerez plus, que vous bouclerez bien votre ceinture (ainsi que toute velléité de vous exprimer sur un sujet qui détériore notre vivrensemble), que vous vous hydraterez bien s’il fait trop chaud en mettant votre petit pull s’il fait trop froid.
Tenez bon, ce n’est qu’un petit mauvais moment à passer.
en lisant darien, da da da, da da rien, j’ai compris bien des choses, pour voler après s’être jeté, il faut commencer par les poches des autres … tout voler dans leurs poches pour leur offrir et leur montrer ce qu’ils ne savaient pas encore déjà toujours jamais tout le monde tout le temps se prosterner et dire merci gentiment, ça suffit bien, les commentaires plus anciens sont seront et ont toujours été pluriels, pour t’emmerder … merci d’avoir vgt patiemment mon frère, jusqu’à ce qu’il comprenne, putain neuf ans ses long mais c’est si court … de toute façon, manière, désir ou n’importe quoi que vous souhaiteriez y mettre si le hasard y habitait en vous, non de non de bordel de non, encore une fois ? quand papa est fâché il doit apprendre : toutes les fois que vous voulez les enfants, à part vous, je me fous de tout, y’a combien de mots ? il faut encore compter les lettres ? les espaces ? les balncs ?
on s’en fout de l’ordre, amusez vous pissez contre les murs, bousillez le joli paradis de papa pour comprendre enfin à quel point il vous aime. Pour faire chier mes frères je leur dis : faites des trous dans votre maison … ça laissera rentrer la lumière, bande de cons …
paques, il faut mettre les jolies chaussettes dans la cheminée, les cloches reviennent en sonnant pour vous faire chier, mais je vous aime.
pasque ? non, c’est pas vrai, un oiseau mort qui vole dans le ciel…
il n’y a pas que les mains sales qui doivent s’accepter pour enfin faire, on salit avec du joli si l’on veut, je me saoule bien de poésie et de moi-même et de ce que je trouve tout ce que je trouve des cailloux sur le chemin pour fabriquer des temples, tout ce que je trouve, la pierre ponce pour monter au ciel
pour vous j’ai crée les choses mortes, que peuvent bien en faire les choses vivantes ? Des trous ?
dong ding dong
831 de petits cailloux posés ressemblent déjà à des cadeaux, mais quand on les prend en pleine gueule, ça fait des trous dans la réalité, trous par lesquels je vous vois tous déjà me sourire ??? ou pas …
Heuuu…
Tout va bien Pouf Pouf ?
rien faire c’est bien, mourir c’est mieux
le gentil loubard de luxe vous salue bien
à part la pute et la femme de ménage je ne connais personne qui sache …
tout est là tout existe, le vide est entre nous, parlez aux oiseaux rares autour de vous, parlez ecoutez vous parlez encore engueulez vous, réjouissez vous papa est mort
qui connait tous les mots ? Un dyctionnaire systématique didacticiel au fond d’un trou ? Creusez vos maisons et partez, ça a déjà commencé, une pluie de métaphores dans des bouteilles de kirch pour prévenir, et hop la sécheresse des âmes pour s’occuper dans l’invisible et prévenir, des ennemis émectroniques, des puces qui n’existent pas … que c’est bon d’avoir tor et les ducons
trop n’est pas bien car pas assez, toutefois …
le maitre fait pipi en tourbillonnant pour oublier sa peur
Allez, maître pouf pouf, redescends un peu du plafond et écris pour nous un de ces longs textes subtils dont tu as le secret …
s’il te plaît.
ok j’arrête je recommence, je nais, pouf pouf is back un point c’est tou-tchou-tchou
bah non, j’ai ma cage maintenant, je joue dedans
une ballon ça roule, une toupie ça tourne, et le chien qui mange par terre, il aime, c’est tout …
mettez du fromage dans les osties tas de con, le coeur de papa est un craker qui explose pour vous donner jusqu’à ses derniers lambeaux …
apprendre à vivre à une part de flan … ça te va comme texte court et subtil ou est-ce trop … ?
filer rené char à une barre de flanc pour rire en la voyant enfin s’écraser
ta gueule mémé, aux chiottes l’arbitre
ding dong ding
les cloches de parce que tintent à vos oreiles oops l’oreille de van gohg manque comme des latrines en bas d’un escalier, là où lilas
comme u ncailoux foux dans des chaussures molles qui donnent l’heure
pour moi, l’orthigo c’est trop zimportan mais zaùam ma tête quand même
la poésie si ça se trouve, c’est même pas des mots, une plume qui tombe sans savoir où se poser, alors qu’elle veut …
pour boucher des trous on s’en fout, un boucher, une tortue, un autre trou plus grand …
quand on comprend qu’on aime les mouches, on en a déjà plein le cul …
un petit morpion les gosses ? ou un hibou ? Un q de chouette ? un truc qu’on comprend pas qu’on veut jouer avec papa dedans ? calme toi ou je t’explose ton petit bateau en plastique pour te faire comprendre reviens parmi nous, personne ne veut du mal a a jamais
la récompense est dans la poche de l’autre, voler oui mais demander d’abord, demandez, vous verrez enfin …
lui prendre pour lui offrir enfin, avec dignité et des taches d’un petit de dalmachien
Les mites ne font pas des trous, elles laissent enfin passer la lumière dans d’autres trous plus gros…
des trous gros les filles de ses filles de la patapoufpoufphysique quantique
y’en a qui essaient de me piquer mes morpions …
Attention Pouf Pouf, accroches toi au pinceau, j’enlève l’échelle….
merci de me faire voir mon image dans le plafond avec des cheveux en plastique, des seins en plastique et des propos bidons … j’ai enfin compris je suis
ch et pf sont dans un bateau qui saute comme une puce en fusée, loing long court, lourd et con ?
Y a t’il des gilets de sauvetages sur ton beau bateau???
Vous êtes mignons tous les deux, vous voulez que je vous chante une chanson ?
joyeuse pasque ? tu en as bien de la chance petit arbre, les chiens qui ne comprennent pas ne retiennent pas leur vessie … alors qu’il suffit de regarder une bouteille vide qui se remplit de la soif…
quand le verre et vide le garder quand même pour soie ? voir plus loin ? faire des tonnes de morceaux qui brillent avec un seul ?
pas besoin nous volons tous dans mon histoire de bateau … quelle galère !
pour que je puisse enfin me regarder au plafond … comme c’est gentil, les araignées te saluent
Ce sont mes amies, elles mangent les vilains moustiques.
pariel, rien de plus jolie qu’une araignée elles vivent chez moi tranquillement, en liberté ; et quand je passe l’aspirateur, je préviens en tapant des pieds, des fers ou des talons pour les avertir, ça entend les bruits petits les bêtes avec plein de nouilles …
C’est marrant, je fais exactement la même chose !
Elles adorent habiter chez moi, par exemple sous l’évier. Elles sont là bien au chaud, tranquilou …
pour ne pas déranger le plafond où toute la place n’est pas assez. se guérir d’une absence par une autre est-ce bien raisonnable ? cacher de grands pas dans de petits qui ne marcheraient pas à côté du tout ?
l’absence de chocolat permet de se délecter de l’absence de café …
euthymie + 1
et pour finir une pas de moi, contrairement aux autres, dire ailleurs que pour se protéger « nihil est sine ratione », en y croyant, pour voir en mendiant la vie les yeux clos dans la mort de tout pour voir encore finir enfin un deuxième bout au tunnel.
pendant une grève pas de conté
Les mites ne font pas des trous, elles laissent enfin passer la lumière dans d’autres trous plus gros… meuh, non ?
se cacher dans l’absence de kf … ou pas
boire la mort
Tiens bon Pouf Pouf, on est avec toi. Pense à de jolies choses …
le purgatoire, l’image de la souffrance sans la souffrance, l’autre qui te fait détourner les yeux ?
chanter sa gloire tous ensemble pour faire chier le maitre ??? le glaive de l’injustice au bout d’un bras … ou deux ?
manger la vie avec elle-même et un très long bec
flûte les morpions
« Les mites ne font pas des trous … » tu veux dire les mites, errant , ne font pas de gros trous ? 😉 🙂
Courage, les 1000 sont proches ! 🙂
Il a quand même
roupilléquitté les claviers 8 h !Ca va ? la redescente d’acide n’est pas trop flippante ? t’en as pas repris un autre au réveil ? hein ? 😉 🙂
du vin aigre, au soleil ? taka essayer pasque, tu veux un chocolat aussi avec ton vinaigre ? pour te punir ?
quand le soleil peut-il se trouver ? un après midi de pluie ?
=0 ou plus ou moins, tout est tellement beau, se crever les yeux est-ce raisonnablement ?
la nuit, se cacher pour pouvoir ne pas dormir …
l’idiot c’est la clef de voute d’un village
la conuration des fils …
baiser un mite ? ou deux …
le i le j, ou retrouver le point du iota avalé par le serpent qui passait par …
pour le nombre imaginaire dont le carré est -1 , les mathématiciens utilisent le « i » et les physiciens le « j » 🙂
et les hommes de loi une épée et des cailloux
comment voler une montagne ?