Gros temps pour le GIEC

De pire en pire. Eh non, je ne parle ici ni de la France, ni du quinquennat de François Hollande bien qu’il semble l’avoir placé sous le signe des averses diluviennes. Je parle ici du catastrophisme du GIEC qui, de rapports en rapports, semble soutenir une thèse de plus en plus grotesque : nous allons tous mourir d’un grand coup, certes, mais la date fatidique se rapproche à coups de jarrets dynamiques. Vite, il faut faire quelque chose !

Et qui mieux que les petites pages « Planète » du Monde et la prose rigolote de Laurence Caramel pour nous raconter tout ça dans un bel article dédié aux cris d’alarme du groupement d’experts sur le climat ? La dernière fois, Laurence nous avait appris que l’air devenait irrespirable et qu’en s’agitant quitte à faire n’importe quoi, on aurait probablement le même résultat qu’en ne faisant rien du tout, mais après avoir claqué un assez colossal paquet de thunes, ce qui est une excellente idée par les temps qui courent.

on va tous mourir

Cette fois-ci, c’est le dernier rapport du GIEC qui justifiera les petits sanglots de notre sucrerie journalistique : le document, bien que n’apportant aucun élément nouveau depuis les trois précédentes productions, se permet de jouer la surenchère en dénonçant la passivité des États alors que, si on veut s’en sortir, il faut agir maintenant (mais vite, vite, vite, l’urgence presse). D’ailleurs, c’est bien simple :

« La science a parlé. Il n’y a aucune ambigüité sur son message. Les gouvernements doivent agir. Le temps joue contre nous. »

Salaud de Chronos, quel fieffé coquin ! Il nous a encore une fois tendu un piège, le misérable, alors que pourtant, la science a parlé, science is settled (mais si, mais si, mais si), et qu’en conséquence, les États doivent agir, c’est pourtant évident ! Et cette fois-ci, que risquons-nous ?

Eh bien comme d’habitude, il s’agira de catastrophes aussi nombreuses que coûteuses en vies humaines, toutes conséquentes d’une hausse carabinée de températures, tout de même baignée dans plusieurs barils de conditionnels : si l’on ne fait rien, le réchauffement pourrait atteindre 4°C d’ici à la fin du siècle.

Et si l’on agite ainsi le rapport sous le nez des décideurs, c’est d’abord parce que d’âpres négociations, sur qui va avoir le droit de polluer, comment et combien, vont s’ouvrir dans quelques semaines à Lima, et que dans cette optique, un grand raout médiatique ne fait pas de mal, et d’autre part parce que le rapport en question fournit, clef en main, tout ce qu’il faut faire pour être bien dans les clous de la repentance climatique. Rajendra Pachauri, l’érotomane président du GIEC, l’explique ainsi :

« Ce rapport de synthèse fournit aux décideurs une feuille de route à partir de laquelle nous espérons qu’ils trouveront le chemin vers un accord global qui permette de contenir le changement climatique. Il nous fournit les connaissances qui permettent de faire des choix éclairés et de mesurer les conséquences de l’inaction. »

Et, il faut le dire, qu’elles sont graves les conséquences de l’inaction ! Outre des glaciations records en Antarctique et un pôle Nord qui refuse de se transformer en lac comme Al Gore assurait qu’il le deviendrait, les dix-sept dernières années ont laissé le climat dans la perplexité au point de lui faire faire une pause dans cette hausse terrible des températures alors que tout, pourtant, indiquait qu’on allait cuire.

C’est d’ailleurs un exercice aussi amusant que troublant que celui qui consiste à retrouver des articles des années 2000, dont les prédictions s’étalaient langoureusement sur les 10 à 20 années suivantes, et de les confronter à la réalité observée. Ainsi, en février 2004, le Pentagone américain; basant de minutieux calculs sur les prévisions météoroclimatiques du GIEC, annonçait une décennie résolument catastrophique. D’ailleurs, on retrouve des articles du même tonneau sur Libération ou Le Monde (2005), avec à chaque fois le constat que « dans quelques années, cela va être terrible terrible mes petits amis, vite il faut faire quelque chose ».

Du reste, ce n’est pas sans rappeler les petits soucis des Nations Unies qui, en 2005, annonçaient moult problèmes pour 2010, avec au moins 50 millions de personnes forcées à migrer à cause des conditions climatiques détériorées par le vilain CO2 et, plus généralement, par les méchancetés que fait subir l’Humanité à la planète. Bilan : il n’en fut rien, à tel point que l’institution internationale retira discrètement les pages catastrophistes de son site (ce qui attira l’attention, et internet n’est pas tendre). Les îles refusèrent de se laisser engloutir sous les eaux, et si les océans montèrent, ils ne le firent pas autour d’elles. Zut alors.

Bref : des émissions de CO2 qui ont pourtant atteint 100 milliards de tonnes entre 2000 et 2010 mais des températures qui ne montent pas pendant près de 20 ans, des scientifiques qui s’interrogent sur leurs théories et sur les modèles, mais non, la science a parlé.

Malgré tout, l’aimable Laurence, reprenant la doxa officielle, écrit que

« Depuis vingt-cinq ans, les mises en garde du GIEC se font à chaque nouveau rapport plus précises et plus incontestables »

…ce qui ne manque pas de sel lorsqu’on remet tout ce fatras en perspective. De plus en plus précis ? Alors que s’amoncelaient les prévisions de plus en plus écartées de la réalité, les rapports ont du faire assaut de conditionnel et de jargonite dans leurs parties scientifiques pour noyer le poisson de plus en plus gros du « Finalement, on n’en sait rien ». De plus en plus incontestable ? Ce n’est l’avis ni d’un nombre croissant de scientifiques (et maintenant majoritaire), ni même d’un nombre croissant de nations (Australie, les États-Unis ou la Chine par exemple), qui ont décidé que l’avenir climatique de l’Humanité pourrait fort bien se passer de leurs coûteuses gesticulations.

des hivers trop doux

En fait, tant le rapport du GIEC que l’article de Caramel exposent assez bien ce qu’il en est réellement de ce fumeux réchauffement, lorsqu’est évoqué le « résumé » de ce rapport : il est « rédigé en quarante pages dans un langage accessible », c’est-à-dire expurgé de toutes notions réellement scientifiques (à commencer par le doute qui doit prévaloir à toute démarche dans le domaine), et il « constitue donc aussi un diagnostic entériné au plus haut niveau politique ». Eh oui : ce bidule est politique.

Et dès lors, si l’on garde bien cette nature strictement politique tant du rapport que du GIEC, l’agitation qui s’empare de certaines rédactions (notamment les françaises) s’explique mieux. On se rappelle que dans 500 jours (un peu moins maintenant), Fabius se fera fort d’alimenter en petits fours les invités du Grand Salon Parisien des Alarmismes Climatiques, et qu’il faudra absolument présenter des accords fracassants à cette date pour justifier de toutes les dépenses engagées. Or, dans ce laps de temps, il peut s’en passer, de vilaines choses, à commencer par une baisse drastique des fonds alloués aux Nations Unies pour les questions climatiques, ce qui est fort probable compte-tenu du récent basculement du Sénat américain vers les Républicains.

Autrement dit, les couinements de Ban Ki-moon, de Rajendra Pauchauri et, par suite, ceux de Laurence Caramel, ressemblent de plus en plus à ceux de ces intoxiqués qui, le regard mauvais, menacent des pires représailles si on ne cède pas à leurs demandes financières pour s’offrir un nouveau fix : si on ne met pas les moyens, si on ne crame pas, maintenant, un paquet de pognon incommensurable, et ce alors même que l’économie mondiale est sur le point de s’effondrer, vous allez voir ce que vous allez voir, on va souffrir, ça va être terrible. Et c’est garanti sur facture, parce que si, il y a 5, 10 ou 20 ans, on s’est trompé, là, maintenant, c’est sûr, c’est du solide.

À mesure que la crédibilité du GIEC s’effrite avec celle de ses modèles mathématiques et de ses prédictions catastrophistes, à mesure que les fonds viennent à manquer, les bobards se font plus gros, les agitations se font plus spasmodiques, la propagande s’intensifie…

Quelque part, c’est bon signe.

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Commentaires98

  1. Le Gnôme

    Peu importe que ce soit du bidon, cela permettra de justifier des taxes juteuses et dodues en tout genre, des restrictions de liberté à foison, et des milliers de normes destinées à enquiquiner les habitants des pays dont ces fichus rapports arrangent les gouvernants.

  2. Gerldam

    Excellent.Quand on pense à tous les paramètres qui agissent sur le climat: le soleil d’abord, les cycles astronomiques, les océans et les courants de surface et de fond, les niño, la vapeur d’eau, les vaches qui pètent, etc. quelques tonnes de CO2 pèsent bien peu dans tout ça.
    L’énorme scandale est que ces folamours nous font claquer un pognon fou, qui part…en fumée.

    1. bibi

      Encore et toujours le fameux coup des vaches qui pètent.
      Les ruminants relarguent bien plus de méthane en rotant qu’en pétant, car les ruminants ont un flore bactérienne dans le rumen qui permet de dégrader la cellulose, et cette dégradation de la cellulose s’accompagne de production de méthane, méthane évacuait principalement par éructation.

      Comme quoi la propagande ça marche bien il suffit de répéter un mensonge suffisamment de fois pour en faire une vérité.

      1. gameover

        C’est fou ce qu’on apprend sur internet…
        Je vais essayer de la ressortir celle là… Dans une soirée branchée, j’ai un doute… 🙂

      2. Higgins

        Ne faisons pas de parallèle hâtif avec des personnalités politiques qui éructent plus qu’ils ne parlent.

  3. Higgins

    « ….annonçaient une décennie résolument catastrophique! » : assez juste et plutôt prophétique. Wesley Mouch est président et Nabila est en prison. Quelle prescience.

    1. Calvin

      Ta phrase est rigolote.
      Le pire, ça serait Nabila à l’Elysée et Flanby en prison.
      … Hum…
      Euh, finalement, ce n’est pas sûr…

        1. Quiet Desperation

          Cette fille est d’une sottise réjouissante, à couper au couteau : finalement, le déterminisme, n’est-ce pas… mais Machin a encore eu de la chance qu’elle ne s’appelât pas Bobbit…

  4. yoananda

    Pour ma part, je serais plutôt solariste : le réchauffement oui, du à l’homme, non. Ce serait le soleil ou le système solaire, ou le magnétisme qui merdouille.
    Il y a quand même une augmentation de l’entropie climatique qu’on peut voir.
    Cependant, pas de certitude, je n’ai pas eu le temps de vraiment me pencher sur le sujet pour être affirmatif.
    Par contre, je suis convaincu que le GIEC est une farce, avec de GROOOOOS intérêts financiers derrières et qu’ils sont en effet la pour jouer sur nos émotions afin de placer une taxe sur l’air, dernière ressource « libre » de la planète.

    1. Calvin

      Sur ce coup, tu es plus réaliste que socialiste.
      Le problème n’est pas de nier l’action de l’homme, mais de la mettre à la hauteur de ses impacts réels.
      Oui, l’homme pollue (son développement est à ce prix), mais non, il vaut mieux s’y adapter que régresser.

      1. gameover

        Le principe de droit à polluer est un système assez efficace (dans le principe) même s’il n’est pas appliqué à l’échelle planétaire.

        Il vaut mieux dépenser 100 pour obtenir une baisse des premiers 10% que 100 pour les derniers petits %.

        1. lolo

          c’est surtout un systeme efficace pour se faire du pognon en rackettant sur l’autel du CO² qui n’a jamais été un précurseur de montée de T°, celui ci ayant plutôt augmenté sa teneur lorsque la T° grimpait (carottes glaciaires l’ont démontré).

          A décharge pour cette fumisterie, l’économie a toujours profité des bonds technologiques en ouvrant d’autres perspectives et de la création.

          Plus rien de nouveau n’ayant aidé nos marchés depuis internet (plop) ça aurait pus être un moteur économique si nous avions mis les moyens dans la R&D, mais n’avons trouvé que des flops.

          A vrai dire, Al Gore s’en tape, il est maintenant bien garnis

          1. Calvin

            Attention, le CO2 a eu sa part dans l’augmentation des t° au moments des grandes périodes glacières des débuts de la Terre.
            Mais l’idée que son augmentation prolongerait cet effet alors qu’il fait chaud n’a pas été prouvée.
            C’est de la pensée magique.

  5. Kloupa

    La base de crédibilité diminue de plus en plus autour du GIEC et de son microcosme: bientôt, les subventions qu’ils touchent et que les citoyens lambda paient (en plus de supporter leurs jérémiades débilitantes) seront submergées et disparaîtront.Ce sera la fin de leur monde, et surtout de leur petit fromage, qui leur permettait de voyager aux frais de la princesse, en participant tant et plus, comme Al Gore, aux émissions de CO2. Adieu, donc, et ne revenez pas.

    1. pouf pouf

      la crédibilité de tout l’ensemble est nulle, c’est bien parce que tu comprends cela que tu viens lire les commentaires ici, tout y est patiemment découpé en petites tranches puantes. Zéro crédibilité depuis un long moment déjà … alors le giec, comme n’importe quelle autre haute autorité internationale, pfffff, des billets d’avion gratuits avec de l’argent qui n’existe pas, un train de vie qui augmente corrélativement à celui de la dette pour tous les administrateurs de la catastrophe, ni responsables, ni coupables, impunément et dans une immunité totale à tes frais. Youpla, non ?

    2. Michet

      Je ne suis pas d’accord avec vous: « La base de crédibilité diminue de plus en plus autour du GIEC et de son microcosme ». Nous ne regardons pas que les journaux télévisés regardés par 95% de la population, mais nous nous renseignons ailleurs pour trouver une info moins orientée. Mais faites le teste autour de vous, au boulot ou dans votre club de sport et demandez à vos copains ce qu’ils pensent du sujet … Et vous verrez qu’ils sont tous persuadés de ce réchauffement. Et surtout, sortez deux ou trois infos étayées par une publi récente ou mieux, des données objectives simples (exemple évident: 18 ans et 1 mois sans réchauffement ou l’augmentation actuelle des surfaces glaciaires de l’Antarctique) et immanquablement, vous détournerez la vérité, l’arrangerez à votre sauce et deviendrez le méchant … Non, non, non … Si des pays comme l’Australie se sont en effet réveillés, la France et la Belgique sont encore dans le réchauffement … et jusqu’au cou … et les média généralistes nous poussent sur la tête depuis 20 ans … alors avant qu’on revoit nos gros orteils ….

      1. Je pense que Kloupa fait référence au monde en général. Il est clair que dans les pays francophones, France en premier, l’amourachement aux théories réchauffistes est fort.

            1. Lafayette

              ben c’est vrai la TV c’est une aide pour la santé public et l’instruction générale de base.

              …trois pub de chips plus tard on fait des économies de prestations santé à long terme.

      2. Greg

        Ici autour de moi en Suisse, les gens se rendent compte qu’il s’agit surtout d’un prétexte à taxes.
        Quasiment tout le monde s’en fout du réchauffement, et ceux qui ne s’en foutent pas l’attendent impatiemment : ca fera des frais de chauffage en moins l’hiver ! Et notre été n’est pas assez chaud pour que nous le craignions trop chaud, donc bon, ca vient ou pas ce réchauffement ? Nous nous sommes pour !

        1. hugeus

          Ma compagne guadeloupéenne peste à longueur d’année contre les températures trop fraîches… oui, mes oreilles attendent avec impatience le réchauffement !

    3. royaumont

      Au sujet de ce rapport, une anecdote est savoureuse : 3 pages jugées trop alarmistes ont été retirées à la demande de autorités. Qui parlait d’un rapport politique déjà ? C’est complètement vrai…
      Fabius nous annoncait 500 jours avant la fin du monde. Il en reste combien ? 400, 300 ? Même pas peur.

  6. Golum

    C’est évident !
    Il s’agit d’un complot des illuminati-socialo-ecolo-communiste.

    En France nous sommes au TOP !

    En pleine déflation, le socialisme est super performant contre le CO2 et les gaz qui tuent. Donc, quoi de plus normal que d’aller au Canada, en Chine, aux USA…pour faire la morale au vilain capitalisme qui pollue.

    Le GIEC n’est pas un organisme scientifique, c’est ‘Dame soleil et boule de cristal et avant tout une excroissance, une déformation, un cancer de plus crée par le socialisme mondial.

    Car demain, l’humain ne sera pas forcément plus con, ni plus intelligent que l’humain d’avant, mais il pourra toujours contempler sa connerie passée sur Internet et rêver à un avenir meilleur.

  7. Dr Slump

    En fait, nos spécialistes du Giec souffrent dans leur chair de la hausse des températures: plus le soleil tape, plus ils sont victimes d’insolation. Il en résulte une hausse de leur température corporelle qui leur échauffe les esprits, s’ensuit délires et hallucinations apocalyptiques. Au lieu d’aller faire leur réunions sur les îles tropicales, je suggère vivement qu’ils les organisent plutôt dans les pays nordiques. Ah, il fait trop froid là-bas? Faudrait savoir ce qu’on veut!

    1. Calvin

      Ils doivent être plus victimes d’alcool et de cocaïne.
      Plus ils boivent et plus ils sniffent, et plus l’humanité semble aller vers la catastrophe.
      La seule solution ? Le sevrage.

  8. Borgowrio

    Et comme le bouffi l’a dit à la télé ,  » Je ne veux pas que mes petits enfants me reprochent de n’avoir rien fait pour la planète  » Sans que le moindre haussement de sourcil n’apparaisse chez nos journalistes vedettes . Voilà c’est fait ,une nouvelle religion est née , le culte du réchauffement . Nous n’avons plus qu’a assister à la messe sans rien dire et approuver les orientations économiques qui vont faire sombrer dans la misère des millions de personnes , pour sauver des  » millions « d’hypothétiques réfugiés climatiques .

      1. Aristarque

        Le temps de siroter tranquillement un café et ce chenapan me pique ma remarque!!! On a les émois qu’ on veut bien à propos de ce qui sera laissé à nos descendants grançais… :mrgreen:

            1. Aristarque

              Je suis partisan pour son cas d’ une fessée qui est ce qui convient le mieux à cet outrecuidant mais il est à plus de 600kms et mon bras n’ est pas (encore)assez long… Mais, bon, le jour du banquet des accros de H16 que nous finirons bien par organiser…

              1. Calvin

                Oh, il s’agit d’une référence à « pas assez rapide, Petit Scarabée » de la série Kung-Fu…
                Et puis le scarabée est un animal sacré d’Egypte, et c’est un sympathique insecte besogneux.
                Pas comme cet Immonde Cafard de HB, Sycophante de ce Blog…
                😉

                1. Aristarque

                  C’est par crainte de mon courroux que tu te gardes bien, jocrisse, de préciser plus avant la besogne scarabéenne ?

                2. Quiet Desperation

                  Je lisais, ne sais plus où, que le cafard survivrait même dans un hiver nucléaire….
                  « Sycophante » ? ce gamin a du vocabulaire… Je pense qu’il a dû le trouver dans un commentaire de ce Blog, mais il sait utiliser les restes, cette petite canaille..

      2. Adolfo Ramirez Jr

        30 000 € de dette pour chacun de tes ptits enfants à l’heure actuelle. Mais bon ils seront ruinés sur une planète décarbonée.

        1. vegeta

          les enfants seront son futur électorat sauf ceux qui seront enfermé dans une pièce insalubre avec monsieur vallse

  9. denise paucher

    Il parait qu’il y eu 10 glaciations,il a du y avoir 10 réchauffements.Le dernier
    ayant coïncider (à peu près ) avec la venue de l’Homo Sapiens Sapiens, ne
    cherchons plus c’est Papy Cro Magnon ,avec ses usines, le coupable de ce
    dernierréchauffement. Notre planète a toujours obéit à un système que nous ne pouvons pas changer et continuera à le faire sans demander l’ avis des petites fourmis que nous sommes.

  10. vegeta

    tous sa a cause d’ulcan qui à passer plein d’appel téléphonique à cause de lui la planète est rempli de CO2

    ps: ceci est une phrase breveté messieurs les journalistes de l’immonde du figolu ou palestine inter veuillez ne pas volé ma phrase

  11. dave

    Depuis une dizaine d’années, ceux qui veulent s’informer savent que le Giec , au minimum, se plante , au pire, magouille ses courbes pour que ses conclusions aillent dans le sens de ses désirs.

    Le pire est que de vrais dangers pèsent sur la planète : déforestation, extinction de certaines espèces, pollution du Pacifique…

    Mais c’est moins spectaculaire, moins vendeur et il est impossible de faire une taxe sur la surface polluée dans le Pacifique vu que ce sont des eaux internationales…

    1. Adolfo Ramirez Jr

      Exact! il y a des combats bien moins politisés, bien plus consensuels et surtout bien plus urgent pour « gaïa ».

    2. gem

      impossible n’est pas fiscal
      De la taxe Tobin, axe sur les avions, etc., la liste des taxes « impossibles » est déjà longue.
      Non, c’est juste qu’on ne change pas de destrier environnemental aussi facilement que cela (autre exemple : die grünen qui préfèrent faire fermer des centrales nucléaires, quitte à ce que des centrales à charbon ouvrent)

      1. petit-chat

        Ou le transport par bétaillères automobiles gieco-incompatibles des sans-dents plutôt que d’utiliser le TGV alimenté par l’énergie nucléaire.

          1. bob razovski

            oserai-je un petit sophisme du dimanche soir ?

            Impossible n’est pas fiscal
            Impossible n’est pas français
            Donc fiscal est français.

            Mais ça, on le savait déjà 😉

        1. Nocte

          Automobiles dont on ne sait pas recycler les batteries et qu’il faut intégrer à notre consommation énergétique qui doit baisser de 50% à je ne sais plus quelle échéance…

          1. MadEInCH

            Faux. Les batteries de voitures se recyclent.
            Dans el parc industriel où je travaille, il y a une industrie spécilisée dans le recyclage de batteries.
            Il y a 2 ans, j’ai vu arriver des batteries de voitures électriques Toyota.
            Je me suis fais la remarque: « Ah, ben ouais… Les premières Prius sont sntrées en service il y a 5~6 ans… ça concorde. »
            J’ai assisté su début de la complétion d’un cycle.

            1. Nocte

              Merci de l’info.

              Maintenant, la question, c’est : à quel prix ? (Aussi bien économique, qu’écologique)

              1. Lafayette

                dans les derniers reportages de la boite à image, ils parlaient surtout du coût supérieur du recyclage, par rapport au moindre coût de la pollution à l’extraction du lithium. La tendance finira par changer, mais vu les volumes produits, ce n’est pas la pollution qui va diminuer de si tôt.

  12. Ribault

    Quand on lit cela , on se demande si l’on ne ferait pas mieux de casser les thermomètres et de se consacrer à des choses sérieuses comme le chômage qui lui n’est pas dans 50 ans

  13. NicolasPimprenelle

    J’attendais cet article avec impatience et je l’ai savoure au-dela de mes esperances.
    Merci pour ce moment !!!

    1. vegeta

      j’attendez un article sur la pauvre mamie qui a pris 6 mois de sursis et qui doit 100 000 euros à hollande pour avoir distribué de la nourriture dans les rues de france gratuitement sans rempli un cerfa débile

  14. Adolfo Ramirez Jr

    Bon, vu que le prochain rdv est à Lima, si vous avez quelques recettes « maison » pour fabriquer des IED, je vous débarrasse de toute cette clique de sangsues de budget public, n’hésitez pas hein!

    1. MadEInCH

      2 de salpètre et 1 de sucre.
      Une fois la masse solide obtenue (fonte dans unbe casserole et refroidissement, ou par dissolution dans de l’eau puis évaporation/séchage), moudre le tout en une poudre aussi fine que possible.
      Placer cette poudre dans un container metallique solide étanche.

      Have fun

      1. Lafayette

        C’est le condiment qui met un peut de piquant, pour des belles couleurs on peu ajouter un peu de cuivre ou de zinc.

    1. petit-chat

      Effarant.
      Mais ni nouveau, ni surprenant : il en est de même dans les « communautés » (j’abhorre ce terme) de physiciens, mathématiciens, astronomes, historiens…
      C’est bien fini le temps des Einstein, Planck, Bohr…

      1. Pat

        Je déteste aussi le très hypocrite « travail d’équipe » qui est en général l’œuvre d’un individu (ou 2 ou 3 max) aidé(s) d’un nombre variable d’employés sans aucun mérite.

    1. petit-chat

      Dis que tu es envoyé par h16 :
      En effet, c’est un précurseur car en portant son masque à gaz, il démontre le danger qu’il y a à vivre sur cette planète pas escrocologique et où seuls le giec et la politique adaptée peuvent nous faire espérer voir son visage un jour…

  15. David

    Dans son rapport, le GIEC exige que les émissions de gaz à effet de serre soient réduites … à zéro. C’est parfaitement délirant : autant demander à tous les êtres vivants de la planète de cesser de respirer !

    Et ce sont des « scientifiques » qui pondent de tels ‘rapports’ ?

    Je ne savais pas que le président du GIEC est un pornographe patenté …

  16. Calvin

    Le GIEC est un groupement international dont le but est de prouver le réchauffement climatique anthropique – phase 1 – et de proposer des solutions à celui-ci – phase 2 -, cela avant qu’il ne soit trop tard – phase 3.
    Cette fusée à trois étages vise à pousser l’humanité dans le sens où ces gens l’entendent. Quand je dis gens, il faut entendre les professionnels de la politique (illustrés par Al Gore) et les militants écologiques (qui trustent les places du GIEC).
    La Phase 1 a eu lieu : il a fallu masquer l’effet du Soleil, nier les expériences contraires, et on a prouvé le RCA. Peu importe si c’est vrai ou pas, si les années suivantes ont montré le contraire ou pas. C’est une fusée, l’étage 1 a fini par se consumer.
    La Phase 2 a bien commencé. On a essayé de mettre en avant les éoliennes, le Photovoltaïque, et plus encore avec les taxes bien pratiques, essayé de détruire l’industrie. Tout cela est idiot et catastrophique ? Qu’importe, c’est un étage de fusée, et il s’est consumé.
    Nous en sommes à l’étage 3. Ne plus regarder derrière nous, croire en cette Ecologie Religieuse, et croire en l’Armageddon, l’antéchrist qui va balayer l’Argent et la Pollution. Le Mal approche et il nous faut nous purifier (et purifier la surface de la Terre des riches et des industriels).
    Le GIEC est une secte, dont les raisonnements pénètrent l’esprit (enfin, ce qu’on peut qualifier d’esprit) des dirigeants. Il s’agit de leur donner les clés pour une collectivisation des humains, de leurs activités, de leur travail.
    Le GIEC, c’est juste un manuel de Politique, où on a pris soin de recycler le Communisme en Ecologie.

    1. petit-chat

      Hé bé, pour un môme de 8 ans, l’analyse est parfaite et va bien au-delà des petites perles habituelles (qu’il convient de préserver,cependant !)

  17. kobus van cleef

    Lui journaleuse du monde a un patronyme rigolo
    Caramel !
    Mais en verlan, ça donne « macarel ! » ce qui est une interjection grossière fortement usitée dans les provinces du sud de L’Afrance

    1. bob razovski

      Normal qu’elle gueule…

      T’as déjà vu à quoi ça ressemble du caramel réchauffé climatiquement ? :mrgreen:

  18. Droopyx

    Un grand froid de terreur me saisit lorsque je lis les prévisions du GIEC !
    Et ma bile s’echauffe à la pensée de ce que je vais payer au nom de leur expertise.
    Ce doit être ça l’equilibre thermodynamique.

  19. Quiet Desperation

    Mais bon, il y a des bécasses qui m’attendent ce matin (et non, je ne parle pas de Nabilla… remarquez que dans Nabilla, il y a aussi « bille »…), donc je rejoins ma setter et je me rends au RV….

  20. MadeInCH

    Perso, si cet outil de cornaquage des foules était bien utilisé, il serait utile pour tenter de diminuer notre dépendance envers certains pays peuplés d’individus dont la culture et le liver sacré demande notre exterminassion.
    En ce sens, ce mensonge serait utile.
    Malhereusement, le mensonge ne sert qu’à taxer dans le but de taxer. La taxe n’étant pas un outil mais un but.

  21. Jiff

    Ça pourrait être assez amusant si l’Histoire ne regorgeait déjà d’un tas de cas navrants du même acabit et débouchant à coup sûr sur une « tuerie » des opposants , tel la carrière brisée de Virginia Steen-McIntyre, qui eut l’audace de prouver par l’analyse du Carbone-14 des cendres d’un âtre qu’une strate archéologique ne datait pas de 10 à 25,000 ans mais de… 250,000; horreur de l’establishment qui la blacklista derechef et tua sa carrière dans l’œuf, car elle refusait de se rétracter (et pour cause: « sa » science, elle, comporte un certaine exactitude). Ou bien la recherche de la fumeuse « matière noire », censée correspondre à la masse manquante de l’univers, tout en oubliant que ledit calcul ne découlait que d’une… théorie, celle du big-bang et qui engloutit des milliards de dollars chaque année qui seraient certainement mieux utilisés à financer des choses qui en valent réellement la peine; là encore, il vaut mieux ne surtout pas remettre en cause la _théorie_, sous peine de manquer sévèrement au minimum de crédits, voire de boulot tout court.

    Ce qui est le plus bizarre, c’est qu’on m’a appris à l’école que plus il y a de co2, plus les plantes prospèrent en l’absorbant pour rejeter un sous-produit abject: de l’oxygène (c’est terrible de savoir qu’on respire grâce au chiendent du jardin!)

    Cela fait maintenant 18 ans que le GIEC (que le grand chauve aurait certainement également appelé « le machin ») se met le doigt dans l’œil jusqu’au trognon, mais qu’il est in-ter-dit de remettre en cause ses conclusions à l’emporte-pièce. D’ailleurs, si je me souviens bien, ce sont les membres du même GIEC qui sont montés au créneau il y a environ 15-20 ans contre l’hypothèse d’un français, même pas climatologue, qui osait prédire que les hivers du nord de la france risquaient de devenir de type Lapon si les icebergs fondaient totalement et empêchaient donc le Gulf Stream de faire demi-tour en butant dedans… jusqu’à ce que, évolution des modélisations et de l’informatique oblige, lesdites modélisations lui donnent raison et qu’une majorité de scientifiques objectifs, eux, fassent de même.

    (V. aussi: http://www.contrepoints.org/2013/05/20/124909-interview-de-drieu-godefridi-pour-la-sortie-du-livre-climat-15-verites-qui-derangent).

    Au passage, on oublie aussi que ces temps-ci le soleil a tendance a beaucoup chauffer et que finalement, à l’échelle géologique, nous avons déjà connu des épisodes plus dramatiques; on oublie aussi qu’un seul volcan peut rejeter autant de co2 en une seule éruption que l’humanité en une année, voire plus. On oublie aussi de nous (re)parler des trous dans la couche d’ozone qui mettent en panne la plupart des instruments électroniques dans certains coins du pacifique et qui sont autrement plus préoccupants.

    D’ailleurs, c’est déjà sûrement une nouvelle piste de taxation pour notre gouvernement déliquescent et superfétatoire: taxer les vaches et le cassoulet, mes deux produisant une quantité impressionnante de méthane, gaz générateur d’effet de serre par excellence; et par voie de conséquence, taxer les habitants du sud-ouest pour participation abusive et volontaire au réchauffement de la planète (et ptêt aussi les Alsaciens, parce que la choucroute…)

    Comme dans toutes les mystifications du dernier siècle (de l’incendie du Reischtag à 9/11), la _vraie_ question est: à qui profite le crime (à part aux types du GIEC qui ramassent les crédits) ? Parce qu’en attendant, ce sont toujours les mêmes qui alimentent la cagnotte.

    Comme l’a édicté Joseph, plus le mensonge est gros, plus le peuple le croira…

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