La France s’ennuie. À mourir.
Radio Paris – La France d’en haut parle à la France d’en bas – Il n’y a pas de pénuries. Je répète : il n’y a pas de pénuries. Tout va bien. Message de service : le petit Jean-Louis B. est attendu à la pompe centrale.
Radio Paris – La France d’en haut parle à la France d’en bas – Il n’y a pas de pénuries. Je répète : il n’y a pas de pénuries. Tout va bien. Message de service : le petit Jean-Louis B. est attendu à la pompe centrale.
Björn, inlassablement, repart au combat. Il va retrouver ses frères de lutte pour combattre l’hydre fasciste qui veut la mort des pauvres ! Ce matin encore, il va lutter pour sa retraite de dans 50 ans, et ne laissera pas le sarkozysme étouffer la voix du peuple. C’est pourquoi il va, déterminé, chouraver des jeux […]
Lire la suite “Pourquoi la révolution n’est pas pour demain”
La retraite par répartition consiste, comme chacun le sait, à prendre automatiquement dans la poche des salariés pour mettre dans la poche des retraités, en passant par les caisses de solidarité obligatoire. Un site propose de se passer directement de ces caisses : http://payermaretraite.com/ . Amis socialistes qui me lisez (si si, je suis sûr que […]
Aujourd’hui, en France, la situation est tendue comme un string de starlette porno : aucune concession, aucun accommodement, aucune tolérance ne seront plus possibles de part et d’autre tant les déclarations jusqu’auboutistes se sont succédées : toute concession risquerait de faire claquer l’élastique et aboutir à la conclusion que le Roi est Nu. Le constat posé, une question surnage dans cette soupe politique où les certitudes des uns viennent heurter dans une gerbe de paillettes médiatiques les exaspérations des autres : comment diable en est-on arrivé là ?
Je suis tombé sur une petite planche de BD, dont le dessin est certes pourri mais le contenu intéressant. Je vous en fait profiter ici, en VF.
Étonnante synchronicité des événements : alors que les lycéens, en parfaite application de tout ce qu’on a pu leur apprendre en classe, se dégourdissent les jambes en organisant des classes vertes, des visites Découvertes & Tradition, et des explorations citadines festives, le Parti Officiellement Socialiste nous propose sa vision de ce que devrait être l’Education Nationale pour la prochaine collection automne-hiver. Le résultat est détaillé dans Le Monde qui le présente comme une rupture. A bien lire, on y voit surtout une rature…
Lire la suite “Choisis ton laogai, camarade !”
S’il y a bien une chose qu’on peut reconnaître aux socialistes, c’est leur capacité naturelle d’organisation dans deux domaines : le groupisme social et ses happenings géants, qu’ils soient plein d’alcool ou de merguez, et, bien sûr, la pénurie, qui est au socialisme ce que la prostitution est à la maladie vénérienne: un vecteur évident. L’actualité illustre fort à propos ces deux talents naturels, et le pays est tout entier convié à une nouvelle répétition générale, dans la joie, la bonne humeur et les cernes sous les yeux.
Dans un précédent billet, et pour parler de complètement autre chose que de politique, de cuisine ou de ce pays un peu mou qui s’enfonce, j’avais évoqué le phénomène de singularité, qui voudrait que, compte-tenu de l’évolution des techniques de traitement de l’information, on va bientôt (?) arriver à un moment clef de basculement pour l’humanité, moment qui verra émerger une véritable “intelligence” de la part des machines. Pour continuer gentiment sur ce chapitre, je vous propose quelques nouveaux liens fort intéressants.
Lire la suite “Singularité ? (2)”
L’Hérétique m’a tout tagué. Répondant à une chaîne de Nicolas qui asticotait Val Le Nain, il dévoile dans un billet court et précis ses principales sources d’informations et en profite, alors que le lecteur est encore à peine remis de l’estocade, pour me taguer, chplaf, dans la dernière ligne.
Lire la suite “Comment s’informer”
C’est la crise, la rigueur et tout ça. Frimas de l’hiver, dureté des temps, tristesse et désolation. Mais ne vous inquiétez pas : pour la HADOPI, on trouvera toujours un petit billet pour pousser l’autre. Ou 2 millions d’autres.