Grèce : Tout va bien. Ne paniquez pas.
En ce qui concerne la Grèce, tout se déroule comme prévu. Il n’y a donc aucune raison de paniquer.
En ce qui concerne la Grèce, tout se déroule comme prévu. Il n’y a donc aucune raison de paniquer.
Comme l’avait pointé il y a plus d’un demi-siècle Winston Churchill, « le vice inhérent du capitalisme est la division inégale des bénédictions, alors que la vertu inhérente du socialisme est la division égale de la misère. » Et Benoît Hamon, socialiste bon teint parfaitement à l’aise dans sa jalousie de la réussite des autres, ne déroge pas à cette idée qu’il n’y a rien de mieux, finalement, qu’un bon vol camouflé en intérêt collectif pour égaliser sauvagement les têtes qui dépassent.
Des fois, on se dit que les rumeurs et autres frasques sexuello-médiatiques des puissants sont tout de même foutrement pratiques pour occulter les problèmes de plus en plus criants que la France traverse. Si Dati ou les artistes à guitare n’étaient pas là, il aurait fallu les inventer, et Borloo n’aurait pas été le dernier…
Lire la suite “Pendant que Dati trinque, l’Etat boit la tasse…”
J’ai parlé à plusieurs reprises, dans ces colonnes, de la République Populaire du Bisounoursland, en pointant la douceur et la gentillesse haineuses dont elle sait faire preuve pour asservir le citoyen et le contraindre à des fêtes colorées, joyeuses et totalement écervelées pour oublier le caca dans lequel il s’enfonce à force de déresponsabilisation espiègle. Un autre aspect de cette République bananière est son écologisme de combat, ouvertement affiché : tout, absolument tout, sera fait pour parvenir à la protection ultime de la Nature contre le fléau humain…
Lire la suite “Humanisme écologique : le flower power dans ta gueule”
Chuuuuut. Tout va bien, ne faites pas de bruit : la République Bananière du Bisounoursland est sagement endormie et le pays continue son chemin sur les rails ouatés d’une douceur calculée qui l’amènera, tranquillement, jusqu’en 2012, seul horizon visible de la politique française. Et pendant que l’INSEE n’arrive plus à payer ses factures (pas d’inquiétude, tout va bien, chuuuut), on s’active pour nous préparer une spécialité fromagère de Lille sauce acide.
Lire la suite “Aubry : la transparence, oui, mais pour les autres…”
Ceci constituera un petit post rapide pour remercier les joyeux linker fous qui ont eu l’audace de s’acoquiner avec au moins l’un de mes billets.
C’est fini, on ne passe plus ! Parce que ça commence à suffire, un peu, tout ça, hein ! Ça y est, tous les ventilateurs à air chaud de la place Beauvau se sont mis en route, et la production de petits coups de mentons est en pleine surchauffe : les racailles vont voir ce qu’elles vont voir !
Lire la suite “Tremblay, gredins ! Craignez, crapules !”
L’important, dans un bon poisson d’avril, ce n’est pas qu’il soit en avril ou qu’il soit bel et bien un poisson. L’élément essentiel est qu’il ne dégage pas trop d’odeur, cette fragrance caractéristique de décomposition, provoquée par la putrescine et la cadavérine. Ce premier avril, j’ai trouvé quelques poissons. Manque de chance, ils refoulaient tous du goulot sévère…
C’est le dernier jour d’un mois de mars bien rempli. Marquée par une terrible catastrophe maritime et la perte, dans une mer médiatique déchaînée, de millions d’électeurs, l’actualité aura rebondi de pignouferies en affaires gonflées et gonflantes sur le bon goût, les tabous et ce qu’il faut dire ou taire en société. Gageons que le mois d’avril se montrera à la hauteur du mois qui s’achève.
Lire la suite “Burqua, fast-foods, déficits : pot-pourri de fin de mois”
La branlée de magnitude 9 sur l’échelle de citoyenneté que s’est pris l’UMP aux régionales n’en finit pas de provoquer des remous autour de l’épicentre présidentiel sarkozien. Et le déplacement du chef de l’État aux États-Unis aura permis de donner une nouvelle ampleur à son arrogance et sa cuistrerie.
Lire la suite “Overdose d’actions fumigènes et effondrement sarkozien”