Il y a vingt ans, les Inconnus nous apprenaient, en se dandinant sur un air de rap rythmé et rigolo, que « la banlieue c’est pas rose, la banlieue c’est morose ». Et vingt ans après le constat un peu amer du trio comique, il s’est passé beaucoup de choses. De ce point de vue-là, les gouvernements successifs n’ont pas chômé.
Oui, il fallait agir, absolument, d’une part parce que ne rien faire c’était laisser un boulevard aux critiques de l’opposition (quelle qu’elle fût) et d’autre part parce qu’un politicien qui agit existe, et ce d’autant plus qu’il crame un paquet considérable d’argent des autres. Il fallait donc bien consacrer un montant tous les ans plus grand de l’argent public à cet épineux dossier des cités-dortoir, des banlieues périphériques aux grandes métropoles régionales ou à la capitale qui sont devenues, d’années en années, ces zones difficiles percluses de chômage, de misère, théâtres de faits divers parfois sordides et de commerces aussi stupéfiants que la venue d’un premier ministre socialiste aux Mureaux.
Car Manuel a compris qu’on l’attendait tous sur le sujet : la discrimination sociale n’est plus possible dans ce pays. Et comme elle passe notamment par ces banlieues et leurs dérives, il était naturel que le ministre y aille s’encanailler pour montrer que non, non, non, la République n’a pas déserté ses missions essentielles que sont le logement social, le « testing », les caméras piétons sur les policiers et combattre l’ « apartheid social, territorial et ethnique ».
Il faut dire que tous les indicateurs pointent vers le même constat : la situation s’est dégradée. D’après les analyses minutieuses des journalistes, des experts, des philosophes, des sociologues-experts et autres philosophes-journalistes, dix ans après les émeutes qui secouèrent la France, « la situation des banlieues est encore plus mauvaise ».
C’est franchement étonnant. Mais si, admettez tout de même que vous êtes un peu surpris : normalement, cela fait des décennies que nos amis de tous les gouvernements qui se sont succédé aux commandes du pays travaillent à remettre les banlieues d’équerre. Cela fait des décennies que les experts / philosophes / journalistes / sociologues se relaient pour expliquer pourquoi ces banlieues sont en déshérence, pourquoi les habitants ne s’y sentent pas bien, comment il faut procéder pour aider les uns, secouer les autres, les employer et leur redonner de l’espoir, de la joie de vivre, du cœur à l’ouvrage et ce petit je-ne-sais-quoi qui fera revenir joie, bonheur, gaîté et subventions chez les habitants de ces quartchiers qui ont du talent. Normalement, tout devrait être bien carré, après toutes ces dépenses, toutes ces années, non ?
Eh bien non.
Bref, la banlieue est sans nul doute devenu le beau baroud de ce gouvernement de combat qui cherchait une guerre à sa hauteur. Comme dans tout combat, il y aura des cibles, clairement désignées, des objectifs, des forteresses à prendre et des sièges à tenir (notamment celui de Premier ministre qui est parfois éjectable). Les objectifs sont connus puisqu’il s’agit bien sûr d’égaliser à coup du bulldozer républicain anti-discrimination. C’est facile, c’est clair, c’est net, et la bavure ne lui fait pas peur.
Quant aux cibles, elles sont toutes désignées. Après quelques foulées athlétiques dans les rues des Mureaux vides d’habitants (qui avaient sans doute d’autres chats à fouetter que voir un clown parader), le Premier ministre a rendu publique une liste de 36 communes méchamment récalcitrantes à leurs obligations en matière de construction de logement social, quinze ans après l’adoption de la loi SRU imposant des quotas démocratiques et festifs. De façon toujours aussi stupéfiante, on découvrira dans cette liste une majorité de communes dont l’équipe municipale fricote avec les Républicains™® ou le Front National. Sur les 36 communes, seules 4 sont classées à gauche. C’est un pur hasard. Abomination supplémentaire : Neuilly (ex ville de Sarkozy) ou Fréjus (FN) ne respectent pas les engagements qu’on leur a imposés de construire du logement social. Flûte alors.
Pourtant, tout le monde sait qu’une fois construit, c’est l’assurance d’un avenir florissant, comme l’ont justement prouvé les quarante années efficaces de politique du logement, de politique de la Ville ou de la gestion des banlieues en général. On s’étonne donc que certaines villes trouvent inadaptée la solution proposée par l’État et fassent bêtement de la résistance de l’obstruction stérile à un programme dont tout indique qu’il va très bien se terminer !
Très concrètement, les maires de ces insupportables communes insoumises seront dorénavant remplacés par les préfets qui délivreront les permis de construire pour les charmants ensembles immobiliers prévus par la loi. Ça tombe bien : ces préfets ne sont pas sanctionnés par le vote démocratique, et n’auront donc aucun compte à rendre lorsqu’enfin, les communes désignées bénéficieront à leur tour du bon taux de HLM. C’est aussi ça, la Socialie détendue de l’autoritarisme, pas de quoi en faire un drame.
D’autant que le plan de Manu les HLM n’est pas vide de ces truculentes inventions qui savent donner tout son sel aux initiatives vraiment gouvernementables. Ainsi, lorsque la Commission Interministérielle à l’Egalité et à la Citoyenneté s’est réunie le 26 octobre, elle en a aussi profité pour renforcer le lien social, le vivrensemble et tout le tralala républicano-mixophile en instaurant, sous l’impulsion de la fine fleur sénatoriale socialiste et de Fleur Pellerin, l’actuelle excuse en charge du ministère de la Culture et de la Communication, un diplôme national supérieur professionnel de la danse hip-hop.
On appréciera toute la puissance de ce poncif cette innovation au secours des banlieues qui s’inscrit d’ailleurs assez bien dans l’encadrement de l’État tous azimuts d’absolument tout et n’importe quoi pour gagner des ouailles. Dans le prolongement de ce diplôme officiel de hip-hop, on attend sans doute que des Tsiganes mettent le feux à l’une ou l’autre autoroute pour que soit enfin reconnue par un diplôme les spécificités de leur musique…
Tout ceci rejoint assez bien l’apparition, il y a quelques années, de la Tout Ce Qu’il Y A De Plus Officielle licence de clown, dont le diplôme, absolument nécessaire, a propulsé la clownerie française au rang d’art reconnu dans le monde entier.
Non, décidément, il n’y a pas à tortiller : la gestion des banlieues a été assez exemplaire les décennies passées et la façon dont le Plan Truc Machin est actuellement enquillé laisse présager du meilleur. Et cerise sur le gâteau : ce sujet ô combien délicat permet aussi à la fine équipe gouvernementale de bricoler des rétorsions politico-politiciennes en poussant ses basses œuvres idéologiques dans la foulée. Accessoirement, les précédents plans ont toujours été particulièrement efficaces pour diriger efficacement les sprinklers à pognon public vers les bons gosiers aspirants, et tout indique qu’on va continuer dans la même direction avec le petit dernier.
On le savait : ce pays est foutu. Mais au moins, nous aurons des clowns diplômés et des hip-hopeurs brevetés qui clowneront et hip-hoperont dans des cités subventionnées.
Si le chômage n’était pas le cancer qui mine notre société, si il y avait le plein emploi, il n’y aurait pas de problème de banlieue. Si tout le pognon dépensé en fariboles et billevesées n’avait pas été collecté par de trop lourds impôts et des charges faramineuses, les entreprises auraient pu se développer et embaucher.
Mais cela n’est pas socialiste et c’est trop simple à comprendre, alors, on fait appel à des philosophes, des sociologues pour régler un problème qui n’existerait pas si l’Etat s’était abstenu.
Pour qu’il y ait plein d’emplois, il faut qu’il y ait plein de « vrais » employeurs (et pas les contribuables employant des millions de fonctionnaires par l’intermédiaire de l’Etat). Mais tant que que les employeurs seront considérés comme de méchants exploiteurs venant d’un club (imaginaire) très fermé aux ressources financières illimitées (le patronat), et non comme des personnes ordinaires prenant des risques importants, on ne verra pas d’amélioration. C’est cette vision marxiste très répandue chez nos zélites qui tue l’emploi.
Cela dit, aucune loi n’interdit au chômeur moyen de travailler à son compte et de découvrir le bonheur d’être son propre patron (URSSAF, RSI, déclarations fistales et toussa)
Les privilèges se paient dans ce pays…
Heuu honnêtement, le bonheur d’être à son compte dans notre beau pays, je ne souhaite même pas ça à mon pire ennemi 😉
Ari et BM (entre autres entrepreneurs ici présents), chapeau bas !
Pour ma part, j’ai mis la clé sous la porte au bout de 13 années. Plus la force, plus le courage, plus la foi…
ça n’empêche pas de faire un peu de gras, en jouant le barbier de sébile dans les stations de sports d’hiver, M. Bob rase au ski , hein , et sans déclarer ses honteux profits ! 🙂
NB: cette blague c’est du réchauffé, mais comme je pense que personne ne l’a lue il y a 2 ou 3 jours, je repasse le plat. Bob, musicien, me dira « c’est un plat de jia … » 😀
Dis-lui Bob, marre les plats de la veille. On veut du frais du marché !
On est à notre propre compte par la force des événements , WP et moi-même nous sommes asociales , il nous est difficile d’être sous le joug d’un employeur… Une fois l’URSSAF et la caisse de retraite virés de notre quotidien, la vie d’entrepreneur est tout à fait supportable , en étant entouré d’un cabinet d’expert comptable pour les démarches administratives… On bosse à peine 30 heures par semaine… Nous pourrions travailler plus mais nous avons décidé de se la couler douce …
Qui veut aller loin ménage sa monture
Exactement
Qu’est ce qui peut bien les empêcher de se prendre en main et de se créer leur propre emploi?
Mais peut-être cela ressemblerait plus, in fine, à des ouvriers journaliers de l’ancien régime…
Au fait, il a bien son diplôme, Manu ? J’espère qu’il n’est pas allé faire le clown aux Mureaux en dehors de tout cadre réglementaire.
Il l’ a honoris causa , vu les c……es qu’il arrive à débiter sans se décrisper les mâchoires et sans rire….
Mais nooooon !
Les HLM abritent des notables, des élus, des fonctionnaires. La racaille, ça n’existe pas ! Pas en socialie.
D’ailleurs, dans les ghettos il n’y a pas beaucoup de violence. Des pauvres arabes (désolé, c’est comme ça) vendent de la drogue à de riches Français de souche.
Alors ? La mixité sociale existe…non ?
Il y a même un commerce gentil entre riches consommateurs et pauvres vendeurs.
Vendeurs qui sont choyés par la République, qui aime l’argent et le cannabis.
Souvent, les arabes se font baiser 2*, car l’on leur pique leur résine ainsi que leur pognon. Chose injuste. Car monter un business lucratif….c’est du boulot.
De ce côté, le riche, au moins, ne se fait voler que ses thunes. (d’ailleurs le riche il en branle pas une en socialie….y a pu de boulot !)
Injustice, sociale dirons nous.
@DoS : on avait dit « Padalgam », bon sang….
Non. Je mixe les racailles. Rien d’autres. Car si les HLM avec des riches ont une vue tour en métal, les autres en périphérie hébergent des étrangers sans aucune chance de s’integrer. Et pourtant, comme je le précise, la racaille pauvre fait du vrai business, elle !
Je souhaite donc, que la racaille des quartiers riches se sorte les doigts du cul et respirent à plein nez. Car, l’addition arrive….
Il y a HLM et HLM. Souvent une simple question d’ adresse. Et curieusement aux bonnes adresses correspond une bonne population pas mélangée pour deux ronds: rien que des fonctionnaires peu souvent de base…
A Paris en particulier, certains « HLM » n’ont que le loyer qui est modéré. Pour le reste, ce sont des immeubles bourgeois, dans des quartiers cossus, dont profitent les amis du Pouvoir. Il me semble par exemple qu’un donneur de leçon journalistique (initiales JFK) a longtemps profité d’un tel privilège.
Vu les plafonds, 70% de la population française peut à un instant donné prétendre à un HLM. Et cet avantage est quasi-définitif même si on n’est plus dans les plafonds ou les critères. Les fameux « sur-loyers » arrivent toujours avec des années de retard et n’égalisent jamais avec les loyers du privé alors qu’ils devraient être au contraire supérieurs afin de motiver les locataires au départ. Sous couvert de pour une fois une vraie justice sociale, autrement dit une sorte de remboursement des avantages passés. Donc, les personnes bien introduites profite de leur jeunesse mal rémunérés ou de passage à vide pour bénéficier des ces avantages à vie. Une année avec un trou quand vous élever vos enfants avec votre femme au foyer temporairement et avec les bonnes relations vous avez définitivement un grand appartement à bas prix dans les beaux quartiers de Paris jusqu’à votre mort. Et ce quelque soit vos augmentations futures et le départ de vos enfants.
« Une année avec un trou quand vous élever vos enfants avec votre femme au foyer….
uhm…
il faudrait mettre en gras et surligner « ET AVEC LES BONNES RELATIONS »
J’ajouterais qu’il faut savoir conserver ces « bonnes » relations. Frigide Barjot, qui n’était certainement pas la pire profiteuse du système ni la plus éloignée des clous en termes de revenus ou de composition du foyer s’est un peu fait remarquer : elle a été obligée de rendre son HLM.
Le surloyer n est pas appliqué: les HLM doivent recruter un max de bons payeurs pour toucher les subventions de la CDC. Ils ne feront donc rien pour se les mettre à dos.
Il me semble qu’un constat est « amer », non?
En « zone sensible », on dit : un constat, et ta mère !
Correction:
« Un constat? Ta mère!!! » et au mieux une main courante.
Il y a un type qui est mort pour ça :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Mohamed_Laidouni
Devinez le pedigree des coupables. Indice : la pomme ne tombe jamais loin du pommier.
Tu vas pas faire ton Français, toi aussi !
On ne dit plus « Zone sensible » (trop stigmatisant) mais « Zone sans cible » (car la répression est bannie).
C’est même un constat inique ! Taaaaa mèèère …
A l’auteur = 3ème ligne: le constat un peu amer, sans « e » ou le constat un peu amène, mais le sens ne serait pas le même.
J’adore l’effet Papillon des Banlieues (Copyright Valls) :
« La construction de HLM à Fréjus améliore le vivrensemble des banlieues de l’Ile de France ou de Lille tout court. »
Ces malades sont équipés d’un cerveau malade et de boîtes d’aspirine.
Une de mes amies, que je classerai plutôt à gauche, me faisait part hier de son écoeurement vis-à-vis du pitoyable spectacle offert la classe politique française. Nous divergeons quant à l’attitude à avoir, moi pour l’abstention, elle pour le vote blanc mais une chose est sûre, le dégoût gagne bien toutes les sphères de la société. Les gesticulations imbéciles de Manolito n’y changeront rien.
La bonne question : si un second tour MLP / Hollande se concrétise, votre amie sera-t-elle toujours du vote blanc ?
Pour mon compte, dans un cas pareil, je vais sortir ma carte d’électeur qui n’a pas servi depuis longtemps, et je m’en vais voter le pen en courant … juste pour foutre la merde une bonne fois pour toute ….
La bonne question : si un second tour MLP / Hollande se concrétise… Mais alors pourquoi ne pas y aller dès le premier tour afin d’y foutre la m..de directement et de concrétiser ce choix au second tour ???? Tant qu’à faire autant le faire et le faire bien dès le début !
Cette histoire de vote « blanc », ça ne serait pas un peu raciste ?
Morano a essayé de récupérer le vote blanc à son profit.
Vous vous rappelez du clip du PS en 2012 :
https://www.youtube.com/watch?v=5Nju84S4TbU
Ben l’UMP c’est pareil :
– les cadres vont vers Macron.
– les militants vers le Pen.
Morano se positionne en ce sens.
Cette histoire de vote blanc m’a toujours paru être le comble de l’hypocrisie. A mon sens, soit on vote, soit on s’abstient.
Voter blanc c’est du pur socialisme de messe, on va voter pour faire acte de présence mais on n’a pas le courage de décider d’un choix personnel.
Peut-être parce que dans l’isoloir il n’y a pas de confesseur ?
Moi, comme je l’ai déjà écrit, je suis pour le vote noir : un vote de refus, qui, s’il était majoritaire, notamment au second tour, invaliderait automatiquement l’élection.
Comme de toute façon nos « représentants » ne représentent qu’eux-même et passent leur temps à pondre de nouvelles lois, de nouvelles contraintes et de nouveaux impôts, on ne perdrait pas grand’chose.
Vive les votations à la suisse !
Il va surtout il y avoir du vote gris…
Le vote blanc peut se traduire par :
« J’accepte la règle imposée pour cette élection mais je ne peux choisir entre les candidats ».
L’abstention est caractérisée par deux courants :
– ceux qui s’en foutent,
– ceux qui considèrent que l’ensemble des candidats appartient au même camp (et donc ce n’est pas démocratique ni un vrai choix).
J’hésite entre ces deux courants car :
– la politique est viciée depuis que c’est devenu un métier coupé des réalités,
– je ne vois que des candidats socialistes et/ou collectivistes.
A 8 ans, je comprends ton embarras…
P….urée!!! Encore 10 ans à patienter avant de pouvoir vraiment te décider devant ce choix cornélien…. 🙄
Quel pessimisme nos socialistes sont capables d’abaisser l’age du droit de veaute à 16 ans et puis avec le passage de Najat au ministère de l’EN on devrait pouvoir descendre à 14 ans qui était l’age de la majorité des rois.
Pour la génération de l’enfant-roi, il y aurait une certaine logique.
D’ailleurs, on ne devrait faire voter que les enfants.
Ce ne serait pas pire…
On dit souvent que la jeunesse c’est l’avenir…
Vu la moyenne d’âge dans les banlieues, l’avenir ne présage rien de bon !
Curieux, non?: « La liberté d’expression sur Internet recule dans le monde, la France épinglée
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/021436725874-la-liberte-dexpression-sur-internet-recule-dans-le-monde-la-france-epinglee-1169975.php
Hier matin, le maire de Maison-Lafitte était à la radio. Il parlait de « soviétisme » et de racket au sujet des pénalités à verser si on n’a pas le quota d’HLM.Il souhaitait bien du plaisir aux Préfets qui devraient gérer les expropriations.
Il a eu aussi des mots doux à l’encontre de la maire de Paris
Je me suis demandé s’il n’était pas venu lire ce blog…
Le maire en question n’est pourtant vraiment pas une lumière.
Des individus peuvent se mélanger.
Un individu peut se mélanger à un peuple.
Des peuples ne peuvent pas se mélanger.
Le problème des « banlieues » est aussi simple que ça.
Ayant passé mon enfance à Fontaine, ma famille ayant du partir à cause des nouveaux arrivants, je connais bien le problème.
Ces engeances nous haïssent.
Et c’est pour ça que j’aime bien l’Europe de l’est : pas de wesh qui font ch*er, pas de socialos donneurs de leçons, l’immobilier coute pas cher. En plus, les femmes sont belles, et la bière est bonne.
Qu’attends-tu pour t’y installer définitivement ? C’est l’Europe, après tout.
Il faut y trouver du travail ! Ou alors que j’acquiers suffisamment de compétences en wordpress et PHP pour bosser en freelance.
Mais j’y retournerai dès que possible.
Pour vous faire traiter à votre tour de migrant venant piquer le boulot des locaux ?
Défendez plutôt chèrement vos bastions, car si tout le monde fuit CPEF !
Défendre les bastions avec quoi ? la mentalité individualiste des français ?
Un de mes anciens potes thésards est parti en Slovaquie monter une ferme bio. Pas eu le choix, en France il n’a eu que des emmerdements… il avait des connaissances là bas, ça aide.
Du coup, il a pu monter son affaire, épouser une locale (sinon les locaux vont finir par te plomber…), et les affaires marchent.
Une bonne ferme en Hongrie, c’est 6000 euros. Un appart est finançable avec un crédit sur 10 ans.
Le problème est qu’il faut trouver du boulot. Ou alors monter une combine pour truander les allocs ici et les toucher là bas.
Rien d’insurmontable donc. Allez, en avant, go go go P&C !
Ce n’est pas insurmontable, c’est juste dur…
Pfff !!! On peut toujours rêver qu’il se bouge son C** , ce n’est pas gagné, il a toujours une « bonne » excuse …
Tout de suite !
Tu es au courant qu’il faut aujourd’hui 300 candidatures pour avoir un entretien ?
J’y étais il y a 2 mois, je te signale… Et pour le travail, pas pour le tourisme. Mais c’était une mission de courte durée… pas eu le temps de construire un bon réseau.
Or ça aide à remonter les offres… néanmoins j’ai gardé quelques contacts.
Mais j’ai besoin de muscler mon CV si je veux pouvoir postuler à un nouveau post doc, ou alors repenser mon offre de services.
Bah… sinon il y a l’Estonie….
Et il y a une différence entre immigrants économique / réfugié de la misère du monde… et … immigration choisie. Dans les pays de l’Est, il n’y a pas 36000 aides sociales, soit tu bosses et tu vis, soit tu glandes et tu te retrouves sous un pont.
Donc non, les émigrés qui arrivent avec des connaissances, un savoir faire, et l’envie de bosser, ceux-là sont bien accueillis.
Les immigrants forcés, non éduqués et qui vont vouloir changer les règles en place pour mettre des horraires piscines hommes / femmes ; des changements dans les cantines scolaires ; recevoir 500€ sans rien faire…. ceux-là ne sont pas les bienvenus du tout.
cf : en Suède, les « réfugiés » se sont révoltés car leur logement se trouvait trop dans la nature… c’est vrai, sous les bombes c’était mieux. dans ce cas fallait pas partir !
« réfugiés » se sont révoltés car leur logement se trouvait trop dans la nature »
Tout à fait logique: quelles sont leurs perspectives si ils habitent loin de tout?
Notre commune accueille des réfugiés, mais logés à 2 kms du bourg et 25 kgs d’un centre économique: dès qu’ils peuvent se tirer, ils le font, et je ferai la même chose à leur place, d’autant qu’ils n’ont bien sûr, pas de moyen de locomotion.
😥 cry: cry:
Il me semble que les réfugiés ne sont pas la pour le long terme, et reçoivent un moyen de subsistance… De plus ils ne sont pas autorisés à travailler en ce moment…
Et même si, je doute qu’ils parlent tous le Suédois parfaitement… deux mois dans un lieu de vacances (il s’agit de cela), leur permettrait au moins de maitriser un début de Suédois… des cours étaient prévus…
donc après, je ne vois pas trop l’intérêt d’aller me noyer dans une métropole sans conntraitre la langue et sans espoir de travailler honnêtement vu la loi le leur interdit au début…
Et même si la loi ne l’interdit pas, il faut au moins connaître les bases de la langue locale… même si c’est pour faire balayeur chez Ikéa ou professeur de science quantique à l’Université d’Upsalla…
Jalouser ses voisins n’a rien à voir avec l individualisme.
« Il faut y trouver du travail ! » MDR
A bah oui, c’est un peu le concept mon ami!!!
Franchement, si c’est ton attitude, alors tu es loin de l’esprit des pays dont tu parles. Avec ou sans PhD (ça avance?): Pas de RTT, pas 8 semaines de vacances, pas d’alloc chômage (ou si peu), pas de chèques vacances. Keud.
Mais t’as un peu plus de liberté qu’en France et tu payes moins d’impôts. En plus c’est vrai pour le bière et les dames. 😉
Le Phd, je l’ai.
J’ai déjà bossé en Hongrie et en rep tchèque comme ingénieur.
Bosser le samedi soir à 1H du mat, je connais, et ça me dérange pas.
Il y a des vacances, mais tu ne les prend pas…
1 : avec qui les passer ?
2 : faut publier, donc il faut être derrière la paillasse.
L’absence de vacance était compensée par le logement de fonction, le cadre de travail sympa, les collègues russes, et la bonne bière (tout va bien avec une bonne mousse !).
Les chèques vacances ? rien à f*utre, j’en ai jamais eu. De toute façon je préfère aller aux champignons.
Le problème de « il faut trouver du travail » est simple : les postes sont rares, et la concurrence rude. Il me faut en moyenne 300 candidatures pour décrocher un entretien, ce n’est donc pas si je pouvais me barrer juste comme ça.
Oui l’est attire de plus en plus de monde, il y a un vrai potentiel la bas. Les femmes sont belles et « normales » … c’est à dire pas des chieuses françaises.
moi, n’ayant pas eu beaucoup d’expériences (avec les filles) j’ai suivi les conseils du grand Rocco, car lui, il s’y connait en « patatine »… ;o)))
https://youtu.be/oUn4-6huLOM
Rocco a ouvert une « école … » vous pouvez toujours postuler, pour acquérir des compétences 😉
Et après 40 ans de compétence socialiste, mon anus, c’est du béton ! (Ou alors, c’etait colgate avec les couilles ?) bref, on reste dans le gras des chips….avec modération.
A tous les coups, c’est une école qui plairait à notre gouvernement de combat :
Une école où on prend des mesures…
« Je suis pour l’égalité des sexes, et, en tant que Ministre, je prendrai toutes les mesures. »
Y. Roudy – Ministre des Droits de la femme (1981-1986)
Si des femmes s perçoivent que les françaises sont des casse couilles de classe mondiale, ce pays n est pas si foutu que cela. 😀
N’y aurait-il pas un vague rapport entre les emplacements favorables aux HLM et le gonflement trépidant de l’AME (curieusement ici sans le moindre accent) ?
http://www.lesechos.fr/journal20151027/lec1_france/021431717549-300000-etrangers-touchent-laide-medicale-detat-1169523.php#xtor=CS1-33
Les français ont sans doute oublié que la mixité, comme disent les socialoques, existait en plein Paris à l’époque où il n’y avait pas encore d’ascenceur. Observez bien un immeuble du début du XIXème siècle: vous verrez de belles hauteurs sous plafond au 1er et 2ème étage. puis les hauteurs diminuent jusqu’à devenir du 2,5m au 5ème. Les « riches » habitaient les 1er et 2ème étages et les petites mains (couturières, artisans) les 5ème. Et cela marchait très bien.
Mais (il y a toujours un « mais »), tous ces braves gens, du bourgeois aisé jusqu’à la pauvre couturière étaient blancs, catholiques et parlaient -peu ou prou- la même langue.
De l’autre côté de l’atlantique, où les africains sont là depuis un siècle et demi et ne parlent plus que l’anglais, les quartiers noirs existent toujours -par exemple à Washington DC-. La seule différence avec la France est que ce sont les noirs qui habitent les centres ville et les bourgeois, les banlieues.
Cette loi SRU était une de ces lois socialomanes, pondue par un trotskiste, qu’il faudrait abroger d’urgence.
Le premier étage des immeubles haussmanniens n’est pas le plus beau. Il était souvent réservé pour les commerçants du RDC qui habitaient alors sur place. Il était de plus encore bruyant et malodorant car trop près de la rue. C’est le deuxième étage qui est systématiquement le plus beau (avant l’ ascenseur) car ce n’était pas encore trop haut pour monter par escalier mais suffisamment pour avoir de la clarté et moins de bruits et d’odeurs. Travailler dans les immeubles parisiens me permet de le vérifier constamment. En revanche, dès que l’ ascenseur a été utilisé, ce sont les quatrièmes et cinquièmes étages qui deviennent les favoris. Mais jamais les derniers étages à cause des brisis qui imposent des murs obliques ou des murs droits mais avec perte sensible d’ espace… La mode des terrasses accessibles se développe post WW1 à partir du bref mouvement architectural Arts Deco/Transatlantique illustré entre autres par Mallet Stevens et d’autres archis d’ origine américaines ayant succombé aux charmes fantasmés de la Ville Lumière…
En fait, dans les immeubles auxquels je pense (ceux de la rue de Rivoli notamment), il y a un entresol, dont je n’ai pas fait mention, car leurs fenêtres donnent sous les arcades. Le vrai premier étage est, de ce fait, déjà assez bourgeois, mais je suis d’accord avec vous que c’est le deuxième qui fut l’appartement de prestige avec balcon filant et les plus belles décorations.
Avec un entresol (appellation d’ un premier étage de hauteur sous plafond limite vivable), nous sommes alors clairement dans le logement du commerçant, des gardiens et autres domestiques reporté à cet endroit par souci de réserver le maximum du RDC aux boutiques et autres bureaux, plus rentables locativement que les appartements. Ne pas oublier que construire un immeuble de rapport était sa caisse de retraite pour le bourgeois aisé du Second Empire et au delà, le rapport pouvant atteindre du 5 à 6% l’ an à une époque sans inflation, sans IR, sans ISF. Cela remplaçait les terres agricoles pour la bourgeoisie urbaine…
Les derniers étages étaient aussi malcommodes thermiquement parlant. Vu leur faible isolation, ce pouvait être un four l’ ete et une glacière l’ hiver (surtout qu’à cette époque, le réchauffement climatique anthropique n’avait pas encore commencé à sévir…) difficile à chauffer convenablement…
Un Tsigane met le feu, donc « des Tsiganes mettent le feux » ?
Dans mesure où Jean du voyage agit toujours en bande, oui.
Pour flamber une gare, mettre le boxon dans une ville, et intimider les gendarmes, il faut du monde.
C’était juste pour la faute d’ortografe à feuX…
C’est pas fau.
https://www.youtube.com/watch?v=x_nGGKQHJu4
@pat tout ça c est à cause de Johnny, faut les comprendre
Ah bon ? il chante « allumez le feuX … », Johnny ?
Les quotas de HLM c’est aussi une manoeuvre bassement politicienne pour faire obstacle à l’élection de maires pas du camp du bien.
Je m’explique :
Dans une élection locale, il n’y a que les voies d’un territoire restreint qui sont prises en compte (c’est un poil la définition de l’élection locale).
Dans une ville « de droite », en général, on a une répartition de la population assez équilibrée : on a rarement 80% d’électeurs « de droite » et on oscille autour du 55/45 à la grosse louche.
En effet, même dans une commune dont les habitants on plutôt le profil « type » du méchant électeur de droite qui mange un chaton au petit déj. on a toujours un quota minimal de bobo conscientisé qui gagne plein de pognon comme les autres (oui, parce que l’électeur de droite gagne du pognon, faut le savoir… si si… je vous promet), et même parfois plus, et qui vote à gauche (parce qu’il faut bien entretenir le capitalisme de connivence qui le fait vivre au travers de marchés publics pipés).
Bref…
Maintenant prenons la loi SRU…
Elle impose que 20% des foyers soient des logements sociaux.
Mettons que 100% des résidents de ces HLM soient des électeurs : paf, d’un coup d’un seul vous avez 20% de plus d’électeurs, qui, en général (je sais faut pas généraliser mais bon) sont plutôt des électeurs de gauche.
Allez, faisons l’hypothèse que la moitié le soient (électeurs et de gauche).
Vous aviez une répartition 55/45 et poum, vous êtes d’un coup à 45/55…
Et fini la ville « de drouAte ».
Certe le raisonnement chiffré est faux, mais c’est l’idée.
Ensuite, partez du principe que ces Zélus sont de grands électeurs pour le Sénat…
Etc.
Bref, en créant de force un « tampon » de 20% de foyers en logement social, la gauche fausse totalement la répartition naturelle des électeurs, donc des exécutifs locaux, et partant, de la chambre haute.
Sachant que (argh, je fais de la vilaine statistique « ethnique ») les chances pour la France qui n’auraient pas la nationalité du fait de leur arrivée récente sont souvent logées dans de tels logements, on comprend aussi l’intérêt de leur donner le droit de vote (là il semble que Flamby ait reculé sur l’idée d’un référendum : il doit se douter qu’il se ferait méchamment jeter).
Bref, reprenez le raisonnement (les chiffres sont évidement « grossis ») et vous verrez que tout est parfaitement clair.
Moi parano ?
Peut être…
Terra Nova expliquait bien qu’il fallait laisser tomber l’électorat populaire blanc et ouvrier et se concentrer sur les minorités (visiblement) « invisibles ». Ça c’est écrit, documenté, sourcé.
La répartition de force de ce dit électorat sur toutes les communes n’est que la conséquence non explicité de cette substitution.
Tu connais Pascal Boniface ? il fut un précurseur de cette option :
« En 2001, dans une note interne au Parti socialiste où il occupe la fonction de délégué national pour les questions stratégiques, il plaide pour une modification de la politique du PS à l’égard du conflit israélo-palestinien. Il estime que le PS se met en contradiction en renvoyant dos à dos l’occupant et l’occupé et plaide pour le respect des principes universels et non sur le poids de chaque communauté.
« À miser sur son poids électoral pour permettre l’impunité du gouvernement israélien, la communauté juive est perdante là aussi à moyen terme. La communauté d’origine arabe et/ou musulmane s’organise également, voudra faire contrepoids et, du moins en France, pèsera plus vite lourd, si ce n’est déjà le cas. Il serait donc préférable pour chacun de faire respecter des principes universels et non pas le poids de chaque communauté5 ». Plusieurs personnalités démissionnent du conseil d’administration de l’IRIS, qui manque de disparaître. Pascal Boniface quitte le PS en 2003….
Voir sa fiche Wiki…
Non, pas parano du tout. Votre erreur de calcul vient du fait que 20% de « foyers sociaux » représentent 40% d’électeurs de gôche en plus, vu la composition moyenne de ces « foyers » par rapport aux foyer de drouate. Ces 20% ont donc bien plus vite fait de faire passer une bonne ville tranquille, sans africains, en ville de gauche métissée/basanée comme il faut.
A propos de la « Commission Interministérielle à l’Egalité et à la Citoyenneté », je te conseille de lire ce rapport consternant, un mélange abyssale de foutaises sur la laïcité, Internet (République numérique ??), le sexisme, etc.
http://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece-jointe/2015/03/06.03.2015_synthese_comite_interministeriel-egalite-citoyennete-la_republique_en_actes.pdf
Le mot « liberté » y est cité 3 fois, et « entreprise » une seule fois « Faire connaître la laïcité dans le monde de l’entreprise » (??????)
Sinon, les différents plans banlieue représentent plus de 100 milliards de dépenses sur les dernières années (Source BFM), une paille !
Quelle plaie, que le sot ca lisse quand même !
« Valls veut niveler les banlieues par le bas » (http://www.eric-verhaeghe.fr/valls-veut-niveler-les-banlieues-par-le-bas/)
Je tiens à m’insurger contre la stigmatisation qui est faite des banlieues. Il y a des banlieues très bien dans ce pays : Auteuil, Neuilly et Passy c’est pas du gâteau!
On remarquera une fois de plus comment la gauche a réussi a redéfinir le mot banlieue qui est le territoire entourrant une ville-centre en quartiers pourris ou l’état n’ose même plus exercer ses fonctions régaliennes.
Auteuil et Passy sont des quartiers d’un seul arrondissement de Paris (le très chic XVIème) ce qui les exclut de la banlieue. En revanche, Neuilly est bel et bien en banlieue.
Auteuil était en banlieue jusque vers le milieu du XIXème siècle. Je suis moins sur pour Passy, qui a du être intégré plus tôt à Paris
C’était une référence au titre de l’article :
https://www.youtube.com/watch?v=L1N3WXZ_1LM
Cultissime !
A l’époque la France avait du talent et le vilain roitelet Trollande ne faisait pas encore régner le chaos et le désespoir…
Pstt! Mélusine: un clown paRaDer ou un clown Se paVaNer.(se pavaner est strictement pronominal). 😕
Comment dire…
http://www.cnrtl.fr/definition/pavaner
Veuillez m’absoudre, honorable Ancien, d’ avoir fait confiance à ma science, le site du Figaro, du Nouvel Obs, de Linternaute et de Larousse pour trancher péremptoirement du strict usage pronominal de ce verbe. Remarquons que le CNRTL précise que cet emploi non pronominal reste rare et ajoutons que le site Reverso le signale comme vieilli, ce qui revient peu ou prou à la même raréfaction d’usage. Avec des recherches encore plus poussées, on trouve ce verbe comme exécution de la danse dite pavane, très typiquement ibérique mais qui a le défaut (cette danse) de n’avoir pas vu sa pratique dépasser vraiment le 16me siècle. Quatre siècles même bien tassés ne pesant guère pour estimer d’autorité un usage perdu corps et bien, que le maitre des lieux reçoive l’ expression de ma contrition et me verse dessus la première bolée de cendres en rédemption de la correction qu’il apportât inutilement à son texte…
Et tu crois qu’un long post pompeux (et limite bigonadoclaste) va t’absoudre ??
Naaan ! Mets toi à genoux et fouette-toi le dos à nu !
Déjà contaminé et soumis à des usages correctifs venus d’ outre-Méditerranée ???
A ton âge, ce discours bigonadoclaste doit te passer dessus sans t’effleurer plus que cela. Quoiqu’ avec ta précocité déjà constatée en d’ autres occasions, le doute m’envahit…
😉
Dans le genre « vieilli » c’est gaité qui m’a fait tiquer ce matin en lisant le billet du jour.
Ca me fait penser à une histoire russe que j’avais lu sur un autre blog liberal:
A l’époque de l’URSS, un directeur d’usine avait recu pour objectif de produire un certain quota de chaussures. Quota impossible à atteindre. Il avait donc fait produire seulement des chaussures gauche, et a ainsi pu atteindre les quotas demandés, vu que ce cas n’avait pas été prévu par l’administration qui a donc du valider que les objectifs avaient bien été atteint.
Il y a là une source d’inspiration sans limite pour les maires qui ne voudraient pas, ni du bon vivre ensemble imposé par nos constructivistes fous, ni payer de pénalités: Il leur suffit de construire les quotas de logements demandés, mais sans fenetres, ou sans eau, sans raccords à l’électricités, bref, avec suffisament de manques pour que ca ne soit pas habitable. Je suis sur que l’administration n’a pas prévu ce coup là.
Parce qu’en fait, dans cette histoire, il y a beaucoup d’hypocrises, car ce n’est pas un problème de contenant, mais plutôt de contenu…
Mais, mon bon monsieur, votre logement ne sertait pas « aux normes ». C’est d’ailleurs l’argument proposé par je ne sais plus quel énrgumène passant à la télé pour expliquer le délogeage des squatters de cette école désaffectée du XXème.
Et qui dit licence de clown et diplôme de hip hop, dit qu’une partie de notre éducation nationale est consacré à de genre de formation … On comprend mieux où passe l’argent du premier poste budgétaire de l’Etat (qui est à l’os comme tous les autres) et où sont orientés les 60 000 nouveaux fonctionnaires de ce corps … Pendant ce temps là, le niveau en français et en mathématiques descend inexorablement …
Et pas que… ou se fait fumer même au niveau post bac.
En Tchéquie, j’avais deux étudiants de Princeton à encadrer.
Un L1 et un L3.
Mis à part les techniques de labo qui demandaient à être travaillées, leur niveau de connaissance était juste excellent, ils n’avaient besoin d’aucune aide. Et pas qu’en biochimie, ils étaient compétents en informatique, en électronique, certains avaient des bases de médecine… Il y avait aussi des étudiants russes, ukrainiens, coréens, et biélorusses, d’un niveau équivalent.
C’est là que vous vous rendez compte que vous êtes une buse.
Et lorsque vous comparez avec le niveau des licences que vous côtoyez habituellement en France, vous vous rendez compte du désastre.
Ah P&C prend le blog pour un confessionnal…
Il y a 222 ans, la Ripoublique Grançaise n’avait déjà pas besoin de savants. Pourquoi voulez-vous que cela change ???
La Ripoublique a toujours su s’entourer de savants pour perpétrer ses massacres de masses avec notamment la mise au point et l’utilisation d’armes chimiques lors du génocide des Vendéens.
Je pense notamment à Antoine François Fourcroy chimiste et député à la convention nationale.
Il y a les bons savants et les mauvais savants, n’est-ce pas ??? 😈
Antoine François (Floucault de ) Fourcroy….. régicide en sus… j’ai pour ami un de ses descendants qui n’en est pas plus fier que ça…. mais tout en ayant connaissance de toutes les ignominies et atrocités commises pendant les guerres de Vendée (qui rendent très largement des points à celles des Nazis les plus barbares), j’ignorais cette histoire de gaz homicides : tu as des sources ?
Dans les livres écrits par Reynald Secher consacrés à cette page d’histoire (« Le génocide franco-français : la Vendée-Vengé » aux PUF et « Vendée : du génocide au mémoricide. Mécanique d’un crime légal contre l’humanité » aux éditions du Cerf pour les principaux). Rien d’industriel autant qu’il m’en souvienne mais des tentatives çà et là pour exécuter au plus vite les ordres du Comité de salut public et de la Convention (extermination des « brigands »). Les gazs ont été essayés avec un succès assez mitigé. C’est Carrier à Nantes qui a été de loin le plus efficace avec ses « mariages républicains » en dehors des crimes commis par Turreau et ses colonnes infernales (Les Lucs sur Boulogne).
L’échec des gaz est principalement imputable au caractère artisanal de leur fabrication. La chimie est plutôt embryonnaire à cette période mais l’idée était là.
On peut considérer que le monoxyde de dihydrogène est une attaque chimique.
(dhmo.org)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Génocide_franco-français
Antoine François Fourcroy est mentionné comme principal instigateur des tentatives de gazages avec Joseph Louis Proust, pharmacien: « Dès le début de l’année 1794, il est présent en France, en tant que pharmacien ou apothicaire à Angers et fait des propositions en tant que chimiste pour régler la question de la population Vendéenne, récalcitrante à la république, et qu’il est nécessaire, selon le comité de salut public, d’exterminer. À la suite de l’idée de Fourcroy (chimiste, député à la Convention), celle de gazer la Vendée afin d’exécuter sa population, Proust fait des expériences sur des moutons dans un champ aux Ponts de Cé…Il appela cette solution un « levain soporifique ». La conclusion du rapport de ces expériences dit que « ni les conventionnels présents, ni les administratifs, ni les moutons, n’ont été incommodés. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Louis_Proust),
Merci Higgins.
Je découvre.
Et je reste effaré.
A propos du livre « Vendée : du génocide au mémoricide. Mécanique d’un crime légal contre l’humanité » publié aux éditions du Cerf, voilà ce qu’en a dit Franck Boizard sur son blog: « …Secher enfonce le clou définitivement, suite à sa découverte, assez stupéfiante, dans des cartons d’archives oubliés, de «petits papiers» du comité de salut public qui ne laissent plus aucun doute sur le fait que ce génocide fut voulu et planifié comme tel par les plus hautes autorités. La thèse des robespierristes et néo-réobespierristes (hélas, ça existe encore), qui fait des massacres vendéens de malencontreux excès dus à l’anarchie de l’époque, est invalidée sans retour…. »(http://fboizard.blogspot.fr/2012/04/vendee-du-genocide-au-memoricide.html)
Pour être précis, Secher a découvert fortuitement aux archives nationales, des documents, généralement des petits billets signés qui par Robespierre, qui par Saint-Just, etc,… montrant explicitement la volonté d’extermination de la population vendéenne par la Convention républicaine d’où son livre.
Je précise que j’ai lu, à leur parution, les ouvrages cités plus quelques autres sur ce sujet qui me touche d’assez près.
Hélas, nous, Français, avons toujours les bonnes idées les premiers. Après, ce sont les médiocres d’Outre Rhin qui nous les volent, et passent à la pratique industrielle avec cette persévérance et ce sens de l’organisation qui sont la marque des esprits sans génie.
Je sais que vous le savez mais il ne faudra pas en dire mot durant vos cours d’histoires et encore moins durant les cours de morale laïque.
idem…
C’était en réponse à Higgins et Calvin @ 28 octobre 2015, 15 h 02 min
Grand merci pour ces liens, Mr Higgins
J’ai lu les livres de Sécher, bien sûr, et les minables réponses de Jean-Clément Martin…
Le génocide est incontestable, et les preuves en fourmillent pour qui veut se donner la peine de lire, ne serait-ce que l’histoire de la Virée de Galerne, avec les atrocités du Mans que je renonce à décrire – ce Blog comptant des dames – et se terminant par le massacre de Savenay :
Après la bataille de Savenay, du 23 décembre 1793, le « général » Westermann écrit au Comité de salut public une lettre contenant le passage suivant, resté célèbre :
« Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Plus de Vendée, citoyens républicains, je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay, suivant les ordres que vous m’avez donnés […]. J’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles-là n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher, j’ai tout exterminé […] »
Rappelé ensuite à Paris, et traduit devant le Tribunal révolutionnaire, il est condamné à mort et guillotiné le même jour que les dantonistes.
Il y a des jours comme ça, où je trouve la guillotine bien sympathique….
Sur ce, je retourne lire le dernier de Villiers (Philippe, pas Gérard).
video meliora proboque, hein ! bien aimé, moi aussi..
Niveau licence en France : savoir lire, écrire et compter ? Ou est-ce trop demander ?
Attention.
Suivre une consigne de hip – hop, c’est lire.
Compter ses pas pour rester en rythme, c’est compter.
Bouger son corps en ligne, c’est écrire.
Le Hip-Hop : du français, des maths, de l’art…
Supprimons toutes les autres matières.
Les socialos ne veulent pas trop que les banlieues s’émancipent, ni même le reste de la france, il est beaucoup plus facile de manipuler une population droguée à l’assistanat en les faisant se haïr les uns les autres, cette haine ne se reportant (pas encore) sur le pouvoir en place. Quand un quartchier se paupérise et se communautarise , la gauche y remonte mécaniquement. Pour parler de Nantes, c’est devenu un cloaque, que j’ai déserté depuis longtemps, en tant que femme fluette de race blanche (merde j’ai dit un gros mot, trouvez lequel) . Le coin du vivre ensemble appelé Malakoff est depuis quelques semaines le théâtre de rixes, coups de feu, agressions, la charcuterie a mis la clef sous la porte, son artisan, menacé de mort. C’est une ville qui s’est largement scindée en plusieurs endroits où il ne faut surtout pas aller, ça s’appelle le début de l’apartheid.
Je connais bien Nantes. Il y a de cela bien longtemps, on pouvait aller sans crainte au Sillon de Bretagne.
Pour Malakoff, c’est d’autant plus surprenant pour un visiteur car, lorsqu’on longe la Loire pour gagner la cité des Congrès, on a l’impression de passer à proximité d’un quartier agréable.
Pourtant, Nantes est une ville sympa, surtout comparé au cloaque qu’est devenu Grenoble (connue jusqu’en Hongrie comme « la Marseille des alpes »).
Je comprend tout à fait qu’une nantaise sont choquée par des exactions qui ne soulèvent même plus le sourcil du grenoblois moyen.
Pour votre information, l’actualité fait mention ce jour a Nantes du viol à deux reprises d’une femme dans le quartier du Boufay.
Tant que les français se comporteront comme des Conchita wurtz, ça n’ira qu’en empirant…
Lors de ma thèse, je devais régulièrement escorter une collègue indienne car elle avait peur de rentrer chez elle seule… rapport aux chances pour la France qui se déversaient dans le centre ville de Nantes une fois la nuit venue.
Inutile de dire qu’elle fait son post doc ailleurs que dans notre pays.
Pour ceux qui ne connaissent pas Nantes, c’est le centre ville à deux pas du château des Ducs de Bretagne.
Je crois bien que c’est là que furent décapités MM. de Pontcallec et de Talhouët…. c’était déjà une révolte anti-fiscale…
Nous avons bien actuellement en France les moeurs de la Régence – voir les petites gambades de Flamby – mais il nous manque, hélas, la poigne et l’intelligence du Régent…
Lequel Flamby s’inspire plutôt de Badinguet qui, lui aussi, cachait sa Miss Howard rue du Cirque…
Vrai? Votre érudition m’époustouflonne.
Et nunc erudimini….
C’est en effet authentique : Miss Howard qui finança Napo le petit – avec des fonds reptiliens de l’IS – habitait rue du Cirque… mais j’avoue néanmoins que l’analogie s’arrête là : il n’avait pas de scooter….
Serait-ce donc la pleine lune pour que des jeunes férus de poésie comme nous autres soient déjà éveillés et appliqués à décorer ce blog de nos versets ?
Et encore, nous n’avons pas l’excuse des antipodes qui permet bien des écarts…
« l’excuse des antipodes , elle te dit bien des choses … » Non mais quoi … 🙂
A leurs débuts, les Tarterets de Corbeil-Essonnes étaient charmants et très convenablement situés: à flanc de coteau pas trop pentu, verdoyants, vue dégagée vers la Seine, aèrés, très proches de la gare RER et de la gare routière, boutiques vivrières, PTT, appartements modernes convenablementconçus, etc … Cela n’a duré au delà de la première dizaine d’années par l’ arrivée des conséquences du regroupement familial vivement encouragé par la municipalité alors communiste…
alors ça je trouve que c’est plein d’amalgames et très très stigmatisant!
Y a-t-il quelque chose d’inexact dans le propos?
Non, c’est juste un leitmotiv ironique qu’on utilise dans les problèmes liés aux banlieues.
Leitmotiv ?
Comment dire….., c’est à l’art ou l’écriture ce que le migrant est à l’Europe !
« la charcuterie a mis la clef sous la porte, son artisan, menacé de mort » heureusement encore, le mécréant infidèle qui ne respecte pas la loi divine édictée par le prophète mérite la mort !
En plus, ça donne le cancer la charcuterie. C’est l’OMS qui l’a dit (pas qui l’hadhit).
Et la viande rouge pourrait accroître le cancer colorectal.
Y a une News du Système :
http://www.lesnewsdusysteme.fr/2015/10/27/stephane-le-foll-avoue-avoir-peur-du-cancer-colorectal/
qui l’ hadhit ? MDR 😀 respect Major !
D’ailleurs une taxe comportementale sur la charcuterie et la viande rouge est en préparation. C’est pour notre bien. En plus du passage à la TVA à 20% dessus bien entendu.
La viande rouge, ça donne le cancer, c’est bien connu. Surtout la viande fumée…
Es geht um die Wurst
En plus de l’aspect robinet à subvention (qui est déjà une façon de rendre dépendant), le diplôme de hip-hop me confirme dans l’idée que les pouvoirs publics, surtout quand ils sont entre des mains socialistes, pratiquent vis-à-vis des habitants issus de l’immigration africaine ce que j’appelle une sorte « d’assignation à résidence » morale. Tu viens d’Algérie, de la RDC etc… donc tu seras cantonné au rap, au tag et au foot. Grand mépris des socialistes pour les populations immigrées, et aucun désir de les voir s’émanciper par le haut.
Très juste.
En France, si tu es issu de l’immigration africaine, on t’émancipe par le hop.
Je vous décerne le prix Nath MP de l’humour dans les commentaires de ce blog. Pour l’ensemble de votre oeuvre, du reste. Ca fait un moment que je lis, que je ris et que j’apprécie 🙂
Quel est le lot qui va avec ce prix ? Sécher les cours de Miss Wormwood ? Une protection contre le tigre planqué derrière la porte ? une Boite de thon ?
+1 palme du gag d or au gamin
des hopheads ?
Attention, Mesdames, votre idole n’est que pré-pubère et vos assiduités risquent de le faire basculer dans… mais non, je n’ose pas le dire….
C’était strictement maternelle. Par contre, si vous nous confirmez que vous avez l’âge légal, on verra ce qu’on peut faire pour votre humour à vous.
Mon âge, chère amie, est non seulement légal, mais surtout canonique…
Nathalie, il me faut penser à faire la retraite,
La course de mes jours est plus qu’à demi faite ..
ceci dit, n’est-ce pas – no offense meant -le Ministère Public (MP) ce n’est point tout à fait my cuppa…
40 ans c’est encore jeune.
Je prenais, cher Caton, le « canonique » non pas au sens strict, mais plutôt dans l’acception uderzienne…. ceci dit, 40 ans, c’est en effet très jeune à mes yeux fatigués…
J’aime assez rappeler ainsi l’influence de l’hypocrisie ecclésiastique sur la langue française. Pensez à l’adjectif « congrue » pour un autre exemple amusant…
@HB , tu devrais savoir que je ne vénère aucune idole 😉
hmm! c’est un tort, je le crois…. Calvin (le vrai, celui de Genève) en était une, au moins pour ses sectateurs… je préfère nettement le dingo de Wittenberg, son Turmelebnis était marrant….
@hb merci pour ton érudition et ton goût de transmettre , cela me permet de combler un peu mes lacunes en histoire 😉
Nos générations sont une friche .
Pour les idoles je maintiens , un dieu suffit , non ?
Ah bon? et ton Wittenberg, il se turmait le bnis ? c’est du propre ! et @ Val en plus 🙂
« Turmerlebnis »…. ratten….
😀
@Calvin, 14:55
Félicitations pour ton prix !
J’en profite sans vergogne pour rebondir sur ton dernier bon mot : en France, si tu es issu de l’immigration en général, c’est stop mais encore…
Bonsaï, je te décerne le prix du commentaire décalé
Accepté dans l’allégresse : c’est tout un art ! Digne d’un maître zen.
Hein, comment ? vous avez dit « le prix du commentaire éculé,
censuré enc..éou fécalé ? » j’ai pas bien compris ,M’sieur Le GO siouplé … 😉Marseille, cette autre ville rose… et son fatras de corruption clientéliste http://www.observatoiredesgaspillages.com/2009/05/a-marseille-on-achete-les-votes-des-cites-a-coup-de-subventions-aux-associations-1/
Et Berkoff écrivait hier à propos de «l’instauration d’un diplôme national supérieur de hip-hop» http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/10/27/31001-20151027ARTFIG00135-banlieues-quand-le-gouvernement-instaure-un-diplome-national-superieur-de-hip-hop.php
@ Bonzaille : « Accepté dans l’allée grecque, c’est tout un art ? » oui je dirais même un Art histarque ! 🙂
Une journaliste suédoise a été attaquée par des jets de pierres lorsqu’elle tournait un reportage dans une « zone interdite » à Stockholm.
Dans une interview accordée au journal Expressen, la journaliste Valentina Xhaferi a expliqué qu’elle voulait confirmer ou infirmer les rapports selon lesquels tout policier patrouillant dans le quartier Tensta de la capitale suédoise risquait d’être bombardé de pierres.
Selon … 50 zones interdites similaires au quartier de Tensta, théâtre de violentes émeutes en 2012.
en suède ils ont le même problème que sans même avoir decolonie
C’est à rien n’y comprendre, les Suédois ont le même problème que nous avec l’immigration, et ils accueillent des réfugiés de Syrie à pleins wagons.
Les romans policiers ont la réputation d’être un bon indicateur de la santé psychique d’une société. Les romans d’Henning Mankell mettant en scène l’inspecteur Kurt Wallander ne donnent pas une belle image de la société si avancée de la Suède, le modèle de nos clowns à roulettes.. Rien de très surprenante donc. Sous une apparence très tranquille, ça s’agite beaucoup.
Arrivés en Suède dans un village reculé, une quinzaine de migrants déçus par leurs conditions d’accueil refusent depuis trois jours de descendre du bus, obligeant les huissiers à intervenir, ont indiqué aujourd’hui les autorités.
effectivement cela s’agite beaucoup
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/28/97001-20151028FILWWW00270-migrantssuede-des-huissiers-pour-une-expulsion.php
Pour des raisons de (c), merci de mettre un court extrait et de linker. Ça m’évitera des ennuis, merci 🙂
Tout va bien, la justice veille.
—
L’auteur de 10 cambriolages remis en liberté
Le 19 août dernier (…) les policiers interviennent pour un cambriolage dans un appartement. Sur place, ils retrouvent des traces d’ADN qui sont envoyées pour analyse. (…) Entre le 19 août et le 19 octobre, dix autres appartements ou pavillons sont cambriolés (…) L’auteur fracture les fenêtres ou portes vitrées et s’empare, de préférence, de bijoux, argent liquide, matériel informatique, téléphones portables… A chaque fois, les policiers relèvent des traces d’ADN, des empreintes ou des témoignages de personnes qui ont aperçu le cambrioleur. Finalement, les résultats des analyses arrivent sur le bureau des enquêteurs. L’ADN correspond à celui d’un mineur étranger isolé, déjà fiché pour différents délits. Théoriquement, il doit être suivi par les services du conseil départemental qui s’occupe des mineurs étrangers isolés. Il a été interpellé lundi après-midi (…) et placé en garde à vue. L’auteur, qui va avoir 18 ans dans quelques semaines, a été présenté au parquet qui a finalement décidé sa remise en liberté. (…) Les policiers avaient pourtant un dossier solide, d’autant que le préjudice des cambriolages est important pour les victimes.
(les strong sont de moi)
J’imagine qu’il faut pas stigmatiser et que les amalgames c’est mal. Bon, une dizaine de cambriolages, par contre, spa très grave.
Même remarque que ci-dessus : faites de courts extraits et linkez, pour des raisons de (c).
Sur base du cout 2013 (pas trouvé plus récent), 300 EUR le test ADN dans le cadre d’une affaire judiciaire. Donc en plus du préjudice direct de ses larcins, vous pouvez rajouter 3.000 EUR pour la société.
Pas mal !
Ne lui reste plus qu’à bosser en sous-main pour les labos d’analyses ADN et se faire rétrocéder une commission sur le CA réalisé
Non laissez tomber, là ce serait du travail dissimulé, bien trop risqué judiciairement parlant.
Ayé je suis déprimée, autant on peut discuter impôts, taxes, etc. sur des montants quantifiés, autant cette idéologie vivrensemblesque a des conséquences qu’on ne peut pas valoriser, elle est donc imparable face au Kampdubien.
Soit on implante des HLM à dose homéopathique pour limiter les conséquences mais c’est une goutte d’eau parmi les demandes, soit on répond aux demandes (les vraies, pas celles des copains) et c’est l’histoire de tant de villes socialistes. Saccager toute une ville bien proprette de banlieue ça veut dire détruire la qualité des écoles, asphyxier les commerces existants, ruiner la valeur immobilière de tout un quartier (et ses habitants). Le pire c’est que toute cette destruction de valeur matérielle et immatérielle ne sert à rien : les riches partent ailleurs, d’autant moins riches qu’ils auront tardé à réagir, et compte tenu du poids dérisoire des ghettos de riches vs les CPLF le problème reste entier. CPEF.
La seule solution rationnelle et équitable, sera d’imposer à tous les législateurs et fonctionnaires concernés d’habiter dans ces mirifiques quartiers dont la richesse ethnique est une Chance pour la France.
Habiter, d’une part, et d’autre part, obliger les enfants desdits, à fréquenter les écoles du Vivrensemble : là encore, la chose est parfaitement satisfaisante pour l’esprit : « The fathers have eaten sour grapes, and the children’s teeth are set on edge »…Les yeux d’Ezechiel sont ouverts….
J’avais déjà proposé sur ce blog de transférer les ministères du 7eme arrondissement vers la Seine Saint Denis. L’Etat doit montrer l’exemple. Et les touristes chinois sont prêts à payer très cher un hébergement dans les hôtels du noble faubourg. Que du bonheur et de la diversité culturelle pour tout le monde.
En fait la vraie question que les planistes devraient se poser est quelle est la dose d’injection maximale, sachant que la transformation d’un ghetto de « riches » en un guetto de pauvres prend plusieurs années. Si on se base sur le centre névralgique qu’est l’école la dose est faible, les surfaces sont-elles suffisantes en banlieue pour que leur plan ** réussisse ?
Rien à voir, ou presque, mais bonne analyse : le Fribourg cité avait déjà attiré mon attention….
http://historionomie.com/archives/2015/10/22/32813819.html
Merci HB ! J’apprends plein de choses grâce à vous. Les deux sujets se rassemblent sur l’irresponsabilité des zélus et/ou professionnels de la politique, ils n’endossent pas les conséquences néfastes de leurs actes, contrairement aux professions libérales.
« quelle est la dose d’injection maximale ? » mais voyons, il n’y en a pas ! et vu qu’on importe du « citoyen de base » bien vivransamblesque et bien démuni, à tour de bras, il n’y a aucune raison que la dose ne doive pas augmenter encore et toujours …
Ce billet, et les commentaires, me donnent un peu le cafard.
Sans jouer « celui qui l’avait bien dit’, car il est facile d’avoir raison rétrospectivement, je me demande combien, parmi ceux qui honorent ce forum de leur présence, auraient tenu le même langage il y a seulement trente ans, alors que la situation était claire, le futur prévisible, et les remèdes, inadéquats pour ne pas dire pernicieux.
L’immigration de masse est un problème majeur, qui impacte le social, l’économie, le culturel. Sur ce sujet, on a subi mensonge sur mensonge, statistiques trafiquées, propagande éhontée.
De nombreux immigrés sont eux-mêmes les victimes de ce phénomène, et bien sûr les autochtones. Le racisme, non celui de SOS Racisme, mais le vrai, celui qui empeste, ne peut que grandir et prospérer. Il fallait voter contre le racisme à venir, dans les années 90. Il fallait voter JMLP. C’est ce que j’ai fait, et j’en suis fier.
http://www.bonjourcommuniste.fr/wp-content/uploads/2013/09/immigration-georges-marchais.png
HS, mais pas complètement.
Vu sur le Monde ce soir :
Bac 2016 : les recalés pourront conserver leurs notes et redoubler dans leur lycée
Bon, déjà, l’idée est débile, par rapport au niveau qu’il faudrait pour le bac, toussa.
Mais, en plus, on rajoute des conditions encore plus débiles pour ménager la chouvre et la chè :
« La conservation de certaines notes du bac ne dispensera pas d’assister aux cours dans la ou les matières concernées. Alors que des syndicats d’enseignants s’étaient inquiétés, d’une faible assiduité des élèves dans les matières concernées, le ministère fait valoir qu’ils ont tout intérêt à s’y rendre… »
Donc, le type, déjà pas très fortiche, a raté son bac, il peut conserver des notes mais il DOIT participer à des cours dont il se fout royalement puisqu’il ne passera pas l’épreuve.
Les profs préfèreraient donc avoir dans leurs classes des éléments perturbateurs qu’on oblige à venir mais qui n’auront même pas de sanction finale !
Fail…
« ménager la chouvre et la ché » oui, mais le Ché, gai, verra … Et le chouvre indien est amer ( même amerindien )
Thomas Fabius sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis
Les enquêteurs s’interrogent sur des flux financiers massifs et suspects du fils du ministre sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis. On la surnomme la Las Vegas de la Méditerranée. La République autoproclamée de Chypre du Nord abrite une quarantaine de casinos pour 250 000 habitants. C’est ici, dans ce paradis des flambeurs échappant […]
voila qui devient rudement intéressant
Bugsy Fab ? d’ici qu’il finisse comme l’autre….
Un peu HS – comme souvent -, mais le Taulier à l’habitude (sorry Boss) ;
Je reviens de Genève ;
La Banque Hottinger a fait faillite ; coup de tonnerre (feutré comme toujours sur les bords du Léman) dans la communauté des banquiers suisses ; la banque Hottinger, créée au XVIII e siècle par le Baron éponyme a disparu, et comme n’importe quelle banque chypriote, les dépôts (cash) ne sont garantis qu’à concurrence de 100’000,oo CHF, cad une misère pour une banque si élitiste … le ‘pauvre’ client qui avait 1M CHF en dépôt s’assoit sur ses 900’000,oo CHF au débit …(voir l’avis de la FINMA : https://www.finma.ch/fr/news/2015/10/20151016-mm-hottinger/ ), et sur l’Agefi https://www.agefi.com/ageficom/suisse-economie-politique/detail/edition/online/article/le-regulateur-ouvre-une-procedure-de-faillite-a-lencontre-de-banque-hottinger–cie-sa-il-explique-sa-demarche-dans-un-communique-410321.html .
‘Bien fait’ diront certains (la plupart ?) ; mais le problème n’est pas là, c’est un autre débat… la conclusion est que, même en Suisse, les dépôts non privilégiés ne sont plus garantis dans leur intégralité ; la limite de 100’000,00 CHF peut paraitre élevée, mais rien n’empêche le législateur, en France par exemple, de baisser cette limite à, par exemple, 50 000 euros, ou 10’000, oo euros (livret A anyone ???), si une nouvelle crise financière apparaissait… les ‘bail in’ sont à la mode (ce sont les déposants qui sont mis à contribution pour sauver le système), mettez vous bien ça dans le crâne…
Pour votre culture générale, allez voir sur le site du ‘Center for Risk management’ (voir : http://www.crml.ch/index.php?id=4 ), site trés bien fait, et régulièrement actualisé par HEC Lausanne ; vous y verrez, à votre grand étonnement, (bizarre, bizarre, … ) – que pas mal de banques françaises sont dans le peloton de tête des banques les plus exposées ; mais, bien sûr, le pire n’est jamais sûr …
Baron Hottinger …, ‘why don’t you do right ???… get me some money too..’ https://www.youtube.com/watch?v=4zRwze8_SGk
Pour la banque Hottinger, je ne revenais pas de Genève mais j’avais lu l’info il y a 3 jours dans Le Figaro. 😀
Je reviens de la comète Philae, il y a de l’oxygène (O2) à bord.
« …les dépôts non privilégiés ne sont plus garantis dans leur intégralité… »
L’ont-ils jamais été ?
Il y a quelques années, dans une vraie banque privée suisse (par exemple la banque Lombard Odier dans les années 2000), la totalité des engagements de la banque était garantie par les associés, sur leurs biens propres, sans limite au passif de la banque. La plupart de ces etablissements ont evolue aujourd’hui vers un statut de SA, commandite ou autre…
Donc oui, dans certaines banques, la garantie existait, dans les limites indiquées plus haut, et les associés faisaient très attention de pouvoir couvrir, à tous moments, tous leurs engagements…les clients étaient donc triés sur le volet, et, question investissements, pas de produits exotiques, dérivés ou autres…
Autres temps autres moeurs…
Et la faillite d’une banque suisse reste un événement malgré tout exceptionnel, surtout si l’on compare à leurs homologues américaines (des centaines de banques USD on déposé le bilan en 2008)…en Suisse, à part – de mémoire – Wegelin – coulee par la ‘justice’ américaine, je ne vois pas trop… (dommage d’ailleurs, car le billet de Konrad Hummler était toujours brillant, et généralement très apprécié dans la communauté financière .)
PS: voir à ce sujet l’excellent article de Bruno Berthez sur Le Blog à LUpus de 2014: http://leblogalupus.com/2014/06/07/geopolitique-friction-du-samedi-7-juin-2014-hommage-a-konrad-hummler-la-suisse-la-lache-les-etats-unis-lont-lynche-par-bruno-bertez/
et, pour les banques US en dépot de bilan, voir le site du FDIC:
https://www.fdic.gov/bank/individual/failed/banklist.html
il n’y a pas photo ….
« …la garantie existait, dans les limites indiquées … »
Merci, donc garantie limitée avant et maintenant.
C’est curieux ce besoin chez les traders de faire des phrases.
https://www.youtube.com/watch?v=waWRWEiG7Uw
Je répète, lentement, pour ceux du fond…:
C’était mieux avant…
il te faut vraiment un dessin ???
Curieux cette manière que tu as de toujours faire des remarques désobligeantes. ..
https://www.youtube.com/watch?v=n7BImFx2N3g&t=0m52s
Ce n’est pas grave, il ne sera pas invité à venir sur l’île ^^’
Cochon qui s’en dédit !
J’étais le premier invité (5 octobre)
Alors, il faudra être plus aimable avec notre futur hôte , il risque de changer d’avis si tu persistes à être désagréable.
The turkey syndrom maybe … 🙂
Tu m’as coupé l’herbe sous les pieds, j’allais dire c’est son côté ménopausé…
D’un autre côté, je m’interrogeais sur la pertinence d’inaugurer le week-end par des vannes aussi faiblardes !
Mon ex-préférée disait ( il y a bien longtemps ), la ménopause, c’est une pause … et c’est aussi une méno ! 😉
Je préparais à l’époque un concours de crétinisme typiquement masculin, où j’ai fini par décrocher un accessit, à force d’obstination et de persévérance …
Aujourd’hui j’en plaisante , avec mon ami Otto, des Grisons 😀
Ah! oui, comme dit le poète chinois : « A la mi-automne, dégrisons…*.
Going cold turkey : un samedi c’est normal…
A moins qu’il y ait un rapport avec la définition de l’urban dictionary :
« The opposite of virgin for a girl, because they have « received a stuffing »
« I heard she was a virgin »
« What, at 17? Nah, definitely turkey »
En fait, je pensais également à « I am the little red rooster , Too lazy to crow for day,
Keep everything in the farm yard, upset in every way … » qui finalement est plus, euh , comment dire ça , euh, réaliste … 😉
NB: Blues de W. Dixon