Un article de Henry Bonner
Je me trouve à Baltimore, sur la côte Est des États-Unis, pour la fête de Thanksgiving. Je rends aussi visite à des cousins, qui habitent en Virginie, juste au Sud.
Un membre de ma famille enseigne le français dans un collège-lycée et me propose une visite pour une journée, devant des classes de 6 ou 12 élèves. Elle me demande de donner des détails de la célébration de Noël en France, en particulier à Paris. Sans beaucoup de temps de préparation, j’essaie de me remémorer d’un maximum des mœurs et habitudes des Français.
À part les décorations de Noël, le pays a aussi une tradition de promesses de dépenses de la part du gouvernement.
Or, le gouvernement tire la totalité des financements de la poche des particuliers. Une distribution par les dirigeants d’un côté requiert une spoliation de l’autre. Avec l’envolée du déficit, le gouvernement cherche une issue via des baisses de dépenses et une hausse de revenus par des taxes.
Pourtant, la plupart des taxes ont rencontré une vive résistance : même avant sa censure, le gouvernement a été obligé de retirer la réintroduction de taxes sur l’électricité, par exemple.
Les coupes de budget ont aussi pour conséquence la réduction de revenus d’une partie des gens.
La censure, et la démission de M. Barnier, ont lieu suite aux propositions du ministre face aux déficits, dont l’idée de la désindexation des retraites. Cette mesure sur les retraites aurait pu fournir 3 milliards d’euros d’économies en 2025, selon le gouvernement.
Les Echos expliquent ainsi :
“Marine Le Pen avait continué d’exiger l’indexation de la totalité des pensions de retraite sur l’inflation au 1er janvier, laissant peu de doute sur sa volonté de censurer.”
La plupart des gens – entreprises du bâtiment, constructeurs de renouvelables, ou retraités – veulent le maintien des dépenses, même si cela conduit à des déficits.
Après un peu plus de deux mois au pouvoir, M. Barnier quitte la scène sans progrès.
Simone Wapler, mon associée, évoque dans son envoi de la semaine dernière le manque d’issue vers une résolution :
“On nous avait vendu, avec Michel Barnier, un Savoyard rigoureux et rompu aux négociations. Incapable d’ouvrir le débat sur la réduction du rôle de l’État, de trouver la moindre économie de dépenses, le Premier ministre ne semble connaître que la matraque fiscale.”
H16 l’écrivait récemment : le problème date d’avant M. Barnier, ou même du président.
“Barnier peut bien être remplacé, aucun des tristes guignols actuellement disponibles ne changera cet état de fait : tous sont éminemment socialistes, chérissent l’État et son intervention dans toutes les branches de la société française. À ce même titre, que Macron soit destitué ou qu’il rende son tablier ne changera pas non plus la situation : il n’y a personne en France qui tienne le discours radical d’un abandon pur et simple de l’État-providence, de son enterrement rapide et avec lui, des boulets de l’après-guerre qui ont insidieusement mais irrémédiablement pourri toute la société française.”
Solution par le regonflement de bulles et la création d’argent
À part les taxes ou les coupes de budget, le gouvernement a toujours comme solution la création d’argent ex nihilo.
En effet, le gouvernement perd aussi des recettes en raison de la contraction des bénéfices d’entreprises, et l’envolée des faillites, comme vous le voyez ci-dessous.
La création d’argent offre une solution pour le renflouement des caisses du gouvernement. En effet, les entreprises ont alors plus d’argent, emploient plus de salariés, et paient plus d’impôts sur les bénéfices. Le gouvernement touche plus d’argent sur les salaires et la consommation.
Pour la relance de la création d’argent, la proposition de M. Barnier contient par exemple des aides au secteur du bâtiment, sous forme de crédits à l’achat. En somme, le gouvernement couvre une partie des intérêts pour les acheteurs. L’argent des prêts crée des revenus pour le gouvernement via les taxes sur l’achat de logements, et la TVA sur les travaux de rénovation ou l’achat de meubles.
À présent, le secteur du bâtiment craint la perte des aides à l’octroi de crédits.
FranceTVInfo explique ainsi :
“Si le projet de loi de finances (PLF) 2024 était reconduit en 2025, Olivier Salleron, président de la Fédération française du Bâtiment (FFB), s’attend à une « catastrophe » et un « chaos » dans le secteur, a-t-il mis en garde jeudi 5 décembre sur franceinfo.”
L’association prévoit 150.000 pertes d’emplois, et la fermeture de 20.000 entreprises à fin 2025 en l’absence de mesures. Le ralentissement du secteur entraîne déjà 40.000 licenciements en 2024.
Le président du groupe détaille :
« On attendait beaucoup de ce budget 2025 avec beaucoup de mesures sur le prêt à taux zéro pour l’ensemble des Français les plus modestes, des jeunes gens qui voulaient acheter une maison individuelle sur tout le territoire ».
Les propositions de baisses de dépenses, ou de hausses d’impôts créent en général trop de résistance. En revanche, la création d’argent – via les baisses de taux de la banque centrale ou les incitations à l’octroi de crédits – donne une solution sans dégâts en apparence. En effet, le gouvernement maintient les programmes et distributions sans besoin de taxes. Les dégâts ont lieu sur la durée au travers d’une destruction de la devise (inflation).
Comme l’écrit récemment mon associée, Simone :
“Sans regarder une myriade d’indicateurs et se perdre en conjectures, la simple hausse des cours de l’or dans toutes les monnaies nous alerte. La situation financière est globalement malsaine, indépendamment des guerres en Ukraine et au Proche-Orient.”
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Le multiplicateur keynésien est bien là !
Mais il a une fin.
Charles Gave en parle d’ailleurs très bien !
Barnier s’en est allé dans son copter-money…..
Toutes les économies prévues par le gouvernement Barnier n’auraient pas compensées les nouvelles dépenses prévues. L’argent récupéré de la non indexation des retraites aurait été dépensé ailleurs. Si le budget 2024 est réitéré sur l’année 2025, cela veut dire aucune augmentation des dépenses. Cela est déjà mieux que tout ce qui a été fait sur les 40 dernières années.
J’ai même une preuve: dans tous les médias, sans exception, ne pas avoir de gouvernement et de nouveau budget est décrit comme une catastrophe. On lit que les impôts vont augmenter, que les services publics vont diminuer, et que la dette va augmenter. Hors il est mathématiquement impossible d’avoir ces trois là en même temps.
L’état providence va, peut être, ne pas croitre en 2025. Cela est, pour la France, une révolution. Révolution contre laquelle tous les politiciens s’opposent, mais qu’ils provoquent par leur inanité.
HS : ils sont très forts : reseauinternational.net/le-ministre-jean-noel-barrot-se-fait-pirater-son-portable-la-panique-sempare-du-gouvernement-francais/
comme Manuel Valls, premier ministre, qui donne son téléphone aux services israéliens…
Il y aurait des choses vraiment secrètes ou qui ne devraient pas être divulguées aux mougeons ?
Je ne comprends pas très bien ce que cherche à démontrer le texte. Si on s’en tient au titre, c’est la censure du gouvernement qui est « la victoire des déficits » ?
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J’ai toujours d’énormes doutes sur ce que ferait Lepen une fois au pouvoir, mais son discours concernant cette censure allait dans le bon sens libéral.
Évoquant même Miléi elle disait que le budget de Barnier était un budget socialiste de plus et elle avait parfaitement raison. 3 milliards ce n’est même pas un jour de dépense de l’état français et on pourrait trouver très facilement au moins 60 milliards (cf: Ifrap) en coupant simplement dans tous les fleuves qui se déversent indûment dans les associations, les « machins » et les « aides » tierces, pays étrangers, ONG etc.
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Du coup, c’est plutôt le budget de Barnier qui aurait été une « victoire des déficits ».
Pareil. Surtout que Barnier n’avait finalement aucune intention sérieuse de mettre fin aux déficits monstrueux de la gestion grançaise. Il limitait son action à trouver suffisamment de fonds pour payer de nouveaux emprunts (surtout les intérêts) pour que le bal dure une année de plus.
Et pourtant, il avait une belle carte à jouer. Loupé.
« Encore un instant monsieur le bourreau », c’est exactement ça, sauf que l’immense majorité des imbéciles de l’assemblée (et des médias) n’ont sans doute pas conscience de l’effondrement économique en cours.
ou se disent qu’ils ont une belle carte à jouer en cas d’effondrement pour prendre le pouvoir.
Mélenchon l’a dit dans un discours maintenant célèbre: semer la merde, déstabiliser, atomiser et profiter pour prendre le contrôle des miettes. Sauf qu’ils se feront probablement évincer par leurs amis islamiste si ça arrivait. Comme en Iran.
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Le RN a probablement de bonne foi refusé ce nème budget socialiste, en tout cas c’est cohérent avec la réalité économique et leurs discours. Les communistes c’est juste ça: foutre le bordel et essayer de dégommer les socialistes.
La concurrence entre les deux est une longue histoire avant même Barbarossa.
Comparer cette bande d’enfoirés pervers à cette pauvrette sur l’échafaud, non, la comparaison est insultante.
HS : reseauinternational.net/roumanie-la-cour-constitutionnelle-annule-le-premier-tour-de-lelection-presidentielle-a-cause-de-tiktok/
Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas (ou qu’on ne veut surtout pas voir !!!). Nihil novi sub sole depuis Bastiat.
Un entretient très intéressant qui laisse quelques espoirs quant à notre devenir.
Marc Touati est à la barre chez Alain Juillet :
https:/ /www.youtube.com/watch?v=C7bqSix0gJA
En référence à l’Histoire, il est possible de considérer qu’il existe, depuis des lustres, un système d’exploitation, de domination et de contrôle, qui instrumentalise la démocratie de connivence associée au capitalisme des copains et des coquins.
Dans ce cadre, les extrêmes de l’échiquier politique font partie intégrante du système. Ce sont des chiens de berger qui aboient afin de canaliser l’opinion publique et les votes des électeurs vers le « bon » choix.
Ainsi, le vote de la motion de censure associant les extrêmes n’est pas une surprise, elle apparaît comme un scénario écrit à l’avance par le système.
Dans quel but ? Toujours le même accentuer l’exploitation, la domination et le contrôle.
Les articles de votre blog ont l’air pointu, ça mérite une lecture attentive.
Toujours la même interrogation : est ce de la stratégie ou de la connerie… car la dissolution si c’était stratégique ben euh…
Des « stratégies » de coup de pied dans la fourmilière dans un système devenu chaotique, mais le fond c’est toujours l’insulte, la propagande, la répression judiciaire et la corruption via l’argent gratuit.
Si le socialisme était autre chose qu’une idéologie de pillage, de la corruption et de la répression, ça se saurait et il aurait engendré au moins quelques succès de contrôle en bon ordre.
LR, RN et NFP étant les alliés de la macronie, je te laisse le soin de conclure.
Premier article lu et premier retour vers ce que nous disons sur cet espace d’écriture et de liberté
Dans « La dette française est en réalité à haut risque », la conclusion ne surprend personne d’ici, mais risque de piquer des castors : « l’épée de Damoclès n’est manifestement pas prise en compte par le personnel politique. »
Le contrôle est la seule bonne raison car qui dit contrôle dit pouvoir et le pouvoir, c’est la puissance. Le reste est question d’opportunité.
Bernard CONTE: Il est possible de considérer qu’il existe, depuis des lustres
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En 1970 l’état avait le même poids que l’état Suisse et il ne pillait pas encore la population. C’est surtout le Mitterandisme qui fera décoller le socialisme avec son cortège de connivence.
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Bernard CONTE: les extrêmes de l’échiquier politique font partie intégrante du système. Ce sont des chiens de berger qui aboient afin de canaliser l’opinion
—
Non, le « système » socialiste utilise depuis 40 ans le déversement d’argent, l’insulte et la propagande pour canaliser l’opinion et il se sert de manœuvres politiques (à deux tours) ou de la justice pour rester au pouvoir et évincer les oppositions qui arrivent naturellement dans un système par essence liberticide et totalitaire.
Le socialisme fini toujours en chaos avec une énorme bureaucratie et des tas de mafias. Il ne faut pas attribuer à des complots ce qui relève de la seule imbécilité et malveillance naturelle engendrée par le socialisme.
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Bernard CONTE: elle apparaît comme un scénario écrit à l’avance par le système.
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Non, le budget aurait donné encore plus de fric aux socialauds, ça ne les arranges pas. Les communistes eux sont encore plus c… que les socialistes et ils cherchent le pouvoir par le chaos et le « grand soir ».
c’est VGE qui a fait décoller le socialisme…
Nan c’est Pétain. Et puis non c’est Jean Jaurès. En fait non, c’est l’abbé Sieyès… ou plutôt Jean-Jacques Rousseau ! En réalité, ne serait-ce pas la faute de Moïse ? C’est Caïn ! C’est Eve, cette salope à poil dans le Jardin des Dennes !
Tu peux mettre un « s » à poil…. 😆
Non. Pas quand il s’agit de l’expression indiquant la nudité.
Si. Quand il s’agit de la pilosité 😉
D’ailleurs l’origine de « à poil » est assez cocasse :
Origine : Au XVIIe siècle, le terme « à poil » s’utilisait dans le domaine de l’équitation. En effet, monter un cheval « à poil » signifiait qu’on le montait « à même le poil », c’est-à-dire sans couverture ni selle.
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On parlait de cheval, hein? 😉
Faire remonter le bordel à JJ Rousseau me semble pertinent . Car, c’est bien lui l’idéologue qui a nourri les esprits qui ont conduit à la révolution française.
Or la mère du socialisme en France, c’est bien la révolution et cette idée fourbe qu’on peut vivre au crochet des autres.
C’est bien en France qu’a germé le socialisme et tous ses avatars.
Rhooo il va pas être content durru… l’homme est un animal social…iste 😀
Mais le sociopathe est il un homme, lui ? Peut on le considérer comme tel ? 😀
Vous n’y êtes pas, c’est Martin Luther qui a foutu le merdier avec ses maudites 95 thèses hérétiques…
Tant qu’on y est…
Ce n’est pas pour rien qu’aucune tête de protestant ne décore les boîtes de fromages !!! 😉
En augmentant les PO de 7 points de PIB et en doublant la dette.
Mittrand n’a augmenté les PO que de deux points mais a triplé la dette en 3 ans.
Content de voir que je ne suis pas le seul à utiliser socialauds et zéros sociaux.
les extrêmes de l’échiquier politique font partie intégrante du système
Exact. Il y a une différence entre le FN de Jean-Marie Le Pen qui allait chercher son pognon en Afrique et et celui de Marine qui prend le sien de l’Elysée (merci à Rocard au passage).
Pour tenir en respect cette soit disante opposition, il y a la justice aux ordres qui sort des affaires de mains dans la gueule ou d’emplois fictifs.
Si nécron était destitué, son remplaçant viendrait du même sérail et rien changerait. Ce sont tous ces partis qu’il faut dégager d’urgence mais il est déjà trop tard.
Sauf que voter pour eux permet de rejeter le gouvernement actuel, et c’est déjà une belle victoire.
D’ailleurs, parmi ces extrêmes, il y en a un dont l’un des points de son programme concerne l’un des piliers fondamentaux d’une démocratie. Géré via système ou non, c’est déjà une énorme avancée et changement par rapport aux clowns gauchistes actuels et à venir…
Le gouvernement maman me met de bonne humeur dès ce matin
» Bonus réparation textile : Profitez dès maintenant d’une aide financière pour faire réparer vos vêtements et chaussures à moindre coût, sans démarche supplémentaire ! «
Mz mère reprisait les chaussettes sans subventions
On aura même « droit à » une séance annuelle de psychologue « gratuite » à partir du début de l’année prochaine. Belle utilisation des excédents de caisse de la SS ! 😥
Beaucoup ici, atteints d’un complotisme aigu, devraient en profiter !
Une inspiration ce matin.. paraphrasant Bloy Léon à propos de la » médecine est un sacerdoce » ( ça sert d’os ? D’os a rogner hihihi..humm ) le socialisme est un sacerdoce lui aussi.
Mais, même époque, dix-neuvième siècle, Flaubert homme doué a observer les comportements humains, écrit dans ses Pensées, à propos du socialisme » Le socialisme n’est il pas un vaste monstre qui englouti tout,dirige tout »
Engloutir me fait penser a cet animal qu’est le glouton ( ratel,carcajou ainsi appelé sur d’autres continents) là où il passe, l’herbe même trépasse, inattaquable.. intouchable,quand il est le râtel,les lionnes ne l’attaque pas.
Ici on l’appelle le glyphorat.
« Olivier Salleron, président de la Fédération française du Bâtiment (FFB) »
Il faudra qu’un jour on fasse AUSSI le procès des organismes professionnels.
Cette clique, depuis des décennies, jouent le rôle de pousse-au-crime au moins autant que les merdias et les énarques.
A FUERA ET COUP DE BALAI GENERAL !
Absolument.
Comme tous ces organisations qui prétendent représenter les professions et qui ne représentent qu’eux même…
Partie intégrante du capitalisme de connivence
il n’y a personne en France qui tienne le discours radical d’un abandon pur et simple de l’État-providence, de son enterrement rapide et avec lui, des boulets de l’après-guerre qui ont insidieusement mais irrémédiablement pourri toute la société française.”
Effectivement, l’ esprit des boulets de l’ après guerre est toujours là, mais personne ne veut voir que le contexte à complètement changé et personne ne se sent la force d’ y remédier, sans casser la baraque.
Ce qu’ a tenté Barnier, mais lorsque Macron a vu le chantier, il l’ a laissé tomber comme une vieille chaussette.
Après tout au point où il en est faire des inaugurations de comices agricoles, ou de monuments aux morts, pendant deux ans
qu’ il lui reste à passer à la tête de la France, c’ est pas mal non plus ……
je ne vois pas très bien en quoi Barnier (issu de ce sérail) a tenté quelque chose autre que la prolongation du système qui le nourrit depuis 50 ans…
Exactement. Juste des paroles après son intronisation qui n’ont pas reçu la moindre esquisse de concrétisation.
« A FUERA ET COUP DE BALAI GENERAL ! »
Ben dis donc ! Ce coup de balai va-t-il inclure tous les français qui ont la main dans le pot, d’une manière ou d’une autre ?
Va plus rester grand monde, sur ce rafiot en train de couler…
Ceux qui savent nager ont déjà pris le large.
Nomination de François Bayrou
Un petit audit des finances de la ville de Pau s’imposerait
Mouhahahahah ! ! !
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/sous-les-mandats-de-francois-bayrou-la-dette-de-pau-a-presque-double-20241216