L’information n’est pas encore passée de notre côté de l’Atlantique, mais de l’autre côté, le débat sur la pertinence voire la dangerosité des vaccins s’installe fermement.
Ce débat n’arrive pas de nulle part : depuis quelques mois, des données apparaissent et persistent à imposer des questions gênantes pour les tenants des vaccins.
On doit bien sûr commencer par la dernière campagne de vaccination la plus visible, celle qui a concerné des milliards d’individus dans le monde et qui a permis, au passage, de tester en vraie grandeur une nouvelle technologie. Les vaccins ARNm contre le COVID ont ainsi permis d’étudier de façon large des effets parfois indésirables, depuis les myocardites et péricardites jusqu’à certains syndromes (Guillain-Barré) ou la thrombose des sinus veineux cérébraux qui sont maintenant reconnus comme effets indésirables potentiels, toujours présentés comme rares mais possibles à la suite des injections.
Cependant, d’autres éléments statistiques troublants imposent de moduler cette rareté. Début août, l’analyste Edward Dowd mentionnait le changement assez visible dans la tendance des déclarations de maladies fournies par le Bureau du travail américain : difficile de ne pas voir la brusque inflexion vers le haut de la courbe depuis 2021.
En juillet, le même analyste notait une inflexion similaire, au Royaume-Uni cette fois, en rebondissant sur un commentaire de la BBC qui s’attristait sur les statistiques montrant que la nation britannique était de plus en plus malade. En épluchant les déclarations retenues de maladies, on arrive en effet à la conclusion que, subitement, depuis 2021 environ, les Britanniques sont davantage malades :
La coïncidence et la temporalité avec le programme de vaccination COVID n’est pas évidente seulement pour ceux qui ne veulent pas la voir.
Ceux qui se posent la question et font les nécessaires recherches – notamment sur la technologie ARNm – s’aperçoivent sans le moindre doute que cette méthode de vaccination n’est pas fiable et certainement pas assez sûre pour être utilisée routinièrement. Il existe à présent plusieurs études solides qui arrivent à cette conclusion. La coïncidence, ici, est qu’aucune de ces études n’a eu le moindre écho dans les médias grand public.
En outre, il apparaît petit-à-petit que les rappels vaccinaux accroissent la probabilité de développer une infection respiratoire, ce qui est tout de même ballot pour ce genre de vaccin : l’étude parue début août montre qu’« un plus grand nombre de vaccinations contre le SRAS-CoV-2 est associé à un risque accru de maladie respiratoire pseudo-grippale et d’absentéisme », et que « parmi les non-vaccinés, 33 % ont été victimes d’au moins un épisode de maladie respiratoire. En revanche, chez les personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin contre le Covid-19, ce chiffre monte à 44 %. ».
Bien évidemment, « Follow The Science »™ ne sera pas d’application dans les éléments présentés et on s’empressera de discréditer les données, les chercheurs, les résultats, et les protocoles. Tout cela n’est, finalement, qu’une série de coïncidences étranges tout au plus.
Dans chacune de ces études, les mots sont choisis et les conclusions remplies de précautions pour ne pas déclencher l’ire des sponsors pharmaceutiques, des politiciens ou des gardiens de la morale ou du politiquement correct ; cependant, les résultats chiffrés ne laissent guère de doute : il y a bel et bien un problème avec cette technologie qui, au-delà du foirage évident de la protection contre le COVID (le vaccin n’en offre aucune et n’empêche en rien la transmission), semble provoquer des effets secondaires parfois graves qui contrebalancent largement des effets positifs, ces derniers approchant visiblement de 0.
Parions (sans risque) que les outrages et les gesticulations des habitués et autres anti-complotistes de combat redoubleront de vigueur lorsqu’il s’agira de tenter de mettre un terme aux rumeurs, de plus en plus insistantes, d’un lien entre ces vaccinations expérimentales et l’augmentation des cancers de tous types qui ne se contenteraient plus de toucher les personnes les plus faibles (âgées ou immuno-déprimées) mais aussi des personnes jeunes, en nombre croissant, avec des caractéristiques nouvelles pour ces maladies : cancers multiples et rares, à développement très rapides ou très agressifs…
Or, il est à ce titre éclairant de suivre des analystes et statisticiens qui étudient cette question de près, qui apportent souvent des éléments factuels, très bien documentés et qui ne peuvent plus être écartés d’un revers de la main. Dans ces statisticiens, notons par exemple TheEthicalSkeptic qui utilise les bases de données de différents ministères, ouvertes et directement disponibles aux États-Unis, pour dresser des tableaux et des graphiques assez parlants sur la situation actuelle, notamment en matière de cancers.
Ainsi, dans un récent tweet, il montre assez bien l’augmentation claire des cancers déclarés dans la population américaine (et l’écart à ce que serait la normale), ainsi que le coût des traitements de ces cancers qui, même corrigés de l’inflation, croissent de façon inquiétante :
À chaque fois, l’inflexion intervient de façon concomitante aux opérations de vaccinations de masse qui eurent lieu courant 2021. Là encore, arguer d’une simple coïncidence demandera un peu plus qu’un revers de main, alors que tout indique maintenant une véritable consilience d’éléments. Du reste, les sources, méthodes statistiques et calculs effectués par l’auteur sont largement documentés et pour le moment n’ont pas été démontrés faux.
Enfin, cet état des lieux des derniers développements concernant les recherches sur les effets indésirables des vaccins ne serait pas complet sans revenir sur le témoignage sous serment au Congrès américain de Aaron Siri, un avocat auquel les représentants parlementaires américains ont demandé des détails sur une étude comparative américaine du Dr Marcus Zervos, qui a été menée sur des milliers d’enfants vaccinés comparés à des milliers d’enfants non vaccinés et dont les résultats ont été, trop longtemps, tenus secrets.
Cette étude a comparé les enfants inscrits à Henry Ford Medical Center de 2000 à 2016, et ce dès leur naissance, tant les enfants non vaccinés que ceux qui ont reçu un ou plusieurs vaccins. Les résultats sont sans appel :
« Les enfants vaccinés présentaient un taux d’asthme 4,29 fois plus élevé, un taux de maladies atopiques 3,03 fois plus élevé, un taux de maladies auto-immunes 5,96 fois plus élevé, un taux de troubles du développement neurologique 5,53 fois plus élevé, dont un retard de développement 3,28 fois plus élevé et un trouble de la parole 4,47 fois plus élevé. […]
TDAH : 262 cas dans le groupe vacciné. Aucun cas dans le groupe non vacciné.[…]
Tous ces résultats étaient statistiquement significatifs […] Après 10 ans, 57 % des enfants vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique — souvent multiple — contre seulement 17 % des enfants non vaccinés. »
On peut raisonnablement imaginer que si cette étude avait révélé que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé que les non vaccinés, elle aurait été publiée immédiatement. Du reste, le témoignage circonstancié de Aaron Siri est corroboré par une étude japonaise portant sur la comparaison entre vaccinés et non vaccinés dans l’Empire du Soleil Levant qui aboutit aussi à la conclusion que les vaccinés ont de façon statistiquement significative subi des dommages que les non vaccinés n’ont pas supporté.
Manifestement, le discours tenu outre-Atlantique est en train de changer. La fenêtre d’Overton sur la pertinence et la sûreté des vaccins – à commencer par la technologie ARNm – est en train de se déplacer et il est probable qu’elle va se déplacer encore plus vite lorsque sera abandonnée l’immunité légale des laboratoires pharmaceutiques face aux effets graves de leurs vaccins.
Il sera alors très intéressant de mesurer l’écart narratif avec ce qui se passera en Europe et ce alors qu’on apprend tout juste – dans un obscur fanzine allemand, le Berliner Zeitung – que la Commission européenne a autorisé ces vaccins sans données de sécurité complètes…
« La coïncidence et la temporalité avec le programme de vaccination COVID n’est pas évidente seulement pour ceux qui ne veulent pas la voir. »
Mais ça n’est qu’une coïncidence 😉
Celafotapoutine
Allons, allons, patron, je vous rappelle le principe numéro un de la Sciâonce : corrélation n’est pas causalité.
C’est fondamental
Ce qui est embêtant c’est que ce que certains disaient se réalisent (augmentation de certaines maladies et problèmes chroniques par exemple mais pas seulement). Pour des gens qui n’ont rien compris, leurs théories farfelues ont une capacité de prédiction … coïncidentale élevée.
Le fait d’avoir fait couvrir par le secret défense les décisions prises pendant cette période disait déjà à quel point tout cela n’était pas propre.
Ne pas pouvoir prévoir, j’entends bien, mais d’emblée cacher les motifs et donc empêcher le retex, c’est la preuve de leur malhonnêté. Ils brûleront tout plutôt que rendre des comptes.
Une connaissance la 50ène, cancer du poumon alors qu’il n’a jamais fumé une cigarette, un autre cancer avancé de la protaste, une autre env. 75, cancer du poumon alors qu’elle n’a jamais fumé et tjs vécu à la campagne loin de tte polution ou industrie. Son mari, médecin n’a pas tardé à faire le rapprochement.
Propagande nazi, propagande vaccinale, étonnant que les médias arrivent tjs et encore à entrainer une majorité dans de tels délires totalitaires.
HS mais chronique quotidienne d’une catastrophe qui se profile: insolentiae.com/un-americain-au-fmi-qui-ne-sauvera-pas-la-france/
J’ai lu ça ce matin, mais j’ai quand même un peu l’impression que le FMI n’aurait de toutes façons rien pu faire, et reste impuissant contre le problème de tous les pays occidentaux gangrenés par la dette.
Question d’échelle.
Cépagrave !
La taxe Zucman va sauver la France d’abord, le monde ensuite. C’est sûr et certain.
Si j’osais, je dirais garanti sur facture…
Ce brillant économiste doit être le descendant de Thomas Diafoirus.
Autre HS, le taux des OAT françaises à 10 ans est clairement à la hausse : fr.investing.com/rates-bonds/france-10-year-bond-yield
La baisse de notation par Fitch était plus qu’une officialisation a posteriori des décisions du marché. Elle a eu ses conséquences propres.
Et c’est pas fini, quelques échéances:
Moody’s 24 octobre 2025
Standard & Poor’s 28 novembre 2025
Liste plus complète:
aft.gouv.fr/fr/calendrier-notations-france
Malheureusement, ces révélations ne passeront pas le mur de propagande français, pas avant l’écroulement économique, et encore… ce serait une situation d’autant plus favorable au renforcement d’une tyrannie.
De la même façon que le pays vit dans une illusion de prospérité, se payant un train de vie fastueux avec une dette aiguisée en suspension au-dessous de son cou, le pays vit aussi dans une illusion de sécurité sanitaire et sociale, branché à une poche de perfusion remplie de morphine frelatée. L’hypnomachie va être douloureuse, quand les bonnes gens vont se rendre compte qu’ils sont en fait à poil dans un hiver soudain.
Avez-vous calculé le coefficient de corrélation linéaire entre les deux séries ? Est-il proche de 1 ?
Tau de Kendall de 0.91 à la louche Aristaquienne.
Et pas le plus petit mot de sympathie pour le professeur Didier Raoult qui avait été interdit de publication dans les revues de l’ASM (American Society of Microbiology) dès 2006, et dont la carrière a été arrêtée comme chacun sait. Dommage !
Arrêtée en France simplement. Il travaille beaucoup avec le Sénégal.
Un peu de philosophie ne peut pas nuire. Le mythe de la caverne de Platon expliqué (et implicitement, l’explication de la volonté de nos dirigeants de museler la toile, les gueux doivent rester dans la caverne, et le pourquoi de la cécité volontaire de nombre de gueux : la vérité fait trop mal !!!) : youtu.be/Z9ESmUtw6F4?
Finalement, le sang contaminé était de la petite bière. Je parie que le résultat judiciaire sera le même, néant.
Selon Jean-Dominique Michel, RFK pousse très fortement sur le sujet : youtube.com/watch?v=O28S3YsuJFk
Il y a également l’épluchage des 450 000 pages des essais pfizer présenté au parlement européen (« pfizer papers ») : lanuovabq.it/it/la-verita-si-reprime-anche-col-silenzio-il-caso-pfizer-papers
Présentation en français de l’article ici : lesalonbeige.fr/silence-autour-du-pfizergate/
Un document italien, une étude japonaise, un obscur fanzine allemand :
L’axe du mal est de retour, ça ne fait pas un pli !
Même pas HS 😀
Et les vaccins contre la connerie c’est pour quand ?
ouest-france.fr/mer/peche/info-ouest-france-des-le-10-janvier-2026-il-faudra-declarer-les-poissons-peches-pour-le-loisir-ee721636-94ad-11f0-ba23-92c6f4a2bc09#
Il y a 30 ans ça aurait été un poisson d’avril
Il y a 10 ans ça aurait été dans le Gorafi
Maintenant chez vous !