France : dernière sortie avant la faillite

Le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, a été très clair : non, il n’y aura pas de taxe Zucman, on va simplement « taxer le patrimoine financier ». Pour ceux qui n’ont toujours pas compris (et ils sont nombreux), cela veut dire qu’on va ponctionner les livrets et l’assurance-vie.

Eh oui : grâce à un subtil ajustement rhétorique, les Français vont découvrir que « taxer les riches » veut dire « taxer tout le monde comme des riches ».

Pas de doute, nos dirigeants ont parfaitement compris ce qui n’allait pas dans le pays : manifestement, les impôts ne sont pas suffisamment élevés ; les dépenses de l’Etat vont très bien, merci, et ce sont donc les recettes qu’il va falloir augmenter. Facile !

Si l’on fait un rapide panorama de la situation, elle peut se résumer aux quelques points essentiels suivants.

L’imposition française est en train de passer de violente à spoliatrice sans qu’aucun politicien ne moufte. En face, les services publics sont passés de médiocres à carrément dangereux : l’école forme des idiots manipulables, les hôpitaux deviennent des mouroirs germophiles, les infrastructures se lézardent, le tout avec une pénurie constante de moyens et de personnels dont le nombre et la masse salariale ne font paradoxalement qu’enfler.

L’insécurité, sentiment diffus et ô combien diaphane dans nos contrées, est si bien contenue que les home-jackings explosent, les kidnappings aussi. Les cambrioleurs se font libérer avec rapidité pour reprendre aussi sec leurs activités ; les coups de couteaux ou de machettes, les fusillades et les viols se multiplient dans ce qui ressemble de plus en plus à de l’indifférence des médias, blasés.

Malgré ces problèmes, on trouve les moyens (financiers) d’aider des pays étrangers – pour leur eau, leur électricité, j’en passe et des meilleures, d’aider nos millions de frétillants migrants fraîchement arrivés à s’intégrer (avec des résultats qu’on pourra qualifier pudiquement de « mitigés ») pendant que nos jeunes les plus brillants s’en vont par troupeaux de plus en plus nombreux.

Partant de ces constats fort réjouissants, on peut raisonnablement dresser les tendances suivantes.

Sur le plan économique, et même si les politiciens ne veulent surtout ni l’admettre ni même en discuter, la France est maintenant dans une trappe à dette typique comme Charles Gave l’explique très bien : la dette grandit maintenant beaucoup plus vite que le PIB n’arrive à croître. S’y ajoute une économie détruite par le pillage fiscal du socialisme d’État (tant à droite qu’à gauche et surtout à l’extrême-centre actuellement), qui ne survit que par l’emprunt.

L’issue est aussi évidente qu’inévitablement : nous courons droit vers un effondrement économique comme en subit un l’URSS en 1989 (qui se traduisit par une disparition de 60% des richesses), qu’on peut probablement situer vers 2026, ou disons dès que l’écart entre les OAT françaises et le Bund allemand dépasse 120 points de base.

Sur le plan politique, « l’extrême droite » de Le Pen et ses petits amis, « républicanisée » jusqu’au point de non retour par les sociaux-démocrates de l’extrême-centre, aura été consciencieusement transformée en planche pourrie et ne pourra donc servir de radeau de sauvetage pour les Français souhaitant un retour de l’État à un régalien réduit mais efficace. Du reste, la répression contre « l’extrême droite », le « fascisme » et les pensées déviantes des Nicolas Qui Paient va encore s’intensifier. Pour le coup, là, l’État saura utiliser de son autorité alors qu’il faillira partout ailleurs.

Sur le plan social, lorsque les finances du pays seront effectivement exsangues, l’extrême-gauche profondément infiltrée dans la plupart des institutions françaises va en profiter pour faire « sa » révolution, i.e. va essentiellement casser et saboter tout ce qu’elle pourra (elle a même pris de l’avance). La probabilité que ceci se traduise par un projet de société concret est à peu près nulle, cette révolution « communisto-anticolonialiste » foutraque n’ayant plus rien à piller et l’argent « gratuit » ayant disparu. La liberté, déjà malmenée, va disparaître.

La France fut le pays le plus en pointe dans l’idéologie antiraciste et immigrationniste dans les années 1980 et à ce titre, sa population est maintenant la plus lavée du cerveau par le « vivrensemble » et « l’antifascisme ». En Europe (de l’Ouest), les autres pays ont suivi avec 10 ans de retard comme la Belgique à partir des années 90 et jusqu’à 30 ans de retard comme en Allemagne qui ne connaîtra ses vagues d’immigration les plus fortes que dans les années 2010.

Une partie des millions d’immigrés et leurs descendants (qui représentent réellement plus de 10 millions d’individus sur le territoire) n’ayant plus, eux aussi, accès à l’argent gratuit des autres, vont se soulever sporadiquement. Il n’y a pas beaucoup d’efforts à faire pour comprendre que les émeutes et rébellions sporadiques et localisées vont devenir fréquentes. Des quartiers entiers, abandonnés des services publics de toute façon débordés, vont se transformer en autant de « Bamako sur Seine » pendant que les médias continueront, sur leur lancée actuelle, de nier farouchement la situation

L’avenir de la France apparaît sombre et déjà tracé, entre une économie et une violence communiste de tous les jours « façon Venezuela », et une sorte de Liban européen pour le côté religieux, avec un peuple autochtone à la démographie déclinante en voie de disparition : on peut applaudir ici des siècles d’Histoire consciencieusement détruite par un gauchisme devenu rabique.

Toute expression d’unité et de patriotisme est maintenant ardemment combattue et toutes les solutions – incarcération et expulsion des criminels étrangers et notamment des 20.000 radicalisés, arrêt total de toute immigration, baisse drastique des dépenses de l’État, libéralisations et baisse de taxes massives – qui seraient présentées par ce qui jadis entrait dans le spectre de la « droite conservatrice » (traduire par « extrême-droite fascisto-raciste » de nos jours) seront farouchement combattues par une gauche complètement en roue libre.

Bien sûr, il peut y avoir un sursaut, une prise de conscience.

Mais on part de loin : le peuple français est déculturé par 57 ans de propagande (1968) – voire plus de deux siècles de déchristianisation, d’étatisme et de novlangue révolutionnaire.

La marge de manœuvre est maintenant très faible, et si l’on ne réagit pas maintenant, ce pays est foutu.

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Commentaires468

  1. Hagdik

    A Bordeaux :
    fdesouche.com/2025/10/07/bordeaux-33-une-agence-immobiliere-reservee-aux-refugies-voit-le-jour-avec-la-complicite-du-prefet-dans-un-marche-du-logement-deja-sature/

    Combine portée par le préfet …. (voyez le nom), et la fondation Alexandre Glasberg COS … qui pompe l’argent des familles des anciens en EHPAD.

    La nouvelle mafia ne se cache même plus.

  2. Oreliane

    Punaise, qu’est-ce qu’il ne faut pas lire comme conneries

    durru 7 octobre 2025, 21 h 06 min
    @Guillaume P.
    Knafo en particulier est tout à fait douteuse. Passée sous l’aile d’Attali, en couple avec Louis (Brice) Sarkozy, elle fait un gosse au Z, pour ensuite pousser Marion vers la sortie dès qu’elle a évoqué une large alliance à droite (oui, oui, Marion qui a un discours tout à fait en accord avec elle sur pas mal de points, d’ailleurs).
    .

    Elle n’a pas d’enfant avec Zemmour
    C’est Marion qui s’est barrée avec le fric de Reconquête

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