Pas assez, c’est encore trop.
C’est l’effervescence politique. D’un côté, on peut lire la panique dans les rangs de la droâte, désemparée devant les résultats de plus en plus médiocres des actions que Sarkozy a entreprises. Et de l’autre, la gôche semble s’agiter de plus belle pour nous présenter, dans de vastes mouvements de petits bras un peu niais, ce qu’elle compte bien faire pour s’occuper dans les prochains mois.