Le Che : prix de l’éducation nationale 2008
Je profite des quelques heures que ces dépêches AFP sont présentes pour vous les relayer. Parfois, la réalité dépasse l’affliction.
Je profite des quelques heures que ces dépêches AFP sont présentes pour vous les relayer. Parfois, la réalité dépasse l’affliction.
Il paraît que l’Elysée, avec Nicolas Princen, fouille le net à la recherche d’informations croustillantes, de buzz et d’idées lumineuses ou de courants d’opinions tant commentés. Il est probable, aussi, que la plupart des cabinets ministériels entretiennent des équipes pour une veille politique, histoire d’éviter au porteur de maroquin de se prendre les pieds dans le tapis médiatique. Ca n’empêche en réalité qu’assez peu les bourdes, mais au moins, ça écarte les plus gros boulets des routes déjà fort sinueuses que nos politiques, tels le marathonien dans un champ de mines anti-personnel, empruntent régulièrement. On est cependant en droit de se demander si ces espions, ces petites agences de renseignement, ne seraient pas plus utiles dans d’autres domaines…
N’avez-vous jamais noté ces petites signatures dégoulinantes de niaiserie au bas de vos emails ? Si si, regardez bien …
Après un an passé dans les affres d’un pays soumis à la loi dictatoriale d’un président omnipotent, la France peut à nouveau relever la tête et se réjouir qu’enfin le Peuple soit entendu ! Le déni démocratique dans lequel nous vivions depuis 2007, date des scandaleuses élections de mai 2007 biaisées par une presse totalement à la botte du pouvoir droitiste, ce déni démocratique indigne d’une République Une et Indivisible, qui fit tant pour rayonner sa lumière sur les peuples du monde et montrer la voie de la vraie liberté, ce déni démocratique est terminé !
Je l’ai déjà noté dans ce blog à quelques reprises : la France est passé assez rapidement et de façon discrète du statut de Puissance Mondiale, il y a un siècle au moins, au rang de Puissance Locale, en gros, dans les années 60, puis au rang de Pays Développé dans les années 80 pour se classer douillettement dans les Pays du Tiers-Monde depuis quelques années.
Un énorme avantage des ordinateurs, c’est leur mémoire. Eh oui. Ils sont construits pour en avoir plus que nous, pauvres humains. Et les architectures qui sont mises en place, au travers des centres de stockages et d’hébergement, donnent cette souplesse de retrouver instantanément ou presque ce qui y a été stocké au moins une fois. Pour l’animal politique, c’est plutôt … une mauvaise nouvelle. Lire la suite “La démocratie participative et ma main dans la figure”
Quelques lignes pour annoncer le prix de l’association « Libéraux.org », pour l’année 2008 : il s’agit de Serge Schweitzer, professeur d’économie et de sciences sociales à l’Université Paul Cézanne d’Aix-Marseille. Je ne peux qu’encourager mes lecteurs à jeter un oeil sur les quelques textes rassemblés dans ce PDF en l’honneur du lauréat 2008. On y trouvera, en […]
La planète va mal, qu’on nous dit ! Ca pollue de tous les côtés, ça pue, ça pète et ça rote à grands renforts de CO2 bien crasseux qui vient nous augmenter notre effet de serre, et ça va droit à la catastrophe. Alors, il faut recycler. On ne jette plus, on recycle. On ne pulvérise plus, on démonte, on arrondit les angles. On ne ventile plus façon puzzle, on transforme dans la douceur, on polit la matière et le verbe pour rendre les choses et les discours plus doux au toucher et à l’oreille. C’est décidé, on ne fera plus feu de tous bois car c’est polluant et ça risque d’embraser la garrigue, mais on s’emploiera à présenter enfin l’actualité, même la plus rêche, la plus rugueuse, sous un angle agréable et en harmonie avec la Nature.
Médias, vitesse de pénétration des idées et peluches intergalactiques ? … Quelques réflexions décousues, et, ce soir, une p’tite crêposuc’. « _ Quand on lit certains articles, on ne peut en déduire qu’une chose : « Au secours on va tous mourir ! », suivi immédiatement après de « Vite, augmenter les dépenses publiques ! ». En réalité et contrairement à ce […]
C’est l’effervescence politique. D’un côté, on peut lire la panique dans les rangs de la droâte, désemparée devant les résultats de plus en plus médiocres des actions que Sarkozy a entreprises. Et de l’autre, la gôche semble s’agiter de plus belle pour nous présenter, dans de vastes mouvements de petits bras un peu niais, ce qu’elle compte bien faire pour s’occuper dans les prochains mois.