Un dimanche de pluie en France

Avec l’arrivée de l’automne, le temps devient plus incertain. Parfois, et en accord avec la Loi de l’Emmerdement Maximum, il pleut le dimanche. Et un dimanche en famille, en France, quand il pleut, c’est poker. Et c’est aussi l’occasion de réflexions décousues et de crêpes au sucre. D’où la nouvelle section dans ce blog.

Je dis poker, mais ça peut être Trivial Pursuit, tarots, petits chevaux, couture, machramé… ou crêpes au sucre, justement. Ne soyons pas sectaires. Eventuellement, cela peut être musée (si on en a un pas trop loin de chez soi qui est ouvert le dimanche) ou cinéma (sous les mêmes conditions avec en plus celle de trouver un film qui convienne à toute la famille). Quand on a des enfants plus ou moins petits, on se limitera rapidement. L’intérêt d’une peinture impressionniste ou d’un film de Woody Allen / Jerry Bruckheimer (ne soyons pas sectaires, je le répète) échappe généralement aux jeunes enfants. C’est dommage, mais c’est comme ça.

Alors, quand il pleut le dimanche, c’est souvent Légo.

En tout cas, ça ne peut pas être manège dans une galerie commerçante. Ca ne peut pas être non plus la résolution d’un certain nombre de problèmes d’intérieur qui nécessitent l’achat d’une pièce, d’un outil ou d’un bidule-truc qui irait bien là et ferait que bon ça irait mieux. Quant à voir des amis, c’est parfois très impoli de débarquer chez eux avec les moutards et les godasses pleines de flotte alors que ce n’était pas prévu.

Il y a aussi la balade en voiture. Là, il y aura toujours un grincheux (quand il pleut, comme les escargots, ils sont de sortie) pour dire que la bagnole, ce n’est pas écolo. Mais quand on est en centre ville, en septembre, quand il pleut, un dimanche, on risque gros avec sa voiture.

Car en septembre, les mairies se déchaînent. En juillet et en août, en effet, les équipes municipales de travaux sont parties au soleil ; des marques colorées ont été peintes au sol en prévision des travaux divers dans les rues de la ville, mais jusqu’alors, le piéton et l’automobiliste pouvaient encore circuler joyeusement – pouët pouët – dans les rues sans trop s’écraser les uns les autres. A la faveur des retours de vacances, les équipes reconstituées se jettent à l’assaut du bitume.

Chaque quartier de la ville se voit alors investi par les tracto-pelles, les bétonneuses, les échaffaudages et les palissades métalliques tordues. Tels de nouveaux forages prospectifs pour trouver un mystérieux minéral ou une poche de pétrole insoupçonnée – qui sait ? – , des excavations sont entreprises avec des outils jamais neufs à même la route, après avoir détourné la circulation par de grosses barrières en plastique rouge ou blanc. Au passage, il est à noter que les palissades, les panneaux, les engins de terrassement et les bleus de travail des équipes ne sont jamais neufs. Jamais. J’en suis venu à me demander si les engins n’étaient pas produits directement rouillés et tordus, de la même façon qu’on trouve des jeans délavés… Mais je m’égare.

Si l’on y réfléchit, c’est, de la part du maire moderne citoyen, écologique et forcément festif – on l’imagine bien avec sa petite coupe de champagne, son petit-four au caviar, son petit sourire, sa petite écharpe et sa petite tendance à nous enfler grave – une manoeuvre habile. Faire des travaux en septembre, c’est couvrir deux objectifs politiquement juteux :
– montrer que “La Mairie Fait Des Choses Pour Vous, Citoyen”, et ainsi, assurer de bonnes rentrées électorales à moyen terme : les travaux d’août, quand tout le monde est parti, ne rapportent rien et sont difficiles à mener avec les ouvriers eux aussi partis.
– enquiquiner les automobilistes, ce qui peut facilement se présenter de façon politiquement correcte dans la section Aménagement De La Commune Pour Un Air Moins Pollué, puisque pendant, les gens sont “incités” à prendre les transports en commun, et qu’après il n’y a plus d’autre possibilité que les transports en commun…

Ceci, d’une certaine façon, condamne donc le pauvre citoyen-automobiliste-contribuable à payer chèrement tout déplacement en ville avec son seul moyen de transport individuel, donc individualiste, donc égoïste limite méchant. Le dimanche, en plus, ne sortent finalement que les gens qui doivent sortir et qui, donc, ne renonceront pas facilement à leur déplacement et viendront s’agglutiner Boulevard Machin, devant le panneau Déviation qui, avec sa flêche mal positionnée pointant vers le trou béant dans l’avenue, semble dire “C’est bien fait !”.

Si vous avez commis l’erreur, à ce moment, de choisir le cinéma à l’autre bout de la ville, avec les enfants à bord, en général, cela tourne rapidement à la foire d’empoigne. Surtout que, de déviations en déviations, de routes barrées en nouveaux sens interdits (tout neufs, eux), le cinéma s’éloigne de plus en plus. Et la partie de poker a été écartée : il manque des cartes. Pas le choix, il faut continuer, le retour au foyer familial ne sera d’aucun secours.

Notez bien que la même démarche le samedi aurait abouti à la même déroute bourbeuse : ce jour là, c’est plus facile de trouver à s’occuper quand il pleut (tout est ouvert), mais … c’est le seul jour de la semaine où les gens qui travaillent du lundi au mercredi[1] vendredi peuvent en profiter pour remplir rapidement le frigo avant le dimanche. Et on ne peut les en blâmer : il ne faudrait pas oublier qu’un dimanche, pluvieux, alors que le frigo est vide est une abomination plastivore.

D’un autre côté, on peut aussi noter que si les commerces étaient ouvert le dimanche, la cohue du samedi se dégonflerait peut-être sur les deux jours. Au pire, elle s’étendrait aux deux jours, mais au moins, les masses gluantes de pluie sauraient qu’à l’autre bout de la déviation, là-bas, existe un endroit où elles pourront trouver ce p*tain de boulon de 5 mm de diamètre intérieur qui leur manque cruellement ce dimanche en prévision d’un lundi probablement rock’n’roll.

J’ai eu l’occasion de vivre dans des pays où, le dimanche, les gens qui voulaient commercer continuaient à le faire. Et tout le monde y trouvait son compte.

Mieux : il m’est quand même arrivé le dimanche dans ces pays, alors que rien ne m’y poussait, de faire des crêpes au sucre…

Notes

[1] Pardon, mais avec ces 35H, on ne sait plus où commence le ouikande…

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Commentaires17

  1. chris

    Je sens chez vous comme un certain désenchantement…

    Légère dépression automnale ?

    Allons courage, mars 2007 n’est plus très loin.

    Et après, tout changera, n’est ce pas ?
    😉

  2. pierrem

    Je me permets, vu la taille du commentaire, de commenter en direct dedans. Hormis mes insertions en italique, je n’ai pas altéré le commentaire de pierrem.

    Vouloir réduire toute politique désirant réduire la part de la voiture en ville en une simple guéguerre entre les méchants en tuture les gentils écolo est tout de même réducteur.
    Réduire est toujours réducteur 😉

    En effet d’une part les automobilistes accuse souvent le fait de politiciens qui auraient soi-disant une dents contre les voitures ce qui est tout simplement un fait purement mathématique. Il y a plus de 30 000 000 de voitures en France et le flux qu’un axe routier peu supporter n’est pas infini (saturation 2000 uvp/h et par voie uvp = unité de véhicule particulier ). Il y donc trois solution pour pallier à une inévitable saturation des réseau (très nuisible à l’économie je le rappelle)
    N’oubliez tout de même pas que la plupart des maires annoncent officiellement des politiques pour réduire la place de la voiture en ville ; ces politiques ont ouvertement une dent contre les voitures, c’est simplement un fait…

    – augmenter la capacité des d’infrastructures. Mais cela implique d’une part encore plus de dépense publiques. Je sais. Vous être "liberarian"
    Libertarien, au mieux. Anarcap serait plus proche de la réalité.


    donc les investissement privé et blabla bla devraient tout faire tout seul. Mais bien sur… dans vos rêves avec les politiques actuelles. Je rappelle que ça implique des expropriation et donc des négociations calamiteuses avec les locaux. Désolé l’acteur "public" est inévitable. Bref on ne sortira pas avec ça du tout-Etat. Bien au contraire.
    Comme nous ne sommes pas dans un monde sans état, tout hypothèse renvoyant au strictement privé sera assez compliquée à réaliser. Mais là encore, ne perdez pas de vue que l’histoire est cependant truffée d’infrastructures faites par des privés (train, électricité, eau, téléphone, …) avant d’être prises en main par l’état dès qu’il y trouve son intérêt, et d’être reprivatisé dès que l’état n’est plus capable de camoufler son incurie.

    – sinon on tente de dissuader l’utilisation de la voiture. Les PLU (Plan de Déplacement Urbains) actuel sont mal faits et nuisent souvent au but recherché on est d’accord. (je pense aux mesures que vous accuser de nuire à votre sacro sainte liberté de circuler).

    Ce “sacro saint” est méprisant. C’est inutile.


    Ce n’est pas pour autant que tout est absurde !! D’ailleurs à ce sujet de nombreuses initiatives (attention je vais dire un mot que vous adorez) « privées » sont à louer ! Comme le covoiturage, l’autopartage, les transports en communs privés (bon ils le sont pas toujours mais en général ils peuvent être rentable donc peuvent être privés). Et cela a pour but de fluidifier les déplacements donc l’économie.

    C’est d’ailleurs parce que les transports en commun privés peuvent être rentables que la SNCF fait du lobbying pour conserver le monopole des cars sur des lignes massivement subventionnées par l’état – quand on connait les agissements de Veolia Transport, on comprend mieux… Tout ceci pour dire que la notion même de transports privés dans une France complètement gangrenée par les règlementations, les lois et les lobbys publics est quelque chose d’assez surréaliste.


    Mais de mon point de vue s’il n’y a pas un petit coup de pouce politique rien ne se fera car je suis désolé les libéraux sont de désespérant conservateurs qui préfère laisser les choses telles qu’elles sont mais si c’est contraire à leurs intérêts.

    Ce que vous dites ici est idiot. Un libéral ne peut préférer laisser une chose contraire à son intérêt. Encore une affirmation gratuite (exemple concret ?) qui montre que vous ne connaissez pas grand’chose au libéralisme. Partant, dénoncer ou fustiger des attitudes en se basant sur une définition fausse, une manipulation des mots biaisée n’aboutit qu’à vous discréditer.

    La preuve ! vous préférez prendre votre voiture plutôt qu’utiliser d’autre modes qui vous feraient gagner du temps donc de l’argent ! C’es tout le problème de la bagnole : SON UTILISATION N’EST PAS RATIONNELLE ! Désolé dans ces cas là le politique a le droit d’intervenir. C’est mon point de vu en tout cas.

    Je vous trouve fort drôle : comment, à vélo, dois-je procéder, par temps de pluie, pour emmener femmes & enfants (qui ne savent pas faire du vélo) ? Rationnellement, la voiture reste le moyen de transport le plus sûr pour eux, et le plus souple pour moi. D’autre part, et c’est un trait courant chez le gentil “protosocialisant”, vous partez du principe que l’utilisation de la voiture n’est pas rationnelle, que mes préférences ne sont pas optimales (puisque j’y perds du temps et de l’argent). Ca revient à dire : mieux vaut qu’on vous force la main pour les transports en commun, vous êtes trop stupide pour comprendre que c’est moins cher et plus rapide. Belle mentalité…
    – rien faire et on se retrouve avec des embouteillages tout le temps car de toute façon les gens prennent la voiture et la situation empire d’année en années puisque le nombre de déplacement augment constamment. Et cela vous le savez nuit à l’économie car nuit à la liberté de circuler.

    Rien faire ? Ca dépend pour qui ! Les constructeurs (privés), les producteurs d’énergie (privés), les automobilistes (privés) ont tous tout intérêt à voir disparaître les embouteillages. Et ces acteurs s’ils n’étaient pas systématiquement emmerdés par l’état qui vient s’insinuer dans leurs relations et dans le marché à des fins illusoires de “régulations” (ah ah ah) résoudraient ces problèmes sans difficulté : ils l’ont déjà fait à de maintes reprises pour d’autres problèmes plus graves…
    Donc l’action politique (même si elle est mal faite trop souvent, hélas) peut quand même se révéler nécessaire pour optimiser l’utilisation de la voiture. Il faut vivre dans son temps. On est plus dans les années 60-70 où le nombre de voiture était si peu élevé qu’il permettait un réelle liberté. Cette grande époque de la voiture (pas chère en plus) est révolue. Il faut rationaliser l’utilisation de la voiture. La liberté de circuler est à ce prix.

    La liberté de circuler doit se payer en perdant sa liberté de circuler. C’est formidable. Et c’est n’importe quoi. Ca revient à dire : comme le nombre de téléphones portables à explosé sur les 10 dernières années, il faut que l’état intervienne sinon pouf il n’y aura plus de capacité de bande passante ! C’est horrible !
    Attention ne me faite pas dire ce que je n’ai pas dit : cette liberté n’est pas nécessairement gratuite. Un péage peut lui aussi servir de régulateur en même temps que de financeur des infrastructures. C’est une solution libérale tout à fait possible mais, pour moi, devant être contrôlée par les pouvoirs publics pour éviter des abus (protectionnisme par ex).

    Et qui protège des abus des pouvoirs publics ?

  3. pierrem

    La petite différence c’est que augmenter la bande passante des mobiles est beaucoup plus facile que augmenter les nombres des infrastructures routières.
    Certes il est tout à fait possible de faire des autoroutes privées. Ce n’est pas une question d’argent. C’est la question des nuisances. Un constructeur connaît bien le principe de "not in my background". En gros allez persuader un riverain qu’une autoroute va se construire dans son jardin pour que des gens qu’il ne connaît puisse se rendre à leur boulot (ou autre) ! Vous aurez beau faire un rapport pour montrer que lui aussi va y gagner, que ça va dynamiser la région et blablabla. Rien y fait vous allez avoir sur le dos des assoce écolo, des chasseurs etc qui diront « non » de toute façon. Vous n’y couperez pas.
    Au XIX on ne demandait pas leur avis mais maintenant il faut faire de la concertation, etc. Acteur privé ou public rien ne change les problèmes sont les même. Inéluctable.
    Donc il est devenu presque impossible dans un pays aussi construit que la France d’augmenter le nombre d’infra. Il faut donc optimiser ce qu’on a.
    C’est là ou, perso, je préconise une action publique (censée être contrôlée par le vote)

    "La liberté de circuler doit se payer en perdant sa liberté de circuler."
    Non ce n’est pas ce que je veux dire. Une simple rationalisation… par le coût réel par exemple. Car je persiste et signe l’utilisation de la voiture n’est pas rationnelle car les automobilistes ne paye pas le coût REEL de la voiture.
    Il y d’une part une illusion de la voiture peu chère : on pense qu’il suffit de calculer l’essence et le paysage pour estimer son coût au kilomètre ! On omet trop souvent l’obsolescence, l’entretien, l’assurance, etc. Et on néglige complètement le coût de l’infra sur les routes sans péage !!!
    Et sous estimer le coût rend son utilisation irrationnelle. C’est dans ce cas où "Un libéral peut préférer laisser une chose contraire à son intérêt" à cause de la désinformation.

    Après vous voyez bien que dans une société totalement libérale il n’y pas ce problème par définition puisque tout est au coût réel. Mais ce n’est pas le cas aujourd’hui on est donc obligé de s’orienter vers une régulation publique. C’est un point de vu purement pratique et non idéaliste mais tout à fait praticable à court terme.
    Je sais ce que vous aller objecter « oui mais comme ça on s’en sortira jamais !! »…
    Bin… non
    Pas dans les 10 ans à venir en tout cas car ça ne sera ni Ségo, ni Sarko ni le Pen qui changeront les choses.

  4. Arnaud

    Pierre votre logique me laisse pantois. C’est un joyeux mélanges d’arguments contraires et le tout n’a ni queue ni tête. Prenez par exemple les autoroutes, vous dîtes qu’aujourd’hui on est obligé de faire de la concertation pour déterminer les tracés, ce qui n’est pas un si mauvaise chose du point vue libéral, cela voudrait dire que l’on respecte enfin la propriété privée des individus. Mais j’en doute fort, car l’état abuse toujours de son pouvoir usurpé d’expropriation pour construire ses autoroutes, encore aujourd’hui.
    Comme le dit bien h16 la France est tellement gangrénée par le secteur public que rien que de pense à y développer des infrastructures privées devient une utopie, mais comme on dit l’espoir fait vivre. Je considère que les gens vraiment sensé on compris le truc depuis longtemps: ils votent avec leurs pieds.

  5. pierrem

    "Pierre votre logique me laisse pantois. C’est un joyeux mélanges d’arguments contraires et le tout n’a ni queue ni tête."

    jugement gratuit…

    "concertation pour déterminer les tracés, ce qui n’est pas un si mauvaise chose du point vue libéral, cela voudrait dire que l’on respecte enfin la propriété privée des individus. Mais j’en doute fort, car l’état abuse toujours de son pouvoir usurpé d’expropriation pour construire ses autoroutes, encore aujourd’hui."

    Les concertations je vous l’ai expliqué aboutissent à des impasses (logique du "not in my background") qui expliquent pourquoi il est quasiment impossible de construire de nouvelle infrastrucure. Mais ce n’est pas spécialement une mauvaise chose. C’est un fait. Point.
    L’etat abuse de son pouvoir certes, mais il y aussi la pression d’entreprise privées du BTP (Vinci, bouygues) qui ont tout interêt à gagner des marchés. Pas d’engélisme : prive comme public sont peut doté de scrupules.

  6. Arnaud

    Fyi: C’est "Not in my Backyard" et non "background" autrement appellé Nimby.

    Quant à ma remarque sur votre logique, ce n’est pas un jugement gratuit, c’est un fait. Point.

  7. pierrem

    "Fyi: C’est "Not in my Backyard" et non "background" autrement appellé Nimby.
    "

    Certes, bien vu.
    Petite devinette : ma réponse appropriée devrait être
    "Autant pour moi" ou
    "Au temps pour moi" ?

    Si les deux sont acceptés, c’est la seconde qui prévaut (Littré)

    "Quant à ma remarque sur votre logique, ce n’est pas un jugement gratuit, c’est un fait. Point."
    Si : tant que ce n’est pas argumenté c’est un jugement gratuit. Une logique n’est pas un fait. Elle se dégage d’un texte.

  8. Arnaud

    J’ai appris à éviter les arguments avec les trolls, ca finit par être long et ennuyeux. Je sais que vous aurez toujours le dernier quoi que je puisse dire.

    Quand à Not in my backyard, je peux vous assurer que background n’est jamais employé par les anglophones, l’expression consacrée est bien backyard et non background:
    en.wikipedia.org/wiki/Not…

    A bon entendeur…

  9. PingouinProteine

    mais c’est pas la meme chose un backyard et un background
    on peut faire des barbecues dans le background, mais je dois dire que c’est toujours meilleur dans le backyard :))

    Pp

  10. Arnaud

    Background= arrière-plan, paysage
    Backyard= Jardin

    J’aimerais que tu me donnes la recette du BBQ dans le background, Pingouin 😉

  11. pierrem

    "J’ai appris à éviter les arguments avec les trolls, ca finit par être long et ennuyeux. Je sais que vous aurez toujours le dernier quoi que je puisse dire."

    merci sympa !
    Quand je demande des arguments c’est avec une réelle bonne intention d’écouter des remarques contructives. Pourquoi tant de mépris ? Est-ce du trolling que de simplement avoir des convictions ? Vous en avez aussi, non ?

    "Quand à Not in my backyard, je peux vous assurer que background n’est jamais employé par les anglophones, l’expression consacrée est bien backyard et non background:"

    Merci ca fait le 2ème fois que vous le dites !!! J’ai compris !
    Vous êtes tellement contre moi et de façon si absurde que vous ne vous êtes pas apperçu que j’ai reconnu mon erreur !!!!!!!!!!!!
    J’ai bien dit "Certes, bien vu."
    Je voulais dire "oui vous avez raison". Je me suis trompé ! J’ai fait une petite erreurs. Ca arrive, non ?

    a bon entendeur… comme vous dites

  12. pierrem

    Remarque : ce qui est en italique n’est pas de moi mais de h16, c’est peut être ce qui vous a induit en erreur.

  13. PingouinProteine

    Ben c’est facile, si devant toi il se passe je ne sais pas moi, par exemple un show lesbien sm endiable live, et que plus loin dans la prairie tes amis font un barbecue, eh bien on peut dire qu’il font un bbq dans le background.
    Mais si tu te joins a eux bien sur, l’effet magique disparait et tu te retrouve avec faire un bbq avec un show lesbien sm live dans le background, ce qui est different.

    Pp

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