Déception. Sarkozy ne peut pas tout. A la grande stupéfaction d’une partie de l’opinion publique, il n’aura pas réussi à changer le nom d’une pipe de saperlipopette de temps pourri pré-diluvien à tendance neurasthénisante qui s’abat actuellement sur une grande partie de la France en dépit de toutes les conneries réchauffistes qui continuent pourtant de nous prévoir une nouvelle French Riviera sur Lille pour 2050… Mais baste : s’il ne peut pas encore tripoter le climat, il peut en tout cas s’enorgueillir d’avoir occupé les feux de la rampe même en vacances, ce que Chirac n’arrivait à faire qu’en se baladant zboubi visible à Brégançon…
Et à peine revenu, le voilà les mains pleines avec d’un côté la récidive consternante d’un pédophile dopé comme un cycliste du tour de France et de l’autre les affaires de sans-papiers d’immigrés clandestins dont les quotas d’expulsions semblent bien difficiles à atteindre.
Compte-tenu de l’art consommé de la communication dont le Président aura fait preuve pour arriver à son poste, on se demande comment il a pu se retrouver dans un tel magma gluant d’affaires qui disputent l’atroce au consternant de bêtise.
Par exemple, on ne peut qu’être surpris d’apprendre que des médecins de prison puissent distribuer du Viagra alors que la prison n’est pas a priori l’endroit où les problèmes d’érection doivent être solutionnés … au contraire, même. A quand les poppers avec les M&M’s à la cantoche carcérale du samedi soir ? Si l’on ajoute à ça que, en l’espèce, 80% des détenus de cette prison sont des criminels sexuels, on ne peut que s’interroger sur la capacité des soignants concernés à prendre du recul sur les ordonnances qu’ils produisent… ou se poser là encore des questions sur l’a-propos commode de ces erreurs catastrophiques et de la construction déjà débutée d’un hôpital psychiatrique dont l’objet aura été légèrement modifié pour coller à l’actualité. Rien de tel qu’une affaire bien crasseuse pour galvaniser une opinion, dit-on. Je ne voudrai évidemment pas pousser ici la paranoïa trop loin, mais force est de constater qu’une telle affaire accrédite aussi de façon coïncidente l’idée selon laquelle il serait fort pratique pour les médecins d’accéder aux données – dématérialisées – du patient, son historique de remboursement, et pourquoi pas, son casier judiciaire ou … sa fiche de paie ? Ca tombe bien, c’est ce que s’emploient à faire nos bonnes caisses de Sécu, qui ne sont décidément pas en mal de bonnes idées dont les dérives seront, on n’en doute pas une seconde, écartées grâce à la vigilance légendaire de nos gouvernants.
De la même façon, on ne peut s’empêcher de noter que la presse aura tout fait pour rapprocher la délicate affaire du fils d’un immigré clandestin chutant de quatre étages, et se retrouvant dans le coma dans sa fuite pour éviter l’expulsion, des déclarations étonnantes d’un Brice Hortefeux n’arrivant pas à atteindre ses quotas … d’expulsions justement. On admirera le minutage digne d’un cascadeur hollywoodien dans l’apparition des deux informations sur les fils d’actualités.
Autant que la justice et l’application des peines, l’immigration est un problème épineux, récurrent et présenté depuis des décennies comme quasiment insoluble. De la même façon, d’ailleurs, que certains hypocrites politiques ont pipeauté avoir tout essayé pour combattre le chômage, en évitant soigneusement, soit dit en passant, ce qui marchait bien, on entend quasiment toujours les mêmes refrains sur l’immigration et sur la façon dont il faudrait renforcer les contrôles aux frontières, créant ainsi une sorte de Bastion-France, devenu avec l’Histoire un Bastion-Europe, hors duquel on bouterait les impétrants qui prétendrait y rester pour y travailler…
Je passe ici sur le ridicule achevé de la notion même des quotas, ceux-là même que Brice l’Artifice n’arrive pas à atteindre. Pourquoi 25.000 et pas 50.000, ou 12.500 ? On supposera, pour le bien-être et le sommeil tranquille de nos concitoyens, qu’un rond-de-cuir efficace aura mené un habile calcul frappé au coin de la précision et du bon sens administratif pour justifier que le 25.001ème immigré clandestin puisse rester et pas le 25.000ème, par exemple. Après tout, l’administration produit ces êtres supérieurs, aux QI si élevés qu’ils nécessitent la notation scientifique en puissance de 10, capables de déduire le montant à l’euro près de nos impôts à partir du corpus de lois du Code Fiscal, l’impact exact des 35H en terme d’emplois ou, encore plus fort, le coût précis des perturbations engendrées par un phénomène climatique hypothétique dans les 50 prochaines années.
Donc, sans même évoquer ces chiffres idiots, la question du bien fondé de la mesure de reconduite à la frontière se pose. Car s’il s’agit de travailleurs illégaux, et puisqu’on les expulse manu militari, je tiens à savoir l’ampleur des dégâts qu’ils ont commis. Ils doivent être considérables. En effet, on n’expulse pas de France un type comme Evrard, on va même jusqu’à lui prodiguer des soins. L’émigration subie par les personnes qu’on expulse doit donc correspondre à une somme impressionnante de crimes tous plus horribles les uns que les autres…
Et quand on y regarde de plus près, pas de doute. Il s’agit bien de crimes horribles. La plupart, pour ne pas dire la totalité de ces immigrés clandestins qui viennent travailler chez nous n’ont jamais … mes doigts tremblent à la seule pensée de ces atrocités … n’ont jamais … aaaargh mon Dieu c’est horrible … ils n’ont jamais …. (bearrrrrh, je vais vomir, c’est trop dégueulasse) …
Ils n’ont jamais généré de cotisations URSSAF !!
Putain Merde Chier Ah ! Palsembleu ! Ventre Saint Gris ! Vertuchoux ! C’est immoôonde !
…
Si je résume bien, il s’agit essentiellement de ça. Comme ils ne sont pas légaux, ils travaillent au noir : ils n’ont donc pas payé d’impôts (c’est atroce), ils ne cotisent pas pour leur retraite (c’est abominable) et ils n’ont pas cotisé pour la sécu (c’est monstrueux) ! Pire, cette engeance épouvantable touche parfois des aides ! Arrrrrrrgh.
Et là, il se fait jour une faille. En effet, s’ils sont clandestins, il va leur être fort compliqué de toucher des aides. Soit, certains sont plus malins et admettons pour le moment qu’ils touchent tout de même de l’argent public, à gros bouillon. On peut alors distinguer ceux qui touchent cet argent parce que le système est très généreux, et ceux qui détournent clairement l’objet du système, par fraude.
Dans le premier cas, que peut-on leur reprocher ? Utiliser légalement un système généreux ne peut guère être attaqué, en soi. Dans le second cas, celui de la fraude, admettre qu’il y en a et qu’elle soit à ce point important qu’il faille déporter 25.000 personnes, c’est admettre que le contrôle dans l’attribution de ces aides est très défaillant. Il le sera d’ailleurs d’autant plus qu’on aura de fraude : une fraude réalisée pour un gros montant par des milliers de personnes, c’est bien la preuve que le système est mal conçu.
A ce point du raisonnement, on constate cependant que, s’il y a fraude, bien peu sont poursuivis pour celle-ci. La ponction sur l’argent public n’est donc pas le motif principal d’expulsion. Reste l’absence de cotisations et d’impôts. Tout se passe donc comme si ces salauds de clandestins pauvres ne payaient pas d’impôts et ne cotisaient pas et devaient donc être punis.
Pourtant, ils produisent de la valeur ajoutée, puisqu’ils travaillent pour se nourrir, et permettent à ceux qui les emploient soit de fournir un service moins cher (ce qui représente donc un bénéfice pour le consommateur final), soit de dégager une marge plus forte ; ce qui, au passage, représente un bénefice pour le producteur, bénéfice qui se traduit par une richesse accrue et donc – a priori – par un bien-être supérieur de ce producteur qui sera, rappelons-le, un consommateur à un moment où l’autre et qui verra donc son pouvoir d’achat augmenter.
En outre, ils fournissent le travail que d’autres ne peuvent faire : ils occupent au noir soit des postes qui sont trop chers légalement, précisément à cause de ces cotisations, taxes & impôts, soit des postes dont les travailleurs légaux du cru ne veulent pas.
Encore une fois, on retombe sur ce constat entêtant : les cotisations sont donc bien la raison première de leur venue en France, puisqu’en travaillant hors de leurs effets pervers, ils apportent une plus-value, et la raison première de leur émigration subie, puisqu’on leur reproche essentiellement de ne pas cracher au bassinet percé que nous, joyeux mécènes forcés de l’URSS(af), nous employons vainement à remplir.
Ce que ne supportent donc pas nos étatistes chéris, au travers de ces travailleurs clandestins, c’est bien le fait qu’ils représentent la démonstration éclatante qu’on peut effectivement vivre sans le cathéter constant de la subvention étatique, l’assurance fallacieuse d’une santé, d’une retraite ou d’un job, et de son pendant, la ponction collectiviste…
Au passage, un lien sur une étude scientifique intéressante se basant sur les chiffres de l’emploi et des salaires en Californie ces 40 dernières années, et qui montre que les immigrés n’affectent pas de manière négative les perspectives professionnelles des travailleurs nés aux États-Unis. Au contraire, ces travailleurs immigrés auraient un effet positif sur les salaires du travailleur « indigène » moyen. Comme quoi …
Mon hostilité à l’immigration vient, non pas du fait que les immigrés ne cotisent pas à l’URSSAF, mais plutôt du problème que pose l’intégration de personnes étant loin de partager la même culture, les mêmes coutumes et les mêmes habitus que les autochtones est-européens.
Situation dont on sait comment elle commence, mais dont personne ne sait comment elle peut se terminer….
Comparons alors avec les pays d’immigration active. Y a-t-il déroute, horreur et défenestration avec tripaille à l’air dans ces pays là ? Pas que je sache. On pourra toujours m’objecter que dans les autres pays, les immigrants sont tous beaucoup plus gentils, souples et adaptés à la culture locale, et que la France récolte exclusivement la pire engeance malfaisante, mais j’aurai tendance à penser que les gens qui s’emmerdent à effectuer un déracinement complet pour aller travailler ailleurs sont beaucoup plus adaptables que ce qu’on veut bien leur prêter comme capacité.
En outre, le problème en France se pose bien plus pour la seconde génération d’immigrés (ceux qui sont, donc, Français) que pour les primo-arrivants venus chercher du travail. La source des problèmes que vous mentionnez ne serait-elle pas à rechercher autre part que dans l’origine ethnique ou culturelle ?
Au niveau de la violence, les USA ne sont pas à envier.
Mais surtout, l’immigration mexicaine n’est pas d’origine musulmane, elle. C’est une culture qui me parait beaucoup plus difficilement intégrable que les latinos aux USA.
Et de ce point de vue là, on ne sait pas vraiment comment l’assimilation pourrait se faire, surtout si on va vers le modèle multiethnique, style Liban (OK, on n’y est pas encore).
Au niveau des contrôles et donc du pourcentage de fraude, c’est comme pour les stats, il faut que l’échantillon prélevé soit le plus important possible pour être fiable. Or, depuis des années, on nous dit que la fraude, c’est une minorité, et dans le même temps, on apprend que les contrôles vont être renforcés !!! Donc, c’est que la fiabilité de ces stats n’est pas … fiable, sinon on augmenterait pas le nombre de contrôles !!!
Au vu des déclarations des différents agents de nos sévices sociaux, on peut dire que l’on bascule dans la politique pure et simple. En effet, si on apprend que l’argent public est distribué à des gens qui n’y ont pas droit mais qui font tout pour y parvenir, cela veut dire, comme vous le précisez, que les agents chargés de distribuer la manne ne font pas correctement leur travail.
Que fait-on d’un employé qui ne fait pas correctement son travail ?
On est alors dans un formidable jeu de dupes ou le sévice public, sous couvert de solidarité ( qui arrange donc bien ceux qui en abusent ), se met en branle afin de protéger sa propre incompétence.
Il suffirait juste de ne pas avoir à donner la possibilité de tricher pour résoudre bien des problèmes…
D’accord avec Polydamas au sujet de l’immigration. De plus, la culture des immigrés est plus proche de celle de l’américain moyen que celle qui arrive ici. Aux US, la loi est un peu moins souvent bafouée, ainsi que l’état de droit ( et de devoirs dirais je ).
Ca n’est pas comme en France ou le baissage de frocs et distributions d’exceptions permanentes nous fabrique un gloubiboulga dont on ne sait pas quoi en sortira.
h16, 2 choses quand quand même: tous ne travaillent pas, loin de là, et beaucoup touchent des aides. La différence entre les US et la France est justement celle-ci: les américains tolèrent le travail des illégaux, mais ne leur offre aucune prestation sociale, alors que la France interdit leur travail par tous les moyens possibles, et leur offre des prestations sociales en échange (AME par exemple qui donne droit à la CMU). Je pense sincèrement que si l’immigration en France n’était qu’une immigration de travail, légal ou pas, nous n’aurions pas les mêmes problèmes.
Je me pose une question.
Est ce que l’immigration clandestine ne pénalise pas ceux qui voudrait venir s’installer en France de manière légale ?
Il y aurait donc ce qu’on voit : les personne qui viennent de manière illégale.
Et ce qu’on ne voit pas : ceux qui ne peuvent pas venir légalement car l’immigration clandestine importante rend l’obtention de papiers plus difficile.
je voudrais quand même préciser pour les comentaires précédents que ce n’est pas parce qu’on travaille de manière illégale qu’on ne cotise pas.
A travers tous nos actes de consommation nous cotisons…
Quelques remarques pour préciser ma position : il va de soi que si on abaisse les restrictions pour l’immigration, on doit faire disparaître purement et simplement les aides afférentes. Dès lors, l’immigré qui arrive en France ne peut que travailler pour subvenir à ses besoins (sauf à reposer entièrement sur la charité par opposition à la « solidarité » toute étatique).
Le problème (et c’est le sens du billet) dès lors repose bien dans l’attribution des aides et non dans l’immigration en tant que telle. Cela va plus loin : c’est précisément parce qu’on aide les immigrants sur le sol français qu’on observe tous les autres problèmes (culturels notamment) dont les commentaires précédents font mention. En effet, pour le nouvel arrivant, le travail n’est pas rigoureusement nécessaire puisqu’il peut disposer d’un parachute d’aides publiques ; l’intégration par le travail est alors reléguée à sa portion congrue. Cela va plus loin, puisque cette présence des aides favorise la présence des éléments les moins travailleurs dans le flux migratoire : ceux qui ont l’habitude de travailler dur pour s’en sortir se trouvent en effet lésés vis-à-vis de ceux qui n’en fichent pas une ramée et choisissent dès lors un autre pays d’immigration.
La France, il ne faut pas l’oublier, a toujours été une terre de passage, et ce, depuis des millénaires de par sa position géographique. Toutes les vagues migratoires ne furent pas toutes de cultures similaires, et beaucoup ne se sont pas achevées dans le bordel qu’on peut constater actuellement, loin s’en faut. Faire le lien entre la différence culturelle, l’immigration et les problèmes franco-français, c’est louper l’essentiel : quel que soit le pays, on observera toujours que les immigrants et leurs enfants poseront d’autant plus de problèmes qu’ils auront massivement reçu des aides de l’état, qu’ils auront appris à se déresponsabiliser au travers des solidarités forcées. Le problème est similaire pour la discrimination positive, dont les effets néfastes sont du même tonneau.
Enfin, il ne faut pas oublier ce qui est devenu une tradition en France : la récupération politique la plus éhontée des cas sociaux qu’on aura tout fait pour créer avec ces immigrés dans le seul but, justement, d’obtenir non pas une immigration libre, mais des tombereaux d’aide publique.
L’immigration n’est pas et n’a jamais été un problème dans un pays riche dans lequel le travail existe. Ce sont les aides publiques qui constituent le coeur du problème (ici comme aux US, d’ailleurs).
Et oui cher h16, tout à fait d’accord : le maxi-sponsoring humaniste ne peut se justifier que dans une économie réelle, performante et excédentaire.
Le concept d’émigration choisie me semble très intéressant. Mais il s’agit bien d’un concept, irréalisable dans ce pays bien entendu.
Quand à Evrard, perdonnez-moi, il y a une balle qui se perd (lorsqu’une machine est défectueuse, on ne la "soigne" pas : on la "scrappe"); la molesse ambiante concernant cette affaire (ou toutes autres aussi scabreuses) m’a totalement glacé. On a une fois de plus pu profiter de la glose fonctionnarisée lors des déclarations concernant la sortie du dingue : c’est pas moi, c’est l’autre mais c’est pas nous.
A part hurler,… que reste-t-il ? mmmh ?
juste par curiosité h16, que pensez-vous de l’excision pratiquée sur le sol français? Est-ce le problème d’un libéral ou bien chacun fait ce qu’il veut?
Idem pour les préconisations de l’Islam par rapport aux apostats etc…
Avez-vous lu le rapport Obin sur l’Education Nationale (toilettes séparées pour le non musulmans considérés comme impurs, …)?
Question triviale concernant l’excision : c’est une violation du droit naturel. Dès lors, il ne peut avoir lieu.
Le reste ne peut être mis en avant que parce que l’Etat existe, si vous y réfléchissez deux secondes…
Yo h16! Etant de nature à raconter ma vie comme tu le sais si bien, je vais partager un peu mon expérience pour enrichir ton blog car sur lib.org ça fait un peu trop "exposé" 🙂
Je commence maintenant à travailler de plus en plus fréquemment sur les chantier en travaux et de moins en moins dans mon agence d’archi, et ces gens qui font ce que les Français n’osent pas faire je les connais très bien pour les fréquenter actuellement tous les jours. Ce sont essentiellement des Européens de l’Est et des Maghrébins qui font ce dur boulot.
Ayant souvent des commandes à faire pour ma boîte, je dois aller de temps en temps moi-même à Aubervilliers (la ville même où il y a des occupations de sans-paps en ce moment) où se trouve le point de rencontre de tous les professionnels du bâtiment en Ile-de-France, et je côtoie souvent ces travailleurs durant les pauses, ils sont pour la plupart assez marrants.
Ces professionnels du bâtiment à 90% d’origine étrangère travaillent souvent en groupes de 3 à 5 personnes, ils n’ont pas beaucoup d’imagination pour les noms de leur boîte, les noms sont du genre "déco bat", "renov bat", "archi bat", "aaa bat", "bat nouveau", "chez vous bat", etc. 😀 J’en ai connu un, un Polonais, qui avait appelé sa boîte "Océan Bleu", je sais pas ce qu’il avait fumé, mais bon, juste pour l’humour quoi 😀
On dit que ces professions sont dures, et pourtant on y gagne vraiment beaucoup d’argent, ce qui rapporte le plus en ce moment dans le bâtiment c’est l’installation à domicile de produits électroménagers achetés dans les centrales d’achat. En gros t’achètes genre un frigo américain Samsung qui vaut 1900 euros normalement à 1400 euros (prix pour les pros), ainsi que d’autres produits genre une télé, un meuble de cuisine etc., tu transportes tout ça dans une camionnette et tu installes chez les gens le matos, en général au moins au même prix que le prix grand public, et les mecs qui ont de bon carnet d’adresses peuvent ramasser des centaines d’euros par jour comme ça, à la fin du mois ils peuvent toucher en gros dans les 5000-6000. Pas mal, surtout que le capital de départ c’est quoi? Une camionnette, un lève-meuble et 3 ou 4 co-équipiers avec toi. Bah pour faire ça, nada, pas un "Français", et pourtant niveau physique avec tous les équipements modernes d’aujourd’hui tu n’as plus besoin d’être un superman pour faire ça. Quand je pense au taux de chômage dans certaines villes d’Ile-de-France on peut vraiment se poser des questions.
Je ne connais que le monde du bât de la lumière (légal), mais c’est un monde beaucoup plus grand, beaucoup de travail au noir et même le travail légal est à la limite dans le gris. Je ne vois vraiment pas comment le BTP pourrait survivre sans immigration, mais alors vraiment pas, il y a encore et il y aura toujours des trucs à faire dans le secteur, le bâtiment c’est intemporel.
Je trouve aussi un peu triste que les Français se désintéressent du secteur, même à un poste élevé d’ingé en bât qui nécessite pourtant 5 ans d’études parfois chiantes et difficiles ça ne se bouscule pas. C’est culturel, un peu triste.
Pov France.
En tout cas moi ca me fait bien plaisir toutes ces expulsions d’etrangers en situation illégale, en attendant mieux…..
:-)))))))))) champagne !
Prochaine étape, la remise en cause de la nationalité francaise pour les délinquants issus de l’immigration, avec expulsion systematique, et bien sur
aucune aide sociale versée aux non-francais, ni chomage, ni rmi bien evidemment, et requisition des logements hlm habités par des etrangers pour les réaffecter a des contribuables francais! a la charge de ses derniers de se reloger seuls, et expulsion de ceux en situation illégale.
Apres, ca attirera moins les immigrés clandestins, sachant qu’en arrivant ils seraient en permanence sous le coup d’une menace d’expulsion immédiate.
Je rêve me dites vous, eh bien libre a vous de penser ainsi, cependant renseignez vous et vous verrez que concernant les expulsions, des charters europeens sont à l’étude et devraient prochainement commencer leurs premieres rotations.
Oh joie………
🙂
Allez sans racune hein, et bon voyage a ceux qui partent ! Je passerai peut etre chez eux un de ces jours en vacances……
:-)))))))))))))))))))))))))))))))))))
Je suis abasourdi par la puissance de votre argumentation. En outre, il est illusoire de cacher votre xénophobie galopante sous un pseudo « logique » qui montre surtout votre absence flagrante de réelle réflexion et votre étroitesse maladive d’esprit. Heureusement, vous et les gens de votre acabit êtes en voie de disparition, mondialisation oblige.
Ce midi, je prendrai deux fois des nouilles en pensant à ça, tiens.
J’applaudis, ebahi devant votre sens aigu du verbe mon cher h16 :-))))
Quelle puissance, quel style, quelle culture, je me rend compte enfin, en vous lisant a quel point je suis ignare, imbu du peu de connaissance dont je dispose selon vous et du sens aigu de la rélexion qui me caractérise à vos yeux……
Très bien, au moins, vous faites preuve de lucidité par moment. L’idée serait d’aller au bout de la démarche et de vous terrer loin des yeux du monde, honteux.
Au risque de vous décevoir, je pense plutôt que ce sont les gens comme vous qui sont de moins en moins nombreux.
Des milliards de commerçants vous rient au nez à cette affirmation.
La tolérance, le sens de l’humanité, très bien, je conçois.
Bold statement but no proof.
Cependant, acceuillir dans notre pays a notre charge (et elle est lourde la charge financiere de l’immigration en france….) une population issue du tiers monde, de surcroit hostile a nos valeurs laiques, notre histoire et notre mode de vie, alors que notre économie est au bord du goufre grace a de mauvaises années de gestion (merci mr mitterand….) et qu’on nous annonce des crises a venir (retraites, santé, chomage et j’en passe) me semble d’une inconscience absolue…
Vous voyez, quand je dis que vous n’avez pas réfléchi, j’ai raison ; vous n’avez même pas lu l’article qui adresse ce problème.
Hormis celà j’espère que vos nouilles étaient bonnes, et pour ma part, je trinquerai à votre santé d’un verre de sauterne, ca passe très bien avec mes toasts au fois gras :-)))))))))
Manifestement monté à la tête, le Sauterne ne vous aide pas dans la relecture de votre pénible prose.
Libre à vous de penser ce que bon vous semble, bien peu m’importe….
Ca semble vous importer suffisamment pour tenter l’argumentaire. Dommage qu’il soit vide.