Derrière la crise politique, une crise financière majeure ?

La situation française, vraiment pas brillante sur le plan politique, va probablement devenir catastrophique… sur le plan financier.

Il faut se résoudre à l’évidence : sans une destitution de l’actuel locataire de l’Élysée, le spectacle ridicule auquel on assiste actuellement peut continuer un petit moment.

Petit, parce que les marchés vont cependant siffler la fin de partie : ce genre de grotesqueries augmente inévitablement la volatilité des OAT françaises (les bons du trésor français, qui permettent d’emprunter sur les marchés ce qui permet à l’administration de payer ses dépenses courantes). Avec cette instabilité politique, les partenaires du pays – notamment en Europe – vont s’agacer. Les entreprises vont tousser.

S’il est difficile de comprendre à quoi joue Macron – il n’est pas exclu qu’il n’en sache rien lui-même et improvise ses âneries au fil de l’eau, peut-être peut-on imaginer qu’il cherche à avoir, après une dissolution dans les prochaines semaines, une cohabitation avec le Rassemblement National et ainsi garantir que ce dernier « gouvernera » (ou tentera de le faire) alors que toutes les planches seront savonnées, toutes les pentes seront raides et le gouffre s’ouvrira sous leurs pieds, et ce jusqu’aux prochaines présidentielles où Macron pourra espérer apparaître fédérateur en proposant un candidat/remplaçant à la Glucksmann ou équivalent.

Cependant, la question demeure : le pays tiendra-t-il tout ce temps ?

C’est de moins en moins certain et a contrario, la probabilité qu’un incident grave arrive augmente chaque jour. Et si cet incident arrive, cela se terminera par une explosion de la zone euro…

Oh, certes, il est audacieux de prédire la fin de l’euro. Ceux qui s’y sont risqués entre 2011 et 2012 se sont trompés : les petits pays d’Europe du Sud ne pouvaient pas parvenir à casser cette monnaie tant que les gros pays, Allemagne et France en tête, étaient prêts à tout pour la sauver, quitte à en imprimer comme jamais.

Cependant, cette fois-ci et au contraire de 2011, l’Allemagne et la France tirent dans des directions opposées.

Et les gros épargnants français savent ce qui se passe. Ce qu’ils indiquent, c’est que la France pourrait bien faire défaut sur ses obligations vis-à-vis du projet « monnaie unique ». Pour s’en convaincre, on pourra regarder l’intéressant graphique proposé par Arthur Hayes, fondateur de la bourse de cryptomonnaies Bitmex et fin analyste de l’économie mondiale.

Ce graphique, qu’il a publié dans un très intéressant papier consacré à la situation française, illustre l’évolution des soldes TARGET des banques centrales nationales auprès de la Banque centrale européenne (BCE) depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Si vous ne savez pas ce qu’est le système TARGET (le « Trans-European Automated Real-time Gross settlement Express Transfer »), disons qu’il s’agit d’une infrastructure de paiement européenne de règlement en temps réel des grosses transactions interbancaires (impliquant les différentes banques centrales nationales et la BCE) en euro.

Dans ce système (netting interbancaire), un solde positif signifie qu’une banque centrale nationale détient une créance sur la BCE, et un solde négatif qu’il y a eu des sorties de fonds supérieures au entrées, souvent en raison de flux de paiement sortants ou de fuites de capitaux. Chaque jour, tous les mouvements sont compensés les uns aux autres de telle façon à ne présenter qu’une seule position nette vis-à-vis de la BCE.

Du point de vue des épargnants, leur argent est plus en sécurité dans les pays qui affichent un solde positif ou, dit autrement, dont la monnaie nationale s’apprécierait si jamais le pays venait à quitter la zone euro. L’Allemagne est dans ce cas : son solde est toujours positif, et les Allemands sont confiants qu’en cas de départ de la zone euro, leurs nouveaux Marks ne s’effondreraient pas face à ce qui resterait de l’euro de cette zone amputée.

Pour le pays qui porte la belle ligne blanche sur le graphique ci-dessus, les choses sont moins optimistes, et oui, il s’agit bien de la France : elle affiche le déficit TARGET le plus important de tous les pays de la zone euro. Et ce que veut dire cette ligne, c’est que les épargnants français sont de moins en moins convaincus que leurs euros sont en sécurité au sein du système bancaire français et trouvent donc des horizons plus prometteurs dans des pays comme l’Allemagne et le Luxembourg.

Si la deuxième économie de la zone euro – et la plus endettée – connaît une crise bancaire, la zone euro est en danger. En effet, la France est trop grosse pour faire faillite, mais elle est aussi trop grosse pour être renflouée. « Too big to fail, but to big to save »

Or, l’Amérique a, depuis le début de cette année, drastiquement changé de politique économique et, sous l’impulsion de l' »America First », force l’Allemagne et le Japon – principaux créanciers de la France, et traditionnellement vassaux exportateurs vers les États-Unis – à rapatrier leurs capitaux pour relancer leurs économies domestiques face à la concurrence chinoise et à prioriser désormais leur souveraineté économique : le « Made In Germany » ou le « Japan First » ne sont rien d’autre.

Bien évidemment, ceci prive la France de ces financements étrangers.

Alimenté par un État-providence généreux – on n’a toujours pas commencé à baisser les dépenses de l’État !!! – et, maintenant, les blocages politiques provoqués par un Président complètement incompétent et imbu de lui-même, le déficit budgétaire français s’aggrave sans recours, menaçant le pays d’un défaut technique. Il va sans dire que les autres politiciens français, en face de Macron, ne sont pas plus au courant de la catastrophe qui attend le pays, irrémédiablement : ça se chamaille assez violemment sur des bricolages sur les retraites ou le budget, mais les coupes massives, absolument indispensables, ne sont évoquées par personne.

Et lorsque (et non « si ») le défaut de paiement français aura lieu, les premier à trinquer seront les étrangers (les Allemands et les Japonais dans ce cas) qui devront donc imprimer de la monnaie comme jamais (de l’euro et du yen, donc). Cela ne suffisant pas, le « patriotisme » de l’épargnant français sera largement mis à contribution. Ne venez pas dire qu’on ne vous aura pas prévenu.

Voilà qui explique pourquoi les épargnants qui comprennent la situation, sentant le vent se lever, mettent leur capital hors de France. Ceux qui ne l’ont pas encore fait pourraient se sentir inspirés de le faire.

Pour les autres, l’or et le bitcoin peuvent constituer des alternatives de plus en plus crédibles.

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Commentaires67

  1. Theo31

    Il n’y aura pas de baisses des dépenses, élections obligent. Il feront comme en 1940, ils voleront l’épargne et declencheront une guerre contre la Russie pour s’assurer que les titulaires des comptes ne viennent pas se plaindre.

    1. Jacques Huse de Royaumont

      Le contre projet du RN ou de Reconquête prévoit des baisses de dépenses de l’ordre de 50 mds. C’est encore loin du compte, mais ce serait un bon début.
      Seul inconvénient : ce projet de budget n’est pas fait pour être appliqué, c’est seulement une promesse de campagne (déjà !)

      1. Dom17

        Ce qui est intéressant, c’est comment sont documentées ces baisses de dépenses. Certains pans du parasitisme français pourraient souffrir…

  2. CPB33

    c’est sur que les Teutons n’y perdraient pas beaucoup à sortir de l’Euro (1€=2 DM à peu près) mais pour la France bonjour les dégâts….

    1. Theo31

      Quand on voit le mongol certifié qui dirige le Reich, j’ai comme un gros doute. Les industriels gueulent et il leur répond « Russie, Russie, Russie ». Vivement un oreshnik sur l’usine fabriquant les Taurus.

      1. Theo31

        Je rajouterai qu’ils viennent de se faire baiser par les Polonais avec l’aide des Italiens à propos de Northstream. Les boches aiment visiblement la vaseline et le verre pilé.

        1. Pierre 82

          J’ai une vague impression que les industriels allemands, contrairement aux industriels français sont plus pragmatiques dans leur approche : ils se barrent discrètement au USA, dès lors qu’ils ont acté qu’il est inutile de discuter avec des politiciens obtus. Pas de perte de temps en discussions oiseuses, Deutsche Qualität.

          A ce sujet, j’ai entendu Gave prétendre que Gerhard Schröder était sorti de sa retraite pour pousser une gueulante…

          1. Gaston

            Oui, et les industriels français ne se barrent pas: ils vendent, entre autres à des Allemands.
            Une pleine double page à ce sujet dans le dernier usine nouvelle.

            1. Pythagore

              J’avais vu une étude de Mc Kinsey ou équivalent qui montrait que le chiffre d’affaire réalisé en france des entreprises du CAC40 n’a cessé de baisser depuis les années 90. Les entreprises francaises font pareil.
              L’interview du PdG de Michelin par le sénat donnait l’impression que à l’exceptionde qq produits avec une forte valeur ajoutée, tout est fait de plus en plus à l’étranger sauf la recherche qui reste en France.
              Pour connaitre qq’un ds la mode, même topo, les ateliers ferment en France pour aller en Inde ou ailleurs.
              Le problème, c’est que les PME n’ont pas les même facilités.

            2. QuisesouvientdesHommes

              J’avais vu une vidéo où Gave disait, indice à l’appui, que les industriels français étaient déjà parti depuis bien longtemps !

              1. Dom17

                C’est depuis les années 90 que les politiciens français priclament comme une vérité que l’avenir du pays est dans les services et l’ingénierie. A quoi sert un ministre de l’industrie dans ce cas?

          1. Theo31

            Les dirigeants défilent dans les commissions mais leurs exposés n’arrivent pas au cerveau des ceux qui les écoutent parce qu’ils refusent de sortir de l’économie dirigée qui est la source de leur pouvoir.

            Le départ de Ryan Air est symptomatique de cette mentalité.

            1. edmond

              Je pense tres sincerement que c’est l’effet recherche par une certaine partie des dirigeants politiques actuels. Ils sont convaincus de la nuisance de l’humain mais plus encore de l’europeen blanc. Le carbone a elimine, c’est nous …

              J’en suis convaincu jusqu’au fond des tripes…

    2. Jacques Huse de Royaumont

      C’est à voir.
      D’une part leur solde créditeur dans TARGET correspond de fait à des créances qui pourraient valoir 0 en cas de défaut, ou être remboursées en monnaie de singe en cas de sortie de la France de l’Euro.
      De plus, le prévisible effondrement du néo-franc réajusterait brutalement les compétitivités des différents pays… ce qui ferait mal aux exportations allemandes.

      1. Pierre 82

        Sauf qu’on ne produit plus grand chose en France. Et que si la monnaie s’effondre, le prix des produits importés devient prohibitif.
        Penser qu’une monnaie plus faible améliore la situation économique est totalement faux. A la limite, un petit différentiel peut améliorer les choses sur un temps très court, mais pas plus…

          1. Pierre 82

            Quoi qu’il arrive, on devra bien subir un effondrement de la monnaie du pays, vu qu’il est failli…
            De là à penser que ça nous aidera à rebondir, je ne pense pas.
            Ce qui fera rebondir le pays, c’est lorsque les gens auront compris que la fête est finie, et assez curieusement dans un cas pareil, très peu de gens ont le réflexe de se mettre en PLS et à attendre la mort.
            La plupart, et c’est de nature anthropologique, vont essayer de survivre. En sachant que tous ne vont pas fuir, pour une raison simple : c’est que ce ne sera pas folichon ailleurs non plus, et en plus, les Français expatriés ne seront sans doute pas généralement les bienvenus, sauf cas particuliers…

            1. edmond

              Il me semble que Gave en parle dans sa derniere video. Il s’attend a une baisse/ajustement du niveau de vie de 25% minimum.

              Je sais je sais, rien n’est jamais certain mais il vaut mieux prendre ses precautions quand meme….

        1. Gerldam

          On pourait enfin re-manger de bonnes choses, made in France pour le coup…
          saucisse de Morteau
          Poulet de Bresse
          Boeuf de qualité
          fromage Salers
          etc.

  3. Mildred

    Permettez-moi de corriger un oubli de votre part : « Ce pays est foutu. »
    Cela allait sans le dire mais cette fois cela va mieux en le disant clairement !

  4. Gaston

    Je ne vois pas comment un résident français aurait son épargne en euros plus à l’abri juste parce que son iban commencerait par DE. Pas plus si le PEA est en actions cotées hors France
    En cas de crise ce serait Schengen for the, not for thou : le pognon en UE hors France serait taxé à son retour, voire le fisc irait se servir car, tu comprends camarade, tu habites ce si beau pays de France. N’oublions pas que la déclaration des comptes est obligatoire, et les banques le font.
    Et ne me dites pas que le pognon n’a qu’à pas revenir : il faut bien taper dans l’épargne pour vivre, cf. les Argentins qui ne font que cela depuis le covid (c’est dire s’il y avait de la marge).
    Je ne vois que l’or et le btc, ou un compte hors UE. Et à chaque fois avec les risques associés.
    Ou alors tout claquer.

      1. Gaston

        Rien qu’une petite taxe sur les règlements par CB en France ne saurait résoudre. On appellerait cela ‘taxer les riches touristes’.

    1. durru

      Effectivement, « carpe diem » est un conseil qu’on entend…
      Sinon, il reste quelques pays civilisés, ayant gardé un minimum de libertés individuelles, même en UE, qui permettent l’ouverture de comptes en d’autres monnaies que l’euro…
      Et je ne vois pas trop la différence avec l’or : si on le vend *en France*, on prend les mêmes risques de spoliation…
      Plus que jamais, « follow the money » 😉

    2. Dom17

      Ne jamais oublier que crise française est la pointe d’une crise européenne et même occidentale, une de plus de l’idéologie mondialiste. A chaque fois, les conséquences de la guerre et de la crise financière sont terribles pour les populations.
      Cette fois-ci un certain nombre de chefs d’Etat font de la résistance… mais nous ne sommes pas du bon côté.

  5. Higgins

    Le taux des OAT françaises à dix ans restent étonnément « bas » (à cette heure, seulement 3,4 % en forte hausse ce matin) depuis que l’autre pingouin a accepté d’être PM alors que tous les indicateurs économiques sont dans le rouge. On peut donc supposer avec raison que la BCE et d’autres organismes rachètent de la dette française à tour de bras pour que le coût de cette dernière n’explose pas. Jusqu’à quand cette politique tiendra-t-elle ? A la chambre d’enregistrement, c’est la fête du slip en permanence et on a droit à un concours Lépine au plan fiscal. Par ailleurs, la commission des finances vient de rejeter la partie recette :lcp.fr/actualites/budget-2026-la-partie-recettes-rejetee-en-commission-des-finances-par-les-deputes-411090. Le scénario qui se profile est donc le suivant : faute d’accord, et pour cause, cette fausse réflexion va tomber à l’eau et le gouvernement va passer son budget tel qu’il l’a imaginé sauf si une censure intervient, ce qui est envisageable, auquel cas le budget 2026 sera une reconduite de celui de 2025 avec un zeste de sodomie fiscale en plus.

    1. Pierre 82

      L’expression « poulet sans tête » n’a jamais été aussi juste pour décrire l’activité gouvernementale, depuis la débâcle de 1940…

      1. Jacques Huse de Royaumont

        C’est pire qu’en 1940. Aujourd’hui, le gouvernement n’a besoin de « l’aide » de personne pour partir en vrille.
        La France est comme un avion qui a perdu une aile, avec un moteur en feu et dont le pilote ivre mort est en train de dormir aux toilettes.

  6. Ryan

    « faute d’accord, et pour cause, cette fausse réflexion va tomber à l’eau et le gouvernement va passer son budget tel qu’il l’a imaginé sauf si une censure intervient, ce qui est envisageable, auquel cas le budget 2026 sera une reconduite de celui de 2025 avec un zeste de sodomie fiscale en plus. »

    Vous êtes sûr de vous? C’est une vraie question et je suis ignorant du sujet. Le budget 2025 était déjà une reconduite de l’exercice précédent, je crois.

    1. Pierre 82

      Ce que je trouve complètement lunaire, ce sont les discussions qui ont lieu à « l’assemblée nationale ».
      Il n’y en a pas un seul qui amène sur la table une proposition pour diminuer drastiquement les dépenses, et le spectacle de ces débiles est réellement consternant. On se foutait de la gueule des Byzantins qui discutaient du sexe des anges quand les Turcs campaient sous les remparts, mais ici, c’est du même ordre de grandeur.

      1. Blondin

        C’est presque pire
        Le débat sur le sexe des anges avait une certaine tenue intellectuelle.
        Là quand tu entends Coquerel, Tanguy et consorts, tu te demandes même s’ils savent lire.

  7. Brindamour

    Ça fait des années que des oiseaux de mauvais augure prédisent un effondrement et rien n’arrive. Un système qui est prêt à soutenir et financer un pays qui a 3500 milliards de dette peut continuer longtemps comme cela.

    1. Gerldam

      C’est aussi ce que je me suis dit il y a 25 ns, quand je prévoyais la déconfiture du pays. Mieux vaut fuir que d’attendre, comme Godot ou l’officier du Désert des tartares, que vienne la chute.

  8. du

    Micron donne un tour grotesque à la crise , mais elle est mondiale . Japon , GB , Allemagne , USA etc … , ça grince et craque de partout , sous des formes différentes , mais ça pue la fin de cycle

        1. du

          Le groblème , c’est qu’URSS ne détenait pas une bonne part de l’épargne mondiale sous forme de dette .
          Et la guerre d’alors ne fut que retardée : « nous allons vous priver d’ennemi  » ont dit les Russes , mais les yankees ne l’entendirent pas de cette oreille …

  9. CPB33

    en direct live, « mon » ministre se balade à l’ENM :
    cnews.fr/france/2025-10-24/seulement-2-denfants-douvriers-gerald-darmanin-veut-diversifier-lorigine-sociale

  10. Ned kelly

    Ce que vous devriez rajouter mon cher H16, c’est qui va venir prêter de l’argent au gouvernement français ? Parceque c’est aussi évident que l’effondrement : ce sont les pays arabes qui fileront du fric moyennant des mosquées et les portes grandes ouvertes à l’islamisation massive. Histoire qu’il n’y est plus de retour en arrière possible. Vous étiez pas content avec 1 million de clandestins avec un QI de 70 et des mœurs préhistoriques? Attendez un peu de voir quand c’est le gouvernement qui ira les chercher par 100000 et les fourguer partout. La question c’est de savoir quand les US vont nous retirer la bombe atomique préventivement.

    1. Husskarl

      Les pays de la péninsule arabique n’aiment pas les magrébins. Et ils n’aiment pas perdre de l’argent non plus.
      Quant à leur tonnage économique, il n’est pas suffisant pour le Titanic République.

    1. du

      Plaie d’argent n’est pas mortelle , surtout pour un pays , anyway , pour ce qu’il nous reste d’indépendance … C l’nivodvi qui va morfler , mais za zédanlbrogram
      Chez nozamis Ricains c’est plus craignos , z’ en sont à véritablement se foutre sur la gueule cher

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