Décidément, le sort s’acharne sur les réchauffistes ! Fin 2009, le climategate avait permis de lever le voile sur les pratiques étranges d’un groupement dont les experts s’étaient spécialisés dans la bidouille de données plutôt que la recherche scientifique. En janvier, les mêmes réchauffistes se faisaient chopper la main dans le gros sac ventru de subventions, piquant sans vergogne dans la poche des contribuables via les factures EDF. Et là, paf, re-belote : c’est maintenant l’éolien qui sent le sapin…
C’est étrange.
Concernant l’écologie, en France et dans le monde, on observe plusieurs phénomènes parallèles. Ainsi, la prise d’importance de ce mouvement dans le paysage politique coïncide avec la récupération progressive et implacable de chacune des idées par la gauche, plus ou moins révolutionnaire (ou inversement, plus ou moins sociale-démocrate).
Et à chaque idée récupérée correspond à la fois une solution et une nouvelle forme de ponction fiscale. La solution passe en général par une mobilisation générale dans laquelle tous les citoyens, heureux et souriants, se tiennent la main et font leur petite B.A. même si cela représente, en réalité, de nouvelles contraintes légèrement irritantes.
Je pense par exemple à l’incitation pénible et répétée à prendre des transports en commun supayr ™Demaerd qui vous permettent de goûter aux joies, elles aussi ™Demeard, d’arriver en retard ou pas du tout, avec l’immense satisfaction d’avoir surpayé votre ticket pour que des jeunes – souvent « déçus » – puissent voyager gratuitement (eux).
Je pense aussi à cette manie du tri des déchets, dont on ne mesure pas encore bien les conséquences mais dont on sait pertinemment que ce n’est que le début : plastiques, cartons, verres (colorés ici, non colorés là), papiers, puis, bientôt, les types de plastique (car on ne mélanche pas le polyuréthylène afec le polystyrène ou le polychlorure de finyl ach zabotache !!!), les types de papier, les types de biodégradable (tout ne se dégrade pas à la même vitesse, ma bonne dame, et puis faut séparer les viandes des fruits et des légumes, que vous n’oublierez pas de consommer par 5 ou 6 tous les jours sinon on va vous recycler fissa) etc …
Les exemples se multiplient doucettement, jusqu’au jour où chaque action, chaque omission, chaque pensée, ou chaque parole sera mesurée à l’aune de la balance écologique et du bilan carbone qu’on peut leur attacher. Et si elle penche du mauvais côté, Gaïa ne le supportera pas, et les sanctions tomberont. Paf.
Et concernant la ponction fiscale, je crois qu’on voit de quoi je veux parler, entre la vignette verte pour les autos, les contributions écologiques sur les produits à recycler (pouvoir d’achat powa yeah baby), la taxe carbone – qui n’est, soyez en sûrs, que partie remise – et autres joyeusetés d’incitations écologiques bidon, on voit clairement se détacher un motif, se répétant inlassablement : au départ, un discours galvanisant sur la nécessité de sauver les générations futures (dont le sort funeste ne fait aucun doute) moyennant une implication massive, puis un plan d’action composé de 5 ou 10 ou 250 points, c’est sans importance tant qu’il y a des arrêts au stand pour ravitaillement en alcools fins, petits fours et gentilles madames, et à la fin, une facture, car toutes ces conneries actions, ce n’est pas gratuit, hein.
On comprend la nécessité de vente liée de vaseline.
Seulement voilà : lorsque la facture grimpe autour de gnagnagna milliards – faites pas attention, ce sont des chiffres, tout ça, rien de bien concret ! – et que ça ne rapporte pas grand-chose, des dents grincent et des gens commencent à rouspéter.
Dernier rapport en date: l’éolien, c’est très joli, mais ça coûte cher et ça ne sert à rien ou à peu près. Et puis réflexion faite, ce n’est même pas très joli. En fait, c’est surtout moche, coûteux, et … pas rentable.
Encore une fois, que remarque-t-on ?
Les politiciens, voulant brosser une partie de leur électorat dans le sens du poil, ont donc chargé l’État de favoriser gentiment l’éolien.
Deux problèmes se posent alors : d’une part, une grosse éolienne qui vrombit, tout le monde trouve ça chouette de loin, mais personne n’en veut dans son jardin. D’autre part, on peut tortiller les chiffres dans tous les sens, ça produit de l’électricité majoritairement au printemps et en automne, aux périodes où, en substance, on a moins besoin de réchauffer ou refroidir. Si l’on ajoute le fait que la production est imprévisible tant dans le temps que dans la quantité, et qu’on ne peut pas la stocker, on comprendra que rendre rentable des éoliennes nécessite des conditions très particulières qu’on ne trouve pas en France (et très difficilement ailleurs).
Et même si le tarif français de rachat de l’électricité ainsi produite est l’un des plus bas d’Europe, il représente un surcoût pour le racheteur (EDF, en l’occurrence). Surcoût qui va – devinez quoi ? – venir gonfler la facture finale de l’abonné. Pouvoir d’achat powa, plaisir d’une facture éco-participative, et tout ça.
Mieux que ça : dans le rapport, on découvre, caché sous le vocable de « dispendieux effets d’aubaine« , que des petits malins, pas trop écolos mais très au fait des marges qu’on peut obtenir grâce aux surcoûts des rachats EDF, installent maintenant des éoliennes, plus ou moins grosses, plus ou moins moches, et toujours aussi peu rentables pour le contribuable, afin d’en tirer de substantiels revenus.
En somme, l’éolien, c’est super à condition de siphonner l’argent de ceux qui n’en font pas vers ceux qui en font.
Malin.
C’est Borloo qui va l’avoir mauvaise. Il va pouvoir aller pleurnicher dans le giron de Jouanno qui, avec l’abandon de la Taxe Carbone, s’est récemment prise un vent (insuffisant à faire tourner une éolienne, cependant) …
…
Une question s’impose alors : mais que se passe-t-il avec la majorité ?
Il y a encore quelques jours, elle semblait toute acquise à la cause écolo, et se déplaçait, comme un seul homme fluffy (qui est, je vous le rappelle, un animal moelleux, hydroponique et extrêmement dangereux) vers les plaines riantes et ondulantes d’un monde plus sympathique et écologique.
Et depuis la volée – de bois vert – d’un certain dimanche de mars, les stands écolos sont démontés, les posters roulés, les tracts jetés dans la poubelle normale (non recyclable !) et les idées sont placardisées vitesse Grand V.
Serait-ce qu’en réalité, l’idée écologique ne serait qu’une baudruche utilisée par les partis pour se gonfler de l’air chaud d’une importance qu’ils n’ont pas ?
Comme je l’ai mentionné en début de billet, cette réalité n’est plus à démontrer. Et de la même façon que nous avons pu voir, en quelques jours, un spectaculaire retournement de veste écologique de la part d’une droite défaite, on n’aura pas de mal à voir au travers des gesticulations et bondieuseries écologiques de la Cécile JamaisSansMonAvion Duflot et de son triste comparse Dany Le-Rouge Cohn-Bendit.
Tout ceci n’est, encore une fois, qu’un enfumage spécieux pour réclamer plus d’Etat, plus de subventions, et plus de petits moulins à pomper des sous.
Personnellement je suis confiant en l’avenir ( ironie), en effet tout cela n’est que la faute du néolibéralisme, il suffit donc de supprimer ce méchant libéralisme qui nous opprime tout plein et puis tant pis si en vérité nous sommes plus antilibéraux qu’autre chose:
« Antoine Mercier : Vous êtes politiste, spécialiste de politique comparée. Vous avez publié, il y a quelques années chez Fayard, un livre qui s’intitulait « Le gouvernement du monde » et qui était sous-titré « Une critique politique de la globalisation ». La crise que nous traversons est-elle une crise de la globalisation ?
Jean-François Bayart : C’est une crise dans la globalisation, dans le néolibéralisme. Ses origines sont très clairement néolibérales. Mais, contrairement à ce que l’on dit parfois, ses conséquences s’inscriront également dans la globalisation néolibérale. Je ne crois pas du tout en effet que la crise engendrera une déconnection par rapport à cette globalisation. Nous ne sommes pas dans une perspective de sortie du néolibéralisme. Il est même probable, à l’inverse, que la crise radicalise la logique du néolibéralisme. Pour le comprendre il faut accepter l’idée un peu paradoxale que, contrairement à ce que l’on dit souvent, l’État n’est pas la victime de la globalisation mais l’enfant de cette globalisation. »
http://www.marianne2.fr/Bayart-l-etat-n-est-pas-la-victime-mais-l-enfant-de-la-mondialisation_a189973.html
Outre le vocabulaire très limité de ce monsieur qui en arrive a utiliser « néolibéral » presque à chaque phrase, on apprend dans le reste de l’article que mettre les gens en prisons pour un oui ou un non est libéral ( pendant que les voleurs courent toujours), qu’Oussama Ben Laden est un suppôt de la mondialisation ( donc du néolibéralisme, suivez bien voyons !). Ma-gni-fi-que !
C’est dingue le pouvoir qu’ont certains mots (en l’occurence ‘neolibéral’) pour laver les cerveaux et transformer les gens en moutons unis contre un ennemi imaginaire. Je constate ça partout aujourd’hui, c’est devenu une sorte de religion nouvelle : tout ce qui peut nous faire du tort au quotidien est la faute du ‘neolibéralisme’, en somme tout et son contraire, et en dépit de tout bon sens pour qui serait à peine familiarisé avec le libéralisme.
Ici, à Bisounoursland, c’est appelé le « formatage par la télévision ».
Sur le sujet des éoliennes, autant il est avéré que les éoliennes dans les champs ont une efficacité douteuse, autant on peut reconnaitre aux éoliennes offshore une certaine efficacité. Le soucis reste de trouver des spots adaptés, comme dans le Nord de l’Allemagne. A 30 km des côtes, le fond marin remonté à quelques dizaines de metres, c’est une zone régulièrement balayée par les vents. La difficulté revient alors à amener l’électricité sans trop de déperdition jusqu’à la terre ferme. Vous installez alors des monstres de 400 Tonnes à 100 mètres de haut, crachant 400 MW. Vous imaginez la taille de ces fermes d’éoliennes pour remplacer une centrale nucléaire.
Dans un pays comme l’Allemagne qui a fait le choix du non nucléaire, le procédé peut être intéressant. Dans un pays comme la France, disposant d’une forte capacité nucléaire, c’est douteux.
De plus, pour le moment, seul le nucléaire est la source d’énergie électrique la plus rentable, mais hanlàlà ça pollue ceypabyen, le nucléaire ceylemaaaaal. Donc bien sûr la majorité réclame l’installation des moulins à fr… Pardon, d’éoliennes, histoire de gagner un maximum de popularité. Mais bon, je sens que tout ces gens là vont vite finir par se ramasser, même si ils arrivent à « imposer » l’éolienne, avec tout le fric qui sera dépensé pour ça, les popoles vont finir par se mettre au garde à vous et ça sera à eux de prévoir de la vaseline.
Le probleme de base de l’eolienne, c’est que le vent peut ne pas souffler, et que c’est tres imprevisible. Alors que se passe t il a ce moment la? Il faut bien des installations productrices pour suppleer les caprices du vent, mais contrairement a ce que les gens ont l’air d’imaginer, ce ne sont pas des choses qu’on met en route omme un petit generateur qu’on demarre en tirant sur une ficelle. J’avais lu quelque part que ces installations doivent etre en permanence a 90% de leur capacite normale pour faire face aux variations en provenance des eoliennes. Le vent varie, d’un jour a l’autre mais surtout d’une minute a l’autre.
Par contre, il me semble qu’il y a des recherches (pas en France je pense) pour par exemple fabriquer de l’hydrogene par des eoliennes, qui sera ensuite utilise pour produire de l’energie et servirait donc de « buffer ».
Comme d’habitude, la technologie trouvera des solutions. Pas ces connards de politocards.
Oui. Il y a aussi la possibilité d’utiliser les éoliennes pour pomper de l’eau en hauteur, la stocker ainsi, et la déstocker lorsque le vent fait défaut. Ce qui suppose pas mal d’éoliennes et de grands bassins de rétention – un régal pour le paysage, mais écologiquement, ça fonctionne.
Pour les éoliennes alimentant des piles à combustible, c’est effectivement le cas (idem couplé avec des centrales solaires). Les piles à combustible sont un des seuls moyens de stocker l’électricité, donc sous forme chimique. Nos grands fleurons français étatisés y consacrent une grande partie de leur R&D, attention ce sont des chiffres qui font mal aux yeux : 10m€ pour Areva par an (en partenariat avec le CEA). Objectif, aller fourguer des piles à combustibles aux gros industriels et leur dire : quand vous êtes en heure creuse, vous chargez, quand vous êtes en heure pleine, vous déchargez. Vous ne faites pas d’économies d’énergie mais vous gagnez du pognon. Et sur le dos de personne pour une fois.
Mais le truc le plus irritant c’est quand même la taxation des sacs plastiques de supermarché…
C’est pas à cause du fait que la dernière tendance « écolo » c’est le sac fait en fibre de pomme de terre un truc dnas le genre?
Recycler, recycler… Parfois ça vire vraiment à du n’importe quoi, il existe des tonnes et des tonnes d’autres solutions pour « réduire la pollution ». De temps en temps, personnellement, je rencontre des idées franchement pas bêtes genre de l’encre à base de maïs (oh tiens ça c’est une très bonne chose pour le maïs OGM) ou encore bah heuuu… Bon en fait je rencontre très rarement des bonne idées…
Mais le sujet n’y est pas.
D’ailleur quand j’y repense, d’une part les « écolos » encouragent à l’utilisation de l’énergie éolienne, mais d’une autre part ils réussissent à gueuler (ce que savent très bien faire les personnalités de gauche) en affirament que « ça détruit le paysâaaaage ceypabo! ». Mais bon, ça a toujour fonctionné comme ça, ils posent des idées dont eux même ne sont même pas d’accord entre eux. Rassurant…
C. Gérondeau avait déjà démontré tout ça et bien plus encore dans « La grande arnaque » en 2007.
Tiens une petite pignouferie qui vous amusera sans doute :
http://www.liberation.fr/terre/0101627291-taxe-carbone-69-des-francais-approuvent-sarkozy
Dans Libé en plus!
– « Je vais vous tuer »
– « Euh je ne suis pas vraiment d’accord »
– « Bon après réflexion personnelle (mais je me moque de votre désaccord) je ne vous tue pas tout de suite »
– « Trop sympa, je vous approuve »
« Mais, surtout, ils sont très inquiets du fait que le rapport n’évoque quasiment pas la question de l’emploi. À l’heure où l’industrie connaît de graves difficultés, les professionnels sont persuadés qu’il existe un immense potentiel notamment en reconversion pour les secteurs de la fonderie, de l’aéronautique ou de la métallurgie. Pour André Antolini, le président du Syndicat des énergies renouvelables, l’exemple du Portugal, qui a su créer des milliers d’emplois en quelques années, est à suivre. Des contacts ont été établis avec près de 150 entreprises du territoire. «Elles sont prêtes et ont le savoir-faire nécessaire, déclare André Antolini. Mais même s’il y a des promesses à l’export, il faut qu’il y ait un marché intérieur. Il y a 50 000 emplois à la clé !» »
Putain mais c’est pas croyable d’être aussi con. Combien d’emplois détruits par le détournement de pognon histoire de subventionner quelque chose qui n’apporte rien ?
Si les emplois ne se créent pas naturellement, c’est qu’ils ne serviraient à rien.
Certes mais les technocrates et les économistes vendus à l’étatisme ne sont pas réputés très friands de Frédéric Bastiat et de bon sens élémentaire.
Toutes les éoliennes mises en place chaque année ne suffisent même pas pour compenser notre augmentation d’électricité, donc effectivement c’est inutile et surtout encombrant.
Tiens, on apprend que l’exemple du Portugal est a suivre. Comme celui de la Grèce, sans doute ?
« A 30 km des côtes, le fond marin remonté à quelques dizaines de mètres, c’est une zone régulièrement balayée par les vents. » : impossible d’y installer des éoliennes : champs de posidonie, ou autres algues, petits poissons mignons, toussa, toussa, les écolos ne voudront jamais.
« plus ou moins moches »
C’est franchement immonde pour le regard. Si vous avez un jour l’occasion de vous rendre à Carcassonne depuis Toulouse, il y en a 3 gigantesques d’écloses sur une colline. Hi-deux !
En revanche, plantée dans le fondement de Dufion, une éolienne peut avoir un certain charme.
couplée à un petit moteur et zou, en route pour les Maldives en pédalo qui pète !!!
Les Maldives méritent mieux que cet oiseau de mauvaise augure.
Dernière info : Hulot fait un caprice.
http://fr.news.yahoo.com/4/20100329/tts-france-taxe-carbone-hulot-ca02f96.html
Pour en rajouter une couche, une petite analyse intéressante d’une décision du Grenelle de l’environnement: http://www.lesechos.fr/info/analyses/020444067684-chauffage-comment-un-petit-chiffre-evince-l-electricite-au-profit-du-gaz.htm
Si maintenant le Grenelle de l’environnement décide d’interdire le chauffage électrique alors que la majorité des écolocrétins encourage à l’utilisation de l’énergie électrique, ça y est on touche le fond…
Il est évident que l’éolien n’est pas la solution pour compenser nos dépenses énergétiques.
Toutefois, il faut admettre, tant avec ses avantages que ses inconvénients, qu’il doit faire parti d’un mix-énergétique que nous devons développer de plus en plus.
Si la solution proposée n’est pas rentable, je ne vois pas pourquoi on devrait la développer de plus en plus, hein …
Si l’éolien coute cher, que dire des autres sources qui ne sont rentables que grâce aux aides. A quand des systèmes rentables sans aides financières, c’est à dire sans nos impots ?
Il y en a. Le pétrole, le charbon, la filière coal-to-gas, le nucléaire sous certaines formes ( traveling wave reactor : http://technologyreview.com/read_article.aspx?ch=specialsections&sc=tr10&id=22114 ) mais comme par hasard, les écolos n’en veulent pas.
Effectivement, l’éolien ne suffit pas à compenser l’augmentation de la consommation d’électricité en France.
Ce qui revient à dire que les déclarations de nos responsables en écologie, prônant le tout électrique pour les véhicules, semblent bien inappropriées à la résolution d’un problème énergétique global . . .
La solution du tout électrique urbain ne résout qu’un problème de pollution citadine, sans plus.
Sinon, à défaut de véritable production renouvelable, nous nous tournons encore une fois vers le pétrole, le charbon et le nucléaire . . . Afin de produire le surplus d’électricité consommée.
A défaut de « décroissance » planifiée, seule solution antipollution, doit-on se congratuler de subir une récession économique appelée niaisement encore régime de rigueur ?
Doit-on applaudir lorsque, dans le même temps de baisse de revenus pour la plupart d’entre-nous, certains élus s’octroient encore des augmentations de salaires ?
Doit-on faire sortir les chapeaux et faire appel au peuple pour que cette charmante Mme Béttencourt puisse payer ses impôts, arriérés compris, et, conserver son niveau de vie ?
Beaucoup de questions . . .
A chacun d’y répondre.
« « décroissance » planifiée » : super. Prôner la misère pour tous, c’est vendeur.
Et pour le reste, je ne vois pas trop le rapport entre la récession, la rigueur, l’éolien et Bettencourt. Actuellement, l’éolien coûte cher à tout le monde, ne rapporte qu’à ceux qui sucent l’argent des autres, et ne permet en rien de diminuer la pollution. En temps de récession, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est urgent de laisser tomber ces fantaisies.