Un long dimanche de glandouille
Ce ouikande, ce sera pour moi le mélange subtil d’un samedi bien rempli avec un dimanche tout en douceur. Ou du moins, je m’y prépare psychologiquement. Le samedi sera consacré – pour des raisons pileuses évidentes – à trouver un capilliculteur biocosméticien à même de tailler joyeusement dans la masse touffue et vigoureuse de ma crinière de fauve. Eh oui, quand certains cherchent – vainement – un sens à leur vie, moi, je me contente de donner une direction à mes cheveux. On a les moyens qu’on peut. Bref. Et le dimanche, …