Article initialement paru le 21.11.2013
On le voit encore récemment avec l’enquête sur l’attentat de Nice, la sécurité des Français est très loin d’être assurée par l’État qui s’assure pourtant toujours de leur prélever les impôts nécessaires à cette tâche. En pratique, les réponses que cet État apporte sont particulièrement inadéquates : la multiplication des caméras de surveillance, vaguement utiles pour l’analyse a posteriori (on aurait envie d’écrire « post mortem ») coûtent clairement cher en terme de liberté individuelle et n’apportent finalement rien en terme de sécurité. Le déploiement de militaires partout en France n’a fait que stresser les troupes et les budgets sans apporter la preuve de la moindre efficacité…
Écrit il y a quatre ans, le billet reste, malheureusement, totalement d’actualité.
Sale temps pour l’État. Alors que l’une de ses fonctions régaliennes consiste à assurer la sécurité des biens et des personnes, l’actualité récente montre de façon éclatante qu’il n’y arrive pas, et peut être mis en échec pendant plusieurs jours et d’une façon assez piteuse par le moindre quidam.
Et les petits pleurnichements ridicules d’un Demorand tout tourneboulé dans son Libération en faillite n’y changeront rien : la police, la gendarmerie, Manuel Valls et des douzaines de journalistes tout récemment conscientisés au problème d’insécurité ont eu bien des difficultés à retrouver le tireur, plusieurs jours après les faits. Zut et flûte ! Pourtant, avec tous les impôts qu’on paye, ma brave dame, c’est un scandale ! D’autant qu’on sait qui tire les ficelles derrière ces sombres exactions : notre Miss Marple nationale, Cajoline Fourest, a mené l’enquête et l’affaire est entendue : l’extrême-droite est forcément mouillée (en fait, non : désolé Cajoline), au moins en parole si ce n’est par action ou par omission, et l’évidence d’une vendetta contre les journalistes est maintenant impossible à ignorer, raaargh !
Et surtout, qu’on ait arrêté l’abominable journalicide ne change rien au fond du problème : l’État a été impuissant ! Rien n’a été fait préventivement pour interdire une bonne fois pour toutes les extrémistes de gauche, les armes à feu, la folie ou les homme de 35 à 45 ans, de type européen, mesurant entre 1,70 m et 1,80 m. C’est scandaleux. Les caméras de sécurité, si nombreuses, si omniprésentes, n’étaient pas là, ne pointaient pas au bon endroit, n’ont rien enregistré, ou pas ce qu’il fallait, et les quelques photos baveuses et approximatives qui ont servi pour tenter une chasse à l’homme ne montrent qu’une chose : l’échec pathétique de cette sécurité que l’État nous vend si cher pour enrober chacune de ses mesures liberticides en diable.
Comble de l’ironie : l’affaire démontre encore une fois de façon éclatante que l’interdiction stricte du port d’arme n’empêche en rien les fous de tirer, mais interdit à tout honnête homme de défendre des innocents, de répliquer ou de protéger sa propre vie. C’est véritablement un miracle qu’il n’y ait pas eu beaucoup plus de sang versé, puisqu’à l’instar d’un Mérah que personne n’avait vu venir, pas même la DCRI – l’État, encore – dont c’est pourtant le métier, le tireur fou n’a finalement rencontré aucune opposition dans tout son périple.
L’État qui nous protège est vraiment très rassurant, ne trouvez-vous pas ?
Vous me rétorquerez, contrariant, que si cette lamentable affaire démontre des ratages, il semble acquis que le reste du temps, l’État arrive tout de même à protéger nos miches, non ? Tenez, par exemple, les contrôles à l’embarquement dans l’aérien : à l’évidence, aucun avion n’a été détourné pour être flanqué dans une tour depuis le 11 septembre 2001 !
Malheureusement mes petits amis, il faut redescendre sur Terre : ces contrôles, ce sont comme les petits drapeaux anti-girafe. Pour ceux qui ne connaissent pas le principe, il s’agit de drapeaux qui ont été plantés dans toute la région pour éviter que les girafes n’y débarquent en nombre. Et regardez autour de vous : il n’y a aucune girafe. Mission remplie : les drapeaux anti-girafe fonctionnent à 100% ! Tout comme dans les aéroports, les contrôles drastiques à l’embarquement évitent qu’on puisse embarquer une arme dans un avion, pardi.
Sauf qu’en réalité, tout comme les drapeaux qui ne sont qu’un leurre et une confusion entre corrélation et causalité, les contrôles en question n’empêchent rien et ne sont là que pour rassurer, à un coût exorbitant, les passagers peureux et les autorités soucieuses de montrer qu’elles agissent (même si c’est de l’agitation sans effet). C’est tellement vrai qu’un expert en sécurité, Evan Booth, a monté une chaîne Youtube pour démontrer tout ce qu’on peut faire en terme d’arme … en achetant le matériel pour les construire dans les boutiques une fois les contrôles passés. Et lorsqu’on voit ce qu’on peut faire et comment on peut le faire, on comprend que les contrôles ne serviront jamais à rien.
Tenez, dans la vidéo ci-dessous, vous trouverez comment construire un tromblon grossier mais efficace, qui permet de balancer violemment de la mitraille dans une direction choisie à l’avance.
Vous la sentez comment, la coûteuse sécurité des aéroports ? Eh oui, c’est une grosse fumisterie, que vous payez, de votre temps, de votre argent, et qui ne sert à rien.
Et attendez ! Ce n’est rien à côté de ce que l’avenir nous réserve.
Il y a quelques jours, Forbes présentait dans un article passionnant la mise en place d’un site destiné à recueillir des dons anonymes destinés à payer un tueur pour une personnalité choisie.
Ce site (ici, pour les petits curieux) présente plusieurs intérêts : par exemple, pour les gages posés sur les têtes en lice, il les évalue en Bitcoin, dont j’ai déjà parlé à de nombreuses reprises. Ce moyen de paiement assure une relative facilité pour le tueur à se faire payer sans risquer de se faire pincer, d’une part, et d’autre part, permet de garantir tant au payeur qu’au payé que la transaction a bel et bien eu lieu. Le mécanisme cryptographique permet aussi au tueur de déposer sa prédiction sur la date où il commettra son assassinat ainsi que les moyens qu’il emploiera pour ce faire, sans les révéler (principe du hachage). Si l’on ajoute que l’auteur du site a pris les précautions nécessaires pour s’assurer un anonymat solide, on peut admettre que, sur le plan technique, l’ensemble tient la route.
Mais c’est sur le plan philosophique que ce site apporte une pincée de sel qu’il m’est impossible de ne pas évoquer ici en quelques lignes.
En effet, si l’auteur du site a bien conscience de l’aspect immoral d’une telle démarche, il explique cependant avoir choisi de le mettre en place pour contrebalancer le pouvoir dont certains disposent par voie politique ; pour lui, il s’agit d’un système qui permet enfin à des citoyens de diminuer de façon notable et pratique l’espérance de vie d’un politicien qui aurait trop tendance à amoindrir les droits fondamentaux ou la liberté des personnes qui se sont placées sous sa responsabilité. Et force est de reconnaître qu’une telle proposition, aussi iconoclaste soit-elle, mérite un peu plus d’attention qu’un simple haut-le-cœur.
À l’extrême, un tel système, s’il fonctionne et remporte un succès palpable, fera largement réfléchir ceux qui s’engagent en politique dans le but d’y faire carrière pour eux-mêmes plutôt que pour ceux qu’ils sont censés représenter. Du reste, posez-vous la question : tous ces politiciens qui pavanent régulièrement à la télé sont-ils à ce point indispensable ? La Belgique, qui n’a pas eu de gouvernement pendant de longs mois, a récemment prouvé qu’un pays ne s’effondre pas sans ce genre d’individus, au contraire. Et une menace implicite qui planerait sur la tête de tous les dirigeants serait, à n’en pas douter, suffisant pour écarter les fruits les plus véreux du système mafieux qu’est devenu la politique actuellement, ou, au moins, constituerait une excellente motivation pour les faire rechercher, réellement, le bien-être collectif, ou, à tout le moins, s’abstenir de nuire autant que possible. Et comme l’a dit fort justement Jefferson
« Quand les gens ont peur de leur gouvernement, il y a la tyrannie. Quand le gouvernement a peur du peuple, il y a la liberté. »
Mais qu’on cautionne ou non un tel système, ici, peu importe : les technologies actuelles permettent effectivement ce genre de sites. L’État, encore une fois, démontre sa totale impuissance devant cette brusque montée de l’insécurité pour certains de ses thuriféraires les plus engagés (au passage, François Hollande récolte un maigre bitcoin unique ; notez ici que je n’ai aucun avis sur sa présence dans la liste.)
Le philosophe de bistrot dit souvent que sans État, ce serait l’anarchie, ou plus exactement, l’anomie (l’absence de loi), le règne des plus forts, la jungle et tout le tralala (forcément turbolibéral, au passage). Peut-être, mais rien n’est certain dans cette hypothèse. Ce qui l’est, en revanche, est qu’avec l’État, ici et maintenant, on se rapproche tous les jours un peu plus de cette anomie tant redoutée : caméras, contrôles, lois, règles, radars, élus, policiers partout, … mais sécurité nulle part.
La réalité est sans ambiguïté : la sécurité, non, ne peut dépendre de l’État. Elle repose, toujours, en tous lieux, en tous temps, sur les individus, ne peut être assurée que par eux, pour eux. Heureusement, la fiction d’un État qui serait là pour notre bien et nous protéger, ce pipeau marketing vendu par des politiciens psychopathes perd de sa substance tous les jours à mesure que les gens s’informent.
Nous vivons une époque formidable.
Je ne suis pas convaincu que la majorité des individus soit prête à assurer sa protection. L’Etat a tellement lobotomisé les cerveaux que les gens pensent que seule la puissance publique peut venir à leur secours.
Et pour ceux qui restent rétifs à cette pensée, ils ont bien trop peur que la moindre velléité de taper sur les méchants les envoient directement au gnouf pour usage abusif de la force.
Le souci, ce n’est pas qu’ils ne veulent pas assurer leur sécurité, mais qu’ils le devront.
La sécurité d’une cité moderne doit évidemment reposer sur des structures organisées, à moins qu’on ne préfère le désordre et le laisser-aller. Il n’y a là rien de répréhensible.
Dans le moindre petit western de catégorie B. il y a un shérif avec son étoile et son arme. Même à l’âge des cavernes, il y avait des veilleurs devant la grotte pendant que les enfants et les vieux dormaient. C’est ce qu’on appelle l’organisation, qualité d’autant plus appréciée qu’on se veut libéral quand le socialiste, lui, n’a qu’à se laisser aller au fil du troupeau…
À propos de shérif, à lire ce jour sur Contrepoints, un chouette article sur les westerns.
la sécurité va de pair avec l’insécurité, or réduire l’insécurité, c’est réduire les droits du genre humain. Les dictatures sont relativement plus sûrs que les autres, alors qu’ils n’investissent pas dans la sécurité.
C’est comme si la peur est le meilleur facteur de sécurité.
Mais nous sommes dans une forme larvée de dictature. Sinon, comment expliquer cette apathie généralisée du français moyen face au risque quotidien d’avoir quelqu’un de proche agressé, violenté, voir exécuter sans autre réaction qu’une marche blanche, quelques bougies. Si ce n’est parce que nous savons tous que la moindre velléité de légitime défense , ou même de désigner les auteurs par une description en accord avec la réalité vous vaudra d’être assigné devant un tribunal par les assoces de l’anti-racisme. Une dictature, c’est neutraliser 90% d’une population par la crainte, pas forcément par la force brute, mais la peur peut venir du simple fait de se retrouver devant un tribunal de juges rouges, d’être mis au ban par les médias, d’avoir des tracas plus que probable avec celui qui vous aura massacré, ou ses proches.Quand à la lutte contre la criminalité, on peut se poser bien des questions.notamment :
Quelles seraient les conséquences d’une intervention musclée dans les banlieues où règnent des bandes expérimentées dans la défense de leur territoire, armées, radicalisées, pour certains entrainés en syrie, Libye, capables de réunir en quelques coups de smartphone des centaines d’individus. Croyez-vous sincèrement qu’un gouvernement prendra le risque de diminuer les revenus des divers trafiques , non imposables, qui permettent à des familles entières de s’acheter des villas au « pays » ?
Combien de temps mettraient les autorités politiques à réagir en cas de troubles très graves dans tout le pays ? des semaines sans doute.Et on ne sait même pas si ce serait pour vous protéger vous.
Croyez vous que les Forces de Sécurité n’auraient pas déjà du mal à régler d’abord des problèmes internes ?
Un lecteur évoquait la sureté aéroportuaire.Dans les aéroports, comment sont réellement effectués les tests de recrutement des agents de contrôle, d’où viennent-ils ? quel est leur environnement familiale, leurs relations avec les copains d’enfance ?
Les services de police ont-ils réellement les moyens de s’opposer à des recrutements ambigus ?
En matière de criminalité, de terrorisme, nous sommes en pleine désinformation organisée. Mais peut-être vaut-il mieux ne pas connaitre l’état exact du pays ?
On parle de dictature molle, je parle d’une dictature en charentaises. La paix sociale est achetée avec de la dette et l’impôt de ceux qu’elle sacrifice. Quant aux actes terroristes ils ont le bon goût de resserrer le troupeau désarmé dans l’enclos.
Dictature par juges rouges interposés ? Ce ne sont souvent que des fonctionnaires dépendant directement des instructions du pouvoir (nonobstant toutes allégations contraires), une bonne partie mouillée dans des atteintes délibérées aux droits des justiciables (432-1 du Code pénal), une majorité d’entre eux le sachant étant eux des receleurs de ces délits (321-1 dudit code). Etc.
Ils ont donc bien tenus et soumis ; ils en ont fait le choix, ce qui donne un aperçu de leur haute »valeur morale » !
Ce qui fait que les responsables de ces dérives institutionnelles sont bien nos »dirigeants démocratiquement élus », experts formés à gouverner par ce genre de combines mafieuses, qui, en d’autres temps, leur vaudraient la corde…
Pour aller dans le sens du Gnôme, je pense qu’à travers l’histoire, l’état a pu assoir son pouvoir et son monopole de la force justement du fait qu’une large majorité d’individus ne sont pas capables de se défendre efficacement face à des agressions. Les gens aspirent naturellement à une vie paisible, prospère, et confortable avant tout, et cela paraît légitime. La classe des guerriers, des combattants, représente une minorité et me semble l’avoir toujours été.
Ce n’est que quand il n’y a plus de pain ni de sécurité du tout que la classe des marchands et artisans prennent les armes, du moins celles qui leur restent à disposition.
« La liberté est incompatible avec la faiblesse » (Vauvenargues). Il est logique que, dans une société où la faiblesse n’est pas méprisée, où la bassesse est devenue la norme, où l’air du temps est féminin et compassionnel, la liberté diminue ; au détriment des faibles comme des forts.
Tu parles d’une réalité contemporaine, et je suis d’accord avec toi de ce point de vue, Mais mon commentaire auquel tu réponds se situe à l’échelle historique.
C’est là tout un débat philosophique. Il y a quelques exemples de sociétés guerrières dans l’histoire, dont la plus connue en Europe est Sparte. Si c’est le genre de société que tu appelles de tes voeux, tu devrais étudier de plus près ce qu’il en était en termes de libertés individuelles…
Une société ne peut être composée que de combattants. Une société a aussi besoin de commerçants, d’artisans, d’artistes, de sages, pour composer un équilibre, une harmonie ou chaque ordre renforce ou modère les autres ordres selon les nécessités du moment.
Qualifier de « faibles » ceux qui ne souhaitent pas s’adonner aux arts martiaux quels qu’ils soient (apprendre à utiliser une arme à feu en fait partie), ça me paraît être un point de vue moral, et en tout cas une appréciation personnelle assez réductrice.
Tu opposes à « faiblesse » un contraire qui serait la force, et une force de type musclée ! La force, pour moi, est avant tout celle de savoir dire « non », de résister autant que possible. Elle ne s’habille pas forcément des habits du guerrier, mais aussi de ceux du moine.
En effet, une société de guerriers serait fragile, une caste guerrière devant opprimer le reste de la société, et non coopérer avec. On imagine que cela ne saurait durer.
Le moine guerrier n’hésite pas à donner des coups de bâton (cf Gary Gigax)
» l’auteur du site (…) explique cependant avoir choisi de le mettre en place pour contrebalancer le pouvoir dont certains disposent par voie politique »
Je trouve excellente cette idée d’une sorte d’épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête des dirigeants. Cette citation de Jefferson, que vous reprenez, le dit bien : leur peur serait le commencement de leur sagesse.
Je parage ce point de vue. C’est la vertu pédagogique de la branlée, comme le dit si bien keko!
Un tigre de 200 kg (selon la pesée officielle de France TV) se fait abattre par son propriétaire avant qu’il ne bouffe quelques moutons de passage. Résultat, des assocs indignées, une garde à vue pour le vilain enfourraillé avec une inculpation pour port d’arme illégal, usage d’une arme à feu sur la voie publique et cruauté envers un non-meuble, en l’espèce un tigrou. Pendant une grosse 1/2 heure, le matou s’est promené dans les rues sans que la police n’intervienne malgré les nombreux appels d’une population de fans de Nat Geo Wild!
Ce brave dompteur devrait recevoir deux médailles. Une pour avoir nourri son matou correctement, ce qui à éviter que la bête n’aile chercher un complément de protéines sur 2 pattes. Une pour avoir eu le courage d’abattre son animal avant l’heure du prochain casse croûte.
Alors chers terroristes, mettez un costume de tigre et faites vous plaisir, la police ne devrait pas être trop réactive. Un petit conseil quand même, méfiez-vous des cirques ambulants!
« a évité » j’vais prendre un Bled et un pur malt!
« n’aille » – j’m’en verse un autre…
Je trouve cet empressement de contrition un peu suspect…
A croire que c’est fait exprès pour justifier des rasades normalement interdites auprès de Krepofroman…
C’est dimanche, un coup de vin!
🙂 🙂
Un coup de manche, c’est divin!
1/ boire un coup, pour se donner du courage, et libérer l’inspiration
2/ écriture pleine d’émotions ==> des fautes
3/ contrition ==> boire pour oublier ses fautes !
Goto 2/
repeat until coma éthylique profond
End 😉
La connerie est décidément sans limite, et maintenant elle dépasse l’entendement pour atteindre l’infini. Je bois à la santé du chasseur-contrebandier, j’espère qu’il pourra au moins récupérer la peau du tigre pour s’en faire une descente de lit!
Tuer le tigre, c’est raccord avec la volonté d’Annihildalgo d’ éradiquer le moteur dans sa bonne ville. Mériterait une médaille…
Oui, c’est dommage pour le tigre dans le moteur…
remplacement des tigres d’individualiste par des mammouths collectifs… tout le problème persiste on ne change pas grand chose tant que cela reste une bande d’irresponsables qui en profitent.
On se souviendra des abrutis qui avaient déposé des bananes en souvenir de macaques atteints de maladies mortelle et euthanasies pour la bonne cause. Il aurait fallu inoculer les virus à leurs mioches, il n’auraient peut-être pas eu la même réaction.
Pour que certains se sentent à ce point proche des singes, après des millénaires d’efforts pour s’en différencier…
HS – Hash, que penses-tu de Louis Basenese qui propose une sorte de trading de cryptos (enfin de ce que j’en ai compris)?
Le ministre de l’intérieur ne fout rien. Alors que s’il avait regardé la vidéo, il arrêterait au moins les porteurs de tubes de mentos !
Mes 🙂 🙂 a l’adresse de keko n’apparaissent pas…
Je n’ai pas exploré ce lien de Evan Booth,je me demande si sur sa chaîne il parle de carboglace…
Une bouteille plastique,un peu d’eau dedans,une dizaines de glaçons de carboglace et refermer rapidement et jeter encore plus rapidement la bouteille car l’explosion très rapide et très puissante pourrait sans doute arracher quelques doigts,voir bien plus dévastatrice selon la taille du conteneur ( un kilo de carboglace dégage 500 litres de gaz CO2 selon la notice )
J’oubliais..j’ai beau cité h16,celui ci « l’état cette mafia qui veut votre bien a coups de poings dans la gueule » a mon entourage,des connaissances parfois des proches,cet entourage me regarde comme si moi je leur bombe leurs têtes,ils ne comprennent pas,se refusent de comrendre que c’est cette entité nommé état qui leur bombe leurs gueules.
Ben moi, je savoure h16, j’en affiche même quelques graphes ou slogans, mais je ne partage pas avec les autres.
Je partage régulièrement, ainsi que des articles à Contrepoints, dame MP, et Contribuables associés.
Pour enfoncer un clou, il faut marteler, et marteler , encore et encore … 😉
pour l’état, un peu de viagra ?
À lui le viagra, à nous la vaseline…
Pour parler plus sérieusement du sujet, j’ai trouvé l’article de Forbes sur le « crypto-marché » de l’assassinat. Il soulève des points pertinents, mais la théorie me semble fausse, pour ne pas dire irréaliste. Pour qu’un tel projet ait l’impact voulu, à savoir faire changer la peur de camp, pour la faire passer du côté des gouvernements, il faudrait qu’il y ait réellement réalisation d’un contrat, c’est à dire assassinat d’un chef politique en vue. Sans quoi ce ne serait que menace en l’air et cocotte en papier.
Mais l’assassinat d’un chef d’état conduirait-il à effrayer dans les couloirs des palais présidentiels? J’en doute fortement, je crois qu’au contraire cela entraînerait une réaction virulente d’un ou plusieurs états, que cela justifierait des lois, mais aussi des mesures « d’exceptions » encore plus autoritaires, et restreignant encore plus la liberté individuelle. On pourrait répondre à cela que cela pourrait d’autant plus inciter à des assassinats de chefs d’état, dans une tentative de faire grandir la peur. Et c’est là que cela devient dangereux: on met alors en jeu un effet d’escalade, dont on ne peut jurer que l’état n’en ressortirait pas gagnant. Qui a vécu par les armes… etc.
J’ai souvenir d’un épisode de la quatrième dimension où les gouvernements se sont enfermés dans des bunkers antiatomiques suite à une alerte. Après 1 an ils ressortent pour s’apercevoir que tout va pour le mieux, tous le monde est heureux et que personne ne veut les revoir…
C’est peut-être ce genre d’idée qu’on devrait leur proposer, à tous ces minus: leur payer une vie dorée dans des paradis autant fiscaux que terrestres, en échange de leur engagement absolu à ne RIEN faire de politique. On aurait la paix, et ça coûterait sûrement moins cher, mordieu!