[Redite] Ce fascisme qu’on ignore

Article initialement paru le 18.05.2018

Il y a un an, je constatais que l’extrême-gauche, en ayant noyauté la presse, les syndicats, les universités et une bonne partie des institutions, tenait le pays et l’emmenait droit au casse-pipe. Je notais aussi que le peuple, désarmé physiquement et intellectuellement, se faisait taxabasser comme jamais, ce qui devait aboutir à un agacement croissant. Les mois qui suivirent, jaunes, me donnèrent raison.

Quant au gauchisme du pays, il n’a, depuis, évolué qu’en pire.

Certes, il ne faut que 5 centièmes de seconde à X-OR pour se retrouver dans son scaphandre de combat, mais cela n’amoindrit en rien les performances extraordinaires de notre police nationale qui, comme l’indiquera plus tard Édouard Philippe, notre frétillant Premier ministre, n’a mis que 9 petites minutes à débouler sur le lieu des exactions du dernier couteau déséquilibré pour en finir définitivement avec le trouble à l’ordre public constaté.

C’est, effectivement, remarquable.

En plein milieu de la capitale française, dans l’un des quartiers les plus quadrillés par les forces de l’ordre y compris militaire, et alors que des civils responsables correctement équipés et entraînés auraient pu venir à bout du terroriste en quelques dizaines de secondes tout au plus, prendre 9 longues minutes pour intervenir laisse largement planer le doute sur l’efficacité pratique et réelle de ce type de réponses à ce type de problèmes.

Oh, loin de moi l’idée de dire ici que nos policiers sont trop lents, pas assez entraînés, trop peu nombreux ou bien trop mobilisés à des tâches subalternes (comme vérifier le bon usage des parcmètres et le respect des limitations de vitesse par exemple) pour réellement lutter contre le terrorisme. Plus simplement, force est de constater que la réponse des pouvoirs publics semble un tantinet … inadaptée.

Dans ce cas précis, on pourrait croire cette inadaptation fortuite, malencontreuse ou simple conséquence des événements eux-mêmes.

Pourtant, d’autres événements, sinon comparables en intensité dramatique, au moins dans leurs résultats, laissent penser que c’est plutôt la marche normale de l’État français, tout de mollesse inadéquate voire de complicité ou, au moins, de laxisme coupable.

Pour illustrer mon propos, je me contenterai de prendre quelques exemples tirés de l’actualité récente.

Ainsi, l’occupation des universités par des bandes « d’étudiants » plus ou moins encartés montre plusieurs aspects de la complète démission de l’État en matière de sécurité, de protection des populations et du respect de l’état de droit en général. Il suffit de voir, comme l’a illustré un tweet récent d’Aurélien Véron, la réaction de ces troupes encagoulées à la présence de la presse pour comprendre l’exacte nature de leur mouvement.

Au prétexte de combattre le fascisme, qui consiste précisément à nier les concepts de démocratie, de liberté d’expression ou de la presse, et afin de pousser un agenda typiquement collectiviste, ces groupuscules bloqueurs s’empresseront d’écrabouiller toute dissidence démocratique, toute liberté d’expression et celle de la presse. Malin.

Pourtant, l’État a toute latitude ici pour faire revenir l’ordre et le calme dans les établissements, et ce d’autant plus que la situation française est très loin d’être insurrectionnelle et que, comme le montrent tous les sondages et les consultations directes auprès des intéressés, les étudiants sont très majoritairement opposés à ces gaudrioles ridicules d’une frange de la France qui n’a toujours pas réussi à se décoincer de mai 1968.

Mais voilà.

Tout comme il est inenvisageable de remettre en cause la doxa selon laquelle le peuple, désarmé, doit toute sa sécurité à l’État et seulement lui, tout comme il est impensable que le terrorisme ne se combatte pas par des mots creux, de jolies déclarations politiques et des tapis de bougies colorées, il semble tout aussi compliqué d’imaginer faire revenir promptement le calme dans les universités françaises.

Et de la même façon qu’il semble acquis qu’on ne mettra jamais un ancien ministre en prison, il semble inconcevable de poursuivre et condamner un autre élu de la République pourtant directement responsable de faits délictueux :

Malgré la présence de caméras, malgré l’évidence de l’infraction (non, un député n’a pas à bloquer, pour quelque raison que ce soit, l’accès d’étudiants à une salle d’examens), aucune poursuite ne sera lancée contre le paléo-communiste : eh oui, l’obédience de certains ouvre de vraies opportunités ou aménage par défaut de belles voies de sorties.

D’ailleurs, on peut faire exactement le même constat avec ce qui se passe (ou ne se passe plus, disons plutôt) à Notre-Dame-Des-Landes : l’évacuation des lieux, occupés de façon parfaitement illégale, a lieu au même rythme étrange et chaloupé que celui des universités, pour un résultat somme toute assez semblable.

Et de la même façon que les exactions largement documentées dans les universités ne débouchent sur aucune prise de conscience sérieuse des dérives lamentables observées ni chez les politiciens, ni dans les médias d’une complaisance sans borne, la ZAD bénéficie du même traitement : la violence des zadistes n’est que rarement évoquée. Pire, les concessions de l’État aux factions violentes laissent pantois, mais encore une fois, ceci n’est pas une exception. C’est la norme.

Là encore, le fait que la plupart d’entre eux se revendiquent ouvertement de cette extrême-gauche calme et pondérée qui anime le pays depuis plus de 60 ans est une pure coïncidence.

Pour faire bonne mesure, je n’évoquerai pas les sabotages et dégradations dont la SNCF est régulièrement victime en période de troubles sociaux. Si, parfois, des dépôts de plainte sont effectués, les condamnations sont rares et les syndicats sont muets sur l’évidence de la violence de leurs membres prétendûment attachés à la défense du service public. Quant à la presse, elle s’empresse de ne jamais revenir sur le sujet, de ne pas coller de gros micros mous sous le nez baveux de politiciens démagogues, et de ne surtout pas faire de vagues, proximité idéologique oblige.

Le tableau ne serait pas complet si on devait passer sous silence les biais criants dans l’interprétation de la Loi.

Un exemple tout frais nous a été livré par la petite bande d’Identitaires qui ont tenté d’empêcher l’entrée de migrants illégaux sur le territoire. Assez rapidement, les autorités sont intervenues, par voie de circulaire, pour rappeler que l’action de ces militants était parfaitement illégale, scrogneugneu, au motif d’une « immixtion intentionnelle dans les fonctions des forces de l’ordre », dont on peinait au passage à voir le moindre membre au moment des faits.

Notez qu’il ne s’agit absolument pas de discuter ici de la pertinence ou non des migrations et de l’accueil de ces individus, mais bien de prendre acte que l’État choisit ouvertement de déployer des moyens pour contrer ses citoyens plutôt que des migrants illégaux, les premiers étant solvables et justiciables là où les seconds sont politiquement sensibles et toujours facile à transformer en arme de politiquement correct massif : l’illégalité des uns est largement préférée à l’illégalité des autres. La Justice borgne et incohérente ainsi que le Deux Poids Deux Mesures règnent en maître.

Ces éléments ne peuvent amener qu’à une seule conclusion.

Ce pays est foutu : les fascistes occupent la rue, bloquent les universités, les trains et squattent des terrains de façon illégale, par l’appropriation violente. La presse et la justice leur sont ouvertement favorables. Les politiciens, chiens dociles d’une ochlocratie largement en place, se contentent d’entériner en gravant ces biais délétères dans la Loi.

Le peuple, auquel on interdit consciencieusement de se défendre, subit sans rien dire (une partie, tirant bénéfice direct de ces dérives, applaudit cependant des deux mains) et se fait assommer de taxes et d’impôts bientôt pris « à la source » pour mieux payer gabegies, petits fours et largage de bombes sur des pays éloignés servant de cache-sexe à des politiques construites à la petite semaine.

Forcément, tout ceci va très bien se terminer.

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Commentaires54

  1. Aristarkke

    Un an après, le tabassage fiscal continue comme jamais… Certes Flop Joene va rendre un peu de leur argent à certains contributeurs mais comme il en piquera à tous pour tenter d’équilibrer les comptes (aucune réduction un tantinet sérieuse des dépenses étatiques n’ est envisagée sauf en slogan électoral périmé le 26), le compte n’ y sera une nouvelle fois pas.

  2. Le Gnôme

    Article I: Le kamdubien a raison.

    Article ii: Quand le Kamdubien a tort , c’est l’article I qui s’applique.

    Article III: Tout ce qui n’est pas du kamdubien aux yeux des médias est classé Kamdumal et doit être poursuivi et dénoncé à toute force.

    Voilà pourquoi le RN va arriver en tête des élections à cause de la bêtise du Kamdubien, qui ne l’aura pas volé, mais ce qui ne nous sortira pas de la mouscaille.

    1. Calvin

      Ça c’est fort.
      Prochaine étape, une victime de cambriolage va devoir trouver un travail à son voleur.

    2. Higgins

      Vu l’ancrage politique du maire de Grenoble, aucune surprise. Laissons les grenoblois boire le calice jusqu’à la lie, pardon, cette référence est obsolète. Préférons lui fumer le pétard et bouffer le mégot ou quelque chose d’approchant.

  3. apjbdm

    « Le peuple, auquel on interdit consciencieusement de se défendre, subit sans rien dire. »

    2 choses :

    – Le propre du peuple est de s’en remettre à ses élites, il est à gouverner. Même en démocratie (Rome ou Athènes).
    Le peuple n’a pas de conscience de caste, ni de volonté politique. Vu que c’est une somme de sensibilités, de différences, il ne peut agir globalement que sur des aspects éminemment fédérateur. (Une guerre par exemple, et encore…)

    – Deuxièmement, dans le cas du peuple français, c’est un peuple martyr.
    Lentement massacré et humilié depuis deux cents ans. Broyé, comme on l’imaginerait difficilement. C’est pas compliqué pratiquement plus personne ne sait ce qu’est être français ! On invoque des écrivains à la rescousse pour illustrer notre culture ! Lol ! Victor Hugo malgré son génie n’est lui-même qu’un fruit et non une racine !
    Il faudrait remonter plus loin, plus haut aussi, vers les origines.
    Le seul devoir du peuple hormis trimer en diable est de conserver ce qu’on lui a confier, de le cultiver, car le Peuple est la force vive et l’âme de la Nation plus que le sera jamais un tas de pierre au coeur de Paris.

    1. petit-chat

      Le « tas de pierres », si l’on parle bien de la même chose, a été aimé, a été le témoin et l’abri de milliards de prières, a été marqué jusque dans ses pierres par l’élévation spirituelle de millions d’hommes. Vous le sauriez si vous étiez français.

      1. sam player

        Bah ça reste quand même un tas de cailloux… les hommes ont toujours eu besoin de symboles comme support de leurs croyances pour y projeter leurs émotions… moi c’est le V8…

        1. theo31

          Quand je vais à la cathédrale Saint-Etienne ou à la basilique Saint-Sernin, je ne vois pas des tas de pierres mais des édifices dont la beauté et la magie de leur silence sont propices à l’élévation spirituelle, à la méditation et au recueillement et ça fait pourtant environ 35 ans que je me suis faché avec Dieu et que je suis passé pas loin de la mort.

      1. Gosseyn

        Onfray bien de se méfier de ceux qui ne dénoncent que ce qui est dénonçable et qui s’insurgent envers ce qu’a produit leur idéologie …

    2. Pythagore

      « dans le cas du peuple français, c’est un peuple martyr. »
      Qui c’est’y qui martyrise le peuple francais ?

  4. Murps

    J’aime bien l’infographie « où partent vos impôts ».
    Le seul truc qui me chagrine, c’est l’image donnée du travail de clown : c’est vachement difficile comme métier, et plein de poésie. Je sais bien qu’il faut prendre la blague au second degré, mais tout de même, ça n’a rien de politiquement correct. Avez-vous pensé aux véritables artistes de cirque ????

    On dit souvent « l’homme est un clown pour l’homme », mais cette affirmation diffame le clown.

    Ceci dit j’ai vu ailleurs une infographie plus proche de la réalité sur l’usage de l’argent public, et elle était encore moins flatteuse…

    1. sam player

      Concernant le métier de clown, je ne pense pas que le taulier se moquait du métier, mais du fait que l’état s’occupe activement du diplôme :

      rncp.cncp.gouv.fr/grand-public/visualisationFiche?format=fr&fiche=5797

    2. Citoyen

      Il y a surtout, deux définitions du Clown …
      Une première, naturelle ou officielle, tout à fait honorable, où des individus font profession (ou en amateur) d’amuser, de faire rire, des enfants … mais pas que …
      Une autre beaucoup plus péjorative, où, à leur insu, des individus font rire d’autre individus, par leurs actions, leurs dires, ou leur façon d’être … en étant grotesques et pitoyables …
      Et entre les deux, il n’y a pas de confusion possible.

          1. sam player

            Ah ok il y a une faute d’orthographe volontaire… mais ça ne tiendra pas devant un tribunal…

                1. Citoyen

                  Ah, « qu’eux » (les enfants) ? … Nan, il faut voir « mais pas que » comme une expression … Au tribunal, ça doit pouvoir se défendre …

  5. Wite Panda

    C’est un nouveau costume ?
    Modèle plus récent de masque à gaz.
    Un nœud papillon a remplacé la cravate.
    Plus personne dans le costume ni sous le masque… ?
    Que signifient ces changements ?

  6. theo31

    « La gauche est une salle d’attente pour le fascisme ».

    Léo Ferré

    Vérifié encore cette semaine avec le transfuge LFI chez Le Pen.

    1. Calvin

      Oui mais pour l’instant ça reste de « l’opportunisme ».
      Ni au RN ni à la LFI, on ose accepter la notion de compatibilité de leurs idées moisies.

    2. baretous

      je crois que c’est le contraire. nazisme et fascisme sont originellement de gauche. Le transfuge l’a compris

      1. theo31

        Pétain l’avait bien compris puisqu’il a pris des dizaines de mesures d’inspiration socialiste que la gauche n’a jamais remises en cause, on se demande bien pourquoi.

        « Devant la faillite universelle de l’économie libérale, presque tous les peuples se sont engagés dans la voie d’une économie nouvelle. Nous devons nous y engager à notre tour et, par notre énergie et notre foi, regagner le temps perdu.

        Deux principes essentiels nous guideront : l’économie doit être organisée et contrôlée. La coordination par l’État des activités privées doit briser la puissance des trusts et leur pouvoir de corruption. Bien loin donc de brider l’initiative individuelle, l’économie doit la libérer de ses entraves actuelles en la subordonnant à l’intérêt national. La monnaie doit être au service de l’économie, elle doit permettre le plein essor de la production, dans la stabilité des prix et des salaires.

        Une monnaie saine est, avant tout, une monnaie qui permet de satisfaire aux besoins des hommes. Notre nouveau système monétaire ne devra donc affecter l’or qu’à la garantie des règlements extérieurs. Il mesurera la circulation intérieure aux nécessités de la production.

        Un tel système implique un double contrôle : sur le plan international, contrôle du commerce extérieur et des changes pour subordonner aux nécessités nationales l’emploi des signes monétaires sur les marchés étrangers ; sur le plan intérieur, contrôle vigilant de la consommation et des prix, afin de maîtriser le pouvoir d’achat de la monnaie, d’empêcher les dépenses excessives et d’apporter plus de justice dans la répartition des produits.

        Ce système ne porte aucune atteinte à la liberté des hommes, si ce n’est à la liberté de ceux qui spéculent, soit par intérêt personnel, soit par intérêt politique.

        Il n’est conçu qu’en fonction de l’intérêt national. Il devra, dans les dures épreuves que nous traversons, s’exercer avec une entière rigueur. »

        1. Higgins

          Le régime de Vichy est loin d’être un accident de l’histoire de France. Ce texte en est en encore une preuve. Quelques mots à changer et il est bon pour le service en 2019.

          1. Passim

            Plutôt que de s’interroger sur Vichy, il serait judicieux de se questionner sur ce qui a permis que Vichy advienne…

  7. sam player

    HS
    « Brassard contre l’homophobie: plusieurs capitaines de Ligue 1 ne l’ont pas porté »
    (lefigaro.fr)

    Bon y a même la liste de ceux qui ne l’ont pas porté… les heures les plus sombres toussa…

    1. sam player

      Une liste contre des personnes qui n’ont pas fait… quand ne pas faire va devenir un délit… la police de la pensée…

    2. Citoyen

      Ben oui ! En 40, y en a qui tenaient des listes … et ils faisaient ça avec application …
      il y a des habitudes dont il est difficile de se défaire …

  8. Murps

    Bientôt on nous « suggérera » :
    – un autocollant en forme de panda sur la voiture : défense de la biodiversité
    – un ruban rouge contre le sida
    – un pin’s en forme d’arbre en boutonnière : financement de l’enfouissement du CO2
    – une plume dans le cul, couleur arc-en-ciel : défense des LGBT
    – une carte d’adhésion à l’association sans but « pisseurs de glyphosate de Corrèze »
    – un brassard en faveur d’Abel Chemoul, emprisonné dans les geôles fascistes
    – …

    Tout refus d’arborer ces insignes vous classera automatiquement dans le clan des racistes homophobes fascistes qui détruisent le climat et la planète avec l’aide des actionnaires capitalistes de Monsanto.

    Rigolez pas. Quand j’étais étudiant, je me suis fait traiter de raciste parce que je ne voulais pas acheter et porter un badge « touche pas à mon pote ».
    Et ne me demandez pas pourquoi, je ne me justifierai pas.

  9. Rick Enbacker

    Tristesse : les Suisses ont choisi d’emprunter la route de la servitude

    https:/ /fr.news.yahoo.com/suisses-approuvent-r%C3%A9f%C3%A9rendum-durcissement-l%C3%A9gislation-154510401.html.

    1. Citoyen

      Stéphane Montabert avait anticipé le résultat en faisant un article ici :
      http:/ /stephanemontabert.blog.24heures.ch/archive/2019/05/14/peuple-desarme-peuple-vaincu.html.

    2. MadeInCH

      Pour le moment, la Suisse est encore bien plus libérale que la France.
      Malgré les contraintes, il sera toujours possible de s’armer assez facilement.
      .
      Mais ça fait mal tout de même…

    1. baretous

      pas sûr….le compteur très intelligent serait à même de changer de tarif quand votre voiture électrique se rechargera…

    2. P&C

      Si on continue dans la verve actuelle, ce sera le cas en France… mais pas à cause du peak oil ou du green washing. Uniquement gràce à la connerie.
      Nous serons redevenus tellement pauvres qu’il ne restera que le vélo et les carrioles pour les gueux. Les roches rouleront en électrique.

    3. Citoyen

      Rien n’empêchera d’acheter des véhicules thermique à l’étranger, de les immatriculer à l’étranger, et de venir rouler en fRance … Il serait étonnant que la fRance arrive à interdire son sol à des véhicules étrangers, qui n’ont pas les même normes (On peut être très con pour soi-même, mais si l’on veut échanger avec les autres, il faut s’adapter) … y vont avoir du mal ….

      1. WorldTour73

        On est encore bien fichu de ruiner l’Europe avec nos belles idées à la con grâce au machin qui s’appelle lue.

        1. Citoyen

          Non, P&C ! … il faut lire entre les lignes, si nécessaire …
          Il ne s’agit surtout pas d’importer, mais de tout autre chose …
          Pour bien comprendre, un allemand, un roumain, un polonais, ou qu’importe, à bien le droit de rouler dans ce triste pays, avec son véhicule immatriculé dans son pays … La suite n’est pas difficile à extrapoler, pour faire le tour de la question …

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