Saperlipopette, le mois de juillet s’achève et il est amplement temps d’aller voir ailleurs si j’y suis : il faut bien que je dépense tout l’argent gagné à la sueur du front des enfants cousant par centaines des t-shirts avec l’emblème du site, dans une cave sordide et sans accès au moindre vaccin.
J’ai bien conscience de déclencher une perte de systole pour les quelques lecteurs assidus du blog. C’est dur, mais c’est temporaire (en tout cas, plus que les idioties gouvernementales). Je profite d’ailleurs de ce petit billet pour remercier mes lecteurs, de plus en plus nombreux. Les statistiques sont formelles : 19 lecteurs réguliers se bousculent aux portes du blog, y déposent 7 ou 8 commentaires et s’autorisent parfois un ou deux pouces sur Facebook ou un petit retweet sur Twitter et cela fait du bien de savoir qu’ainsi, les petits billets sont partagés et lus au-delà de cette page.
Il faut le reconnaître : en ces temps troublés où à peu près les deux tiers des Français (ratio conforme aux expériences de Milgram, du reste -coïncidence ? Je ne pense pas) ont fermement décidé de respecter les ordres (même et surtout les plus idiots et les plus liberticides) des imbéciles qui nous gouvernent, les petites productions locales de ce blog participent, à leur modeste mesure, à ramener un peu de mesure dans les esprits embrumés des rares encore accessibles à la raison. Je vous encourage donc à continuer, sans relâche, à distribuer ces billets, à en relayer le message, à débattre et à argumenter contre les inepties dont on nous propagandise les oreilles à longueur de journée.
Les prochaines semaines seront décisives. La rentrée sera, on s’en doute, agitée. L’action de chacun est dès lors déterminante.
Surtout, ne vous laissez pas faire. Vous n’êtes pas seul à penser que c’est allé trop loin, vous n’êtes pas seul à penser que ce délire collectif doit cesser. Organisez-vous. Soyez prêts.
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Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
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Cinq mille pourquoi pas, maudrux fait bien plus.
Bien plus ? 2416 à l’instant ! Pulvérisé !
ne pas s’attarder aux nombres depuis Vincennes seuls les concepts comptent.
c’est parce qu’il y a beaucoup de dames chez Maudrux
ça c’est bien, les dames…
et le regretté Roland Topor, il le faisait les doigts dans le pif, les 5000, rien qu’en arrivant …
ce n’est pas vrai mais ça rassure, dans les vignes en champagne zéro degré d’alcool, une nouvelle manifestation réprimée par le nouveau tigre contre la chaptalisation excessive, mille neuf cent sept, j’écrirai ton nom. Darmanin en tigre, laissez-moi rire…
Depuis de Nagy Bosca (manque des accents) et grâce au printemps arabes la police peut à nouveau tirer à balles réelles sur la population qu’elle est sensée protéger? Deux mille onze, nouvelles saillies abjectes contre les populations qui s’en foutent, un mailloot floqué à cent spoixante euros contre onze en sortie d’usine, comme c’est passionnant???
Même quand l’orchestre joue plus fort un naufrage reste un naufrage. On essaye pourtant souvent d’oublier que si la chute de l’empire romain d’occident et la naissance de Saint Benoit se chevauchent parfaitement dans une course échevelée vers la modernité radicale, ce ne peut être complètement un hasard. Quand travail prière sommeil devint travail famille patrie et l’étroit huit.
Au pays des droits d’zom, neuf cent trente prêtres partent en retraite contre trente huit ordinations.
Au pays d’lumières qu’éclairent par derrière, qui font du chaud par devant plus jamais de zénith
Etait-ce devant le cercueil de yack chie rack ?
Un selfie avec le Pape, à l’instar de pourcegnac je fais de la confusion mentale, profondément bourgeoise par opposition à quelle autre confusion ? Pour prendre encore une fois un exemple proche, je me suis toujours fait croire que les compositeurs de musique étaient tous des multi instrumentistes de génie, comme beethoven bach haydn mozart ou même plus près paul mc cartney confusion mentale bourgeoise remise à plat un peu plus tard et heureusement par pascal dusapin, morton feldman et toutes les électroacousticiennes lubriques.
Y’a toujours deux écoles, ceux qui croient que le canardibou voit et chasse la nuit parce qu’il est le croisement du canard et du hibou, alors que d’autres, auxquels j’appartiens, savent qu’il s’agit d’un complot canadien et que c’est le caribou qui complète le tableau.
Pas la plaine, pas la montagne, ni droit ni sinistre, mais alors où ?
L’eau mouille, l’eau mouille, au-delà du facile de la proposition, et à y réfléchir, pas forcément. Pour déconstruire, puisque tel est notre destin progressiste, parlons d’abord des états de l’eau.
Poète professionnel ce n’est pas un métier, j’exerce un sacerdoce. Cinq mille encore?
On ne va pas se mentir sans se cacher, ça craint, ça chie, ça coûte, en tant que pas déjà mort on est de plus ne plus fort.
Je sens qu’avec pouf pouf les 5000 messages vont être une formalité. Il est dans une forme olympique !
+99^99
Dur a atteindre dans une vie…
et comme il revient de plusieurs longues années d’abstinence, il met les
charcutiéesbouchées doubles … 😉Ahlala tous ces cas de journaputisme impunis et pas l’ombre d’un billet du Boss pour les corriger !!
https://twitter.com/lemondefr/status/1430492790044114949?s=19
(faites des captures d’écran, ça servira)
Les rêves éveillés existent toujours…
On peut aussi se poser la question de l’utilité pour un taliban de fuir l’Afghanistan alors même qu’ils ont ré-envahi ce pays. Non?
Il faut aller à Pantin pour se rendre compte des ravages de l’édit de Caracalla… Il suffit de passer les barrières des fermiers généraux et tout devient plus clair.
Faire payer les Occidentaux sur leur propre sol (ils se sont planqués comme des rats dans des grottes pendant plus 20 ans quand même)
Bingo, morpion, touché-coulé, moi je peux gagner ma vie au whist comme toute les grosses salopes bien élevées.
rcik, avec un objectif tout est toujours plus ismple, comme je le dis depuis toujours,pour gagner il faut partir de la fin.
Le onze aout mille neuf cent quatorze mon papy est descendu à la cave parce que son papa ingénieur lui avait dit : « va chercher une roteuse p’tit, on vient de déclarer la guerre » et puis pas la guerre à un pays, pas de la petite blague, la guerre à l’empire ! Le papa de mon papy travaillait avec Gustave Eiffel, était Radical Socialiste avec des majuscules s’il-vous-plait, et a fait don de la totalité de sa fortune à l’ETAT tout en majuscules et en majesté républicaine, pour financer l’effort de guerre. Quand mon papy a été majeur sa maman lui a dit en peu de mots : « tu nous a coûté tant… » et mon papy a donné tout son argent à sa maman, et puis son papa est tellement mort qu’il a dû nourrir sa maman pour tout le reste de son pingre temps. Alors du coup, papy n’était pas trop de gauche, ni papa, ni moi forcément. J’appartiens pratiquement à ce que chez moi l’on appelle pompeusement génération Mitterrand, génération grand bleu, génération grand remplacement. Comme si l’on était moins ennemis intra-générationnellement qu’inter-générationnellement.
Chaque époque a les scientifiques qu’elle mérite. Ainsi, Trofim… revient, trofim revient, mettre du lyssenkisme parmi les tiens…
Pour les sensibles, j’écoute Harvest Time d’ou je vous parle, de Pharoah Sanders, parce que c’est lui qui m’a fait venir à vous, l’impossible abstraction j’usuq’au trait qui dit le réèl.
Mrd, brdl de mrd, j’inverse des lettres, bon voilà, c’est comme ça, même quand le français rtenverse les bouteilles il faut finir la course.
Fait-on cinq mille cette nuit ?
quatre mille neuf cent quatre vingt dix neuf MCA sort d’un avion, quatre mille neuf cent quatre-vingt dix huit, MCA sort d’un train.
UN petit ta gueule de PAF depuis le canada, un petit non, mais, tout, de, même de mamie depuis bibi. Banzai bien-sûr.
J’en suis réduit à mes fonctions vitales, j’en suis réduit à mes organes, je suis le bruit qui sort de mon cul. Je suis une suite de filtres, d’organes qui filtrent. Organes oranges. Foie jaune sur année blanche. Je suis posé sous divers réels dont un seul dépend de moi. Et pourtant la muse vit en moi. Ma bite, j’ai déjà une vieille bite… un vieux foie et une veille bite, alors que c’est déjà parti je ne sais pas par où commencer. Je connais plus de princes que de milliardaires mais j’ai des deux dans mes amis. Des bouts de sphincters qui se déplacent dans mon anus. Sphincter au singulier plus probablement, et pourtant ce n’est pas le seul cassé. Si j’étais l’écriture russe je commencerais plus tard. Je n’ai pas besoin de dire qu’elle n’est pas molle, je ne suis pas vautier. Je ne bois ni whiskey, ni pastis. Je ne suis ni parti ni ici, je ne suis pas là. Je suis cognac, je ne suis toujours pas charly et absolument gaullien sans jamais avoir été gaulliste. Je viens de finir une bouteille à vingt-cinq euros. Irancy. Qui finira par sortir de mon cul et de ma bite.
on se calme, tu devrais ouvrir ton blog a toi.
C’est clair. On dirait de plus en plus un troll coco.
Exactement ! don’t feed the troll …
En parlant de vieux foie, hier on me rapportait le cas d’un jeune, 23 ans, après 1ère dose, forte fièvre, hôpital, réanimation, augmentation des valeurs hépatiques, les médecins ne comprennent pas. Dommage d’avoir le foie dans le pâté à cet âge pour se protéger d’une maladie qui ne vous menace pas et vouloir éviter de transmettre le virus, ah non ca, ca marche pas. Triste.
Organes oranges ? comme dans « orange, ô déesse poire … » ?
Facile, j’ai tellement d’os, tellement d’organes, tellement d’ivernum que je peux faire le tour de la terre ; si vous avez le temps regardez ce que représente thomas piketty en dollars et en mètrrezs carrés, ça aide à remettre en perspective, c’est sa soeur qui m’a expliqué nietzsche, la phénoménologie de l’esprit j’ai commencé par le tome deux.
Cinq mille facile.
Enfin un ta gueule de PAF, j’ai failli attendre.
On n’a pas d’autre place que celle que l’on prend. Partout, dans tous les sens.
Des petites putes disney interchangeables, qui nous font croire au père noël en même temps qu’elles en nourrissent imperturbablement l’image. Des lèvres plus pulpeuses des seins plus gros l’air plus jeune, en gélules, en crème ou en injections. La consternation comme seul principe réactif.
J’ai toujours entendu dire que mon tailleur était riche, or, en ce moment toutes les institutions culturelles nazionales répètent que l’essentiel est tailleur. Par capillarité sophistique il est par conséquent évident que l’essentiel est riche, et ça je l’ai également toujours su…
Allez hop ou tuc comme on veut, l’onomatopée conduit l’homme, tac, paf ou bim pour un sourd. Imaginer que son correcteur orthographique ne dise rien pour paf ou tac mais s’insurge pour bim. Moi, ça me défrise. J’ajoute patiemment bim à mon dictionnaire. Le vingt-et-unième me frappe. Comme un uppercut comme on dit. Dans ma gueule la surveillance de masse. Big brother pour mon plaisir ou pour mon bien. Je me surveille pour ma tranquillité ou pour mon bien. Pour que je m’asseye et je me taise, un point c’est tout. Dans un bassin en italique en prenant des tournants narcissiques je me plonge synthétique et me retrouve dans ma douleur tentaculique, des détours parfois iniques d’une pieuvre de douleur. Dans le bassin d’un château en italique…
Savez-vous que pif paf pouf c’est un commentaire de tailleur de pierre de la pierre dure à la pierre molle ?
Avait-on dit cinq mille ?
JE te l’aidéjà dit vers deux mille quatorze, un blog de poète beurk.
deux mille treize ? Je n’aime écrire qu’aux éditeurs ou ici. Parce qu’il y a des gens qui comprennent, et c’est suffisement rare pour être magnifié. Quoique Maudrux, la classe !
J’ai toujours cru que c’était l’amour qui rendait libre, mais probablement que la manipulation catholique au sein d’édifices vieux et froids m’en a sinon assuré tout du moins suggéré la possibilité. L’évidence même que c’est l’amour qui rend libre et pas la publicité, c’est notre grand écrivain volant, antoine de, qui l’énonce dans son célèbre : « s’aimer ce n’est pas se regarder l’un l’autre mais regarder ensemble la télévision », son épouse rajoutait que cela aurait pu être vrai s’il lui avait laissé la télécommande. Not’ bon roi, padamalgam premier est venu souffler à notre oreille ses conseils prodigues. Il a dit qu’il fallait collectivement se méfier des convertibles qu’ils pourraient nous lancer danslag, en guise d’anathème de chez eux, j’ai nommé la fatwa. Alors fatwa par-ci, fatwa par-là, notre association propose ce petit autocollant deux en un, stop pub et fatwa. Comme quoi, bien introduit, tout est léger.
Message personnel à sam over game player, toujours pardonner…
Chapitre un
Les enfants sont des cons.
D’abord on ne comprend jamais ce qu’ils disent, ni pourquoi ils ne marchent pas sur les traits du sol dans la rue, ou que sur les traits du sol mais pas le même jour. Et puis qu’est-ce que ça veut dire de parler une fois trop fort, une fois pas assez et comme par hasard, jamais au bon moment. Puis cette histoire de princesse et de dragon
Chapitre deux
Les adultes sont des cons.
Remplissez à votre guise.
Tiens, revoilà pouf pouf, à la manœuvre dès qu’on ouvre une nouvelle page.
Je pensais qu’après avoir atteint 4567ème commentaire il allé sarrêter, mais non!
Pour faire plaisir à Pheldge. il va être jaloux
https:/ /www .ladepeche. fr/2021/08/25/belgique-une-femme-tombe-amoureuse-dun-chimpanze-et-se-fait-bannir-du-zoo-danvers-9750479.php
Pas du tout, pas de manoeuvre, cinqmillecesttout.
aveccinqmilleballes je la ferme. Je fais des faux pass, putain, qui m’ a traité de coco ?
Pour Pharoah soyez curieux, harvest time que je n’arrête pas de rejour sur mon phono, c’est tellement beau !
Merci, comme quoi que le hasard ou peut-être la nécessité fait bien les choses, j’aime être surpris par les poufpoufferies et ne le regrette pas en écoutant ce délicieux moment musical…
Je partage votre avis et le fait mien, c’est vraiment très beau !
Merci.
ah ptn, c’est déjà ma cinquième fois, c’est tellement beau
j’ai été voir. Effectivement, après 2 ou 3 wizz bien tassés ça doit pouvoir rentrer, mais comme ça, tout de suite, clean, c’est franchement bof…
YAKA avant de te lire je m’étais dit ça pour coir : Y’a qu’à se mettre en marche, c’est tout, faire le premier pas, ensuite, le deuxième vient presqu’automatiquement. Comme une sorte d’évidence cosmique.
pour voir, dire pour voir bien-sûr…
Vingt et une heures cinquante deux, cette salope de dame de la radio a encore du rire dans la voix. Elle change de sujet comme elle respire. Mon connard d’agent m’a quitté hier soir en me hurlant : des phrases courtes, bordel. Je ne m’y fais pas. Le dernier c’est toujours celui où l’on n’a pas été.
Tout devient vieux vite autour de moi, ça a commencé par le lave vaisselle qui recrachait de l’eau après le lavage. Toute la vapeur qui n’était pas sortie évaporée par vaporisation pourquoi redevenue liquide sur mon carrelage ? Flûte peste zut crotte, après, juste après, le four, la porte ne fermait plus, enfin pas exactement, la trappe du four restait fermée, mais la porte non. La chasse est ouverte et je suis seul gibier. En parlant d’ouverture, quand le joint qui sépare le réservoir de la cuvette devient poreux, la chasse d’eau se met à faire : « chuichuichuichui » à peu près tout le temps. Bon, bien. Pour peu qu’à l’instar de la saucisse tu ne meures tôt, on ne verra jamais ta cicatrice. J’habite à pourris ville des lumières dans une France devenue toute petite, je vais écouter un pestacle musical, et je me demande à quelle heure dois-je partir pour éviter le changement St Lazare aux heures quartes ? Du lave-vaisselle au probable attentat prochain, mon avenir qui s’assombrit alors que les jours raccourcicent ne m’inquiète même pas.
y’a un pote qui m’a parlé de son pote enseignant à la meilleure école payante du film documentaire en France, dont la maitresse de vingt-cinq a
vait un autre mec qui avait un mec de son age. Après avoir tué Dieu et la famille que peut -on faire de plus ?
<Tué la Nation, tué la démocratie, tué l'état de droit ? Tuer le réèl, tuer le dictionnaire, tout ça c'est déjà fait… enfin tuer l'un.
J’ai toujours détesté écrire, trop de mots pour rien, de lettres accolées pour rire, de phrases en l’air, alors qu’il suffit, visiblement, d’enfiler des éléments de langage comme des perles, où le progrès serait vénéré pendant qu’on fustigerait le rétrogradisme, l’arriérisme, le conservationnisme et l’arrière-garde, censée nous protéger des envahisseurs embusqués. Pendant longtemps on pouvait citer Pindare en étant compris, alors que maintenant, quand on cite Pindare on se croit obligé de rajouter que Bouglione et Zavatta aussi luttent contre les vieux systèmes Athéniens à la sauce Romaine, Périclès revu par Caracalla. L’eunomie de l’ancien deviendrait l’anomie si chère à Durkheim. Alors que c’est totalement faux, le contrôle est total. Le seul parti qu’on croit être de droite dans mon pays est socialiste à préférence nationale, d’ailleurs ça me rappelle vaguement quelque chose. Au lieu de construire des tanks on produit des éoliennes pour brasser du vent cher. Je croyais que le socialisme égalitaire proposait pauvreté pour tous, je m’aperçois malheureusement qu’il s’agissait surtout de misère. Toute la misère, toutes les misères. Les moyens de communication mis à la disposition du pouvoir en place lui permettent de m’expliquer que mon pays s’enrichit des clochards qu’il accueille. Alors écrire pourquoi et surtout pour qui ? Dire qu’avant les roumains francophiles, les polonais brillantissimes, les italiens malins étaient, sont et seront toujours mes frères ne suffit pas. Dire que je me reconnais dans les orthodoxes russes ou les allemands protestants et que le travail libère revient presque à m’identifier aux heures les plus sombres de notre histoire… régime pastille Vichy comme ils disent. Parce que travail, famille et patrie sont des notions qui me touchent on me compare à la lie de l’humanité. Il faut maintenant préférer des gens pas élevés et mal habillés qui, plutôt que chez des commerçants consomment au supermarché. Un type qui gagne à peine sa vie et fait vivre plusieurs familles est traité comme un voleur parce qu’il perçoit quand même une poignée de milliers d’euros tous les mois pour récompenser son sacrifice, alors qu’un mec en short et baskets qui tape dans un ballon pour une pluie de millions est reçu en héros. Savez-vous combien vaut une place au stade pour la ligue des champions ? Et qu’avec ce montant on peut lire une vingtaine de livres de Giorgio Agamben…
PS : René-Pierre quand tu passes à Paris viens péter une quille à la maison…
Sinon, Poufpouf pouf coco, it looks like a kafkatrap…
Le temps aurait probablement pu être moins vieux pour changer. Drink me, on grandit, eat me, on rétrécit. A moins que ce ne soit le contraire, mais trop occupé à chasser le lapin blanc on court trop vite pour se souvenir des panneaux indicateurs. Ah si, Tomer Sisley enfin sauvé, mais comme il fallait payer pour la fin de la phrase… quand on pense à Clésinger en train de prendre des croquis de Mademoiselle Apollonie, flûte tout de même, les époques ne se ressemblent pas et pourtant c’est au salon que Thomas Couture présentait les Romains de la décadence. Ach, mille huit cent quarante sept ! PAF un autre ta gueule pour changer ?
Au printemps de quoi rêvais-tu ? on prend la main de qui l’on croise, ah mettez les mots sur l’ardoise, compte qui peut le temps perdu.
celle-là big up to Aragon un des trois seuls poètes français à avoir gagné sa vie avec cela, tous les trois communistes, malheureusement pas moi…
pas loin de quatre mille six-cents, on avance MCA