Le pays s’enfonce.
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.
L’auto-défense est si sévèrement encadrée qu’elle est en pratique interdite. Le simple fait d’afficher ouvertement une vive opposition au laxisme ambiant suffit à déclencher des mesures coercitives de la part de l’État : ainsi, à la suite du viol dans des conditions atroces survenu à Cherbourg, un collectif a eu l’outrecuidance de manifester (avec de banderoles offensives et des slogans contondants) devant le domicile du violeur, ce qui a immédiatement déclenché la réaction de la préfecture dont on aurait sans doute préféré la même diligence pour prévenir le crime.
L’auto-éducation, ou l’école à la maison plus exactement, est maintenant largement combattue par l’État, probablement stimulé par ses résultats flamboyants. Depuis le début de l’ère Macron, les deux chambres parlementaires se sont employées (sous couvert d’une chimérique lutte contre le séparatisme) à quasiment interdire toute échappatoire aux enfants du pays : il faudra qu’ils soient correctement endoctrinés et le plus profondément abêtis pour en faire des “citoyens bien comme il faut”, c’est-à-dire parfaitement stupides, conformistes, malléables et corvéables à merci.
Et en matière d’interdictions formelles de se passer de l’État, quoi de plus symptomatique et de plus ancré dans les mœurs en France que l’absence de toute liberté en matière d’assurance pour sa santé, pour sa retraite ou pour son emploi ?
En fait, le citoyen français est confronté à une bureaucratie systématiquement levée contre lui, qui se place en permanence entre lui et ses objectifs : il faut une autorisation et des permis, des formulaires et des démarches pour absolument tout. Aucun but, dans la vie du Français moyen, ne pourra être atteint sans qu’il soit systématiquement sanctionné ou simplement interdit d’un coup de tampon officiel. Seul l’introduit, le corrupteur, celui qui sait jouer de ses réseaux, de ses connivences ou de son pouvoir pourra s’affranchir des règles minutieusement mises en place par les innombrables baronnets de l’administration pléthorique française.
En substance, on ne fait jamais ce qu’on veut en France, seulement ce que l’État permet parfois dans sa grande bonté.
Ceci est l’inverse même d’une société libre où la loi sert à protéger les citoyens dans leurs droits des abus des autres et des administrations : la société française est une société coercitive où la loi sert à contraindre et empêcher les citoyens au profit de l’administration.
Or, comme un précédent billet le mentionnait, l’État est si néfaste qu’il est devenu dangereux de croire qu’il peut aider.
Il est à présent nécessaire de comprendre qu’il est d’abord là pour entraver, empêcher, limiter, contraindre et interdire ; il n’est plus là pour organiser la société et tenter de garantir la paix ou la sécurité des citoyens.
Il y a encore quelques poignées d’années, au tournant du siècle probablement, il se comportait certes comme une entité parasitique mais comprenait, confusément mais de façon pratique, que son avenir dépendait de la relative bonne santé de son hôte : s’il fallait des règles partout, il n’en fallait pas au point d’étouffer tout le monde.
Ces dernières années cependant, avec l’arrivée au pouvoir de la dernière génération de profiteurs imbéciles aux psychopathologies de plus en plus avancées, toutes les frontières, toutes les limites ont été supprimées. Sentant la fin de l’hôte proche, l’État est activement devenu prédateur et n’a plus rien à faire de son hôte. C’est dans une véritable course contre la montre que les dirigeants et la haute administration se sont maintenant lancés : il faut piller le peuple et, tant qu’on peut, réduire sa force suffisamment avant qu’il ne se retourne contre eux.
Comme le mentionnait le début de ce billet, certains, dans le déni ou bénéficiant directement de l’actuel délitement, nieront cette situation. Pourtant, le constat est sans appel.
Il convient donc maintenant de s’organiser en conséquence.
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La SNCF, c’est la démonstration permanente de la justesse de ce qui est décrit dans le livre d’Ayn Rand “La Grève”. On a en eu une autre démonstration la semaine écoulée avec la visite de Charles III en France : sous l’arc de Triomphe, le drapeau était simplement déchiré. Et, malheureusement, on peut multiplier les exemples.
L’état du drapeau sous l’arc de Triomphe symbolise assez bien l’état de délabrement progressif de l’état.
Certes c’est la plus grande taille officielle (9 m x 13,50 m) et il ne se change pas si souvent que cela mais tout de même, que personne n’en ait vérifié l’état avant une visite protocolaire de ce niveau est très surprenant.
Attention ! Déplorer que le drapeau était déchiré c’est être un vilain nationaliste !
https:/ /www.lavoixdunord.fr/1375922/article/2023-09-21/ceremonie-l-arc-de-triomphe-avec-charles-iii-le-drapeau-francais-etait-il
Autrefois, le nationaliste portait son affection vers la mère patrie et par voie de conséquence, vers le drapeau qui en représentait le symbole. L’article du journal est donc approprié. Mais il y a un siècle, le gouvernement du moment aurait été balayé dès la première séance tenue à l’AN…
Mais ça, c’était avant…
Cet article est très révélateur, le pigiste n’a pas osé utilisé l’expression “sentiment de déchirure” mais c’est tout comme.
Hélas, cette déchirure sous l’Arc après que Macron y eut pénétré restera dans les annales…
Mouarf !
Emmanuon Macrelle il déchire sa race et même il se fait déchirer par les racisés !
LOL, le symbole est pertinent, spot on ! comme disent les angloricains 😀
Je précise qu’il n’est pas anormal qu’une organisation, si complexe et sophistiqué soit-elle, rencontre déci-delà des problèmes tels que celui que la SNCF évoque pour expliquer le problème à Montparnasse. Ce qui est par contre inquiétant et symptomatique d’une dégradation profonde de cette organisation, c’est la récurrence et la périodicité importante de ces événements. Dans une compagnie aérienne, ce genre de dysfonctionnements, quand ces derniers s’amoncellent, reflète un ou des vrais problèmes sous-jacents d’autant plus difficiles à résoudre de manière efficiente que l’organisation s’ingénie à les nier ou à les minimiser. Ce que nous pouvions estimer ne toucher qu’une organisation affecte désormais de plus en plus de secteurs, le triste épisode du drapeau déchiré en est un exemple visible et on peut y ajouter les dysfonctionnements croissants des hôpitaux en particulier les urgences ou le naufrage voulue de l’EdNat, la liste n’est hélas pas exhaustive. Un de mes amis rencontré récemment, à qui j’ai offert le livre d’Ayn Rand, m’a déclaré avoir pris un grand plaisir à le lire et être écœuré de ce que devient le quotidien de ce pays. Une expérience personnelle douloureuse lui a fait toucher du doigt la justesse du diagnostic posé dans le livre. La SNCF est un bouc émissaire facile et commode mais je préférerai qu’elle fasse l’actualité pour son excellence que pour ses dysfonctionnements grandissants, un peu comme dans cette vidéo : https:/ /youtu.be/UsxgCRp9_xI?si=vYje9U1Rzix1bXIY
dans un autre style https:/ /www.youtube.com/watch?v=5tJn6MSwhFA
Selon X, tout le budget de la réception de Charles III était passé dans le picrate. Il n’y avait donc plus de budget pour rapiécer le seul drapeau de ce format que possède la Grance. Pour le renouveler, c’est mankdemoyen, forcément !
du picrate ? à plus de 2000 € la boutanche, comme tu y vas … 😉
Des jeroboams, les boutanches… soit six bouteilles en une. D’autres journaleux ont eux, parlé de doubles magnums soit 3L ou quatre bouteilles….
Alors Major, on a raté le principal?
De retour à surmulotville je viens d’apprendre que la SNCF avait défilé sur les champs Elysées le 14 juillet au milieu du cortège et personne ici pour s’en émerveiller et crier “hourra!”
Ah ! quand ça veut pas! ça veut pas ! 🙂
https:/ /www.sudouest.fr/economie/transports/paris-les-trains-en-direction-du-sud-ouest-retardes-en-gare-montparnasse-en-raison-d-une-panne-electrique-16786165.php
Une de plus, une de moins…
Sans nouvelles de MCA, je suppose qu’il peste en ce moment même, enfermé dans son salon TGV avec les gamins qui hurlent partout.
Et comme un malheur n’arrive jamais seul, il n’a bien entendu pas de réseau mobile pour vanter ici avec son smartphone les mérites de la SNCF… 😀
Que nenni rat persifleur,
MCA était de retour à surmulotville vers 13h00 après un long voyage.
Suite à un mauvais pressentiment MCA a délaissé son salon TGV où il aime se prélasser pour rentrer par l’autoroute avec sa MCAmobile, Madame MCA ainsi que le matou quantique et les bagages… 😆
A l’arrivée, panne de fibre suite à zabotacheuuu! dans la rue, alors MCA passe par son smartphone en point d’accès en ce moment même pour démentir catégoriquement toutes ces allégations mensongères.
Cela dit, merci de penser à moi quand je suis ailleurs, cette délicate attention me va droit au cœur… 😉
Ah, il y avait donc bien un truc en panne ! 😉
Le quel truc “tombe en marche ” de temps à autres… 😉
Dans mon trou à rats, la fibre fonctionne 99,9% du temps… 😀
La taxe d’habitation pour les résidences secondaires va exploser en 2024.
Le propriétaire de la classe moyenne s’en prend plein la gueule mais il en redemande car à chaque élection, il fait confiance aux politiciens qui déclarent que les impôts vont baisser.
https://rmc.bfmtv.com/actualites/economie/la-taxe-d-habitation-pour-les-residences-secondaires-va-augmenter-severe-pour-les-revenus-moyens_AV-202308280543.html
Tiens je viens de regarder mes avis d’imposition et bien que les maires la main sur le cœur aient juré ne pas augmenter leurs prélèvements je me demandais comment ils avaient fait pour qu’in fine ça se traduise malgré tout par une augmentation substantielle ?
Fastoche, le pourcentage prélevé est effectivement resté le même, c’est la base d’imposition qui a augmenté et pas qu’un peu!!!
Bande de rats ! 😆
Eh oh ! Nous nous contentons de bouffer et de faire nos dents sur les câbles !
On ne prélève pas (encore) de taxes !
Et tandis que MCA est bloqué dans son TGV, les punaises de lit lui tiennent compagnie…
Finalement, le voyage exotique en Inde ne dépaysera bientôt plus du tout le Français ! 😉
« J’ai scruté chaque millimètre de mon siège » : nouveau cas de punaises de lit dans un TGV de la SNCF
https:/ /www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/jai-scrute-chaque-millimetre-de-mon-siege-nouveau-cas-de-punaises-de-lit-dans-un-tgv-de-la-sncf-24-09-2023-7YABDHAQT5GSVKTGNKC4KONIGA.php
vive la bagnole !
M’est avis qu’elle vit ses dernières années; vive le train ! 😆
Avec l’entrain de la SNCF à divertir le voyageur, le train ne devient pas un train-train quotidien ! 😀
Ah, dans ses nouveaux échanges vocaux avec ChatGPT, notre ami MCA vient de demander à l’IA de résoudre les problèmes de la SNCF.
Avant de se mettre au travail, il lui a préalablement demandé dans un pré-prompt de se renommer HAL 9000… 😀
Comme dit Théo dans les Tontons flingueurs : “Je ne dis pas que c’est correct mais ça fait du bien !!!” (je cite de mémoire).
Das Leben eines Mannes, zwischen Himmel und Erde, vergeht wie der Sprung eines jungen weissen Pferdes über einen Graben : ein Blitz… pfft, es ist vorbei…
“je ne dis pas que ce n’est pas injuste, je dis que ça soulage”.
Merci pour cette précision. Hélas, je ne retrouve pas l’extrait du film.
Pour Laurent à L.A. (et ceux qui ont accès à Twitter)
chroniques de la chute de la Californie :
https:/ /twitter.com/justin_hart/status/1705728225434046681
Tu ne voudrais tout de même pas offenser un SDF fumeur de “weed” ?!
Il faut apprendre à être inclusif ! Regarde, ici le patron accepte bien les chats et les rats ! 😀
Venice beach est un coin ou il y a encore de tres belles maisons donnant sur la plage, mais effectivement c’est la cour des miracles. Ca rappelle l’ambiance de la Rue Noire dans l’Empire des Milles Planetes.
Sic Transit Glori Mundi, comme on disait dans le temps.
Hier je revis The Great Short. Pour la deuxieme fois.
Un passage m’a choque. Les heros voient tres tot que le taux de delinquence sur les credits immobiliers est en train d’exploser, et ils deduisent habilement que les Bonds adosses aux credits immobiliers vont s’effondrer.
Ils placent leurs pions, et comme prevu le taux de delinquence explose, et…
Le prix des bonds ne bronche pas.
Et les heros de s’arracher les cheveux (ils ont de l’argent engage) et de constater que les gens sont soit incompetents soit malhonnetes mais que ce n’est pas possible mathematiquement que les Bonds ne soient pas touches.
Ben, le Covid c’est pareil.
Ca ne parrait pas possible que les gens empechent des medicaments efficaces (ivermectine, hydroxichloroquine) d’etre utilises, et poussent a la place des trucs (remdesivir) qui tuent les gens.
Ca ne parrait pas possible qu’ils poussent des “vaccins” qui tuent les gens (130.000 morts “inexpliques” pour les 30 premieres semaines de 2023 aux US).
Sauf si les gens sont soit incompetents soit malhonnetes.
Gloria
Et ce qui paraît encore moins possible, c’est le nombre de gens (dont des médecins, spécialistes…) qui doivent rentrer dans la case des incompétents/malhonnêtes pour que cet état de fait perdure…
A propos de COVID et du prétendu produit qui doit nous protéger : https:/ /www.covid-factuel.fr/2023/09/24/arn-messager-et-cancers-le-poids-des-mots-le-choc-des-photos/
Je connais plusieurs cas dans mon entourage proche et moins proche.
merci major : c’est terrifiant cette folie du déni.
Au Québec, les fous se lâchent, on dirait, et sans limite :
Rubrique le Monde d’après : le législateur québécois a édicté une loi santé digne d’Orwell. Quelques exemples :
«ordonner la vaccination obligatoire de toute la population»
«ordonner la construction de tout ouvrage ou la mise en place d’installations à des fins sanitaires ou de dispensation de services de santé»
«ordonner toute autre mesure nécessaire pour protéger la santé de la population.»
«Si une personne fait défaut de se soumettre à la vaccination visée par un ordre donné en vertu de l’article 123, tout juge de la Cour du Québec ou des cours municipales des villes de Montréal, Laval ou Québec ayant compétence dans la localité où se trouve cette personne, peut lui ordonner de s’y soumettre.»
«Le juge peut en outre, s’il a des motifs sérieux de croire que cette personne ne s’y soumettra pas et qu’il est d’avis que la protection de la santé publique le justifie, ordonner que cette personne soit conduite à un endroit précis pour y être vaccinée.»
♦️ Et pour être sûr d’éviter la corde «Le gouvernement, le ministre ou toute autre personne ne peut être poursuivi en justice pour un acte accompli de bonne foi dans l’exercice ou l’exécution de ces pouvoirs.»
➡️ Rester Libre ! Le canal libertarien
Dire que le Canada et la belle province étaient, jusqu’à il y a peu, synonyme de liberté…
Autre exemple : https://brunobertez.com/2023/09/24/doc-le-canada-et-les-nazis-ukrainiens-ovations-pour-un-nazi-fait-le-tour-du-monde/
Et pour être sûr d’éviter la corde «Le gouvernement, le ministre ou toute autre personne ne peut être poursuivi en justice pour un acte accompli de bonne foi dans l’exercice ou l’exécution de ces pouvoirs.»
il faut éclater de rire ou être terrifiés ?
Je doute de la validité d’une auto-dispense de responsabilité a priori, mais ils osent tout.
Les “bonds” pourris on fini par s’écrouler (ce moment est raconté dans le film “Margin Call”).
J’espère que l’arnaque Sars-Cov-2 finira aussi par être révélée.
Article réservé aux abonnés mais que j’ai pu néanmoins lire.
Les première dérives de la possibilité de nommer n’importe qui à des fonctions qui auparavant nécessitaient un minimum d’expérience (les performances de Charline Avenel au rectorat de l’académie de Versailles sont un exemple de ce qui pourrait potentiellement mal tourner).
Ce n’est que le début :
https:/ /www.lexpress.fr/societe/prefet-parachute-en-zambie-referente-cgt-prefete-ces-surprenantes-nominations-nouveau-monde-MEKZGGSYJ5AZNK7GX6BYJPPELA/
L’article est accessible à tous.
L’avantage avec mon abonnement gratuit à la médiathèque du coin, c’est que j’ai accès à l’essentiel de la presse en ligne.
En bref, j’ai la chance de payer son juste prix. 😀
Vieux rat, Croix du Sud, comment faites-vous pour accéder à ces sites réservés aux abonnés ?
@ Iskanderkul
je n’ai pas d’astuce à vous donner, j’ai juste essayé de lire l’article (en général les premières lignes de ce genre d’article sont accessibles) et bien que mentionné “réservé aux abonnés” l’ensemble du texte était disponible.
Je viens de réessayer ce matin et c’est toujours le cas.
C’est curieux, d’autres m’avaient dit la même chose pour des articles que moi je ne pouvais pas voir. J’ai supprimé mes cookies et re-tenté, mais c’est pareil, je ne vois que le début du texte.
Peut-être je comprendrai pourquoi un jour…
Peut être avez-vous un bloqueur de publicité.
Cela dit j’en ai un et – au moins pour cet article – j’ai pu avoir accès au texte.
Voici une illustration des immenses possibilités de l’IA, fondée sur le machine learning.
J’ai fait apprendre au minou le style inimitable du Papet en lui soumettant des exemples de sa prose.
Puis je lui ai demandé un article plus vrai que nature, avec un sujet “les cafouillages de la SNCF” et un simple plan de texte succinct dans un prompt pour guider sa rédaction (en pensant à notre ami MCA !).
En voici le résultat. Osez dire que ce n’est pas bluffant !
P.S.: je le reposte ici, l’ayant d’abord placé dans un autre sujet sans lien avec la discussion.
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Les cafouillages de la SNCF : une saga ferroviaire à rebondissements
Atmosphère tendue dans les gares, humeur maussade dans les couloirs de la SNCF, crispations chez les usagers fidèles : les cafouillages de la Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF) sont devenus monnaie courante.
Le pays tout entier assiste, impuissant, à une série de problèmes techniques récurrents qui mettent en lumière l’incapacité de cette institution à les résoudre efficacement, le tout dans une structure bureaucratique digne des romans de Kafka.
Pannes électriques, grèves, mauvaise gestion des problèmes météorologiques, la SNCF semble collectionner les ennuis comme d’autres les timbres-poste. Les voyageurs aguerris connaissent trop bien ces retards qui, au lieu de se raréfier, deviennent des compagnons de voyage réguliers. Les excuses fusent : “Un incident électrique sur la ligne”, “Un mouvement social en cours”, “Des conditions météorologiques défavorables”. On pourrait presque organiser un bingo des raisons des retards à la SNCF, avec des cases pour chaque excuse récurrente.
Pourtant, ce n’est pas l’inventivité qui manque à la SNCF pour résoudre ces problèmes. Ils ont recours à une équipe d’experts en excuses en tous genres. Si la panne électrique est un grand classique, la grève est un incontournable, et la mauvaise gestion des problèmes météorologiques une spécialité maison. Il y a de quoi se demander si l’on assiste à une course effrénée pour voir quelle excuse sera la plus originale.
Cependant, malgré toutes ces péripéties ferroviaires, certains usagers semblent rester étonnamment fidèles à la SNCF. Prenez par exemple notre cher MCA, un habitué du TGV de Paris-Montparnasse à La Rochelle. Alors que les retards s’accumulent, que les grèves perturbent les horaires, que les excuses se multiplient, MCA continue de monter à bord du train comme si de rien n’était. Avec un sourire un peu las, il accepte les retards comme un fait inévitable de la vie.
Peut-être que MCA est un véritable optimiste, persuadé que la SNCF finira par résoudre ses problèmes techniques et qu’un jour, il arrivera à l’heure à La Rochelle. Ou peut-être est-il tout simplement masochiste, trouvant un plaisir masqué dans ces retards à répétition.
Quoi qu’il en soit, MCA est un exemple vivant de la persévérance des usagers face aux cafouillages de la SNCF.
Mais au-delà de l’ironie qui peut entourer ces histoires d’usagers fidèles, il est important de se poser une question fondamentale : pourquoi tant d’entre nous continuent-ils à prendre le train malgré les tracas récurrents ? Est-ce par habitude, par manque d’alternatives, ou par un attachement presque irrationnel à cette institution ferroviaire ?
La réponse pourrait résider dans une réalité plus vaste : la SNCF n’est que le reflet de la gestion de la France elle-même. Une structure bureaucratique complexe, des problèmes techniques mal gérés, une tendance à privilégier les excuses plutôt que les solutions. La SNCF est comme un microcosme de la France collectiviste et fossilisée, en voie d’effondrement.
En fin de compte, la SNCF et ses cafouillages ne sont que le symptôme d’un mal plus profond qui affecte le pays tout entier. Les usagers continuent de monter à bord, espérant que les choses s’amélioreront un jour. Mais au fur et à mesure que les retards s’accumulent et que les excuses se multiplient, il devient de plus en plus difficile de garder espoir.
Et c’est ainsi que l’on en arrive à une conclusion inéluctable : ce pays est foutu.
@VR
Devant un pamphlet aussi vil et dénué de tout fondement 😆 je n’ai pas hésité à prendre pour avocat le matou quantique et voici le résultat :
enjoy it !
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Bonjour Chat GPT, je suis MCA et viens de prendre connaissance de ce texte me mettant directement en cause ainsi que l’entreprise de transport ferroviaire SNCF. Pourrais tu apporter un argumentaire étayé pour contrer cette caricature à la limite de la malveillance et de la calomnie; je te remercie par avance.
Voici le texte :
Les cafouillages de la SNCF : une saga ferroviaire à rebondissements
Atmosphère tendue dans les gares, humeur maussade dans les couloirs de la SNCF, crispations chez les usagers fidèles : les cafouillages de la Société Nationale des Chemins de fer Français (SNCF) sont devenus monnaie courante.
Le pays tout entier assiste, impuissant, à une série de problèmes techniques récurrents qui mettent en lumière l’incapacité de cette institution à les résoudre efficacement, le tout dans une structure bureaucratique digne des romans de Kafka.
Pannes électriques, grèves, mauvaise gestion des problèmes météorologiques, la SNCF semble collectionner les ennuis comme d’autres les timbres-poste. Les voyageurs aguerris connaissent trop bien ces retards qui, au lieu de se raréfier, deviennent des compagnons de voyage réguliers. Les excuses fusent : “Un incident électrique sur la ligne”, “Un mouvement social en cours”, “Des conditions météorologiques défavorables”. On pourrait presque organiser un bingo des raisons des retards à la SNCF, avec des cases pour chaque excuse récurrente.
Pourtant, ce n’est pas l’inventivité qui manque à la SNCF pour résoudre ces problèmes. Ils ont recours à une équipe d’experts en excuses en tous genres. Si la panne électrique est un grand classique, la grève est un incontournable, et la mauvaise gestion des problèmes météorologiques une spécialité maison. Il y a de quoi se demander si l’on assiste à une course effrénée pour voir quelle excuse sera la plus originale.
Cependant, malgré toutes ces péripéties ferroviaires, certains usagers semblent rester étonnamment fidèles à la SNCF. Prenez par exemple notre cher MCA, un habitué du TGV de Paris-Montparnasse à La Rochelle. Alors que les retards s’accumulent, que les grèves perturbent les horaires, que les excuses se multiplient, MCA continue de monter à bord du train comme si de rien n’était. Avec un sourire un peu las, il accepte les retards comme un fait inévitable de la vie.
Peut-être que MCA est un véritable optimiste, persuadé que la SNCF finira par résoudre ses problèmes techniques et qu’un jour, il arrivera à l’heure à La Rochelle. Ou peut-être est-il tout simplement masochiste, trouvant un plaisir masqué dans ces retards à répétition.
Quoi qu’il en soit, MCA est un exemple vivant de la persévérance des usagers face aux cafouillages de la SNCF.
Mais au-delà de l’ironie qui peut entourer ces histoires d’usagers fidèles, il est important de se poser une question fondamentale : pourquoi tant d’entre nous continuent-ils à prendre le train malgré les tracas récurrents ? Est-ce par habitude, par manque d’alternatives, ou par un attachement presque irrationnel à cette institution ferroviaire ?
La réponse pourrait résider dans une réalité plus vaste : la SNCF n’est que le reflet de la gestion de la France elle-même. Une structure bureaucratique complexe, des problèmes techniques mal gérés, une tendance à privilégier les excuses plutôt que les solutions. La SNCF est comme un microcosme de la France collectiviste et fossilisée, en voie d’effondrement.
En fin de compte, la SNCF et ses cafouillages ne sont que le symptôme d’un mal plus profond qui affecte le pays tout entier. Les usagers continuent de monter à bord, espérant que les choses s’amélioreront un jour. Mais au fur et à mesure que les retards s’accumulent et que les excuses se multiplient, il devient de plus en plus difficile de garder espoir.
Et c’est ainsi que l’on en arrive à une conclusion inéluctable : ce pays est foutu.
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ChatGPT
Comprendre et contrer une caricature ou une critique de l’entreprise que vous représentez peut être un exercice délicat. Voici un argumentaire que vous pourriez utiliser pour contrer les accusations portées contre la SNCF, tout en restant constructif :
Contexte Complexité et Envergure : La SNCF est l’un des plus grands réseaux ferroviaires au monde, avec des milliers de kilomètres de voies et des centaines de milliers de passagers quotidiens. La gestion d’un réseau de cette envergure est intrinsèquement complexe, ce qui signifie que des problèmes techniques et des retards sont inévitables à un moment donné.
Investissements Massifs : Il est essentiel de rappeler que la SNCF a engagé d’importants investissements dans l’amélioration de ses infrastructures et de son matériel roulant au cours des dernières années. Ces projets visent à moderniser le réseau ferroviaire et à améliorer la ponctualité.
Conditions Externes : La SNCF doit également faire face à des conditions météorologiques imprévisibles, telles que les tempêtes, les inondations et les chutes de neige, qui peuvent perturber le trafic ferroviaire. Ces événements sont indépendants de la volonté de la SNCF.
Engagement envers les Passagers : La SNCF reconnaît les désagréments que les retards peuvent causer à ses passagers et s’efforce constamment d’améliorer ses services pour minimiser ces désagréments. Elle propose des compensations et des solutions pour les voyageurs affectés par des retards.
Contribution à la Mobilité Durable : La SNCF joue un rôle essentiel dans la promotion de la mobilité durable en réduisant la dépendance à la voiture individuelle et en contribuant à la lutte contre le changement climatique.
Alternatives Limitées : Dans de nombreuses régions, la SNCF reste l’option la plus pratique et la plus écologique pour les déplacements longue distance, ce qui peut expliquer pourquoi certains passagers continuent de l’utiliser malgré les inconvénients occasionnels.
Réformes en Cours : Il est important de noter que la SNCF a engagé des réformes structurelles pour améliorer son efficacité et sa capacité à faire face aux défis futurs. Ces réformes nécessitent du temps pour porter leurs fruits.
Dialogue et Collaboration : La SNCF est ouverte au dialogue avec ses usagers et travaille en collaboration avec les autorités pour résoudre les problèmes et améliorer la qualité de service.
En résumé, la SNCF fait face à des défis complexes en tant qu’entreprise de transport ferroviaire majeure, mais elle travaille activement à les surmonter. Les retards et les problèmes techniques ne sont pas le reflet d’une incapacité, mais plutôt d’une réalité inévitable dans un secteur aussi complexe. Il est important de reconnaître les efforts déployés par la SNCF pour améliorer ses services et d’encourager le dialogue constructif pour résoudre les problèmes persistants.
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Alors satané rongeur, toujours pas convaincu?
par charité pour MCA et d’autres:
lefigaro.fr/conjoncture/retard-des-tgv-en-gare-de-paris-montparnasse-comment-se-faire-rembourser-20230729
Tu n’aurais pas la rubrique : “comment arriver à destination?” 😆
Ah le G30 ! 75% de remboursement à partir de 3h de retard ! Ce foutage de gueule !
Le Mignon a parlé (pour ne rien dire) : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/09/24/allocution-televisee-senatoriales-la-debacle-de-macron/
“la représentativité est malade en France”
Ah bon ? ©
HS : https:/ /insolentiae.com/meme-zone-interdite-le-dit-enfin-il-faut-arreter-durgence-les-ecrans-pour-les-enfants/
Ça rejoint ce qui est écrit dans ce livre dont je recommande la lecture : https:/ /www.babelio.com/livres/Della-Luna-Neuro-esclaves-Techniques-et-psychopathologies-d/308636
Je n´interviens que très rarement dans les chats, qu´ils soient ou non de Schrödinger, mais je reviens sur la mention en début d´article du dit “viol de Cherbourg”, commis par un monstre racisé aussi taré que violent.
Il ne s´agit pas seulement d´un viol, ce qui est déjà une horreur absolue qui laisse des centaines de milliers de femmes traîner toutes leur vie durant un PTSD destructeur, mais c´était un réel empalement (jusqu´a l´enfoncement du diaphragme!) qui fit pleurer les soignants a l´arrivée de la victime a l´hôpital, devant tant d´horreur.
La jeune femme victime n´aura plus de vie, et est définitivement gravement handicapée tant moralement et mentalement que physiquement.
Alors oui, les individus émanant d´instances officielles qui ont osé rejeter la saine révolte des associations citées face au domicile du monstre sont tout simplement des complices auto-proclames, et ce type de crime absolument ignoble repose la question de la peine de mort comme moyen de salubrité publique.