L’État français est obèse, et sa bureaucratie est, lentement mais sûrement, en train d’étouffer le pays. Cependant, certains Français résistent et s’adaptent.
On l’a vu : le pays s’appauvrit visiblement et si l’on peut débattre sur les explications profondes de ce constat – les politiciens sont incompétents ou des traîtres à leur propre peuple, à vous de choisir – il n’est plus guère de doute que la raison essentielle de ce qu’on observe provient d’une bureaucratie omniprésente qui englue toutes les démarches, d’une avalanche continue de normes, de contraintes et d’interdictions qui complexifie très inutilement toutes les activités entreprises en France, et bien sûr d’une ponction fiscale, taxatoire voire vexatoire, permanente et tous azimuts.
Deux articles économiques récents permettent d’illustrer clairement l’ampleur du problème.
Le premier montre comment les entreprises se passent progressivement de la publication de leurs offres d’emploi : entre 2020 et 2024, la proportion d’embauches ne résultant pas d’une publication d’offre est ainsi passée de 40% à 57%. Eh oui : à présent, il est plus fréquent de se faire embaucher au travers du bouche-à-oreille ou d’une cooptation plutôt qu’au travers d’une offre traditionnellement publiée par voie de presse ou en ligne.
Si le phénomène existe depuis un moment, le décollage en tendance s’explique d’autant mieux que le contexte français lui est très favorable.
Ainsi, se passer d’une embauche publiée, c’est s’éviter ou au moins réduire le contact avec les administrations de l’État (et toutes les pénibleries approximatives de France Travail) qui sont toujours une source de stress pour les dirigeants d’une entreprise.
En outre, cela permet d’éviter toute une panoplie d’embrouilles juridiques sur des annonces qui seraient potentiellement attaquées pour le moindre soupçon de discrimination, depuis le patronyme en passant par l’adresse, les diplômes, le sexe ou l’âge, chaque renseignement un peu personnel devenant une mine de plus à éviter pour le patron qui embauche. Ce ne sont pas les exemples qui manquent de campagnes de tests visant à prouver le racisme, le sexisme ou les préjugés sur les kartchiers émotifs que développent les méchantes entreprises lorsqu’elles font paraître des offres d’emploi.
De plus, la cooptation ou l’usage des réseaux de connaissance permet d’éviter les guignols qui ne viennent aux entretiens de pré-embauche exclusivement pour le tampon « j’ai fait une recherche d’emploi donc je peux continuer à toucher les aides », malheureusement très fréquents surtout chez les artisans.
Plus pragmatiquement, ne pas publier une annonce permet de s’éviter l’inévitable trouzaine de CV et de réponses farfelues ou d’appels de postulants même pas qualifiés de loin ou dont l’expérience est sans rapport avec le poste demandé et qui vont à la pêche, sans rime ni raison et qui rendent tout le processus d’embauche d’autant plus long, coûteux et complexe.
Mais surtout, en France, passé la période d’essai, le salarié devient particulièrement compliqué à licencier. La cooptation ou l’offre d’emploi par réseau relationnel permet sinon d’éviter au moins de mitiger le risque d’embaucher une personne finalement inadaptée à l’emploi et dont le prix de licenciement pourrait fort bien être inabordable pour l’entreprise (surtout lorsqu’elle est petite). Comme le mentionne l’article, « le recrutement d’une personne est un investissement très significatif » et « les entreprises ne peuvent pas se permettre de se tromper ».
Dans une société multiculturelle où la confiance inter-invididuelle s’étiole, la confiance doit être recréée et la cooptation est un moyen de limiter les coûts d’une erreur d’embauche. Au passage, c’est un phénomène qu’on retrouve exactement dans les locations immobilière, pour des raisons exactement transposables.
Et qu’est-ce qui fait que cet investissement est si significatif, qui rend l’erreur si coûteuse, si ce ne sont les myriades de règles, de contraintes et de charges qui pèsent actuellement sur l’emploi en France ?
Le constat de ces freins sur l’emploi est d’ailleurs corroboré par le second article qui montre l’augmentation drastique du travail au noir.
Il apparaît en substance que l’URSSAF constate un doublement en deux ans des redressements pour travail dissimulé sur les contrôles que l’organisme a opérés notamment dans le BTP :
Bien évidemment, on peut et on doit prendre avec de larges pincettes la notion même de « travail dissimulé » tant ces organismes ont amplement prouvé, à de maintes reprises par le passé, qu’ils ont une définition particulièrement extensive et gloutonne de cette notion, d’autant que leur propre application de la loi est particulièrement sujette à caution, les administrations étant régulièrement épinglées pour leur traitement fort leste de ces questions…
Néanmoins, le fait que l’URSSAF note une recrudescence du travail au noir peut aussi être analysé au regard de la situation économique et bureaucratique globale du pays : la paperasserie, les tracasseries administratives et, tout simplement, les coûts à l’embauche sont maintenant devenus si volumineux en France que la fraude devient progressivement plus rentable.
On assiste ici à une sorte « d’effet Laffer » appliqué à l’embauche salariée, comme « l’effet Laffer » fiscal selon lequel au-delà d’un certain montant, les impôts sur le travail, jugés confiscatoires, finissent par désinciter à travailler et rapportent alors de moins en moins.
Dans le cas qui nous occupe, il ne fait guère de doute que les entreprises concernées font un calcul de risque entre la probabilité de se faire prendre, le coût d’un redressement, et les gains engendrés par l’embauche au noir supplémentaire. Or, à mesure qu’augmentent les coûts d’une embauche régulière et qu’augmente en parallèle le nombre d’entreprise qui fraudent, le risque de se faire prendre diminue et ce d’autant plus vite que l’administration qui contrôle est de plus en plus empotée dans sa propre paperasse ou que les procédures juridiques sont complexes.
Tout comme les embauches sans publication, par cooptation et réseautage, cette augmentation du travail au noir démontre s’il était besoin que l’État français est en train de s’effondrer sous son propre poids et qu’en parallèle, les Français s’organisent pour échapper aux tortures administratives incessantes.
Après la fuite intérieure, après le repli d’activité pour n’offrir qu’une surface minimale d’attaque aux stupidités bureaucratiques et fiscales des systèmes administrés de façon catastrophique par l’État, petit-à-petit les Français s’adaptent.
Confrontés à un Léviathan de plus en plus obèse et de plus en plus aveugle, ils organisent ainsi leur propre évasion d’un État devenu fou.
Dans pas mal de corps de métier, une offre d’emploi=>50 réponses dont quinze convenables…
Dans la CUDL, mettre en place un portail pour fermer l’accès à un terrain occasionne une demande de travaux qui vaut quasiment une demande de permis de construire par le luxe de documents demandés. Une journée de travail et des envois informatiques à prévoir…
Encore un logiciel qui prétend couvrir toutes les possibilités potentielles de travaux et qui vous demande de certifier plusieurs fois que vous n’allez pas faire d’autres travaux créateurs de surfaces de planchers ou de murs…
Ne me parle pas d’urbanisme s’il te plaît.
Aujourd’hui, la différence est très faible entre une DP et une demande de permis.
Dès fois, tu te dis « cool le local est on, je m’installe pas besoin de DP ou permis. »
« Ah si Monsieur, il faut une déclaration de travaux et passer par la case commission accessibilité et incendie. »
Je te parlerai d’urbanisme si j’le veux, non mais !
> »Aujourd’hui, la différence est très faible entre une DP et une demande de permis. »
C’est pareil pour la TVA et la taxe sur la valeur ajoutée ou bien entre le DPU et le droit de préemption urbain. C’est encore plus évident entre le PQ et le CUDL.
entre le PQ et le CUDL c’est la merde non ?
CUDL?
DPU?
DP?
PQ = Papier Q?
.
Gné?
DP : déclaration préalable (pour tous les travaux peu importants ne nécessitant pas un permis de construire)
CUDL : je présume communauté urbaine de Lille
et pour le DPE attention, l’Administration vous a à l’oeil, et le gouvernement a décidé de lutter de toutes ses forces contre la fraude :
immobilier.lefigaro.fr/article/dpe-frauduleux-le-gouvernement-frappe-fort-avec-des-sanctions-et-mesures-inedites-contre-les-diagnostiqueurs-sans-scrupule-20250319/
Faire rouvrir une fenêtre remplacée autrefois par erreur par des pavés de verre fixes :
Travail pour l’artisan (hors usinage) : devis + métrage + pose + 2 déplacements : 3h.
Pour l’habitant : paperasses, affichage sur rue obligatoire, recommandés AR, déplacements en mairie, recherches sur legifrance, etc. : équivalent de 2 jours + absence totale de réponse + demande de pièces aberrantes hors de propos + menaces a posteriori du service d’urbanisme voulant tout faire remettre en l’état initial (celui fermé par erreur), puis procédure éteinte par inaction de la mairie.
Au passage, sur le cerfa des DP, il y a une erreur sur la date des contestations des décisions, ce n’est pas la même que dans le code de l’urbanisme.
Ah bon, en es tu si sûr qu’il s’agisse d’une erreur ?
Je suis curieux. Peux tu préciser de quelle erreur il s’agirait stp ?
Il s’agissait d’une erreur parce que les habitants croyaient être obligés de condamner une petite ouverture d’aération de salle de bain de 40 cm par 30 environ à 2m du sol de la pièce, et qui donnait depuis 70 ans sur des jardins, le leur sur 6m, puis d’autres, sans vue sur aucun bâtiment avant 55m. Un voisin même pas mitoyen en a pris ombrage et les a intimidés. Salle de bain mal aérée, etc. pendant des années + voisin agressif : ras-le-bol, retour à l’état ante. Mais ça équivaut à une création nouvelle, et ce n’est pas comme « changer » une fenêtre car il y a modification de l’aspect extérieur, même si on ne voit rien de différent de l’extérieur (sans parler du fait que c’est derrière des arbres énormes maintenant, en coeur d’ilot à 70 m de la voie publique).
Que les anciens propriétaires se soient laissé faire ne change rien au fait que la mairie a bien compliqué les choses, et abusivement.
Rien à voir avec l’urbanisme ce que voulait le voisin. C’est du code civil les jours de souffrance et tu trouveras ça dans le registre servitude de vue, article 660 et suivants du code civil de mémoire.
En plus, comme la hauteur est à plus de 190 cm, ce n’est pas considéré comme une fenêtre.
Il y a une modification de l’aspect extérieur donc DP dans ce cas. Rien d’étonnant.
À mes débuts de jeune entrepreneur naïf, j’ai passé quelques annonces pour embaucher, j’ai eu que du branque qui a mordu. Le plus marrant c’est quand c’est la femme qui appelle pour faire embaucher son mari 😀 j’ai même eu un jeune qui s’est pointé avec son père en entretien d’embauche 😀
Elle avait peut-être un deal à te proposer 😀
Sans compter que dans certaines professions, le non respect des horaires de repos est une maladie ou un défi quotidien. Et pour tenir, rien ne vaut quelques substances interdites farineuses
Exil intérieur…fait.
Diminution d’activité…fait.
Le travail au noir n’est pas une option possible pour mon activité hélas…
Il y a des cas où l’on a pas le choix.
Je suis passée d’infirmière à cuisinière ( on prend soin des gens d’une autre manière) quand j’ai été interdite d’exercer.
J’ai travaillé dur ( avec les 2 casquettes) un été au bord du Leman chez des riches suisses à particule.
Et là, le bouche à oreille fonctionne, si vous êtes bon, on s’arrache pour vous proposer un job avec de jolis biffetons colorés encore mieux payé l’année suivante.
Brava, bravissimo!
chez Made in Ch ?
Bravo à vous.
Moi je fais ce qui me plait le plus possible…et passe sous les radars pour l’instant grâce à ce fameux exil, éloignement intérieur .
Si ça ne suffit plus on verra.
Comme je suis fiable, relativement travailleur ( quand ça vaut la peine), adaptable et capable de frugalité si besoin, je suis assez optimiste quant à mes capacités de survie quoiqu’il arrive.
Pour le recrutement il y a aussi les cabinets de chasseurs de têtes.
Cela s’adresse à un haut niveau les chasseurs de têtes.
les politiciens sont incompétents ou des traîtres à leur propre peuple, à vous de choisir
Pourquoi choisir ?
Dans le communisme, la pourriture arrive toujours aux manettes. Staline l’avait bien compris.
« Ce n’est pas que le pouvoir corromp. C’est que le pouvoir attire les plus pourris et coruptibles ».
Ou quelque chose du genre.
Frank Herbert. Dune.
Encore une preuve
Principal opposant au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan, le maire d’Istanbul Ekrem Imamoglu devait être désigné dimanche 23 mars comme le futur candidat de l’opposition aux élections présidentielles.
ouest-france.fr/monde/turquie/recep-tayyip-erdogan/en-turquie-larrestation-du-maire-distanbul-resonne-comme-un-coup-de-tonnerre-pour-lopposition-2999d0a6-0498-11f0-b3ef-21814a7dd0ea
“ La veille, l’université d’Istanbul avait annulé son diplôme universitaire, prérequis indispensable pour pouvoir légalement se présenter comme candidat aux élections présidentielles.”
C’est encore mieux que nos 500 signatures 😀
Il FAUT être universitaire pour être candidat?
.
L’ENA est considéré comme une université?
Bah nan il n’y a pas de chaire de théologie islamique
Pour l’instant
Soyons optimistes.
Ah, l’UE fait des émules après l’exemple roumain…
Remis en cause du théorème de Madelin 😉
Dans la deuxième image, je changerais le dialogue par:
« Comment ça, vous n’avez pas le formulaire {LV-426} nécessaire depuis hier? Et vous osez venir avec le document {tuladnlku 667-1}, obsolète depuis la semanien passé? «
Le patron aurait aussi pu faire référence à la maison des fous pour l’imprimé A 32
Cet extrait d’Astérix n’a pas pris une ride et prouve que le problème est déjà ancien.
le A38 pour commencer :
dailymotion.com/video/xafzxn
Exil tout court……….fait.
Le plus efficace pour dire merde à ce pays devenu fou.
Certes mais j’aime men pays, mes paysages, mes bois.
Ma famille est ici et puis j’ai pas trop le courage…
barrière de la langue, c’est terrible …
parfois je confonds les pseudos, c’est vous le pharmacien chasseur ?
le pharmacien de ma connaissance est en bourgogne , c’est dans votre coin ?
c’est vrai que ce sont des paysage sympathiques (avalonnais)
« j’aime mon pays » !!! c’est beau mais moi c’est de moins en moins….
Il y a deux visions
Mon pays physique avec ses paysages, ses mers, montagnes, campagnes, monuments, histoire, sa gastronomie, sa langue, son art de vivre … et là effectivement la France est un pays exceptionnel au monde,
Mon pays « administratif et politique » et cette fois c’est une catastrophe sans nom à tous les étages et le drame c’est que c’est ce second pays qui nous pourrit la vie, nous flique, nous contraint pour ne pas dire nous réduit et plus en plus à moins que rien, nous ruine, nous impose des cultures hostiles, des mœurs de tarés (LGBT, Woke, éducatifs etc…), une imposition de débile, la corruption des « élites », une censure digne des dictatures, une éducation, police, justice de tiers monde et nous assistons impuissants au naufrage inéluctable.
C’est ça le problème français et il ne pourra être stoppé que par une révolution que les dirigeants actuels redoutent, donc ils font tout pour maintenir le couvercle sur la marmite en n’hésitant pas à utiliser la violence quitte à en mutiler, blesser, voire tuer pour que ça dure encore.
Et ce qui me navre le plus c’est qu’ils trouvent des français issus du peuple prêts à se livrer à ces exactions sans état d’âme pourvu qu’ils soient couverts et que la paie soit bonne.
+100
Je sais, nous pensons la même chose…hélas!
Quand je parle de « mon pays » c’est celui de mes ancêtres avec tout ce que ça recouvre et aucunement ce qu’a créé l’occupant intérieur.
A quand le combat de l’urssaf contre le travail dit « simulé » ? Y’a pléthore au sommet de l’état.
Excellent!
Ça ne marchera pas. Dans « travail dissimulé » il y a « travail ».
Pour avoir un passeport, commme le justificatif de domicile d’EDF est à ma nom, je fais une belle lettre comme quoi mon épouse habite avec moi. On touche là le fond de la connerie.
Il y a deux trucs qui font plaisir au personnel administratif : ce genre de justificatif et les tampons rouges sur les papiers.
Les fantasmes du fonx !
Alors que moi un tampon rouge c’est de nature à m’ôter tout plaisir.
réplique digne d’un film à l’arrache !
Et c’est sorti dans la presse officielle donc c’est vrai : insolentiae.com/la-une-du-jdd-sur-le-desastre-economique-francais/
en parlant de jdd
lejdd.fr/economie/hydrogene-vert-la-plus-grande-usine-francaise-ouvrira-en-2025-156055
Bon c’est le JDD de Bolloré, pas trop la voix de son maître
Aller, pour sourire (jaune) : insolentiae.com/le-jaguar-ne-court-pas-leconomie-de-guerre-de-macron-un-fiasco-comme-tout-le-reste/
il suffira d’un drone un matin…..
Un matin tout tranquille,
Et serein
Quelque chose d’infime
C’est certain
C’est écrit dans nos livres
En latinIl n’y a rien d’anormal à ce qu’un matériel militaire neuf rencontre quelques petits problèmes lors de sa mise en service mais si ce que dit Charles Sannat est vrai, et pourquoi ne le serait-ce pas, et compte tenu du temps de développement de l’engin, on a le droit de se poser des questions. C’est comme pour l’A400M qui, lorsqu’il a commencé à être livré aux forces en très petites quantités, était tout juste capable de décoller et de se poser. Le domaine de vol a été ouvert ensuite après 20 ans de développement !!!
Non seulement il y a une évasion intérieure des Français, mais il y a même une évasion de l’Etat lui-même !
Reconstruction de ND : une loi d’exception pour aller plus vite !
JO de Paris : une loi d’exception pour être prêts à temps !
Reconstruction de Mayotte : Bayrou annonce une loi d’exception !
Réarmement : dans une tribune de l’Opinion (aujourd’hui), un think tank demande une loi d’exception !
En même temps (eh oui !), les mêmes multiplient les normes, les décrets, les zautotorités et autres monstres bureaucratiques…
Dans la même veine puisqu’on parle d’emplois, l’état peut conclure 200CDD d’affilée à un employé mais une entreprise maxi 2 je crois
Normal, tu te crois où ? Les lois c’est fait pour les gueux, pas pour l’état.
Il fut un temps où il fallait une taille minimum pour être dans certaines administrations : pompiers, police, armée etc… et ne pas être en surcharge pondérale ou handicapé, c’était de la discrimination 😀
Comment ils font maintenant pour le faire sans le dire ?
Maintenant, tu as des ergothérapeutes et des médecins du travail qui disent à ton chef de service que tu dois avoir un fauteuil de bureau et un bureau adaptés pour éviter les TMS.
cela s’appelle « aptitude médicale » tout simplement.
C’est malin !
ne parlons pas des tatouages, des queues de cheval ou des boucles d’oreille….
Bien observé.
Quand il s’agit de briller, de faire avancer leur carrière la politicaillerie s’affranchit des règles qu’il fixe à la plèbe.
Ces gens sont devenu objectivement nos ennemis.
C’est simple.
Oui, ils ont objectivement nos ennemis, et pas qu’en s’affranchissant des règles qu’ils fixent à la plèbe. Demandez à certains Gilets Jaunes ou aux victimes des injections, du moins celles qui ne sont pas passées de vie à trépas.
Cette guerre contre la population se déploie par la désignation perverse d’un ennemi extérieur (terrorisme, CO2, pollution, virus, Poutine…), et avec tous les moyens médiatiques et d’ingénierie sociale.
Car « L’opinion publique est la clé. Avec l’opinion publique, rien ne peut faillir. Sans elle, rien ne peut réussir. Celui qui manipule les opinions est plus important que celui qui applique les lois. » (Abraham Lincoln (1809-1865), 16e président américain)
Et cette guerre, dont nos gouvernants sont les collabos de nos ennemis, n’est pas spécifique à la France
» Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial.
La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. » (David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991)
Comme je le disais hier en référence au billet du patron, qui le répète encore aujourd’hui (…si l’on peut débattre sur les explications profondes de ce constat – les politiciens sont incompétents ou des traîtres à leur propre peuple, à vous de choisir… ), ce sont des traitres, tout s’éclaire quand on analyse avec ce biais là.
Bref la machine continue à fonctionner, son inertie est immense jusqu’à la fin ou tout se grippera et finira par casser, et alors ouille, ca sera pour tout le monde le moment de passer à la caisse.
« Ces gens sont devenu objectivement nos ennemis »
C’est une évidence depuis longtemps et ça durera tant que ceux chargés de réprimer dans la violence ne feront pas leur analyse de conscience.
La députaillerie a le choix entre deux options sur les pupitres: le bouton vert = une loi, le bouton rouge = une taxe. C’est simple.
Un de mes fils qui vit à Tokyo avec son fils et son épouse est venu avec sa petite famille à Noël. Il lui a été impossible de faire faire un passeport au loupiot, alors il a un passeport japonais. Qu’il garde cette nationalité.
Il faut qu’il demande l’asile, mes parents me tapent etc…
si jeune et déjà poney !!!
L’épouse est japonaise, donc, pas de soucis.
il me semble qu’à 18 ans il lui faudra choisir car il n’y a pas de double nationalité au Japon ?
Pour quelle raison, le refus du passeport pour le loupiot ?
Pour des raisons nippones ni mauvaises…
A-t’il fait la déclaration de naissance à l’ambassade?…
« ils ont une définition particulièrement extensive et gloutonne de cette notion »
Le travail « dissimulé » ne rapporte effectivement aucune cotisation , et n’ouvre donc pas non plus de droits à l’assurance maladie et à la retraite, donc n’engage aucun frais pour l’Etat. S’ils étaient intelligents et savaient compter, nos sinistres comprendraient que l’argent gagné avec ce travail est dépensé dans le monde réel et rapporte au minimum le montant de la TVA! Mais effectivement quand on est glouton, il n’y en a jamais assez!
L’embauche par « cooptation », avait été repérée, il y a plusieurs années déjà, dans les effectifs de la mairie de Toulon , par La Cour Régionale des Comptes PACA ( Marseille) . La CRC avait parlé de services, dans lesquels de nombreuses personnes portaient le même patronyme !!!
Encore un coup des masculinistes!
.
J’explique:
Patronyme = » nom du père ».
Rhooo tu penses tout de suite au mal, peut-être que l’efficacité fonctionnariale est héréditaire
Sans aucun doute! Inscrit dans les gênes même (1)!
Mais pourquoi pas hériter de la mère? Hein? Pourquoi toujours du père? Hein?
.
(1) ça y est! J’ai fait du racisme!
Sans les stagiaires ou les contrats courts, ça pédalerait sérieux dans notre magnifique Administration.
« …passée la période d’essai, le salarié devient particulièrement compliqué à licencier… »
Est-ce une raison suffisante pour qu’un père de famille de ma connaissance, employé par un organisme d’état, pour un travail qu’il aime et pour lequel il est reconnu comme étant très compétent, en est réduit à devoir accepter de signer un troisième CDD de 6 mois ?
il peut passer un concours / examen interne pour être titulaire ?
Il faut qu’il y ait une ouverture de poste programmée, je ne t’apprends rien spèce de fonctionnaire 😀
Ca devrait être la règle : personne ne devrait être obligé d’employer qqun pour une durée indéterminée, ne serait-ce parce qu’on ne connaît pas l’avenir
Les entreprises ainsi que les salariés devraient pouvoir conclure des contrats avec des clauses qui leur conviennent sans que l’état viennent mettre ses gros doigts dedans, sauf pour l’utilité publique, et encore
Bien sûr.
Contrat entre l’employeur et le salarié sans interventions extérieures et tout ira beaucoup mieux.
A ce que je sache, gameover, ce n’est pas vous qui êtes chargé de fixer les règles qui régissent notre pays, ou bien ?
De plus, je crois avoir signalé explicitement que c’était justement un organisme d’état qui était l’employeur de ce monsieur, son emploi peut donc être considéré comme étant d’utilité publique, ou bien ?
Oops remplacer utilité publique par ordre public dans mon comm’
Pour ce qui est des règles, ici on parle d’en supprimer car c’est le noeud du problème
Et ce n’est pas parce que qqun est fonctionnaire que son job a une utilité publique… mais pour au moins 50% d’entre eux une inutilité publique c’est sûr
Se rappeler pourquoi le statut fonx a été créé : ne pas dépendre des élus et de leur bon vouloir clientéliste.
GO a largement raison.
On devrait introduire la notion de « nocivité publique » pour les postes de fonctionnaires.
Et le ressortir au moment où on devra leur payer leur retraite, pour le jour où plus personne ne voudra prêter à l’état français.
Si budgétairement le poste n’est pas créé, le CDD est le seul moyen de l’embaucher.
par ailleurs, pour être titulaire, la voix normale est le concours…
« Durée indéterminée », ça veut dire, si tu relis avec ton doigt (je fais mon sam, dont nous portons toujours le deuil) qu’on ne décide volontairement de ne pas y indiquer de date limite, parce que ni l’employeur ni le salarié ne sont en mesure, au moment de la signature, de connaitre la date à laquelle on désire y mette fin.
Il se fait que ce mode de contrat convient souvent à beaucoup de gens…
Maintenant, il est vrai qu’un certain nombre d’employés, on un peu de mal à comprendre que CDI n’est pas synonyme d’indissolubilité éternelle du contrat. La faute à l’ednat, sans doute.
Le problème avec un CDI c’est qu’il faut le rompre pour se séparer alors que la logique avec “indéterminée” serait de juste se dire bye-bye… voilà c’est fini
Rompre ça veut dire un dédommagement de la part de l’employeur etc… alors que si c’est le salarié qui rompt le contrat il n’y a pas de dédommagement
Foin de tout ça, chacun reprend ses bille et hasta luego
comme pour le mariage !!!
Ça devrait effectivement pouvoir se discuter dans les termes du contrat.
Un employeur qui me proposerait 3 mois de salaire s’il me vire, serait plus attractif qu’un autre qui ne propose rien.
Oui voilà par exemple
Ouais, mais en fait, non : prendre les gens pour des adultes responsables, ce serait ultralibéral, liberté du renard dans le poulailler, toussa. On a besoin de l’état pour nous protéger, en fait.
En suisse c’est un mois de préavis en dessous de 2 ans d’ancienneté et aucun besoin de justification.
C’est très bien comme ça.
Quand j’ai installé la clôture c’est une fois posée que je me suis demandé si fallait une autorisation. Les PV fallait faire une demande RAB. Maintenant faut que je fasse le portail je vais pas me prendre la tête…
et en copro c’est encore pire
J’ai toujours pensé qu’acheter un appartement, c’est acheter de l’air, puisque vous n’êtes pas propriétaire du sol, avec les nuisances ( un gus au dessus et un gus en dessous de la tête, avec toutes les joyeusetés de la copropriété !
L’idéal étant une maison avec vue ( sans verrues mitoyennes) dans un chouette coin de campagne.
Après il faut aimer être loin de tout comme dans mon coin d’Auvergne.
Très beau pays l’Auvergne.
+1 en ce qui concerne l’appartement; vive le pavillon n’en déplaise à certains ministres que j’emm* !
et non mitoyen, et tâcher de bien s’entendre avec ses voisins (pas toujours évident).
J’ai lu tous les échanges depuis mon com de 10 h 26 min, jusqu’à celui de Guillaume P. de 11 h 32 min, et ça m’a fait irrésistiblement penser à ce jour où en 1955 ou 1956, au lycée du Parc Impérial à Nice, après des explications alambiquées d’un professeur, un élève s’était dressé tout droit, et avait clamé très distinctement : LE MER DIER !
« guerre nucléaire même pas peur »
youtube.com/watch?v=n2RNSUDefl8&t=153s