5 “pistes” pour vos placements

Un article de Henry Bonner

Au rez-de-chaussée de l’hôtel à Dublin où je me trouve, un établissement aux goûts du jour, la moitié des personnes travaille sur des ordinateurs portables, tandis qu’une personne porte un masque chirurgical… à présent un signe de faiblesse du cerveau.

Dublin profite de beaucoup de modernité, en raison d’un essor des investissements dans les bâtiments de bureau, de logements, et de l’infrastructure de transports – dont les ponts et les autoroutes – sur les deux dernières décennies.

À présent, l’Irlande a le plus grand revenu par habitant de tous les pays d’Europe, ce qui montre surtout l’impact des revenus des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) sur les statistiques. Elles déclarent les revenus à l’intérieur du pays pour des raisons de fiscalité.

En principe, comme l’ont écrit des gens comme Adam Smith et Frédéric Bastiat, la prospérité d’un pays dépend non pas des efforts ou du travail des bureaucrates, mais des particuliers, chacun dans la gestion d’un projet, d’une entreprise, ou d’un ménage, sans la nécessité d’une direction par une poignée d’élus, de ministres, ou de fonctionnaires.

Pourtant, dans la réalité, beaucoup de richesses dont disposent les individus provient non pas d’un effort, ni de la création d’un bien ou d’un service, mais d’une distribution ou d’un privilège de la part des dirigeants.

L’entrée de l’Irlande dans le système de l’euro, les taux d’intérêts à raz-le-plancher depuis des années, et les questions de fiscalité des entreprises, contribuent à l’enrichissement des promoteurs et spéculateurs en immobilier autour de Dublin. De même, les soutiens à l’accès au crédit – en France – profitent au secteur de la construction et de la vente de logements. Cependant, avec déjà un début de difficultés pour les acteurs du secteur, le gouvernement propose des mesures de sauvetage avec des subventions à la création de crédits.

Le monde des startups et de la technologie en général profite du gonflement d’une bulle dans les marchés depuis des années.

Avec la fin des hausses de taux par les banques centrales, les actions de technologie reprennent des couleurs du jour au lendemain. Le Nasdaq grimpe de 10% sur un mois, en raison de l’optimisme pour un retour des mesures d’assouplissement sur les marchés. Puisque beaucoup d’acteurs dans le secteur manquent de profits, l’accès à des capitaux – via des levées de fonds ou la dette – fait partie du mode de fonctionnement du secteur de la technologie. Sam Altman – de nouveau le PDG du groupe OpenAI – annonce la nécessité de 100 milliards de dollars d’investissements pour les futurs développements de ChatGPT.

Des zombies, comme WeWork et l’application d’assurances Luko, font faillite. Pourtant, en dépit des faillites des entreprises, les acteurs individuels dans la débâcle gagnent souvent des fortunes.

L’argent de leurs années de salaires, les primes, et la vente d’actions – via des levées de fonds chez des investisseurs ou créanciers – reste dans les comptes en banque fondateurs et gérants… De plus, ils conservent des réseaux de contacts et une notoriété dans le milieu des startups et des incubateurs.

Ces bulles entraînent ainsi un dérèglement des incitations dans l’économie : les entrepreneurs et les financiers exploitent le gonflement de la bulle, puis laissent à quelqu’un d’autre les pertes à venir lors de la phase de dégonflement. L’application d’assurance Luko cumule ainsi 70 millions d’euros de levées de fonds depuis sa création en 2016, mais elle a une dette de 45 millions d’euros. Selon les révélations de la procédure de sauvegarde, l’assureur Allianz attribue une valorisation de 8 millions d’euros au groupe.

Pour ceux qui comprennent ces dérèglements, cela peut être une opportunité de profits ; c’est ce que fait mon équipe. Par exemple, la fermeture du nucléaire et la crise des énergies depuis la réouverture mènent à des gains de 1.681% chez Consol Energy, une société de charbon, sur les 3 dernières années. Peabody Energy, qui est aussi dans le charbon, a fait un gain de 735%. Et Hallador Energy, toujours dans le charbon, grimpe de 1.367%. En bref, les déformations de l’offre et de la demande à la suite de décisions purement politiques peuvent profiter à nos portefeuilles.

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Commentaires24

  1. Aristarkke

    Le charbon, moins écologique que le nuke, est plus rentable. Nos escrologistes sont vraiment des charlots, ce qui de la part de Soces est finalement une situation normale…

    1. Theo31

      Les enculogistes n’ont jamais eu pour objectif de sauver quoi que ce soit hormis ton pognon pour passer du bon temps à se faire passer pour des bienfaiteurs de l’humanité.

    1. Vieux rat

      Lupus devrait songer depuis le temps à revoir la présentation de son site.

      Il est tellement lourd que j’ai du mal à le charger, avec ses images de taille démentielle. Du coup, je ne le fréquente plus…

    2. Habeas Corpus

      “En fait, Kissinger s’est toujours montré sympathique au communisme et il s’est fait le chantre du mondialisme (ce n’est pas incompatible, bien au contraire, comme le prouve la marche actuelle vers un globalisme appuyé sur le socialisme international).”

      Voilà, lui au moins, il a tout compris.

      1. Vieux rat

        Les vertus du socialisme ont su séduire nos oligarques occidentaux !

        La nomenklatura s’en fout plein les fouilles, tandis que la peuple est contraint de fermer sa gueule devant les décisions du Politburo. 🙂

        Seul souci : ça ne finit pas très bien…

  2. Olaf

    Mon pauvre ami, vous ne suscitez guère d’enthousiasme chez les groupies de H16. J’en suis gêné. Plus d’humour, de liens de coordination entre les paragraphes, du punch, un peu de provoc et surtout du style!un peu de musique…vos billets sont plats et ennuyeux comme un jour sans pain, sans jazz.

    1. Vieux rat

      On peut peut-être suggérer à Henry de prendre contact avec Kekoresin ?

      Le style sera légèrement… différent, mais peut-être cela suscitera-t-il de nombreux commentaires ! 😀

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