Charlie Kirk et l’effondrement démocratique

Sans le moindre doute, l’assassinat de Charlie Kirk montre une fois de plus que déshumaniser un adversaire conduit inéluctablement à user de la violence à son encontre lorsque celui-ci refuse de se taire ou de disparaître. Ce n’est malheureusement pas la première fois, ni certainement la dernière, que le rappel de cette réalité sera fait.

Cependant, on lit ici ou là que cette rhétorique déshumanisante est un poison qui rongerait nos sociétés démocratiques.

Ce n’est qu’en partie vrai : refuser de voir l’humain dans celui qui tient des opinions différentes est effectivement une façon aussi toxique que rapide de transformer la relation en conflit et justifier la violence, mais non, cela ne ronge pas nos sociétés démocratiques : à proprement parler, il n’y a plus de démocratie réelle actuellement en Occident.

Si cela ronge quelque chose, c’est malheureusement plus profond que la seule couche démocratique des sociétés : cela a maintenant atteint toutes les strates, depuis les individus jusqu’aux partis politiques. On se déchire autant en famille que dans la rue ou sur des plateaux télés pour des opinions différentes et ces dernière se font chaque jour plus radicales, moins nuancées et moins aptes à supporter l’aménagement, le compromis.

C’est d’ailleurs pour cela que ces sociétés occidentales se meurent assez visiblement.

Grâce à une application lente mais obstinée du gramscisme dans la culture et l’éducation pour transformer la société, inexorablement, les universités, les écoles, les instituts de formation, les outils de production culturelle, les associations lucratives sans but ont tous ou presque été « capturés » par une caste issue des mêmes formations intellectuelles, des mêmes bords idéologiques de gauche, essentiellement marxistes ou au moins collectivistes, qui ont soigneusement, au cours des 50 dernières années, infiltré les postes à responsabilité de la société actuelle, i.e. tous les médias, la magistrature, partis politiques, les grosses associations avec pignon sur rue etc. en y cooptant leurs semblables.

C’est vrai en France, aux États-Unis, au Royaume-Uni, … bref, partout en Occident le schéma est le même et se répète de façon singulière : à chaque fois, on notera qu’arrivée aux postes clés, la caste se protège en distribuant les postes, les subventions, les aides, les facilités et les prébendes aux bonnes associations, à la bonne presse, aux bonnes formations et institutions, aux bons individus (c’est-à-dire ceux qui véhiculent les messages qui leurs sont utiles). Les scandales sur les distributions de l’USAID aux États-Unis dévoilés par le DOGE ou de l’AFD ou des subventions à la presse en France montrent bien, outre l’évident capitalisme de connivence, la dérive non démocratique maintenant en place.

Parallèlement, à l’étage supra-national, ces mêmes individus n’ont eu de cesse de pousser des institutions aussi peu démocratiques que possibles (ONU et institutions filles, OTAN, Union Européenne, etc.) qui permettent, là encore, d’y coopter leurs amis idéologiques.

Quand on observe la trajectoire globale des sociétés occidentales sous cet effet, on ne peut qu’observer deux phénomènes : d’une part le déplacement des discours traditionnellement de droite vers le centre de l’échiquier et une poussée de la gauche vers l’extrême-gauche, et d’autre part la polarisation de plus en plus claire des individus.

Tout ceci est logique et se déroule en deux temps.

1- Une fois les médias polarisés, il devient impossible d’exister sans tenir un discours qui y est autorisé, i.e. de centre, de gauche ou d’extrême-gauche, mais certainement pas de droite conservatrice ou libérale.

C’est une censure subtile, mais elle s’illustre sans ambiguïté par exemple (parmi d’autres) avec le refus des gens de gauche d’aller sur CNews, la seule chaîne vaguement de droite du PAF (et toutes les variations sur « on ne discute pas avec les nazis »). Elle s’illustre avec les délicieux plateaux d’intervenants d’émissions de débat de société ou de politique où on retrouve 4 ou 5 personnes issues de la gauche ou de l’extrême gauche, pour une de la droite ou de l’extrême-droite – quand il y en a une ! La contradiction sera éventuellement présente, mais comme un gage, pas comme une réelle envie de montrer tous les points de vue à égalité. Du reste, pour la caste médiatique, c’est de bonne guerre : on ne donne pas la parole aux méchants, puis aux ennemis, puis à Hitler, enfin voyons ! Il est intolérable de tolérer les intolérants, et le curseur définissant ceux qui sont intolérants sont dans les seules mains des cooptés de la caste.

2- Cette situation pousse alors les partis à adapter leur discours pour pouvoir être vus : petit-à-petit, même les partis traditionnellement à droite, libéraux ou conservateurs se font plus étatistes et collectivistes, et se retrouvent systématiquement à jouer en défense pour éviter les anathèmes, d’ailleurs largement relayés par des médias qui sont favorables à ceux qui les distribuent.

La différence entre les partis de gauche, du centre et de droite rétrécit d’années en années. Le parcours économique du Front puis Rassemblement national en France est une illustration parfaite de cette tendance lévogyre.

Le résultat est sans appel : l’offre politique correspond de moins en moins puis plus du tout à ce que demande le peuple et c’est assez visible tant dans les sondages d’opinion que dans l’instabilité politique, en France comme ailleurs. Il y a un fossé de plus en plus large entre le peuple et cette frange qui dirige la politique, les médias, la magistrature, les associations, etc. Cet écart explique à la fois la radicalisation de l’expression sur les rares endroits où elle est encore libre et le besoin de censure rabique qui s’est emparé des institutions qui sentent le pouvoir s’échapper.

Aux États-Unis, l’arrivée du Trumpisme a largement accéléré le retour de balancier vers une administration et un gouvernement plus en phase avec le peuple. On observe actuellement les soubresauts de plus en plus violents d’une gauche devenue presque folle qui sent l’abandon du peuple et des leviers de pouvoir qui vont avec, et dont on se doute qu’il aura des conséquences fortes pour ceux qui vont aller trop loin : rapidement, les actes qui étaient avant favorisés par l’establishment ne seront dorénavant plus sans conséquence d’autant qu’ils sont fermement opposés au nouvel establishment en place.

De façon intéressante, un précédent billet mentionnait un « effet domino » provoqué par Trump, Milei ou Bukele arrivant au pouvoir. C’est exactement ce qu’on observe actuellement, avec une panique et des gesticulations de plus en plus affolées des différentes institutions de pouvoir pour ne rien lâcher, une multiplication des pliages de la réalité par le médiaverse de plus en plus spectaculaire.

Pour la gauche, la démocratie n’est valable que lorsqu’elle lui permet d’obtenir le pouvoir. Dans ce cadre, ce qui vient d’arriver aux États-Unis avec Charlie Kirk est donc un signal, celui que la gauche a compris qu’elle est en train de perdre le combat culturel et le combat politique et devient donc de plus en plus violente.

C’est aussi, paradoxalement, une preuve que le collectivisme, le marxisme et le fascisme reculent.

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Commentaires28

  1. Ryan

    Bon retour, h16!

    Les ultimes mots de M. Kirk:

    Spectateur: “Do you know how many transgender Americans have been mass shooters over the last 10 years?” an audience member asked.

    “Too many,” Kirk responded to applause from the crowd.

    The attendee informed him that the total was five and continued: “Do you know how many mass shooters there have been in America over the last 10 years?”

    “Counting or not counting gang violence?” Kirk replied before

  2. Higgins

    À quelques nuances près, billet auquel j’adhère. Je remets donc ici le billet de Régis de Castelnau qui dit peu ou prou les mêmes choses : regisdecastelnau.substack.com/p/assassinat-de-charlie-kirk-ces-guerres (je n’ai pas fait d’analyse de texte subtile, je m’en tiens à l’esprit ce que visiblement certains commentateurs du billet de RDC ne savent pas faire).
    Visiblement, les rares neurones de certains individus ne sont pas touchés par ce niveau de réflexion. Un député macroniste nous en fournit la preuve : https://www.fdesouche.com/2025/09/14/charlie-kirk-etait-raciste-supremaciste-et-pro-russe-affirme-valerie-hayer-depute-europeenne-macroniste-et-presidente-de-renew-europe/
    Qu’un élu ait un niveau de réflexion aussi bas me laisse pantois. Je n’ai aucune estime ni respect pour ce genre de personnage. Le jour où ce sera elle la cible, elle comprendra peut-être.

    1. breizh

      les slogans simplistes sont plus efficaces (dans un premier temps) que les réflexions nuancées et construites.
      Ils évitent aussi l’effort de réflexion.
      Certains commentaires même sur ce blog le prouvent.

    2. durru

      Nathalie Loiseau a tenu peu ou prou les mêmes propos, sans oublier antisémite et pro-esclavage.
      Il fallait quand même apporter une réponse forte aux détracteurs de la décision (applaudie) de la présidence du parlement européen de refuser la minute de silence en mémoire de Charlie Kirk.

  3. Theo31

    Ils sont antifascistes mais ils pleurent Paroubiy qui considérait Hitler comme le plus grand homme du XXeme siècle.

    Comprenne qui pourra

    Je rappelle que les fas et les antifas s’habillent chez les mêmes couturiers.

  4. Cherea

    Bonjour H16,
    on ne peut que aller dans votre sens. J’ajouterai aussi une dimension au messianisme de gauche décrite dans l’article, au-delà de ce qui est dit depuis des années, c’est la tendance à rendre les choses irrémédiables…surtout en France mais j’imagine que ça doit être un peu pareil partout…
    Il y a cette volonté de s’engager dans un chemin sans possibilté de revenir si le chemin est mauvais, en France c’est ce que j’appelle « l’idéologie républicaine », bien sûr clin d’oeil à BHL est son idéolgie française mortifère…en gros dans ma théorie de cette idéologie républicaine, il y a cette volonté d’exclure, de faire partir ceux qui sont désignés comme des ennemis…prenons l’exemple français, et on peut remonter jusque 1789, avec cette volonté de faire partir les riches/nobles de l’époque pour qu’ils ne soient plus là et n’aient plus voix au chapitre…on a vu la catastrophe que ça a été de faire partir les + riches, les + éduqués, et puis à nouveau pareil avec Mitterrand et l’isf et toutes les délires sociaux, encore une flopée de riches qui est partie, et à nouveau pareil avec Hollande et là on va refaire pareil avec cette taxe Zucman…donc l’idéologie républicaine vise sciemment à faire partir ceu qui sont dans la tendance naturelle d’une société, droite, bon sens, bourgeoise en tout cas en Occident…et à importer tous ceux qui sont favorables à cette idéologie répulicaine, à les récompenser via des allocs…bref de faire disparaître toute contestation en ne leur laissant pour seule option que l’exil…
    Sur l’irréversibilité des choses, on peut prendre comme exemples, le délire écolo avec la transformation des villes en randonnées à vélo, ce qui force, les commerçants à déplacer leur activité voire parfois à s’exiler, car moins de traffic, on peut aussi revenir sur le pacte vert et le tout électrique…avec encore cette impossibilité de revenir en arrière…malgré la clause de revoyure…bref tout le délire gauchiste actuel est une attaque en règle contre le bon sens…on peut aussi citer l’abaissement du niveau éducatif…pour faire partir les gens de bon sens dans le privé…maintenant même les lycées d’élite sont minés: Henri-IV entre autres…
    Sur un plan plus philosophique, je dirai que l’état actuel de la société est très comparable à une société foucaldienne, çàd que l’on met au centre les marges de la société, (LGBT, trans, marxiste…) et aux marges le centre de la société, si bien que cette majorité marginalisée chez elle part chercher son salut vers des cieux plus tolérants et moins attaqués par les marges et on appelle alors ces sociétés de bon sens, extrême droite…
    la démocratie là-dedans a été évidemment capturée, par une autre autre bourgeoise, par des marges, par des minorités…et ce qui signe sa mort…une démocratie ne peut bien se développer que dans un environnement avec une classe moyenne très majoritaire et qui s’enrichit…bref avec une classe populaire qui a pour désir de s’embourgeoiser…

  5. P&C

    Je ne pense pas que ça ira si loin.

    La plupart de ces antifouilles sont dans ce camp car il permettait d’exercer la violence (sous forme de cancel par exemple) en tout impunité, sans riposte.
    On peut le voir avec les gens s’étant publiquement réjoui de la mort de Charlie Kirk : ils s’effondrent dès qu’ils subissent une coercition, que ce soit sous la forme de licenciement ou de cancel.
    Les bolcheviks venaient d’une époque autrement plus dure.

    Entre la woke de base et Rosalia Zemliatchka (surnommée « le démon rouge » pour vous dire le pedigree de cette charmante dame, léniniste de la première heure puis stalinienne, une des rares que Staline appréciait et n’a pas éliminé, notamment en raison de son fanatisme), il y le même gouffre qu’entre le stalinien paduteam et le géorgien moustachu. c’est simplement pas la même anthropologie.

    Je pense donc que la gauche dure sera désertée par la plupart de ces éléments, car incapables de faire face au retour de baton.
    Elle sera également désertée par tous les Iagoda et autre Béria. Bien que très dangereux, ces deux gars là n’avaient aucune convictions : l’un était un carriériste de la pire espèce, l’autre un psychopathe sadique et p*dophile.

    Et encore, retour de baton… punaise, ça se voit que Trump n’est pas le baron fou !

    1. durru

      « la gauche dure sera désertée par la plupart de ces éléments »
      Non, je ne crois pas. D’une, ils ne savent faire rien d’autre. Et de deux, ils ont encore des soutiens très puissants qui leur permettront (en moyenne statistique) de s’en sortir sans trop de dégâts.
      L’avenir nous le dira, mais moi je penche plus sur une radicalisation encore plus forte à l’extrême gauche (et seulement là).

      1. nemrod

        Moi non plus.
        L’extrême gauche se croit tout permis car au bout sera le  » Bien « .
        Et aussi parce qu’elle se croit protégée.
        Objectivement elle l’est .
        Tant qu’elle le sera elle usera de tous les moyens .

        1. P&C

          je ne suis pas forcément d’accord.

          Ok tu as les idiots et fanatiques de tout poils, mais tu as aussi les opportunistes. Ceux là vont partir, surtout si un bon ratio bénéfice risque n’est plus au rendez vous.

          Il faut néanmoins garder à l’esprit que tout ça, la gauche woke et ses conséquences, n’est pas la cause de la dégénérescence de nos sociétés. Ils ne sont que les symptômes d’une maladie, ou comme PYR, les larves qui grouillent dans la charogne et se nourrissent du jus de décomposition.

            1. P&C

              justement, c’est là où je en suis pas d’accord.
              Pour moi, ils sont une conséquence… qui certes devient une cause, comme une sorte d’amplification ou de cercle vicieux.

  6. durru

    La subversion gramscienne des sociétés occidentales a, semble-t-il, commencé il y a bien longtemps.
    Un Anglois (fourbe, perfide et protestant, comme tout le monde le sait) s’est mis sur le tard à s’intéresser à l’histoire et ce qu’il a découvert est assez impressionnant :
    youtu.be/zz30g8-T8i0
    Le Labour des années ’30 cachait déjà volontairement les horreurs dont il avait connaissance qui se passaient en URSS (le modèle à suivre !).
    Je peux également rappeler les louanges d’un certain Herriot à la prospérité soviétique en plein Holodomor ou les proches conseillers de FDR agents du KGB. Il serait intéressant d’avoir une étude similaire, bien documentée, sur le comportement des politiques français à la même époque.

    1. P&C

      +1
      je me souviens d’une vidéo de « criminels de guerre ». c’était celle sur un des chefs du nkvd il me semble (Iesov je crois, le nabot sanglant).
      Tu avais en son politicien français en train d’encenser le petit père des peuples… et une image une foule de victimes du stalinisme, avec leurs CV résumé en quelques lignes. Retraité, magasinier, mendiant, ouvrier, pharmacien, prêtre du vieux rituel, etc… et de toute ages.

    2. Theo31

      André François Poncet ne tarissait pas d’éloges pour le caporal moustache quand il était ambassadeur a Berlin.

      Une partie de l’élite anglaise, à commencer par la famille royale (qui est d’origine allemande) faisait les yeux de Chimène au Führer.

  7. Pythagore

    Content de vous retrouver à travers vos billets.
    Élections pour la région Nord Rhein Westphalen hier (14Mio d’électeurs), seul l’AfD a multiplié son score par presque 3 alors que jusqu’à maintenant il percait essentiellement dans les länder de l’est. Les autres parties reculent. Partout les verts perdent du terrain, mais le greenwash continue.
    Résultats préliminaires:
    CDU 33,3% (2020: 34,3%)
    SPD 22,1% (2020: 24,3%)
    AfD 14,5% (2020: 5,1%)
    Les verts 13,5% (2020: 20,0%)
    Die Linke 5,6% (2020: 3,8%)
    FDP – pseudo-libéraux – 3,7% (2020: 5,6%).

  8. Lothar

    « Si tu veux te débarrasser d’un chien, accuse-le de la rage ».
    D’aucuns faux-culs médiatiques & autres Tartuffe zintellos trouvant finalement les mots-boomerangs « fasciste » et « nazi » un peu trop connotés dans l’espace et le temps, ont ressorti alors l’invective « populiste ».
    Ils devraient vite la remballer car ce mot a pour racine le mot « peuple », tout comme « démocratie ».
    Mais il est probable que dans leur tour d’ivoire étriquée et infra-périphérique, ces guignols ubuesques et à jamais périplaquistes doivent trouver que le mot « peuple » fait un peu trop peuple ; merde quoi !
    L’injure est l’arme des pleutres comme l’insulte est l’art des braves.

  9. AtomeCrochu

    Tiens donc, de fil en aiguille depuis ce malheureux Kirk, nous en sommes venus à parler d’antifas ce matin au café, et moi de sortir ‘entre fachos de gauche et fachos de droite, au moins ceux de droite ont des scrupules’, éructations dans le bureau d’à côté sur ‘fachos de gauche’.

    Notion nouvelle pour certains.

  10. Theo31

    En 1914, Mussolini était un dirigeant important du parti socialiste.
    Doriot se rêvait en secrétaire général du parti communiste. C’est lui qui a lancé le concept de front populaire avant d’être exclu par Staline.

    Faut conseiller à tes collègues la lecture des livres fondamentaux de Philippe Burrin, La dérive fasciste. Doriot, Déat. Bergery et de Simon Epstein, Un paradoxe français.

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