Les Français ne comprennent pas ce qu’est le capitalisme, et le rejettent assez majoritairement.
Pour beaucoup, c’est par simple ignorance, pour quelques uns, c’est par idéologie – ils ne veulent pas savoir, ne veulent pas le comprendre pour continuer à appartenir au camp du bien – mais finalement, très peu le comprennent et encore moins le pratiquent. C’est bien évidemment visible dans beaucoup de leurs réflexions au jour le jour, notamment avec cette manie de toujours vouloir non pas « aider les pauvres » mais surtout « taxer les riches ».
C’est aussi notable lorsqu’ils évoquent l’héritage, et à plus forte raison lorsque ceux qui l’évaluent s’annoncent de gauche : parmi ceux-là, certains veulent le supprimer complètement, d’autres l’imposer aussi lourdement que possible, et ce exactement comme s’ils n’avaient eux-mêmes rien à hériter de leurs parents.
Or, si l’on écarte les socialistes-caviar ou cette gauche de centre-ville décontractée de l’écologie qui prend l’avion 4 fois par an, et qui mentent donc comme ils respirent et n’avancent leurs âneries socialistes que par pur conformisme et croyances de luxe, beaucoup des autres Français, qu’ils soient d’ailleurs de gauche ou pas, n’auront très concrètement pas ou très peu d’héritage : ni monétaire, ni immobilier, ni culturel.
Pour le monétaire, c’est assez évident.
L’État ratiboise consciencieusement tout ce qui dépasse au moment où les gens travaillent, ne laissant qu’un ersatz d’économies aux classes moyennes et populaires (les plus nombreuses), en leur faisant croire que les 3.000 euros sur le livret A et les 10.000 d’assurance vie peuvent constituer une épargne alors que c’est à peine suffisant pour tenir en cas de coup dur – qui ne manque jamais d’arriver dans un pays socialiste remplie de racailles « en bas » et de crapules « en haut ».
De surcroît, on l’a déjà écrit, la plupart de ces Français ne comprend rien au capitalisme, donc à peu près rien à la bourse, aux placements et à la gestion patrimoniale en général. Et lorsqu’ils essaient, c’est avec les conseils des inévitables marchands de tapis approximatifs des banques de détail françaises dont les connaissances ne sont en réalité pas meilleures que la moyenne (c’est à dire à peu près nulles).
Bref, l’ignorance fait le beurre de l’État et des banques, mais garantit qu’en matière d’héritage financier, les Français n’auront pas à en bénéficier.
Pour l’immobilier, c’était un peu moins vrai il y a encore quelques décennies mais les coups de boutoirs de ces dernières années aboutissent au même bilan. Entre l’accroissement invraisemblable de lois très défavorables au propriétaire (au profit du locataire), et les choix « judicieux » de politiques « écologiques » qui visent essentiellement à punir sévèrement ceux qui ont l’audace d’avoir un bien immobilier (DPE notamment), les Français aboutissent à la conclusion assez logique que disposer d’un bien immobilier constitue surtout une source d’emmerdes et de vexations.
Cependant, il est amusant de constater que, comme un peu plus de la moitié des ménages sont encore propriétaires de leur bien, ceux qui étaient pour la disparition de l’héritage ou sa taxation bien poivrée s’en trouvent généralement fort maris lorsqu’il s’agit du leur. Gageons cependant que ce cas va se raréfier à mesure que la camarde socialiste s’étend sur le pays.
Finalement, dans ceux qui braillent le plus vocalement en faveur de la surtaxation de l’héritage, voire de son interdiction pure et simple, on retrouve de façon assez constante non seulement ceux qui n’ont ni argent, ni immobilier mais aussi et surtout pas d’héritage culturel.
C’est l’absence de ce dernier qui est le plus caractéristique des générations les plus récentes, celles qui rejettent avec vigueur le méchant capitalisme qui mange des chatons communistes au petit déjeuner (on le sait, c’est France Intox et Radio Pravda qui l’expliquent très bien, si si).
En réalité, ces Français rejettent autant le capitalisme que l’héritage car ils n’ont rien acquis de culturel de leur parents qu’ils aient réellement envie de sauvegarder et de transmettre.
Ce constat découle de l’environnement dans lequel les générations actuellement concernées par l’héritage – dans un futur plus ou moins proche – ont grandi.
Les générations antérieures, nées dans l’après-guerre et sous les auspices d’une croissance très solide et d’un État providence généreux, ont très concrètement « abandonné » leurs enfants – les générations actuelles – à une machine éducative déracinée : beaucoup d’entre eux ont été très littéralement éduqués et instruits par l’État, depuis la garderie jusqu’à la faculté en passant par l’école, le collège et le lycée, tout en augmentant sans cesse le nombre d’années d’études aux diplômes de plus en plus fumeux, méthode fort pratique du point de vue de l’État pour camoufler un chômage systémique croissant lié à la collectivisation de plus en plus massive de toute la société.
C’est la même génération qui a aussi connu la multiplication des divorces (de 10 % dans les années 1960 à 45 % aujourd’hui) et des remariages plus ou moins fructueux, ainsi que l’abandon complet de toute religion qui a scellé leur dévolution à une société de loisirs irresponsables, ce qui a laissé à leurs enfants le choix entre le new-âge et le socialisme.
Le résultat est sans appel : beaucoup trop de Français actuels, et en particulier les jeunes, n’ont pas vu s’accumuler de patrimoine culturel autour d’eux. Parfois (souvent ?) élevé par un seul parent qui n’a pas eu le temps, le courage, l’opportunité ou simplement la présence d’esprit d’accumuler cet héritage, beaucoup d’entre eux n’ont finalement été élevés qu’avec la soupe fade des idées citoyennes, festives, inclusives, en un mot « normies » qu’on distille dans les garde-chiourmes de l’État, et ont grandi dans un foyer sans passé, sans livre et sans histoire.
Pire, ils ont été implacablement empêchés d’entreprendre, tant parce que l’exemple a cruellement manqué autour d’eux, mais aussi parce que l’héritage même du goût du risque, tout autant que la volonté de construire pour soi et les autres, auront été consciencieusement effacés et combattus par les institutions et leur entourage direct.
En réalité, dans cette France du XXIe siècle, tout a été fait pour que l’héritage soit devenu une notion honteuse voire taboue : de nos jours, se réclamer d’une famille à la généalogie multicentenaire, se dire enraciné, avoir du vocabulaire, connaître ses classiques, respecter les règles, coutumes et traditions du pays, reconnaître voire participer aux fêtes pas toutes laïques car elles font partie de l’histoire millénaire du pays, bref, oser tout ceci ouvertement, c’est clairement prendre le risque de se faire traiter de réactionnaire d’extrême-droite ou de facho, de se faire ostraciser ou pire.
L’héritage est maintenant âprement combattu : la génération qui a été élevée sans, à laquelle on a répété qu’il était honteux, à celle qui fut montré qu’hériter était sale, cette génération accède maintenant aux responsabilités (ou fait tout pour).
Or, un pays qui condamne l’héritage, et notamment culturel, est un pays destiné à disparaître. Un pays qui ne comprend pas qu’héritage et capitalisme ont tout à voir l’un avec l’autre, et que le rejet de l’un amène au rejet de l’autre et à la misère de tous, est un pays foutu.
Le socialisme finit toujours par bouffer les graines nécessaires pour les récoltes suivantes…
La fable de la poule aux oeufs d’or décrit très convenablement ce phénomène de cupidité permanente et débridée, surtout face à l’argent des Autres…
Peut-être que YBP a déjà hérité ou que ses parents n’ont pas grand chose à lui transmettre ?
ses parents lui ont transmis ses gènes de cervelle de serin
Ce qui est consternant dans le cas de cette andouille de YBP, c’est qu’elle est élue dans une des circonscriptions les plus riches de France où les héritiers de patrimoine considérable sont très nombreux.
Même si tous ses électeurs se sont fait intoxiquer par la macronie, je ne suis pas sûre qu’elle soit réélue.
En tout, il y a là un boulevard pour ses opposants.
Deuxième hypothèse crédible, ses parents étant de la classe moyenne selon ce qu’il résulte de sa notice WIki…
Héritage quelconque potentiel qu’elle veillera à faire épargner en mettant le curseur au dessus du montant, de la même façon que l’ISF avait été calibré pour épargner le monde politique société de l’époque, merci Lolo !
Probablement à gauche toute, vu que la donzelle est allée étudier à Paris Nanterre…
Et les boomers n’en out rien à foutre des taxes sur les héritages, vu qu’à leur âge, ils ont déjà reçu tout ce qu’ils ont pu de leurs parents décédés depuis un moment.
Donc, si leurs enfants doivent payer une fois qu’ils seront morts, ils n’en ont rien à battre…
De toutes façons, après leur mort, il n’y a plus rien, donc ça n’existe même pas.
En matière d’héritage, il n’y a pas que le montant des droits qui est atroce, la rapacité est aussi dommageable quand elle est précipitée : un couple avec enfants dont l’un décède voit l’autre devenir usufruitier de la totalité de leur patrimoine commun, et les enfants sont nu-propriétaires : à ce titre, ils paient des droits de succession, mais n’ont aucun moyen de se rembourser rapidement avec l’héritage, dont le conjoint survivant touche les fruits s’il y a des loyers à percevoir, ou peut retarder la vente de façon catastrophique. Si les droits étaient payés seulement au décès du dernier membre du couple (ou au moins en cas de vente d’un bien), les enfants auraient de quoi régler plus facilement, de quoi se refaire, et cela interviendrait plus tard dans leur vie au lieu d’endommager leur épargne et notamment le capital réservé pour leurs activités professionnelles. C’est d’autant plus critique si les parents sont très riches et leurs enfants, non.
Ils peuvent refuser l’héritage. 😉
C’est l’idée sous-jacente : dépouiller les sans-dents de leurs héritages.
les textes le prévoient : actu-juridique.fr/fiscalite/droit-fiscal/particuliers-comment-payer-vos-droits-de-succession/
Mais pour autant, ces droits de successions restent un vol.
Il y a un moyen de contourner ce problème: passer en communauté universelle.
C’est ce que nous avons fait, tout en faisant des donations régulièrement à nos enfants pour compenser le délai avant le dernier décès et le surplus de droits du fait que le patrimoine cessible serait plus important.
Les déclarations de la présidente de la chambre d’enregistrement corroborent ce triste constat sauf que la donzelle, elle, pète consciencieusement dans la soie.
Lorsque l’on va toucher une retraite confortable aux frais du contribuable et qu’on a un emploi à vie au fond, peu importe l’héritage.
Exact. Cela a été mis depuis longtemps en évidence avec Ali Juppé ou Flanby…
Tant pis pour les mômes ! Enfin, officiellement !
L’héritage des déclarations irresponsables de Braun-Pivert est néanmoins ce fort beau billet.
C’est des blaireaux qui craquent le pognon qu’ils ont sans même penser à construire ou transmettre quoique ce soit (coef les déclarations de patrimoine des uns et des autres, de purs analphabètes économiques)
Elle est folle. Parler de « malsain » n’est pas le signe d’une approche bien sereine. C’est vraiment des cigales dévorées de convoitise qui veulent faire la peau des fourmis industrieuses.
pgibertie.com/2025/10/16/l-alliance-hollando-macrono-socialiste-va-augmenter-limpot-sur-la-mort-avec-le-soutien-de-wauquiez/
Oui, merci
Citation à encadrer:
« Il faut cesser de monter sans cesse les Français les uns contre les autres : jeunes vs. vieux, actifs vs. retraités, fonctionnaires vs. salariés du secteur privé… Les boomers ont été contraints de cotiser à un système mal géré. » Frédéric Douet
Et on pourrait ajouter, mal conçu, tant les idées socialistes ont peu à peu envahi notre pays.
sauf que les boomers n’ont jamais demandé à ce que ce système soit transformé/réformé vers un système viable.
« les boomers ont été contraints », euh ben non, ils ont voté pour l’état nounou qui leur promet des lendemains chantants.
On en trouve quand-même certain(e)s disposant d’un patrimoine dodu, le plus souvent hérité d’ailleurs…
Mais nous savons ici tous qu’il y a le mauvais héritage et le bon héritage…
Comme ce jeune premier ministre, fils du plus gros antiquaire de Paris, qui, quel hasard, se proclame de gauche !!!
ou Attal, déclarant à l’assemblée qu’il était très fier que la France taxe plus que l’Allemagne.
Cette maladie de l’envie…
L’administration est incapable d’appréhender le capitalisme.
Quand un agent de l’Etat a été licencié par erreur (éviction illégale), il vient au tribunal administratif demander la reconstitution de sa carrière : date d’incorporation, ancienneté, traitement, primes. Les vautours loin de regarder ce qui était un droit (être payé pour travailler selon une relation de type contractuelle) ont tordu les choses au point de seulement consentir à verser un ‘dédommagement’. A la victime de dire combien elle aurait dû toucher (traitement + primes non détachables selon les arrêts Deberles 1937 et Commune d’Ajaccio 2013)
— MAIS il faut en déduire les salaires qu’il a touchés s’il a travaillé pendant la période où il était exclu. C’est déjà bien tordu.
Mais rien à propos de la réalisation en catastrophe d’un portefeuille d’actions. S’ils aiment les comptes délirants, comment feraient-ils ? la vente n’était pas voulue, elle était contrainte par le chômage abusif, la plus-value aurait été importante si les actions avaient été conservées à bien plus long terme, etc. On n’en sortirait pas. Ils n’y ont pas encore pensé, mais ils l’auraient fait d’une façon délirante, confiscatoire, et vexatoire.
Conclusion : pour ces cancrelats et fielleux malfaisants, le travail c’est salarié, c’est tout. Le capitalisme et ses fruits n’existent pas, et c’est seulement dans cette mesure qu’ils sont parfois à l’abri.
il n’y a qu’à voir comment l’Etat traite ses contractuels… Si tu n’est pas titulaire, tu n’es qu’un jetable.
perso, je constate tous les jours certains contractuels ou vacataires qui en foutent encore moins que les titulaires…..
vu comment ils sont traités,…
ceux qui « sucent » bien obtiennent un CDI !!!
dans la FT peut-être, dans la fonction publique d’Etat, c’est plus compliqué.
« sa taxation bien poivrée s’en trouvent généralement fort maRRis lorsqu’il s’agit du leur »
Mélusîîîînnneu ! STP !
HS (quoique quand Disney détruit son « héritage » aussi …)
unodieuxconnard.com/2025/10/17/e-tron-ares/
Rapprochement intéressant que je n’aurais pas fait.
Ils haissent le capitalisme mais ne sauraient vivre plus d’une minute sans leur aïe-phone, pur produit du capitalisme s’il en est.
J’aime beaucoup les aïe-phones. Avant 10 ans, y’en aura plus
Pas d’accord du tout !!
Avant dix ans ils risquent de devenir obligatoires pour assurer sa survie… Identité, accès divers, contrôle permanent des niveaux d’autorisations de l’heureux titulaire, etc…
Les chinois ont déjà toutes les applis qu’ils proposent à tous les gouvernants prêts à les acheter.
Aurais-je dû préciser que les aïe-phones seraient remplacés pas des huawei et consorts ?
Tout ça est bien désespérant .
Heureusement la nature humaine est ce qu’elle est et quand ces gens seront dans les poubelles de l’Histoire, les gens recommenceront inlassablement à se constituer un patrimoine.
Délai de reconstruction d’une société naturelle instinctive humaine : environ un siècle…
Et seulement en comptant après l’installation et la chute d’un collectivisme dur, et sans envahisseurs dominants.
Quand on voit le temps qu’il à fallu à des gens « intelligents » et instruits par l’ ednat pour se rendre compte qu’un pays ce n’est pas seulement un territoire administratif ou quiconque peut décider de s’installer en méprisant la vie locale existante.
On leur à appris des l’école maternelle à se moquer de l’attachement aux régions, aux usages locaux, et plus généralement à haïr le passé.
Et ils ont aussi bien gobé tout ça. pas plus malins devant la propagande que ne l’ont été les boomers à leur époque.
La chanson anti boomers en est un autre épisode.
@breizh 17 octobre 2025, 10 h 43 min
Dans leur ensemble, les boomers du peuple étaient occupés à essayer de s’en tirer le moins mal possible, et ils n’étaient pas focalisés sur leur retraite !! D’autant moins qu’aucun gouvernement ne voulait faire son travail de prévision démographique pourtant facile…mais chacun cachait la m**** sous le tapis.
Et les quelques uns qui évoquaient la possibilité d’une part de capitalisation étaient traités de capitaliste, voire nazis lepenistes !!
En plus on leur répondait que tout irait bien, que c’était juste une question de financement !! Que l’immigration serait la chance d’arranger ça.
On peut pas accuser une classe d’âge dans son ensemble de s’être laisser berner. La propagande Crypto-communiste à gagné, ça c’est sur.
Les positions des « non boomers » face à l’immigration massive à t’elle été plus intelligente ? Non !
Il à fallu 20 ans avant qu’ ils osent en parler !! (Même sur ce blog…)
En résumé, la destruction est sure, mais pour la reconstruction, ça l’est moins
« dans ceux qui braillent le plus vocalement en faveur de la surtaxation de l’héritage, voire de son interdiction pure et simple, on retrouve de façon assez constante non seulement ceux qui n’ont ni argent, ni immobilier mais aussi et surtout pas d’héritage culturel. »
Dans ceux-là on trouve aussi une caste qui se fait entretenir à vie par les deniers de l’Etat (les nôtres!). Pas de douci de l’avenir pour eux, et de la manière dont fonctionne cette caste, ils parviendront à « caser » leurs gosses pour qu’ils aient les mêmes privilèges qu’eux.
A quand une nuit du 4 août?…
quand ils ont des gosses…
La caste se fait effectivement entretenir à vie par les deniers de l’Etat mais ses privilèges ne concernent pas seulement leurs gosses :
« Les CRS qui gardent la maison de la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet au Vésinet ont reçu pour mission de nourrir ses poules durant ses vacances. »
https:/ /www.lecanardenchaine.fr/politique/51570-les-poules-de-braun-pivet-sous-bonne-escorte
« Or, un pays qui condamne l’héritage, et notamment culturel, est un pays destiné à disparaître. »
N’est-ce pas précisément le but dans une perspective mondialiste, c’est-à-dire d’unification du monde en mode totalitaire, dont ne se cachent pas les « élites » auto-proclamées? Le tout dans une logique révolutionnaire qui entend faire table rase du passé.
Le but de la république, se voulant universelle. Made in 1792.
Rien de nouveau sous le soleil.
Finalement, la faillite nous sauvera t’elle ?
Peut-on parler du capitalisme et du socialisme au singulier ( comme de Dieu ) ? De plus , le second est né du premier de la nécessité de le tempérer . Comme la Liberté , aucun des deux ne peut (durablement) être complètement nié ou débridé .
De l’héritage culturel , j’estime que parler d’héritage Gréco-Romain , ou , pire , Judéo-Chrétien , est beaucoup trop méditerranéen et occulte la nature profonde européenne qui est essentiellement Celte et Viking .
C’est exactement le thème du livre « Mémoricide » de Philippe de Villiers.
C’est tout le projet mondialiste: pas de mémoire, pas de racines, pas d’héritage, seulement des consommateurs dociles.
‘Il n’y a pas de culture française’, disait-il.
On peut ajouter la chute de la natalité.
Combien de politiques ont effectivement élevé des enfants, lesquels ne sont pas uniquement fonctionnaires (au sens large) ou politiques ?
Ben, il y a Christiane Taubira.
Un des meilleurs articles de ce blog.
Depuis 50 ans l’intelligentsia impose le saccage systématique de notre héritage culturel à coup de repentance, de dénigrement, d’idéologie « bourdieusienne », d’anathème automatique des patriotes, de glorification aveugle des autres cultures, de christianophobie assumée, etc.
Tout ceci crée une anomie, une absence de repères catastrophique. La nature ayant horreur du vide Il est facile pour les idéologues de tout bord (islamistes, gauchistes…) de recruter.
Finalement, Pauwels avait vu juste avec son concept de « sida mental ». C’est pour ça que tout le monde lui est tombé dessus.
Un signe encourageant quand même, le succès des émissions consacrées au patrimoine ou le Puy du Fou ou encore Guédelon. C’est pour ça que Télédrama, L’immonde ou l’aberration leur tirent dessus à boulets rouges.
« Un des meilleurs articles de ce blog. »
Je venais pour écrire mot pour mot la même chose, et pourtant Dieu sait s’il y a du niveau !
Je pense moi aussi que le saccage de notre héritage culturel est planifié, car un peuple sans histoire, sans fierté de ce qu’il est, sans transcendance … c’est un peuple de consommateurs duquel on fait à peu près ce qu’on veut tant qu’il a la possibilité de s’acheter la dernière merde à la mode.
J’ai beaucoup lutté contre ça, avec mon ainé. Avec je dois l’admettre un succès qui dépasse toutes mes espérances.
Oui ce concept est lumineux et visionnaire et c’est bien pour ça que toute la meute de hyènes s’est moqué de lui à l’époque.
On parle encore de sa vision et plus du tout de tous ces ricaneurs.
et ça ne se passe pas qu’en France malheureusement
« les conseils des inévitables marchands de tapis approximatifs des banques de détail françaises dont les connaissances ne sont en réalité pas meilleures que la moyenne (c’est à dire à peu près nulles) »
Ça me rappelle le jour où j’avais vendu un fond et la dame voyant que j’avais des sous sur mon compte m’a proposé d’en acheter un autre. Elle recommandait chaudement le nouveau fond actions françaises qui venait de faire +14% sur un an! Le CAC40 venait de faire +25%…
« cessez de vous faire avoir » dit Charles Gave…
Non seulement il le dit, mais en plus il l’écrit !
Il y a aussi ce rendez-vous pour un prêt étudiant pour ma fille.
Je demande au « banquier » de me calculer l’échéancier, mais son appli est plantée.
Il est incapable de le calculer tout seul, même avec Excell ; il ne connaît pas les formules mathématiques…
J’ai reçu ce genre d’appel l’année dernière pour des livrets defiscalisés (incroyable) qui font 2-3% !
MSCI World: +26%
Je me suis bien marré.
» Vous peuple de France qu’allez-vous devenir ? Voir le peuple que l’on aime perdre sa dignité, son histoire et sa culture extraordinaire pour devenir la dernière des putes de parking sur l’autoroute de la décadence américaine, faut bien qu’un bamboula vous le dise, ça part en couilles votre histoire « . Dieudonné – La Politique (2017)
Y’a des gens qui ont un vrai sens de la punchline.
Dieudonné, bien sûr, mais également Papacito…
A propos, êtes-vous abonnés à la Furia (petit placement de produit)
ça part en couilles comme celles de brichel !
Major ! au parloir :
youtube.com/watch?v=Ozm-BjEe1zI
Cher H16, comment avez vous pu oublier le tag « Free Palestine » sur la statue, une honte !!
L’offensive agressive contre l’héritage m’a stupéfait, et malgré qu’on s’attende au pire, ils arrivent encore à surprendre. Cette connasse mal baisée de Pivert Persiflant qui qualifie l’héritage de truc qui tombe du ciel malsain, mériterait de se prendre de violents allez-retour dans l’arrière-train opérés par quelques chances pour la panse, pour qu’elle comprenne jusque dans ses intimes convictions profondes ce qui n’est pas sain, et qu’elle n’a pas de leçon de morale financière à donner du haut de son perchoir doré et matelassé de soie.
En d’autres termes : mais FERME TA GUEULE ! et VA CREVER avec tes héritiers que tu vas déshériter, hein, bien sûr !
Dr Slump laisse la place à Mr Nuke en mode baresark qui fait péter de la bombe sale en guise de petit déjeuner, parce que le brunch ça va être salé, et je ne vous parle pas de l’after-work party qui va finir en Ragnarok façon confettis.
Je n’ai pas fini !
On se focalise sur la rombière de troisième bourre qui mouille pour l’héritage des ultra-riches dont cette pétasse intersidérale fait partie, mais c’est le gode qui cache le gang-bang fiscal. Les partouzeurs ne cherchent même plus à se cacher, ils enculent tout ce qui bouge en plein air, en musique et avec le bol de fentanyl à portée de main, youpi, sans morale la fête est plus sale !
Ainsi donc, par décret du sénéchal Lencornu, les dépassements d’honoraires vont être taxés, parce que ça ne va pas du tout que les médecins et spécialistes soient libres de fixer leurs tarifs, et que la force doit rester au monopole d’état, quitte à détruire la profession pour ne laisser que des fonctionnaires médicaux appliquant imbécilement des protocoles que leur soufflent les labos pharmaceutiques, avec le sponsoring officiel de la nutrition moléculaire enculatoire, mangez de la salade de soja et de graines de chiottes, faites cinq prières et dix génuflexions par jour devant l’Ascience Médicianale, et vous êtes assurés de devenir un légume en bonne santé, et c’est bio en plus, on pourra vous composter !
Autre exemple pour illuster la volonté de destruction, taxe encore sur les liquides de vapotage, assortie de l’interdiction de vente en ligne, ou comment détruire un commerce en une seule ligne de réglement, toujours sous les plus nobles et les plus vertueux prétextes de sauvegarde, de protecfion, et de sécurisafion du consommateur qui a déjà le trou de balle en chou-fleur à force de se prendre des lavements composés dans les règles de l’art par cette bande d’apothicaires du pilonage permanent, au point que maintenant ils ont atteint le niveau quantique de la fiscalité : ils te violent d’un coup de tampon, te vendent la vaseline post-opératoire, te remboursent le coût du ticket de caisse et t’envoie l’appel d’impayé suite à la nouvelle règle d’imposition rétroactive sur le coût des procédures administratives, en un seul geste du coude, acté entre deux taffes de crack et une branlette sous le burlingue.
Et pendant ce temps… la CGT fête ses 130 ans… d’indépendance politique ! si ça vous fait rire, c’est qu’il y a encore de la place dans votre fion pour plus de lavements, qui finiront par vous laisser complètement déshydraté, réduit à l’état de pois chiche en zone désertique. Je n’ai qu’un slogan pour conclure : faites péter, ou fuyez !
Tout ça pour trouver quelques dizaines de milliards alors qu’il en faut des centaines pour être tout juste sur la ligne de flottaison.
Ca va engendrer des pertes fiscales amusantes, Laffer est déjà pliée.
Et sinon, on parle de la retraite par répartition ? 🙂
Car tout ce cirque sert à éponger ce système de merde principalement.
Ca sert à soumettre le contribuable et détruire toute volonté d’entreprise. Il y a belle lurette que l’impôt est utilisé comme outil de manipulation des masses, ils appellent ça « fiscalité comportementale », et ils ne s’en cachent pas non plus.
Keko, rends son clavier a Dr Slump, non mais alors !!
Votre billet transpire bien le dégoût cher H16. Merci encore pour vos billets.