Ahurissant
On entend assez souvent, dans la bouche de chroniqueurs un peu baveux ou de journalistes de permanence bien avant le petit-déj, des énormités sur le libéralisme prétendu de Sarkozy. Il est clair que certains jours, quand il a fallu se lever dans la froideur d’un matin gris de février ou de mars, on peut déraper et imaginer que si le candidat le prétend, il doit l’être, et répéter niaiseusement à l’envi qu’il est donc le candidat désigné des libéraux…