Article précédemment paru le 27.03.2016
Le journalisme en général et Le Monde en particulier sont régulièrement en proie à l’une ou l’autre lubies qui lui font croire à leur propre importance ; quand ce n’est pas l’égalité salariale impossible à atteindre et dévoyée par un patronat patriarcal machiste ou l’obsolescence programmée fondamentalement destinée à spolier l’honnête consommateur, ce sont les zhabominables pesticides que les agriculteurs et toute l’industrie chimique germano-américaine tentent de nous faire bouffer à pleines cuillerées. Et il y a deux ans, c’était sur ces derniers que s’attardait une batterie d’articles du fascicule gauchiste : selon Le Monde, pas de doute, tout était fait pour nous empoisonner.
Deux ans après, malgré l’accumulation d’études prouvant l’absence d’effets cancérigènes du glyphosate, tout est exactement pareil et Le Monde en remet une couche, travestissant leurs biais idéologiques et l’abandon calculé de tout esprit scientifique dans leur journalisme de supermarché. Il suffira pour s’en convaincre de lire le titre de leur dernière tentative de décodage propagande…
Nos certitudes écologiques semblent tous les jours amoindries par les travaux scientifiques, les découvertes récentes et l’esprit critique qui refuse de laisser le champ libre aux certitudes dogmatiques et ce malgré un travail de sape permanent d’une presse bien décidée à nous vendre de la catastrophe. Heureusement, de fiers capitaines restent droits dans la tempête de doutes qui s’abat sur eux et continuent, vaille que vaille, à distiller leur idéologie décroissante, altercomprenante et gravement éco-conscientisée.
Et dans ces capitaines de navires en perdition, comment passer à côté de Stéphane Foucart du Monde ? Fermement accroché à la barre d’un esquif journalistico-écologique de fortune qui prend l’eau de toute part à mesure que se révèle l’escroquerie du Réchauffement Climatique dit Anthropique, il a décidé de prendre une girouette pour boussole et nous emmène dans des aventures scientifiques aussi douteuses qu’amusantes.
Et c’est donc sans surprise qu’on découvre sa dernière prouesse journalistique par le truchement d’un article visant à montrer que le rapport coût-bénéfice de l’utilisation des pesticides dans l’agriculture serait négatif.
Notre brave Stéphane, idéologie décroissante en bandoulière, a décidé de nous entretenir d’une passionnante « étude » réalisée par deux chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) – c’est français, c’est de la qualité française ! – étude qui essaye d’estimer les externalités négatives des pesticides (les coûts qu’ils entraîneraient) et qui montrerait que dans certains cas, ce coût pourrait excéder largement les bénéfices offerts par les herbicides, fongicides et autres insecticides.
Avant même d’aller plus loin, notez que j’ai parlé d’une « étude » (en utilisant les guillemets) et d’estimations, et qu’on utilise ici des doses industrielles de conditionnel pour tartiner l’article. C’est normal : tout ce gros conditionnel gluant ainsi que l’utilisation d’une simple review qui a essentiellement listé des articles trouvés par internet comme s’il s’agissait d’une véritable étude est un cas banal de journalisme français comme on en trouve assez régulièrement, avec toutes les dérives habituelles de cette triste maladie. Comme d’habitude (et ce qui explique largement l’intérêt compulsif du journaleux du Monde), sous couvert de science, des chercheurs ont essentiellement fait du mauvais journalisme.
Et pour s’en convaincre, on pourra lire les arguments déployés par nos chercheurs et relayés avec gourmandise par le petit journaliste en mal de propagande écolo facile : pour ce triplet, c’est sûr, les coûts des pesticides (calculés par leurs soins) sont largement supérieurs aux bénéfices qu’on peut en retirer. Méchants, méchants pesticides !
Et ces coûts, calculés pour les Etats-Unis, arrivent tout de même à la somme impressionnante de 35 milliards de dollars. Cette coquette somme se répartit en plusieurs postes, dont le premier (de 18 milliards de dollars) correspondrait (conditionnel obligatoire) au coût des décès par cancers directement imputables aux pesticides. Apparemment, cela représenterait 2000 vies perdues, soit … 9 millions de dollars par vie.
Voilà qui est particulièrement princier. Eh oui : comme le remarque très logiquement Anton Suvalki dans un récent article, même en oubliant qu’en réalité, rien ne permet de relier définitivement ces 2000 morts-ci à ces pesticides-là, on ne pourra s’empêcher de noter qu’à ce prix de 9 millions de dollars, les 500.000 décès effectivement constatés tous les ans aux Etats-Unis coûteraient plus de 5000 milliards de dollars, soit 29% du produit intérieur brut américain, ce qui en soit est parfaitement grotesque puisque cela revient à dire que l’ensemble du coût des maladies contractés sur place dépasserait largement 100% du PIB en question. À ce rythme, on se demande encore comment les Américains font pour seulement survivre.
Dans les autres postes de coûts, dans son article d’analyse des cabrioles du Monde, Anton Suvalki revient aussi sur d’autres éléments farfelus. Je vous encourage à aller le lire, c’est assez édifiant, notamment le passage sur les oiseaux (évalués à 35$ pièce, dont 30 comme « valeur récréative »).
Pour ma part, j’ai surtout noté l’idée ébouriffante des « frais d’évitement », qui seraient induits par les excédents de dépense des ménages qui ont opté pour l’alimentation biologique afin de minimiser le contact avec les pesticides.
En introduisant cette notion, on touche ici au sublime. Partant de ce principe, absolument plus rien n’échappe à des coûts d’externalité négative qui sont d’autant plus élevés que l’alternative, pardon, l’évitement, est coûteuse. Par exemple et suivant le même principe, on devrait compter comme externalité négative tous les coûts des jets privés que les millionnaires achètent et utilisent pour ne pas avoir à emprunter les transports en commun. Et toujours selon le même principe, le coût des transports en commun est une externalité négative assez phénoménale qu’on doit incorporer dans le calcul du bénéfice de la marche à pied : après tout, prendre le bus entraîne bien des « frais d’évitement » d’une longue randonnée citadine…
Applicable à tout et n’importe quoi, un nouveau monde de macro-économie délirante s’offre alors à nous. Tout étant une affaire de choix, et les choix plus onéreux étant par définition toujours au détriment des choix moins coûteux, les externalités négatives au sens de ces « chercheurs » et de notre « journaliste » chevronné jaillissent alors de partout dans un gloubiboulga chimiquement pur dont on peut alors asperger le lecteur avec toute la force d’une bouche à incendie.
Moyennant quoi, on se demande exactement ce qui a poussé nos brillants bricoleurs de la macro-économie alternative à s’arrêter en si bon chemin : avec un peu de fougue, au lieu de trouver 40 milliards de dollars de coûts, ils auraient largement pu en trouver 100 voire 1000 à condition de bien pousser tous les frais d’évitement dans le tableau global.
Dès lors, peu importe les bénéfices puisqu’on pourra toujours faire correspondre en face des sommes aussi grandes (et farfelues) que possible pour les ridiculiser. Le fait que grandisse sans cesse le nombre d’humains nourris grâce à l’usage ces pesticides ne rentre pas en ligne de compte ; le « bénéfice de non évitement » est impossible à calculer puisque pour ce faire, on doit imaginer un monde sans pesticides, c’est-à-dire soit avec une population nettement moins importante, soit avec une population mal nourrie nettement plus grande. À combien s’établit le bénéfice d’un humain qui atteindra l’âge d’un an parce qu’il aura été correctement nourri ?
Et c’est précisément parce que ce calcul est impossible, et parce que le calcul inverse (celui du coût des pesticides) est si facile à bidonner comme le démontrent ces « chercheurs » et ce « journaliste », qu’on se retrouve avec de si beaux exemples de pignouferies de presse où l’on en vient à considérer très calmement des coûts de santé qui dépassent le PIB d’une nation pourtant manifestement pas complètement ruinée, ou des « frais d’évitement » que trente secondes de réflexion rangent immédiatement dans la catégorie des foutaises cosmiques lourdement chargées d’idéologie.
Eh oui : sous couvert de journalisme, sous couvert de recherche, on assiste – encore une fois – au martèlement compulsif d’un message bien connu : les pesticides, c’est mal, c’est méchant. En fait, tout se passe comme si la question du titre de l’article (« Et si les pesticides coûtaient plus qu’ils ne rapportent ? ») n’était que purement rhétorique…
Alors, tant qu’à faire dans le rhétorique, autant s’interroger tout de suite : et si pour changer Le Monde faisait du journalisme, du vrai ?
Il ne faut pas rigoler avec la nouvelle religion écologique. Comme bien d’autres, elle a ses dogmes qui ne sauraient être remis en cause. Tout manquement au respect de ceux-ci peuvent être assimilés à une hérésie ou à un révisionnisme, ce qui vaut le bûcher dans un cas ou la balle dans la nuque dans le second.
Il y a bien quelqu’un, un bienfaiteur de l’humanité, qui a proposé que les climato-sceptiques soient traduits devant un tribunal. Vous verrez, on y viendra.
Le bûcher, c’était à d’ autres époques très obscurantistes. La signature carbone est vraiment trop mauvaise pour Gaïa donc impossible à maintenir en usage.
En revanche, la fusillade médiatique,elle,…
Encore une apologie des pesticides ? De nos jours, cela fait franchement un peu ringard, voire typiquement ado en plaine crise de contradiction. Et si vraiment on persévère, c’est qu’on y a des intérêts sonnants et trébuchants.
erratum : pleine crise !
En crise de contradiction(S) ?
En contradiction(s) de quoi, l’arbuste ?
Ce n’est pas une apologie des pesticides mais l’apologie du génie humain qui se bat contre cette salope de nature qui nous déteste pour réussir à en extraire de quoi se nourrir en produisant des aliments saints et de qualités.
Car figurez-vous qu’étonnamment depuis le recours massif à la chimie pour produire des aliments il n’y a plus de famine sauf dans les pays en guerre ou communiste cela a permis de diversifier fortement l’alimentation des populations de diminuer bon nombre de carence si bien que l’espérance de vie de l’humanité ne cesse de croitre.
Mais comme je sais que les faits sont sans emprise sur vous je vais m’arrêter là.
Bibi, j’ose croire que c’était du second degré de sa part, elle n’a jamais agressé le St Patron.
La nature n’est pas une salope et n’a pas de conscience
Rien que la présence d’un Bonzai en ces lieux indique clairement que la nature nous en veut et pas qu’un peu.
Meuh non, c’est pour nous montrer les paliers de l’évolution, le bonsaï, c’est la domestication par la coupe et le pincement, confiné ds un mini pot en terre cuite pour que ça reste à sa place et à hauteur de patte de chiwawa 😀
La domestication d’un bonsaï ça commence par le binage, et celui qui sévit en ces lieux n’a certainement pas été assez biné.
Bien vu Al !
@ Al 12:09 re: second degré
La Nature ne nous déteste pas tant que cela au vu de toute la nourriture extraite non seulement par les Humains mais également par les autres créatures animales.
Ben oui qu’elle nous aime la nature la preuve ca fait maintenant 11 700 ans que nous sommes dans une période interglaciaire et 7000 ans que nous avons débuté l’agriculture pour finir par sortir de la misère il y a à peine un demi siècle.
12.000 ans pour le début de l’agriculture, associé à notre nouvel enzyme lactase pour palier aux mauvaises récoltes
Les 7000 ans c’est pour l’Europe.
Euh, bibi, « des aliments saints », c’est parce qu’on est dimanche, le jour du Seigneur, et qu’on distribue des hosties ? 😉
C’est la distribution du vin de messe.
« Encore une apologie des pesticides »
Encore un commentaire de quelqu’un qui ne sait pas lire ? De nos jours, cela devient lassant, ces jeunes adolescentes qui savent à peine lire et écrire qui débarquent et commentent de travers !
Adolescente…. warf !
Adolescente, elle l’est… depuis longtemps, comme la Bastide Neuve de Marcel Pagnol ( La Gloire de mon Père ) ou plus proche, le Pont-Neuf de Paris…
La femme est un animal a cheveux longs et a idees courtes.
Il y a sept âges dans la vie d’ une femme : nourrisson, fillette, jeune fille, jeune femme, jeune femme, jeune femme et jeune femme…
* Entre 18 et 20 ans, une femme est comme l’Afrique : à moitié sauvage, naturellement belle et pleine de mystérieux deltas a la fertilité certaine.
* Entre 21 et 30 ans, une femme est comme l’Amérique : développée et ouverte au commerce, spécialement avec ceux qui ont du pognon.
* Entre 31 et 35 ans, une femme est comme l’Inde : sensuelle, relax, épanouie, convaincue de sa beauté.
* Entre 36 et 40 ans, une femme est comme la France : délicieusement mûre, elle reste un agréable territoire à visiter.
* Entre 41 et 50 ans, une femme est comme la Yougoslavie : la guerre est aujourd’hui perdue, les erreurs du passé la hantent. De gros travaux de reconstruction doivent être lancés.
* Entre 51 et 60 ans, une femme est comme la Russie : étendue, aux limites incontrôlées. Le climat froid décourage les visiteurs.
* Entre 61 et 70 ans, une femme est comme la Mongolie : un glorieux passé, de grandes conquêtes, mais hélas, aucun futur.
* Apres 70 ans, une femme est comme l’Afghanistan : beaucoup savent où ça se trouve, mais personne ne veut plus y aller…
« * Entre 21 et 30 ans, une femme est comme l’Amérique : développée et ouverte au commerce, spécialement avec ceux qui ont du pognon. »
là, il y a une petite rajoute de ton crû, mais c’est pas totalement faux
Il manque un mot clé hystérique.
Ou classez vous la femme Chinoise ou asiatique en général?
Pour ce qui est de la femme Indienne, oui délicieusement mure et souvent très plantureuse( l inde ce n est pas que Bollywood), Convaincue de leur beauté: oui. et elle le sait
Sensuelle? tant que le Sari n est pas sur les chevilles: oui..après vous risquez fort de voir une femme qui a du mal à comprendre la différence entre les slips féminins et masculins
Relax et épanouie? ouh la, douce aussi non?
« Convaincue de leur beauté: oui. et elle le sait »
C’est intéressant cette réflexion, finalement tout ce toutim des femmes occidentales qui refusent après coup(s) de bite(ss) et promotions
socialesfinancières se sentent surtout moches ne serait ce que d’avoir vendu leurs atours ?Se sentiraient elles du même acabit que celle longeant les trottoirs de (l’ancien ?) pheldge ?
La femme aurait donc deux mystérieux deltas, selon toi ?
Mais où est donc
ornicarle deuxième???Pense Therese, et Noel
C’est d’ être dans un mini-pot sans herbes folles qui ne trouvent aucune substance nourricière tellement vos racines y gourmandent que vous estimez nécessaire de faire ployer les échines pour assurer un désherbage manuel à peine achevé qu’il doit être renouvelé, que vous vous livrez à tel exorde, Arbolito ???
Quand j’étais môme, on ne traitait pas les arbres frutiers à la maison. La moitié de la récolte partait à la poubelle ou dans la gamelle du cochon parce que bouffée par les vers.
Bonsaï, les intérêts sonnants et trébuchants c’est plutôt du côté de l’industrie bio. Regardons les faits : les agriculteurs meurent plus de suicide que des pesticides, leur espérance de vie est proche de celle des cadres moyens, malgré la surmortalité par suicide. Les journalistes sont tellement impartiaux que personne ne connaît la famine en Irlande de 1850 : 1 million de morts et 3 millions de réfugiés, le mildiou existe toujours. Du si bon boulot de journaleux qu’un Français sur 2 croit que l’agriculture bio c’est sans pesticides.
BDC, à dessein vous mélangez tout : le taux de suicide des agriculteurs et l’agriculture bio. Au contraire, le bio a permis a beaucoup d’entre de sortir la tête de l’eau financièrement, tout en en veillant simultanément au respect de la nature et à la santé du client (ainsi que la sienne !).
Bonsaï, si les pesticides étaient si méchants l’espérance de vie des agriculteurs serait pire, compte tenu des suicides (morts prématurées donc gros impact sur la moyenne). Sortir la tête de l’eau, quelle blague … grâce aux subventions oui !
C’est facile de gagner de la thune avec des subventions et du protectionnisme. Au passage, on encule bien le client final.
C’est connu l’agriculture bio n’utilise pas de pesticides ou alors seulement des gentils tel que la roténone, pas comme la méchante agriculture productiviste qui utilise du glyphosate.
Le bio est avant tout une formidable opération marketing. Chapeau bas pour les initiateurs de cette opération, C’est vraiment du bel et bon ouvrage. Ils ont su comprendre et traduire en terme financier une réelle appétence d’une partie de la population mais comme le disait ce matin l’invitée de l’émission de France Cul. »On ne parle pas la bouche pleine », un panier bio coûte en moyenne 40% plus cher. Je ne me m’attarderai pas sur le chiffre mais le bio, n’en déplaise à ses thuriféraires, reste quelque part un luxe. N’est pas bobo qui veut. Ceux qui me connaissent savent ou devinent, c’est selon, que je suis plutôt entier et si je suis un adepte du « bon » en matière de nourriture, je reste conscient de la réalité d’un certain nombre de mes concitoyens pour qui le bio reste innaccessible ou est plus simplement un caprice d’enfant gâté. Maintenant, si des agriculteurs ou assimilés arrivent à mieux s’en sortir grâce à cette approche, j’en suis le plus heureux du monde. Pour faire un parallèle, forcement réducteur, je voudrais que tout le monde roule en Rolls mais il est heureux que Dacia existe.
J’ajouterai que la perception du « bon » reste tributaire avant tout de sa culture personnelle (éducation, goûts, intelligence etc,…). Sur ce thème précis, nous ne serons jamais égaux.
Que ce soit plus cher, même de 100 % n’est pas le sujet Major, le bio n’est pas safe (allemagne, 50 morts ?, australie, pour l’instant 4 ?)
C’est juste une arnaque, avec des produits phyto bien pire que les horrible mollécules qui n’ont jamais démontré de toxicité. (glipho, au bout de 30 ans, ils sont doués de cacher tout ces morts)
J’ai collé du cuivre, sans résultats, sur ma vigne pendant des années, ben oui, fallait en coller tout les 15 jours. Depuis que j’ai découvert un mauvais produit, 1 application en début de feuillage, point barre, et ça recommence à pousser (fleurs diverses) aux pieds
En fait il y a plusieurs raisons pour lesquelles le bio n’est pas safe dont le fait que le prix payé par l’acheteur ne reflète pas le coût réel de production, sinon ce serait invendable vs les bienfait supposés : du coup la faible marge oblige le producteur à prendre des risques et à mettre sur le marché des produits qui auraient dû rejoindre la poubelle.
D’autre part les méthodes sont artisanales et par ce fait les résultats ne sont pas reproductibles : les méthodes industrielles sont beaucoup plus sûres : on lance une préproduction, on valide les analyses et on est parti pour un lot de production parfaitement identifié. Vu les marges dans l’industrie, mettre un lot à la poubelle n’a pas d’impact financier important sur l’entreprise, c’est déjà dans le prix.
:
Sans parler de la déforestation qui accompagnerait la mise en place du bio pour nourrir la planète.
Il n’y a pas plus con qu’un écolo.
Il y a bien plus con qu’un écolo, à savoir plusieurs écolos!
Pour être con à ce point, on ne peut y arriver tout seul, il faut de l’émulation.
Le point positif, c’est que ça se rassemble, le négatif, c’est que l’on ne leur rabatte pas la Fraisse*
Pheldge et sa perception du bô, du bon, du bonnet (min C hors cougars)…
Ce qu’il faut préciser c’est qu’agriculture conventionnelle ou bio les aliments ont les mêmes apports nutritifs.
Et réussir à faire payer 40% plus cher pour la même chose c’est du bon marketing à la Steve Jobs.
« c’est du bon marketing à la Steve Jobs. »
^^
tu vas faire plaisir aux aficionados ^^
Je me demande si pheldge est adepte de la pome…
Durant mon expérience en GD(en ce moment je fait un intérim dans la « proxi » de centre ville) j’ai géré le rayon Bio sur la partie sèche et liquide…
Déjà plusieurs choses, sur les conserves, on trouvait souvent dans les packs des boites Bio mélangées à des boites non bio en clair même fabricants qui fait du bio et du non Bio sous des marques différentes mais ou les chaine de productions ne sont visiblement pas séparées
Le pain bio..pain ordinaire, pain Bio mème pétrin..pas le temps de nettoyer, on balance la farine bio, donc c’est Bio
Plus drôle le Bio certifié équitable ex un jus de 5 fruits ou juste l’abricot vient du commerce équitable pas les 4 autres fruits eux issus du commerce » inéquitable »
Hormis dans les magasins 100% bio type Satoriz, l’eau vive ou le panier est 100% bio dans la distribution classique les gens vont acheter quelques articles Bio, (pour se donner bonne conscience?) Perso mes meilleurs ventes c’était des infusions, souvent pour la digestion, les articulations, le sommeil, ..rapport avec le bio? on est .on est plus dans l’herboristerie la, ensuite les galettes de riz,epautre etc la aussi on est plus dans le substitut de repas et la perte de poids rapport au Bio?…puis les sauces pour pâtes,les confitures, le jus d orange.;et des produits type à base de tofu
Par contre ce qui marche super fort c est la gamme « Gerblé »..mais la on est pas du tout dans le Bio.
Je confirme les marges du Bio sont importantes et les marges arrières très grasses..un bon point c’est que les commerciaux vous font un « avoir » sans problème si vous périmez la marchandise
» le Bio certifié équitable »
L’équitable m’as toujours fait rigoler: les GS pressent les prix d’achat à la baisse, quand le fournisseur creve la dalle, on fait de l’équitable en culpabilisant l’acheteur final, et on lui vent* bien plus cher le même produit sans forcément une meilleure rétribution du fournisseur, c’est assez magique
Tout le monde en Rolls ???
Mais où avez vous donc la tête, Major???
La signature carbone est déjà une horreur compte tenu de la cylindrée et de la puissance suffisante.
Mais ensuite, le carnage de veaux et génisses qui s’ ensuivrait pour fournir tout le cuir nécessaire à la sellerie de ces saloons roulants. D’ autant qu’il serait indispensable que ces bêtes aient été élevées dans des endroits absolument dépourvus de barbelés et autres aspérités pouvant laisser des cicatrices disgracieuses sur les peaux.
C’est pour le coup de s’offusquer de pesticides, tiens…
Le bio n’est absolument pas sans pesticides. Au contraire même. Question santé, ce n’est vraiment pas meilleur que le non-bio.
Euh Patron, je voudrais pas donner l’impression d’avoir l’air de faire mon Aristarque, mais » … sont régulièrement en proie à l’une ou l’autre lubies qui leur font croire à leur propre importance. » c’est soit tout au singulier soit tout au pluriel … 😉
C’est pas gentil Pheldge, piquer le hobbit du Papet, j’ai même vu une coquille que je lui laisse loisir de signaler, moi 🙄
Pfff, le Papet, il se délecte en ce moment d’une resucée de « Star Wars » que je lui ai recommandée : « Star Whores » nettement plus émoustillante … 😀
Et c’est le hobby, pas hobbit, on n’est pas dans « le Saigneur des anaux » !
Al, le Papet, il se délecte d’une resucée de « Star Wars », sa saga favorite, que je lui ai recommandée : « Star Whores »…
Et c’est un « hobby » qu’on écrit, pas un « hobbit », on n’est pas dans « le Saigneur des anaux » ! 😀
Arf, j’oubliais qu’il te faut un *
zut désolé pour le d’houblon …
depuis peu, l’envoi de commentaires ne rafraîchit plus la page. Là, je l’ai fait à 2 reprises, avant de réécrire mon commentaire …Je file remplir un CERFA-bobo !
C’est « le doublon » , le houblon c’est la céréale qui te fait perdre très vite tes petits moyens
Son d’ houblon, je le ressens comme un jet de pierres dans mon jardin, et pour l’amateur de bières et pour l’amateur d’ un modèle de la FIAT à Turin (bien que ledit modèle soit assemblée non loin du Bosphore).
Il est blagueur, notre ADP…
Tu vois trop loin sur ses intentions, signe d’un age avancé 😀
Non Hari,
n’oublie pas que notre frétillant ADP est encore un jeune marié.
Je me demande si ce jeune marié arrive à Bandol ?
il connait les pilules bleue
Le houblon une céréale ??? Rrhhooo Albundy min co, t’es vraiment d’min coin ? 😀 …
Oui, ça nourrit, la salsepareille, mais t’étais trop au chud 😀
Je ne sais pas dans quoi on peut vraiment classer cet ingrédient de base de vie Duvelesque, herbe est trop réducteur !
Le Bio, c’est Bon, quelques morts en australie pour avoir bouffé du melon à la listéria, j’imagine sans peine un engrais organique bon pour la planète et le financement des retraites !
Il y avait du lait maternel Lactalis dans les melons?
Lait maternel en boite, déjà, c’est risible, j’imagine une ferme des mille grosses avec leurs tire lait ^^
En 2011, les Chinois ont eu des pastèques qui explosaient, pour ce fut à cause des agriculteurs qui ont mal utilisés le forchlorfenuron…mais bon les Gaia compatbles vous diront c’est la faute au forchlorfenuron un point c’est tout
Oui, assez rigolo en effet, mais il n’y a pas que ça :
https://www.tdg.ch/monde/Les-six-plus-gros-scandales-alimentaires-chinois/story/21853355
« Australie: Trois morts et une douzaine de blessés après avoir mangé des melons »
😀 😀
Tous ces gens qui meurent prématurément devrait réjouir tous les écolos conséquents. Non ?
Oui évidemment.
Highly approved by Attali Jack…
Tiens, la Suisse prend de l’avance sur nous : on attend la réaction-à chaud bien sûr- de MadeInCH, de Dame Bonzaille, et de les z-autres z-Helvètes !
« En Suisse, plonger les homards dans l’eau bouillante est désormais interdit
Une révision des lois de protection des animaux, entrée en vigueur ce jeudi 1er mars, oblige les Suisses à étourdir les homards avant de les tuer »
lepoint.fr/europe/en-suisse-plonger-les-homards-dans-l-eau-bouillante-est-desormais-interdit-01-03-2018-2198755_2626.php#xtmc=homard-suisse&xtnp=1&xtcr=1
« Une révision des lois de protection des animaux, entrée en vigueur ce jeudi 1er mars, oblige les Suisses à étourdir les femmes avec de l’alcool avant de les baiser »
Rien n’a été décidé pour les moules, cependant…
J’ignorais qu’il y avait des homards dans le lac Léman ou dans le Bodensee.
Au fait, comment font ils pour les huîtres ? Faut il les assommer avant de les consommer ?
Ce doit faire un peu plus d’un mois que j’avais relayé cette information, sans doute le temps des intertubes à parvenir chez les îliens déconnectés ?
Bah oui, parce que sinon homard m’a tuer, fait gaffe!
Il suffit de leur faire lire un article du Monde ou assimilé, le reste viendra tout seul, pour les estourbir. Rares sont ceux qui en reviennent intact.
J’ai une recette, excellente au demeurant, où sont anticipés à dessein les attendus de ce texte dont l’intelligence n’a d’égale que sa stupidité. Dans ce cas, point n’est besoin de plonger l’innocent animal dans de l’eau bouillante (« Sous l’Empereur Domitien, il fut conduit, enchaîné à Rome et condamné à être plongé dans un chaudron d’huile ou d’eau bouillante, d’où il ressortit… – pas le homard – ayant gardé sa virginité, non seulement sain et sauf, mais régénéré. » http:/ /www.1oeuvre-1histoire.com/supplice-saint-jean-evangeliste.html), il suffit simplement de fendre l’animal vivant en deux dans le sens de la longueur avant de faire griller les deux demi-homard (plus une adjonction de préparation faite à base de beurre et de corail). Rien de très extra-naturel on en conviendra tous. Pour les âmes sensibles, je recommande le passage au préalable par le congélateur (pour le homard et la langouste, évidemment).
On vit vraiment dans une société d’imbécile!!!
Il faut donc refroidir les moules avant de les chauffer à blanc
J’ai une meilleure idée: si tous ces écolos sont tellement convaincus que l’espèce humaine est néfaste pour la Natûre, ils n’ont qu’à commencer par se jeter eux-même dans l’huile ou le quinoa bouillant, qu’ils s’étourdissent avant ou pas on s’en fiche, du moment qu’ils montrent l’exemple, et que, tel le bilboquet mécanique de Gaston Lagaffe, réalisant à quel point ils sont bêtes, inutiles et moches, qu’ils se suppriment, ils peuvent même le faire par des moyens naturels et écologiquement responsables!
Si leur cause est juste, ils en sortiront comme St-Jean l’évangéliste « ayant gardé sa virginité, non seulement sain et sauf, mais régénéré » et ils auront gagné puisque Dieu leur aura donné raison.
Quelle mauvaise foi ! En réalité, chacun préférera un délicieux rumsteack de premier choix bénéficiant d’un pâturage bio à un vieux morceau de vache élevée en batterie…
je te croyais végétarienne, ô Helvète carnivore …
Quant à la notion de pâturage bio, euh, comment dire …
Le mieux serait de ne pas tout confondre…
« Le vieux morceau de vache » reste en réalité un morceau de vielle vache réformée…En batterie ou pas !
Quand à la pièce de viande « de premier choix », elle provient d’abord d’une sélection de bêtes « à viande », qui sont élevés de façon différente, et je défie quiconque de trouver, au gout, si c’est du bio ou pas ! Si l’on ajoute, en plus qu’un bon boucher sait vous servir n’importe quelle viande au bon moment, le « bio » est une illusion totale pour ce type de produit !! C’est juste plus cher!
Si je dis des bêtises, parlez en à BDC…
« ’un pâturage bio »
En fait, c’est ça le plus drôle ^^
Enfin j’hésite aussi avec l’élevage en batterie, le retour de la gégéne ?
Bonsaï compare des choux et des carottes. Chez nous on avait des prim’holstein, on n’en a jamais mangé ! Et pourtant mes parents étaient économes. Jamais goûté de bœuf bio, d’ailleurs j’ai du mal à imaginer la plus-value … en revanche pour la volaille, les poulets bios chez le boucher ont l’air malade, on préfère les non bios de mon volailler. Bio ça correspond à un cahier des charges pour la production, ce n’est pas un label de qualité gustative.
Voilà pour Bonsaï, du gras du gras et encore du gras : la viande la plus chère n’est pas bio … mobile.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/agriculture-le-choix-du-haut-de-gamme_2627416.html#xtref=acc_dir
» Chez nous on avait des prim’holstein, on n’en a jamais mangé ! »
Tu m’étonnes, ça doit être pas bon.
Pour le poulet, plus c’est jaune, meilleur c’est
Exactement Albundy ! Pareil je ne prends que des jaunes 😀 !
Hé bien Major, votre homard congelé, il va falloir une scie à ruban pour le débiter en deux; ça va encore faire des frais supplémentaires, déjà que le homard c’est pas donné!
« va falloir une scie à ruban « , t’es loin du compte, il en faut des dizaines …
euh, deux plus précisément, c’est pour ça qu’on dit le homard de vingt scies …
Oui, j’en connais une voisine :
« c’est en sciant que Léonard devint scie »:
et par extrapolation
‘C’est en sciant que le Homard devint scie »
Rhooo, pas besoin de scie, un massicot fera l’affaire
Ach!
massicoter du congelé….
Oui, l’art du Sushi ^^
Les grosses boîtes de BTP se lancent dans la production de crustacés au pied de leurs ouvrages maritimes : après les crevettes d’Eiffage, voici qu’on annonce les homards de Vinci …
Et puis toutes ces histoires de crustacés me laissent de marbre ! le homard mort est un !
Homard, ô désespoir!!!
Chérif veille
Tiens,
Anidalgo ne sait plus quoi en faire? des chinois inventifs lui montrent la voie :
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/05/03/scandale-alimentaire-en-chine-des-plats-a-base-de-rat-ou-de-renard_3170501_3216.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-3208
Cette histoire me fait rire car un soir ma chère et tendre voulait aller manger chez l’Indien du coin.
Que nenni, je n’ai pas cédé et suis resté à la maison trop méfiant sur l’hygiène de ce genre de restauration.
Résultat :
Elle a passé la nuit à faire la navette entre le lit et les toilettes, et en plus elle m’a gâché ma nuit tellement j’étais MDR …. :o))))
Depuis, assez curieusement, elle n’insiste plus… allez savoir pourquoi?
Pour le rat, je n’ai pas d’avis mais je sais de source sure que dans le chien, y’a un côté qui a un goût amer, et qui est im-ma,-hea-ble ! méfie-toi 😉
« dans le chien, y’a un côté qui a un goût amer, »
Le chien, c’est bon, mais je préfère le chat. Enfin, c’est surtout une question de sauce.
Mais le chat, tout de même, ça ressemble au poulet, en plus fin, comme les cuisses de grenouilles
@L’AL’
XXL-MDR
La viande d’un chat qui a toujours été nourri de croquettes Wiskas ou autres doit bien comporter des saveurs exotiques, non?
D’où là ta faculté à y déceler un fumet de poulet à la cuisse de grenouille..:o))))
Ha ben non min fion, du élevé en décharge, tout naturel ! Je les voyais préparer le repas du soir, et sont difficile à chopper les bestiaux maigrelets ! Mais les cuistots avaient toujours le dessus.
Enfin, ça c’était avant, pasque l’autre jour une mouette m’a volé (ds tt les sens du terme) mon sandwich certifié CEE, fumier, j’avais pas mon 14.
On dira ce que l’on voudra, ça surprend grave, heureusement que je n’ai pas l’age de l’adp, j’aurais pus faire un infarc.
Le curry n’était pas frais, c’est évident.
oui, le fameux curry que l’homme évitait … c’est d’ailleurs pour ça qu’il n’a pas passé sa nuit sur le trône 🙂
joli! :o)))
merde, je vois le cv mais pas le reste
Oui mon brave, délicat, spirituel, fin, subtil, et modeste, c’est tout moi, n’en déplaise aux comptables envieux qui traînent du côté de Chalons ,)
Rhooo, MCA, la bouffe, c’est de la bouffe, a trop être hygiéniste on tombe avec une grippe !
Je remarque que tu as laissé ton épouse déambuler ds des quartiers criminogènes pendant que tu sirotais ta bière en douce, spa bien …
Toi, tu es habitué à te goinfrer de pâté de ragondin datant de la guerre 14, donc évidemment tu es mithridaté.
Par contre, moi qui possède un palais fin et délicat et une santé fragile, je marche à l’instinct de survie et ce jour là, il a été le plus fort.
J’ai été 3 fois malade chez les chinetoques, donc basta à vie !.
Evidemment si un jour je vais en Chine ça va être difficile… :o)))
Un Palais, suis pas étonné avec toutes ces constructions dans min coin, constructions effectivement bien fine 🙄
Et il n’y a pas que du ragondin, j’ai du sanglier, du chevreuil, et d’autres ou il n’y a plus d’étiquettes ni de dates, les meilleurs.
Al, dans ton pâté « sans glier », y’a quoi, si y’a pas de glier ?
MCA, vérifie si tu n’es pas intolérant au glutamate, exhausteur de goût très utilisé dans les plats préparés et particulièrement chinois.
Pour info, E621 et E622.
« mithridaté » pour « mithridatisé », ça veut dire « daté à Mitry » ? MCA, utilise tes mots à toi, que tu maîtrises, là par exemple, il y avait « immunisé » … 😉
ARgrrrrrrrrrrr!!!!!!
Elle n’insiste plus pour le restaurant indien ou pour le restaurant « tout court » ???
« Elle n’insiste plus pour le restaurant indien ou pour le restaurant « tout court » ??? »
C’est étrange, j’ai l’impression qu’il y a du sous entendu
Connais-tu la pensée d’Alfred, l’amant de George : Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée…
Arf,non Ari,mes limites sont très limités, ça fait le bonheur de celui qui vit avec un pagne, je n’ai aucune culture, pas eu le temps, faut bouffer. Le pire c’est que je n’aurais jamais le temps. Grrr
Accepte donc avec bonheur et humilité, les quelques bribes de savoir que nous essayons, vainement, de te transmettre …
@Ari,
Le restaurant tout court? si je l’écoutais nous y serions tous les jours.
Et je ne vaut pas mieux…
Il fut une époque où je devais me restreindre à (seulement) trois restaus par semaine et certaines semaines c’était impossible à tenir…ça avoisinait les 5.. trop de copines avec qui faire la causette…
Heureuse époque!…. :o)))
Et je ne vaut pas mieux…
Argghhh bis (vaux)….
C’est Mme MCA qui dois être contente, enfin récupéré, mais libido en berne
Non, super motivé et en pleine forme pour la suite… :o))))
Le blog « Les Imposteurs » d’Anton est extraordinaire à lire. Tout y est bon et étayé.
J’y suis abonné.
Assez rigolé, on passe aux choses sérieuses :
Y a t’il un/une volontaire sur ce blog pour avaler un grand verre de Glyphosate et lever ce suspens insoutenable : ce produit est il toxique oui ou non?
H16? BDC? le Kamikaze inconnu?….. :o))))
Pas de problème, je suis volontaire, à condition bien sûr que tu ingurgites un même verre d’eau de la mer ds laquelle tu te baignes peut être parfois (j’attendrais bien sur que tu l’ais digéré, hein)
l’eau de mer est un produit total naturel, ça devrait bien se passer dans ton gosier ^^
Rhaaaaa!! la mauvaise foi!!!!
tu as toi même avoué manger des huitres qui baignent dans cette même mer.
Je constate qu’elles ne t’ont pas envoyé au paradis, hein?
Rhoooo, ou est le mauvais foi !
Suffit que tu boives un bon verre d’eau de mer, je bois un verre de glypho ^^
J’ai pas dis que l’eau de mer est mauvaise pour la santé ^^
L’eau de mer, je l’ai déjà fait et suis toujours là…
hein! hein, alors toujours joueur? :o))
Bon, avant le Glypho, tu viens toujours avec Madame boire une bonne bière en avril sur mon île ou alors un BBQ si le cœur t’en dit?
C’est ds les cartons, j’ai pas encore prévenu Peg, elle aime les surprises 🙄
c’est bizarre par contre, j’avais archivé ton mail et ne le retrouve plus…
Pour l’eau de mer, tu n’as jamais bu un verre de ce breuvage, c’est pas possible, ou alors tu m’en feras la démonstration
X.mca (at) laposte.net
J’ai déjà bu, mais c’était dans ma jeunesse et …..involontaire! :o)))
après l’eau de mer, avale une bonne grosse cuillerée de Harpic WC,, ça t »évitera de nettoyer la cuvette …
@l’ADP
C’est toi qui fait la cuisine à la maison? :o)))
Pfff
La dernière fois qu’un type m’a dit ça, je lui ai dit :
« ok, mais tu commences par boire un verre de pesticide utilisé en bio : la bouillie bordelaise. »
J’attends toujours .
Pas de bouillie bordelaise dans mes cultures super bio.
Par contre crottin de cheval, si le cœur t’en dit…. :o))))
Tu cultives à paris ????
Tu veux dire en fait que tu lis sur du papier recyclé, hein ?
A Paris? non, ne ça pousse pas (encore) sur le bitume.
Par conter à Oléron, ça pousse tt seul et c’est assez rigolo.
Les salades se sèment alors que je suis absent, il suffit de les repiquer.
MCA, tu mélanges tout…
Bio, c’est un label. Rien à voir avec des plantations au naturel avec peu d’entrants ni pesticides.
Le bio, c’est une agriculture qui vise a produire non pour soi mais pour vendre.
Et cette agriculture utilise aussi des pesticides indiqués dans une liste officielle. Dont des trucs bio qui sont de sacresstueurs d’abeilles…
MCA, tu aurais un peu de vignes, si tu ne veux pas utiliser de produits non estampillés bio, et ne pas perdre ton raisin, tu utiliserais de la bouillie bordelaise… autorisée mais très nocive pour l’environnement.
Le label bio coûte un bras à ses promoteurs. Vu que des gros couillons sont prêts à payer pour se faire entuber, pourquoi se priver ?
Nous sommes d’accord.
Le vrai BIO c’est ce qui pousse naturellement, mais comme la nature est capricieuse, pas gagné de manger tous les jours si la nature en a décidé autrement.
Le BIO industriel n’est qu’un argument marketing, rien de plus.
Bon, pour ma vigne, pas de traitement, j’ai cueilli des raisins sauvages qui poussent naturellement dans les champs (plus ou moins abandonnés) et en ai fait qq bt de vin. (aucun traitement, par contre ajout de levure de bière pour déclencher la fermentation alcoolique)
C’est pour ça que j’ai hâte de voir la tête de L’AL’…. quand je vais lui servir cette chimie expérimentale!
Je crois que suite à l’expérience, il se pourrait bien qu’il reprenne un p’tit verre de Glyphosate pour faire passer tout ça.
Totalement HS mais revigorant: https:/ /leblogalupus.com/2018/03/04/le-web-dernier-refuge-du-vrai-debat-jordan-b-peterson-explique-comment-des-garcons-peuvent-devenir-des-auteurs-de-fusillade-de-masse-et-pas-question-de-masculinite-toxique/
Demi HS :
Chez Boizard (La lime, blog), il y a un article à propos du courroux d’un auteur anglais brocardant le fait que l’Angleterre ait été récemment paralysée non pas directement par des chutes de neige (finalement très peu exceptionnelles par leur ampleur réelle) mais parce que moult autorités avaient en quelque sorte tout bouclé à double tour par peur de recevoir une demande d’indemnisation en milliers de livres à la suite d’une chute de personnes dans de la neige insuffisamment annoncée et combattue sur le terrain…
http://fboizard.blogspot.be/2018/03/loccident-paralyse-par-le-terrorisme.html
Pour votre article sur les pesticides, allez voir sur les sites que vous référencez (le titre de leur dernière tentative par exemple) et vous pourrez apprécier la redoutable efficacité des décodeurs du Monde qui affichent sur fond rouge « page Web frauduleuse bloquée ».
Ah bah si les Déconneurs du Monde le disent, c’est que c’est vrai, hein.