José, maïs et taule
En juillet 2004, le petit José, frappé – une fois de plus – par la grâce divine, entraînait quelques uns de ses amis altermondialeux dans une n-ième croisade et violait une propriété privée, y faisait pas mal de dégâts et repartait, goguenard et triomphant, sous les yeux de la gendarmerie venue constater. Et, il était temps, la justice a tranché (en appel) : le petit José se prend 4 mois fermes.