Article paru initialement le 16.09.2015
Il y a deux ans et à l’occasion de l’approche de la COP21, je m’inquiétais que certains envisageaient de plus en plus sérieusement de criminaliser certaines opinions, notamment celles relatives à la remise en question du dogme climatique selon lequel l’Humain serait directement et entièrement responsable d’un réchauffement à déterminer et, en conséquence, des catastrophes que ce réchauffement créerait. On trouvait ainsi des placards d’un humour douteux demandant la tête de certaines célébrités en désaccord avec la doxa officielle.
Deux années ont passées ainsi qu’Irma et son cortège de destruction sans que cette tendance faiblisse, au contraire. Avec l’arrivée de Trump au pouvoir aux Etats-Unis, on est même passé dans la guerre ouverte contre ces scientifiques et leurs abominables suiveurs qui ont l’impudence d’émettre des doutes, de questionner, de tenter de remettre, un peu, l’église au milieu du village.
C’est ainsi qu’on trouve à présent des sites entièrement consacrés à pénaliser le climato-réalisme voire à le placer dans les crimes contre l’Humanité.
Tendance inquiétant qui montre que tout se passe donc comme prévu, c’est-à-dire mal.
Au sujet du réchauffement climatique, le doute s’immisce dans la presse. Oh, rassurez-vous : pas sur le dogme d’une faute capitale de l’Homme et de ses technologies du diable, ni sur l’indispensable nécessité de taxer les uns et les autres, à mort s’il le faut, pour corriger ce péché. Non. Le doute s’immisce lorsqu’on évoque la réussite de la conférence COP21 ; presque soudainement, François Hollande, son organisateur, semble s’apercevoir que le succès n’est pas certain.
On peut d’ailleurs contraster cet étonnant éclair de lucidité de la part d’un président qui n’en a pas fait montre depuis le début de son quinquennat avec la position diamétralement opposée de l’une de ses ex-compagnes, Ségolène Royal, actuellement en charge du ministère de l’Écologie et dont on pourrait attendre (peut-être à tort ?) de bien connaître le dossier. Pour elle, en effet, la COP21 est déjà un succès.
Malgré cela, François doute, et, à la suite, la presse qui a bien dû se ranger aux déclarations présidentielles et commenter, d’un air grave, le possible (et terrible, forcément terrible) échec de la cruciale conférence de fin d’année.
Eh oui : un succès, c’est d’abord — d’après François le calculateur — des « engagements fermes sur les financements » (des sous, donc), et pour rassembler ces fonds, « Un sursaut est nécessaire, et nous devons une fois encore entraîner le monde » ce qui, avec l’historique de la France en matière d’entraînement du monde dans des impasses budgétaires et des démarches stériles, fait quelque peu froid dans le dos.
Mais ne soyons pas naïf : le fait que Hollande ait ainsi rappelé qu’un échec était possible s’inscrit en pratique dans une stratégie de communication, pas très fine mais probablement efficace dans les médias traditionnels. Tout comme il aura fallu promettre des catastrophes et prêcher la fin du monde pour attirer l’attention et — surtout ! — les fonds publics sur les programmes et projets réchauffo-compatibles, Hollande utilise ici la même technique qui consiste à prévenir tout le monde d’une possible catastrophe communicationnelle et d’un échec des négociations lors de sa COP21 pour inciter les uns et les autres à redoubler d’efforts afin qu’il n’en soit pas ainsi.
La différence essentielle, cependant, c’est que s’il peut suffire d’un paquet de milliards ici ou là pour prétendre s’occuper du problème climatique en cramant l’argent public dans des énergies renouvelables contre-productives ou des programmes et des recherches bidons, prétendre au succès de la COP21 nécessitera plus que ce genre de procédés coûteux mais faciles. En effet, il faut aussi arriver à embarquer un nombre conséquent d’États dans la galère climatique. Or, de moins en moins de populations sont prêtes à sacrifier le progrès et leur sortie de la pauvreté sur l’autel d’une écologie mal comprise, sur des modèles climatiques largement faux et sur des procédés fiscaux, taxatoires et collectivistes qui mènent droit au désastre et à la corruption.
L’entraînement dont parle le président François nécessite donc plus que le rappel d’un échec possible. Il faut mobiliser, que dis-je, galvaniser ces foules aux humeurs changeantes, notamment ces gros mollassons de Français dont un méchant quart (en hausse depuis l’année dernière) se dit ouvertement désengagé de ces calembredaines questions climatiques.
Bien sûr, il sera facile d’agiter le ridicule épouvantail des migrants et autres réfugiés « climatiques », et tant Hollande que la presse avec lui ne se seront pas fait prier pour le faire. Alors que l’Europe en général et la France en particulier peinent assez lamentablement à s’extirper d’une situation géopolitique bien gluante, Hollande n’a ainsi pas manqué de rappeler qu’à la suite des actuels réfugiés de guerres et autres migrants économiques qui nous arrivent par trouzaines grouillantes, le réchauffement climatique (inéluctable et catastrophique, je vous le rappelle) sera directement responsable d’un prochain tsunami de déplacés météorologiques qui viendront toquer à nos portes et nos campagnes si nous ne faisons rien, si, tous ensemble, nous ne créons pas deux douzaines de taxes et quelques palettes de vexations écologiques.
C’est bien évidemment complètement idiot. Depuis le temps qu’on nous promet des déplacés climatiques par millions, on devrait commencer à les observer. Malheureusement, comme je le rappelais dans un précédent article toujours pas démenti, toutes les prédictions de l’ONU en la matière se sont soldées par un échec si cuisant que l’organisation internationale s’est empressée de les retirer de son site pour mettre fin à une humiliation assez rigolote il faut bien l’avouer : non seulement, il n’y a pas eu de millions de réfugiés climatiques, mais si les océans montent, apparemment, ce n’est pas autour des îles pourtant régulièrement destinées à l’inondation fatale, et ce malgré la découverte récente … qu’elles grandissent.
L’argument des réfugiés climatiques est donc idiot, mais comme il marche auprès des médias, il est abondamment utilisé. Et s’il ne suffit pas, qu’à cela ne tienne : on va rajouter une grosse louchée de culpabilisation produite maintenant de façon industrielle par des gouvernements aux scrupules nanoscopiques. Et pour cela, on pourra commencer par introduire insidieusement l’idée que certaines pratiques énergivores ou climato-réchauffistes sont … des crimes, rien de moins : à l’occasion de la publication d’un énième brûlot pro-étatiste « Crime climatique stop ! », co-écrit par un archevêque (Tutu), une pontife de l’anticapitalisme (Klein) et un glaciologue tout à fait neutre puisque patron du GIEC (Jouzel), les habituels zélotes de l’interventionnisme climatique sortent toutes leurs plus belles métaphores pour bien faire comprendre l’impérieuse nécessité de poursuivre et condamner lourdement ceux qui auraient l’idée saugrenue de remettre en cause leurs thèses foutraques.
Par exemple, Christophe Bonneuil, chargé de recherche au CNRS, n’hésite pas à faire un parallèle avec l’esclavage :
« À la fin du XVIIIe siècle, on pensait que l’esclavage était indispensable à la croissance économique et on ne se posait pas la question des conséquences morales. Puis l’esclavage a été dénoncé et puni par le droit. (…) Les émissions incontrôlées de gaz à effet de serre méritent la qualification de crime. Il faut changer de regard pour considérer que brûler des fossiles est immoral. C’est inadmissible que certains fassent des profits sur ce qui apporte de la souffrance .»
Dommage, en utilisant la carte « Nazisme », il aurait pleinement gagné son petit Point Godwin, mais on peut admettre que frapper ainsi d’anathème l’utilisation du pétrole (qui a, littéralement, sorti d’une misère noire plusieurs milliards d’êtres humains), c’est suffisamment bourrin pour qu’aucun doute ne soit permis.
Bref, il n’existe maintenant plus aucune limite dans la culpabilisation des foules.
Tant Hollande que la presse et les habituels propagandistes qui s’affairent autour du GIEC et de la COP21 ont déployé toutes les ficelles, y compris les plus grosses, pour que leur escroquerie continue. Et leur ardeur est d’autant plus forte que les coûts de ces mesures iniques finissent par s’ajouter les uns aux autres, ce qui en temps économiques délicats comme actuellement, provoque des tensions. Parallèlement, le rendement marginal de la culpabilisation décroît : chaque dose toujours plus massive de culpabilisation rapporte un consensus décroissant, voire devient contre-productive. Les populations commencent à voir les factures et les discours moralisateurs s’accumuler, sans aucune amélioration de leur propre sort.
Dès lors, la fumisterie climatique s’essouffle, parce qu’elle est trop basée sur des mensonges, des aberrations, un traitement politique inconditionnel et par moment totalitaire de faits scientifiques largement ouverts à débats, et parce qu’elle a fini par perdre pied avec la réalité tangible des populations exposées à cette propagande.
Qu’il sera drôle de constater le décalage entre cette dernière, qui louangera Hollande et le succès de la COP21, alors que l’observateur lucide n’y verra qu’un échec misérable !
Parlez de la pluie et du beau temps, était autrefois le sujet bateau pour débuter une conversation, être convivial… cela devient de plus en plus compliqué de vivre en société…
J’ai toujours entendu dire lors des repas familiaux « le temps est détraqué ! » … 😉
Ah, que nos ancêtres vivaient bien en mangeant bio, mis à part quelques famines, ils respiraient un air sain, hormis quelques particules inhalées dues au chauffage au bois, ils se soignaient qu’avec des produits naturels et n’avaient pas besoin de médecins pour soigner leur cholestérol, car la viande était rare et chère et ils n’en mangeaient pas tous les jours. C’était le bon temps auquel il convient de revenir.
Des luddites et des malthusiens, voilà à qui nous avons affaire. On peut rêver mieux comme dirigeant.
Bien, résumons un peu tout ça. A l’époque – il y a deux ans donc – on se voyait globalement dans le réchauffement climatique. Peut-être voulait-on nous faire croire à cette version des choses. Personnellement, cela ne me dérangeait pas trop, mais là n’est pas le problème.
Et aujourd’hui que voyons- nous ? A l’heure des vendanges on grelotte, on court mettre un chandail, on sort le radiateur d’appoint…
Refroidissement climatique ?
Ca sert à rien de se poser ce genre de question Mam’zelle, le climat, c’est comme une femme: souvent il varie, on n’en connaît ni les raisons ni les fins, il faut juste s’en accommoder.
» souvent il varie »
Pas chez les mal-baisées.
Je connais aussi des mal baisé(s). Il n’y a pas que le genre 1 qui a ses humeurs. Et pourtant, ils n’ont pas l’excuse du « cardinal qui loge à la motte tous les mois » « lol »
« Si la rivière est rouge, emprunte le chemin boueux ».
Si celui-ci est encombré, utilise la voie de la sagesse… etc…..
Pour ajouter ma contribution au travail dominical de maître Hash, la ministre des Outre-Mer, Annick Girardin, révèle un sens des priorités effarant en déclarant à propos de la situation à Saint Martin qu’il fallait voir là « les résultats du dérèglement climatique ».
Question à 10 balles (parce que ça vaut pas plus): c’est parce qu’elle est ministre, ou parce qu’elle est à l’Outre-Merde qu’elle dit une chose aussi conne?
Et je continue de demander: y aura-t-il quelqu’un pour dire au monde, un jour, que parler de « dérèglement climatique » est une absurdité, littéralement une connerie sans nom? Comme si le climat était réglé, sérieusement… je ne sais pas quoi dire d’autre!
Question à Hash: peut-on poster une image avec un commentaire?
Quand tous ces grognards admettront que la Terre est un organisme vivant, qui a des cycles et que même si l’Homme a une part de responsabilité, l’histoire nous démontre que le climat change régulièrement. Oui, il y a un changement, un dérèglement par rapport à ce que deux générations ont en mémoire, par rapport à ce que quatre générations ont photographié, mais pour autant peut on prendre si peu de recul pour vérité ?
Le faire reviendrait à tout généraliser chaque oiseau qui siffle est donc une grive musicienne !
Il me gonfle avec leur nombrilisme. Par contre, vouloir leur démontrer avec une contre propagande argumentée et en béton qu’ils ont tort va renforcer leur idée qu’ils sont dans le vrai. Cela est démontré par la psychologie sociale pour information.
La Terre est un astre et comme tous les astres elle n’est pas vivante.
La Terre est un organisme vivant seulement pour les adorateurs de Gaïa!
Si on commence à traiter des questions scientifiques sur des bases aussi ridicules nul doute qu’au final ça sera du Gloubi-boulga.
Elle est vivante dans le sens que les plaques tectoniques bougent sans cesse, que notre astre subit, en fonction des différentes perturbations solaires ou de gravitation liée à la position de la lune, des cycles naturels; bien sûr, il ne fallait pas prendre l’idée du vivant comme la faune ou la flore, on a tout faux
Ils s’en foutent de la terre, ils veulent juste ton pognon.
+1000
« Climate science is not a science. It is a criminal venture intended to extort money from the public. Whatever they are doing, has nothing to do with science. »
Tony Heller
Que ce soit :
– les ondes
– les OGM
– les pesticides
– le nucléaire
– le climat
– la pollution
– la médecine
…
Les écologistes tournent le dos à la science, et quand ils ne l’asservissent pas, ils la salissent.
« même si l’Homme a une part de responsabilité, »
non, aucune, prétentieux
A quand les membres du GIEC inculpés pour crime contre l’Humanité?
Depuis 2013 dans ses rapports complet le GIEC reconnait de plus en plus (pour celui qui sait lire) que depuis 1998 il n’y a pas eu de hausse significative de la température (0.04°C par décennie et que c’est dans la marge d’erreur).
Un jour peut-être…
En attendant, difficile aujourd’hui d’arriver à condamner Greenpeace pour avoir fait des millions de morts en poussant l’OMS à interdire le DDT.
L’OMS est heureusement revenue en arrière, mais les criminels courrent toujours.
l’écologie, prochaine dictature?
Oui.
En tout cas, aujourd’hui ça ressemble bel et bien à une religion…
C’en est une, avec le don de pognon pour l’absolution du droit à poluer, et le bûcher pour les hérétiques sceptiques
Non pas le bûcher, nous ne ferions qu’empirer notre bilan carbone … Je propose plutôt la condamnation à la noyade par montée des eaux.
Ou bien la transformation en bio-carburant ^^
« Le pittoresque costume de révolutionnaire se décolore insensiblement (je dirai toujours rapidement) en sévère uniforme de policier » Nicolas Gomez Davila.
Aucune raison que l’escrologisme officiel y échappe.
L’ écolog
ismesera la prochaine dictature si « on » ne fait rien ! De grâce, regardez, lisez, jugez par vous même, parlez et communiquez pour éviter cela. Pour avoir essayé, je vous garantis qu’ il est déjà moins dangereux de se proclamer pédonazi que de se déclarer climato-réaliste.@val : Merci !
@Pheldge : Oui, mais une strophe plus loin.
Question sorte, mais je la tente. Y a t il un réchauffement global constaté/prouvé ?
entre 0.6 et 0.8 le siècle dernier.
Excusez-moi mais cette « redite » sent un peu le « réchauffé » !
Hollande a disparu (enfin presque). Il a été (utilement ?) remplacé par Macron.
Et il dit quoi Macron ? Il dit : »On ne peut pas prétendre lutter contre le terrorisme si on n’a pas une action résolue contre le réchauffement. »
Et on comprend que si on ne peut pas lutter contre le réchauffement, il ne faudra pas être étonné qu’on ne puisse pas lutter contre le terrorisme non plus.
Tout le monde peut donc se rendormir sur ses deux oreilles.
Merci Mildred. Reprenons la suite de votre démonstration :
Et pourquoi ne peut-on pas lutter contre le terrorisme ?
Parce que le réchauffement n’existe pas.
Tout le monde peut donc dormir sur ses deux oreilles en attendant le billet du lundi…
@mildred Certes. Après on peut penser que cette phrase débile est un os lancé aux gogos qui l ont élu.
La rousse douce a la dent dure…
Je ne comprends pas qu’on puisse être sceptique à propos du réchauffement climatique.
Tenez : hier, 24°. Aujourd’hui, à la même heure : 26°.
Hein ? Qu’est-ce que vous en dites ?
M’enfin René ! Tu confonds météo et climat !
J’en dis que des degré comme ça (°) c’est la teneur en alcool de quoi t’as bu à l’apéro hier et aujourd’hui.
Pour un vieux loup de mer comme lui, cela me paraît un peu faible. Un degré de bibine…
farpaitement ! le Papet il a raison ! pour RPS, de l’absinthe sinon rien !;)
Une mauvaise humeur comme la sienne doit se faisander au whisky…
On peut avoir recours à l’hydromel… très gaulois !
@ Mme Bonzaï : je suis d’excellente humeur, d’un optimisme à tout casser. N’y a que Maria qui me tracasse un peu. Sacré réchauffement !
Effectivement, Maria s’est pris le mauvais chemin semble-t-il, droit sur la Guadeloupe.
Quand au réchauffement, je ne sais pas où vous êtes actuellement, mais si j’en crois les cartes météo de la France et de la Suisse, nous avons droit à une sorte de novembre précoce !
Ça risque de swinguer. Maria va prendre le haut de l’arc antillais en enfilade (ne voyez ici aucune allusion graveleuse).
Mais l’État-maman préventif envoie des troupes (alors que Maria arrive cette nuit). Ce qui était impossible avec Irma devient possible avec Maria, certes d’une moindre intensité, mais on ne savait rien de la puissance d’Irma à J-3, donc l’incohérence demeure.
Maria, sur relevés dépasse actuellement les 140 km/h, avec rafales à 150.
C’est pas comme si ça n’arrive pas tout les zans….
Irma, je le voyais tourbillonner en pleine mer dans les 200 -220 4 à 5 jours avant qu’elle ne touche la cote.
Faudrait pitetre que les locaux arrêtent la tôle ondulée et l’esprit taubira… Indépendance, YES
Je suis favorable à l’indépendance. À NOTRE indépendance. Hélas, à peine la réclament-ils, qu’ils font aussitôt marche arrière. L’indépendance sans le RMI ? Ah ! Non !
forcément ce ne sont que des parasites, et on paye leur vents
il paraitrait que si on veut refaire la facade de sa propriete, on est oblige d’y adjoindre une partie isolation thermique. si c’est vrai,cela confirmerait cette tendance a la diminution des libertes individuelles ( droit la propriete) et augmentation de la pression du collectif (facilement manipulable « pour le bien de la planete ») .
Réponse qui se trouve justement dans le billet du jour du 18/09/17 !!!
donc a priori cette obligation concerne les coproprietes et non pas les biens en pleine propriete? je commence a comprendre pourquoi certains appartements dans des grandes tours pres de chez moi sont a vendre a des prix en dessous du prix du marche.
Faut dire que les copros ont déjà fait d’eux-mêmes la moitié du chemin vers le communisme 😀 … alors autant les accompagner pour le reste du chemin…
Un petit article, déjà mis, mais très intéressant
https://www.lematin.ch/suisse/these-officielle-foutaise/story/19748787
Nombre d’entre vous connaissent sans doute, mais au cas ou
https://vimeo.com/231081036/52877ec8f8
Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer
Je vous laisse vous faire une opinion
test
Remarquablement amusante et tristement réaliste la video BBC. La partie 1 existe-elle aussi en français ?
(test : .B.I.
S.U.EM.STRONG.1.2. )https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2017/09/18/irma-un-record-de-rumeurs/