Comme un petit vent de ras-le-bol

Les choses sont peut-être allé un peu vite alors récapitulons brièvement.

En 2024, l’État français a salement dérapé sur son budget. Son gouvernement a changé rapidement. Deux fois. Tous les indicateurs économiques du pays ont viré gentiment au rouge et toutes les forces vives du pays s’accordent à dire que les Français subissent la pression fiscale la plus forte du monde. Les services publics sont en berne, l’action de l’État frise le ridicule aux fers chauds et l’actuel gouvernement est essentiellement piloté à vue par un petit opisthobranche rigolo.

Ce dernier a donc décidé d’augmenter les déficits, d’augmenter la dette et d’augmenter la pression fiscale parce qu’après tout, pourquoi pas ?

Ainsi, les seuils à partir desquels les auto-entrepreneurs devront reverser la TVA collectée à l’État ont été judicieusement abaissés.

Même si un petit délai a été introduit un peu avant le vote budgétaire pour éviter de déclencher un mouvement de colère des auto-entrepreneurs qui aurait pu, hypothétiquement, forcer la main de certains députés et faire basculer la censure du mauvais côté, il apparaît à présent que le pied nickelé en charge du ministère de l’Économie a bel et bien confirmé ces nouveaux seuils de déclenchement de la déclaration de TVA qui concerne dont des dizaines de milliers d’auto-entrepreneurs.

Cela n’a été une surprise que pour les quelques naïfs qui croient encore les déclarations apaisantes des chargés de communications des politiciens. Et tout compte fait, on se dirige vers l’impact économique le plus violent depuis les confinements de 2020 : l’État provoque décidément plus de dégâts qu’un virus et on peut s’attendre à une vague assez forte de dépôts de bilan de ces micro-entreprises.

Les réactions se multiplient depuis sur les réseaux sociaux et dans les médias traditionnels. Ce sera en pure perte : la mesure, dévastatrice, restera et garantira que les petites entreprises vont rapidement péricliter dans le pays.

Rassurez-vous : les grandes entreprises et les gros patrimoines ne sont pas oubliés puisque l’Assemblée a, dans la foulée, adopté en première lecture la taxe Zucman, taxe plancher de 2% sur le patrimoine ce qui poussera vigoureusement ceux qui y seront assujettis à bien vite se tirer de cet enfer socialiste, détruisant avec leur départ emplois et perspectives de développement.

Si l’on ajoute le projet de l’Exécutif, toujours pas abandonné et régulièrement remis sur la table, de taxer à hauteur de 40% les entreprises françaises réalisant plus de 3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, on comprend que toute la classe politique du pays, d’un côté à l’autre de l’hémicycle, est entièrement socialiste convaincue qu’il va falloir ponctionner, taxer, confisquer et fiscaliser tout ce qu’on peut avant la faillite.

C’est donc assez logique qu’on commence à entendre de plus en plus distinctement des couinements.

Bien sûr, les auto-entrepreneurs sont les premiers à émettre des gémissements, mais ils sont rapidement rejoints par tous les chefs d’entreprise qui constatent l’avalanche maintenant ininterrompue de complications bureaucratiques débiles en plus d’une taxation devenue folle.

Il faut dire que les différents tsunamis de « simplification » qui ont heurté la France ces dernières années se sont tous traduits par ce à quoi on peut s’attendre après des tsunamis : des torrents de boue, des destructions étendues, des victimes par milliers, et des fonctionnaires, tampon encreur à la main, parcourant les ruines à la recherche d’un cerfa à tamponner jusqu’à la mort.

Souvenez-vous de la « réforme » des régions qui devait permettre d’économiser quelques deniers publics : réalisée sous Hollande avec tout le brio qu’on pouvait espérer d’un dessert lacté, elle fête ses 10 ans et, avec elle, les Français ont pu recevoir une facture salée. Quasiment aucun des doublons n’a été supprimé, et la réforme ne s’est pas traduit par quelques économie que ce soit.

Souvenez-vous aussi de ce « choc de simplification » lancé par Éd l’épicier de Matignon en 2017, qui réclamait alors que toute nouvelle norme devait en supprimer deux anciennes. Aucune simplification ne fut enregistrée depuis. C’est un échec complet. Le seul fait que cette andouille barbue se croit encore capable d’envisager, sans rire, un prochain poste à l’Élysée donne une assez bonne idée de la cuistrerie de nos dirigeants politiques moyens.

Bref, les « réformes » n’en n’ont jamais été et les « simplifications » ne sont que des fanfreluches de communicants.

Les Français, bonnes poires, commencent tout juste à s’agacer : ils estiment dans leur grande majorité (71%) beaucoup trop payer d’impôts, ce qui est un euphémisme, constatent que le système social actuellement en place est beaucoup trop généreux, et sont de plus en plus nombreux (36%) à souhaiter une (vraie) réforme de fond en combles.

Chaque jour qui passe, les réseaux sociaux recueillent de nouveaux témoignages de ce ras-le-bol. Chaque jour qui passe, les internautes constatent, chiffres à l’appui, qu’on les baratine sur les destinations et l’usage des fonds publics, et réclament à la fois transparence et remise à plat de pans entiers d’un système dont tout indique qu’il est à bout de souffle.

Les questions sont simples : où partent les piscines olympiques de billets, les montagnes d’argent public ? Pourquoi lâche-t-on des fonds précieux dans des programmes loufoques (à l’étranger, dans des associations lucratives sans but et sans audit) au lieu de ces services publics directement utiles aux Français, et largement identifiés par tous (santé, éducation, régalien) ?

Les réponses des autorités sont systématiquement confuses, embrouillées, voire carrément mensongères et on lit déjà l’effroi sur les fronts moites de certains administrateurs, certains responsables politiques qui n’ont pas encore terminé de payer les traites de leur villa dans le Sud alors que l’odeur d’audits musclés se rapproche dangereusement.

C’est d’ailleurs sans surprise que les comptes (sur le réseau de Musk) qui évoquent ces questions simples (ici ou par exemple) et ces réponses foireuses sont minutieusement scrutés par l’Élysée, qui comprend que les beaux discours officiels ne prennent plus.

Le mouvement est encore jeune, mais alors que la France s’approche chaque jour de sa faillite, il ne fait pas le moindre doute qu’il pose les vraies questions et ne pourra se satisfaire des réponses vagues et dilatoires des clowns en place.

J'accepte les BTC, ETH et BCH !

1BuyJKZLeEG5YkpbGn4QhtNTxhUqtpEGKf

Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
BTC : 1BuyJKZLeEG5YkpbGn4QhtNTxhUqtpEGKf
BCH : qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6
ETH : 0x8e2827A89419Dbdcc88286f64FED21C3B3dEEcd8

Commentaires677

  1. CPB33

    l’enfoiré de retailleau :
    medias-presse.info/bruno-retailleau-le-faux-dur-qui-donne-encore-de-nouveaux-gages-a-la-bien-pensance-et-aux-ennemis-de-la-france/201924/

  2. Higgins

    J’ai reçu cette recenssion et le sujet évoqué me paraît être bien d’actualité (je précise que je n’ai pas lu le livre) :
    Les réseaux sociaux détruisent-ils la santé mentale des futurs adultes ? Génération anxieuse, le best-seller du chercheur américain Jonathan Haidt — enfin traduit en français — estime qu’ils blessent les filles et consument les garçons.
    Steve Jobs imaginait-il les dégâts que son invention, l’iPhone, pourrait engendrer ? Marck Zuckerberg, lui, en est sans doute pleinement conscient. Génération anxieuse, le best-seller du chercheur américain Jonathan Haidt est enfin traduit en français, aux Éditions des Arènes. Et à vrai dire, tout parent devrait le lire, tant il montre et démontre à quel point les réseaux sociaux consultés à longueur de journée sur les smartphones nuisent à la santé mentale de la génération Z.
    Ces enfants nés après 1995 auront été les cobayes d’une expérience planétaire qui les dépasse tous et qui se trouve désormais hors de contrôle. « Appelons cela « le grand recâblage de l’enfance ». C’est un peu comme s’ils étaient la première génération à grandir sur mars », explique Jonathan Haidt. « Les membres de la génération Z sont les cobayes d’une éducation totalement inédite, loin des interactions tangibles entre petites communautés au sein desquels les humains ont évolué jusque-là. » Il s’agit de la première génération à avoir grandi intégralement connectée aux réseaux sociaux. Ces jeunes de la génération Z sont ainsi « les premiers de l’histoire à traverser la puberté avec un portail en poche qui les éloigne de leur entourage et les attire dans un univers alternatif excitant, addictif et instable ». Mais avec des conséquences dévastatrices…
    Dépression, privation sociale, fragmentation de l’attention… Le bilan de cette addiction est terrible. L’auteur de cet ouvrage, vendu à plus d’un million d’exemplaires outre-Atlantique, établit un lien direct entre l’utilisation massive des smartphones et des réseaux sociaux et la vague de troubles mentaux des adolescents depuis 2010. « Nous avons découvert un grand pic d’anxiété et de dépression, apparu dans les années 2012-2013, touchant « la génération Z » » – une tendance confirmée depuis pour tout le monde anglo-saxon comme pour l’Europe, explique-t-il. Le pourcentage de jeunes adolescents diagnostiqués, toutes origines et classes sociales confondues, pour des troubles d’anxiété et de dépression s’est alors mis à flamber – respectivement de +135 % et de +106 %. En une décennie, l’anxiété est devenue le trouble dominant de cette génération : près de 25 % des collégiens en souffrent, suivie par la dépression (20 %) et les troubles de l’attention.
    « Pourquoi l’impact des réseaux sociaux est-il plus grave sur les adolescents que sur les adultes ? », interroge Eugénie Bastié dans les colonnes du Figaro : « Parce que le cortex frontal, essentiel pour la maîtrise de soi, la gratification différée et la résistance à la tentation arrive à maturité à la vingtaine : les plus jeunes peuvent moins réfréner leur addiction. D’autre part, à la puberté, le cerveau est particulièrement plastique, et la sensibilité des jeunes à la comparaison sociale s’accroît. D’ailleurs les Facebook Leaks ont documenté que l’entreprise de Mark Zuckerberg a intentionnellement cherché à rendre les adolescents accros par le biais de techniques comportementales. » De quoi relancer le débat sur la dangerosité des réseaux sociaux pour le cerveau des adolescents, dont ils contribuent à façonner les comportements comme la vision du monde.
    Si les réseaux sociaux ont été « la cause majeure d’une épidémie internationale de maladie mentale chez les adolescents », celle-ci a des conséquences différentes chez les garçons et chez les filles. En effet, ils nuisent davantage aux filles : elles y sont davantage accros, notamment à Instagram, où le fait de se comparer en permanence entraîne des troubles dépressifs, alimentaires, et parfois mimétisme dans la dysphorie de genre. « Les garçons, eux, auront tendance à devenir addicts aux jeux vidéo et à la pornographie, ce qui peut entraîner décrochage scolaire et retrait du réel. Le monde virtuel blesse les filles et consume les garçons. »

    L’une des solutions face à ces dangers ? Au-delà des constats, l’inspirateur du concept de « génération anxieuse » propose également des solutions. Notamment ne pas avoir le moindre compte sur un réseau social avant l’âge de 16 ans, et même interdire l’usage des smartphones avant 14 ans. Mais aussi, pour les parents, cesser de surprotéger leurs enfants dans la vraie vie. En effet, on constate une « inflexion, certes bien intentionnée, mais néanmoins désastreuse, vers la surprotection des enfants et la réduction de l’autonomie dans le monde réel ». Pour faire simple, le cerveau humain fonctionnerait selon deux modes : « le mode découverte, permettant de saisir des opportunités, et le mode défensive pour déjouer les menaces ». Or, les jeunes nés après 1995 sont plus susceptibles de rester bloqués en mode défensif. Pourtant, tous les enfants ont par nature « besoin d’être confrontés à des revers, des échecs, des chocs, des trébuchements, pour gagner en force et apprendre à se faire confiance ». Pour « ramener l’enfance sur terre », les amener « à investir mieux et plus le monde réel », il faudrait donc en finir avec la sur-protection pour diminuer l’anxiété chez nos enfants ? Ce serait déjà un bon début…

    1. Iskanderkul

      Depuis le début des ordinateurs familiaux (et ensuite les iphones, tablettes et autres réseaux), les jeunes dirigeants des entreprises de la Silicon Valley avaient pris bien soin de mettre leurs enfants dans des écoles sans ordinateurs, avec un tableau noir et des craies, et surtout rien d’autre d’électronique. Ils devaient savoir pourquoi.

      1. CPB33

        pourtant les jeunes auraient pu découvrir une autre silicon valley dans le décolleté de Pamela Anderson (entre autres) sur le net…..

    2. René-Pierre Alié

      La « fabrique du crétin digital » (Michel Desmurget) tourne à plein régime. Le fossé se creuse entre une masse d’ilotes dégénérés et un petit nombre de résistants. On peut relire un classique, « La Révolte des Masses », d’Ortega y Gasset, prémonitoire.

            1. Pheldge

              le boomer refoulé nous fait des fautes de djeun’s pour tenter de se faire passer pour l’un d’entre eux …
              « On dit habituellement pardonner quelque chose à quelqu’un. » alors « Il faut le pardonner … » ça pique … 😉

              1. Vieux rat

                Les boomers ont plus de 65 ans et des problèmes de prostate. Je ne suis donc pas concerné.

                Moi je suis un produit de l’Ed’nat après plusieurs réformes, d’où mon expression française un peu différente. 😀

                  1. Vieux rat

                    N’est-ce pas 82 ans ? 😀

                    La boomitude, c’est jusqu’en 1965 environ, donc en effet.

                    Voilà, tu feras partie de ces vieux cons, qui emmerdent les actifs au supermarché à 18 h, ou sur les route dans un camping-car… 😕

                  2. Pheldge

                    @ Pierre « j’ai 63 ans » c’est ça, et moi je suis le Père Noël ! 😀
                    tu noteras que, par égard pour ton grand âge, je n’ai pas rajouté, cette délicieuse expression belge, qui apporte le comique de répétition. 😉

              1. Vieux rat

                Tu peux aller voir la mini-série « L’Effondrement », par les parasites (8 épisodes thématiques de 15 à 20 mn).

                C’est bien mené… et c’est une bonne préparation à ce qui nous attend ! 😉

            1. Pheldge

              « He earned the position of sergeant major in the British Army » nous dit sa fiche wiki.
              en.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Higgins

    3. jusnaturaliste

      La question est intéressante, mais le post relaté par Higgins mélange tout.

      La pornographie et les jeux vidéos étaient déjà largement utilisés avant facebook et l’iphone. Et l’iphone n’était pas le premier appareil mobile à pouvoir surfer sur Internet. Donc s’en prendre à Jobs ou Zuckerberg sur ce sujet ressemble plus à une démarche marketing pour intéresser le lecteur qu’à une vraie analyse.

      Le vrai problème n’est pas l’écran, mais le fait que les jeunes passent leur temps sur les écrans parce que l’on a détruit la famille, et même de manière voulue, dixit les propos d’un ancien ministre de l’éducation nationale.

      La nature a prévu qu’un jeune puisse grandir élevé par son père et sa mère avec comme relations proches ses frères et sœurs.

      Aujourd’hui, une forte proportion d’enfants ne vivent pas sous le même toit que leurs parents biologiques, n’ont quasiment pas de fratrie issue du même couple, et l’essentiel de leur vie se passe dans des endroits sans leur famille: crèches, écoles, camps, activités, etc.

      De facto, on forme les enfants dans l’idée que les relations premières ne sont pas la famille et ceux qui dorment sous le même toit, mais les relations éloignées que l’on rencontre à différentes activités.

      Le problème d’une relation éloignée, c’est qu’il n’est pas possible d’avoir une relation forte et intime, car celle-ci ne peut se développer réellement que si l’on vit sous le même toit. Or, nous aspirons à ces relations, et l’écran ne fait que tenter d’amener sous notre toit des gens éloignés. Mais évidemment, cela ne suffit pas, et au final, les individus sont de plus en plus isolés.

      Supprimer les écrans n’y changera donc rien, il vaudrait mieux supprimer toutes les lois qui empêchent les personnes qui vivent sous le même toit d’être ensemble dans leurs activités.

  3. CPB33

    et Merz s’en va-t’-en guerre :
    pgibertie.com/2025/03/02/lallemagne-a-choisi-la-guerre-et-la-proportionnelle-rend-toute-forme-dalternance-impossible/

    1. breizh

      il bouffera son chapeau, car il ne peut rien faire sans l’autorisation de l’armée qui occupe son territoire depuis 1945 et surtout il n’a plus d’armée, tant au plan matériel qu’au plan humain. S’il peut à nouveau investir dans de l’armement (et ce n’est même pas évident, vu la situation économique de l’Allemagne), la démographie ne se rattrape pas.
      C’est de la gesticulation pitoyable, à dégager.

      1. Higgins

        Actuellement, l’armée allemande fait juste jolie dans la décors et, à ce que je peux en savoir, sa jeunesse goûte modérément l’idée d’aller se faire tuer pour la cause.

        1. Vieux rat

          Armée allemande ? 😀

          « Ne pas aimer le führer est un grand déshonneur

          Alors nous crions Heil ! Heil ! Droit vers le visage de Zobinsky ! »

          youtu.be/VihggRSvVic

      2. Pierre 82

        Gesticulation pitoyable, peut-être, mais perdu pour perdu, ce salopard de Macron est quand même sur le point de donner à Vanderleyen le bouton de la force nucléaire pour continuer à foutre le bordel un maximum.
        J’ai l’impression qu’on entre dans une phase excessivement dangereuse, surtout qu’il ne faudra pas compter sur l’état major des armées pour s’y opposer, vu la manière dont Macron les a remplacé depuis qu’il est là par de parfaits beni oui oui…

        1. breizh

          La force nucléaire, c’est un petit peu plus compliquée qu’un bouton…
          Et les militaires sont peut-être un peu plus conscients que ce que signifie être vitrifié en retour, car les russes ont les moyens de transformer toute l’Europe en parking…

          1. Pierre 82

            Penses-tu…
            Dans les hauts états-majors, là où ça se décide vraiment, on ne trouve plus que des créatures de Macron, à peu près du même niveau intellectuel que Yakovleff…

        2. lao slump

          Je serais curieux de savoir si la grande estropiée (et muette en plus) laisserait McRon faire ça sans protester. C’est là qu’on verrait s’il y a encore des hommes dans ce pays…

    2. Pierre 82

      Désolé, mais Friedrich Merz, ça me fait penser à ceci
      « Friedrich ? Un postiche ? »

      https:/ /www.youtube.com/watch?v=B1z6Exixqy8

      Tout comme Olaf l’ex-chancelier, qui m’a toujours fait penser à Grossebaf d’Astérix chez les Normands.

      L’Allemagne, à l’instar de la France, se termine en farce.
      C’est ce pays-là qu’il faut faire exploser, et en revenir à un assemblage de duchés, de villes-états et principautés. A l’époque, ils étaient à la fois performants, prospères et pacifiques.

        1. Pierre 82

          Au moins, à cette époque, les Allemands s’enrichissaient, inventaient plein de trucs tout en foutant royalement la paix au reste du monde.

            1. Vieux rat

              Merz s’en va-t-en guerre,
              Mironton, mironton, mirontaine,
              Avec son casque bleu sur la tête,
              Mironton, mironton, mirontaine.

              « Je pars combattre Poutine ! » dit-il,
              Mironton, mironton, mirontaine,
              Mais son char d’assaut tombe en panne…
              Mironton, mironton, mirontaine.

              Sa femme l’attend au balcon,
              Mironton, mironton, mirontaine,
              « Reviens vite avant qu’on te zappe ! »
              Mironton, mironton, mirontaine.

              Poutine rit dans son bunker froid,
              Mironton, mironton, mirontaine,
              « Encore un qui joue aux soldats ! »
              Mironton, mironton, mirontaine.

              Merz revient sans bottes ni gloire,
              Mironton, mironton, mirontaine,
              « J’ai perdu contre un ours en peluche ! »
              Mironton, mironton, mirontaine.

              La presse se moque gentiment :
              Mironton, mironton, mirontaine,
              « Prochaine fois, reste chez toi, Merz ! »
              Mironton, mironton, mirontaine.

  4. Léo C

    Sinon, avez-vous vu les récompenses des Césars 2025 ? Je n’ai pas suivi, je ne regarde plus la TV mais le résultat est éloquent.

    Ça va avec tout le reste. Allez, joyeux ramadan.

    1. Guillaume P.

      On dirait une blague.
      Le César du meilleur film: « drame musical en espagnol sur une caïd transgenre dans le milieu des cartels mexicains. »
      .
      Sur les bande-annonce youtube les Mexicains gueulent et parlent de « mépris » « de moquerie » et « de dégradation » de leurs pays, de leur culture et du problème des cartels.

      1. Pheldge

        « Cérémonie des Césars: Le discours gauchiste DÉLIRANT de Gilles Perret » Victor Ferry
        youtube.com/watch?v=B5F0rjscBGI

        1. Vieux rat

          Le résumé, par mon pote IA ! 😀

          Contexte :
          La vidéo critique la cérémonie des Césars, considérée comme un événement symbolisant le cinéma subventionné et les idées de gauche en France. L’auteur exprime son mécontentement face aux discours politiques prononcés lors de cette soirée.

          Points principaux :

          1. Critique du discours de Gilles Peret :
          – Le discours de Gilles Peret est qualifié de « gauchiste engagé » et centré sur la gratitude envers les subventions publiques (impôts, hôpital public, école publique, etc.).
          – L’auteur estime que ce type de discours reflète un manque de reconnaissance envers ceux qui financent ces subventions : les entrepreneurs, les créateurs de valeur et les contribuables économiquement de droite.
          – Il dénonce l’hypocrisie des gauchistes qui se présentent comme des rebelles tout en bénéficiant massivement du système qu’ils critiquent.

          2. Dénonciation du déterminisme social :
          – L’auteur rejette l’idée selon laquelle le succès serait uniquement dû à des facteurs sociaux ou des aides publiques. Il affirme que sans ces subventions, certains artistes pourraient être contraints de travailler dans des secteurs plus utiles à la société.

          3. Rejet des priorités culturelles :
          – Les films primés lors des Césars ne reflètent pas le succès populaire au box-office (ex. : Le Comte de Monte-Cristo avec 9 millions d’entrées a été ignoré).
          – L’auteur accuse l’industrie cinématographique de privilégier des œuvres alignées avec une vision progressiste plutôt que celles appréciées par le grand public.

          4. Critique du système fiscal :
          – Les impôts sont perçus comme un outil de financement des « délires bobos » (bourgeois bohèmes) et non comme un moyen de soutenir l’intérêt général.
          – L’auteur souligne que les entrepreneurs et travailleurs du privé subventionnent involontairement des productions artistiques qui leur sont hostiles.

          5. Engagement politique au cinéma :
          – La soirée des Césars a été marquée par des prises de position politiques, notamment sur l’immigration et la régularisation des sans-papiers.
          – L’auteur voit dans ces interventions une forme d’entre-soi mondialiste, où les élites culturelles promeuvent des idées déconnectées des réalités économiques et sociales.

          6. Appel à l’action :
          – L’auteur encourage ses spectateurs à réagir contre ce qu’il considère comme un système injuste et toxique.
          – Il propose également de créer des revenus alternatifs en ligne pour « fuir le communisme », en apprenant à générer des contenus lucratifs sur internet.

          Conclusion :

          L’auteur exprime sa colère face à ce qu’il perçoit comme une instrumentalisation de la culture et du cinéma par des idées politiques de gauche.
          Selon lui, ce système favorise une élite parasitaire au détriment des vrais créateurs de richesse et des aspirations populaires.
          Il invite ses spectateurs à se mobiliser et à chercher des solutions alternatives pour s’affranchir de ce modèle.

  5. Vieux rat

    En direct ! Après son échange un peu rugueux à Washington, Zobinsky rencontre la cellule de soutien psychologique à Londres. 😀

    Tout le gratin est là pour le consoler : Macron, Trudeau…

    leparisien.fr/international/direct-guerre-en-ukraine-les-allies-europeens-de-kiev-se-reunissent-a-londres-apres-le-clash-trump-zelensky-02-03-2025-SWCKO2KU5NDJLMCKRGCSTBPCBM.php

  6. breizh

    HS : 20minutes.fr/arts-stars/television/4141325-20250301-fin-c8-guise-adieu-chaine-change-programmation-rediffuser-film-contre-avortement

    1. Pierre 82

      Mais quelle horreur ! Quelle atteinte abominable à la démocratie !!
      Comment peut-on affirmer sans rougir que des femmes avortées puissent un jour regretter d’avoir fait procéder à l’ablation d’un simple kyste, et vivre dans un profond mal-être pendant tout le reste de leur vie ?
      Vite, des sanctions.
      Si on laisse faire, le droit élémentaire d’inciter, voire tordre le bras à une femme pour qu’elle avorte afin de ne pas se faire chier avec un enfant, et pire encore, faire chier l’auteur de cette passade, sera remis en cause.
      Mobilisons-nous.

      1. Vieux rat

        Et qui enverra-t-on se faire démembrer dans les tranchées, si toutes les gonzesses avortent pour partie tranquillou en vacances ? 😀

          1. Vieux rat

            Tsss, je ne suis pas du tout sexiste ! 😕

            Je n’ai vraiment rien contre une femme efficace à la cuisine, ou dans mon lit ! 😀

            1. MCA

              Je crains que quand tu auras perdu ta dernière dent, veillitude* oblige, elle ne soit efficace ni dans la cuisine ni dans ton lit.. :mrgreen:

              Bon tu n’as toujours pas été lire tes mails… dernier rappel avant contravention !!! 😉

  7. Mitch

    Bonne analyse de Asselineau concernant la rencontre Trump-Zobsinsky (on ne verra pas ça dans les médias grançais)

    youtube.com/watch?v=_6KiEAdLMTc

  8. Higgins

    HS mais à propos de l’hypocrisie de la gauche et des syndicats : metahodos.fr/2025/03/02/la-tetraite-par-capitalisation-dont-la-gauche-et-les-syndicats-ne-veulent-pas-existe-deja-pour-5-millions-de-fonctionnaires-dosdsier/

    1. CPB33

      ça existe mais pour la Préfon il faut y adhérer ce n’est pas automatique et la RAFP est prèlevée sur les primes et se rajoute à la cotisation « normale »

      1. breizh

        il faudrait voir le rendement réel pour la préfon, car lorsque l’on regarde ceux de la retraite mutualiste du combattant, ce n’est pas terrible du tout (un peu plus que 2%).

  9. Vieux rat

    Démocratie européenne ! 😉

    « Autriche : un nouveau gouvernement, sans le parti d’extrême droite arrivé en tête des élections

    Pour la première fois depuis 1949, ce sera une coalition tripartite qui gouvernera l’Autriche. Une façon d’éviter que le parti nationaliste FPÖ, arrivé en tête des élections de septembre, ne soit aux affaires. »

    leparisien.fr/international/autriche-un-nouveau-gouvernement-sans-le-parti-dextreme-droite-arrive-en-tete-des-elections-02-03-2025-KGHZR52745EX3OZBN46YEVWNOM.php

Laisser une réponse

(obligatoire)
(facultatif)