Il y a quelques jours, on apprenait par très discrète voie de presse qu’un étudiant en alternance au ministère de l’Intérieur venait d’être congédié après la fortuite découverte de propos antisémites et anti-France sur ses réseaux sociaux.
Quelques jours seulement après son recrutement en alternance et alors qu’il venait d’être affecté à la préfecture de police de Paris, Marc T. avait fièrement annoncé sa nomination sur les mêmes réseaux sociaux que ceux sur lesquels il avait, fort imprudemment, expliqué quelques mois plus tôt être antisémite et trouver la France « détestable » :
On pourra noter la rapidité avec laquelle ces mêmes réseaux sociaux, d’une part, puis la préfecture, d’autre part, se sont mobilisés pour régler le problème : quelques comptes sur X qui suivaient l’antisémite avoué ont en effet rapidement alerté la préfecture et cette dernière n’a pas tardé à agir pour renvoyer l’alternant problématique dans ses pénates.
Bien sûr, cette péripétie n’a fait aucun gros titre, et n’a guère agité les médias traditionnels.
Elle n’en reste pas moins intéressante à plusieurs titres.
D’une part, il apparaît évident que notre individu s’est fait embaucher sans que le moindre travail d’enquête minimale n’ai été effectué. De ce point de vue, on pourra se rassurer en espérant qu’il ne s’agit dans le meilleur des cas que d’un problème de moyens, les services de l’État apparaissant encore une fois débordés dès que la moindre tâche un tant soit peu complexe lui est confiée. Dans le pire des cas, il s’agit de pure incompétence de la part des services de ressources humaines, ce qui n’est pas, en réalité, l’hypothèse la moins crédible.
Et ce n’est même pas la moins perturbante : en effet, compte-tenu des circonstances et des répétitions de ce genre de péripéties, on est en droit de se demander s’il ne s’agit pas d’un cas d’infiltration finalement standard, aidé de l’intérieur par de précédents infiltrés. On passe du sempiternel « manque de moyens » ou de l’incompétence à quelque chose qui s’approche plus du sabotage.
D’autre part, comme si tout ceci ne suffisait pas, il semble bien que ce genre de cas ne déclenche apparemment aucune prise de conscience a posteriori de l’ampleur et de la gravité du problème. Comme mentionné, ce n’est pas la première fois qu’un cas équivalent est mis au jour par les réseaux sociaux et l’erreur semble se répéter avec insistance, sans qu’il soit fait quoi que ce soit pour l’éviter.
Cette infiltration d’éléments potentiellement problématiques voire dangereux dans les administrations et institutions françaises ne semble gêner réellement personne (ou en tout cas, clairement pas autant que l’absence d’une taxe Zucman bien sentie).
Dès lors on doit se demander combien de personnes correspondant au profil de ce Marc T. émargent dans les ministères de l’intérieur ou de la défense ? Combien d’individus au profil linkedIn léché, à l’image publique soignée et au parcours universitaire aussi normal que possible se retrouvent, progressivement, à des postes de plus en plus importants aux seins des administrations françaises alors qu’ils sont anti-blancs, anti-France, antisémites et gavés de la propagande qu’on entend généralement sur l’aile la plus à gauche de la représentation parlementaire ? Combien finalement aident ou prêtent allégeance à des puissances étrangères ?
La question n’est pas rhétorique : un cas récent (qui ne date que de quelques mois puisqu’il remonte à la fin de l’année dernière) illustre comment un fonctionnaire de Bercy fournissait des informations sensibles voire classifiées à l’Algérie par le truchement d’une assistante sociale de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) avec laquelle il avait noué des « relations intimes ».
Plus récent encore, on se souvient de la désinvolture assez stupéfiante avec laquelle les services de l’État s’étaient empressés d’accueillir dans une des filiales de SciencePo une certaine Nour Atallah, cette étudiante de Gaza dont les publications sur les réseaux sociaux montraient sans la moindre ambiguïté qu’elle ne pouvait pas partager les « valeurs » ni de la République française, ni de l’institution dans laquelle elle s’apprêtait à débarquer, ni encore moins – on l’espère – de l’enseignant qui l’hébergeait alors.
Et cette fois-là encore, ce furent les réseaux sociaux qui permirent de rappeler à l’ordre ces autorités décidément très peu pointilleuses dans leurs recrutements.
Pourtant, il ne fait pas le moindre doute que ce genre de profil représente bien un danger, non seulement pour les intérêts nationaux – avoir accès à des informations sensibles, notamment au ministère de l’Intérieur, donne de larges opportunités de dégâts importants – mais aussi et tout simplement pour les gens qui travaillent et évoluent avec et autour d’eux.
Ce n’est pas une exagération : on pourra se rappeler du cas de Mickaël Harpon, devenu islamiste par mariage et rapidement radicalisé au contact de la mosquée de la Fauconnière, à Gonesse, et qui tua quatre de ses collègues à la Préfecture de Police – celle-là même qui vient de se réveiller après l’alerte des réseaux sociaux sur Marc T. Certes, Harpon était officiellement « bien noté et bien intégré » mais des signes avant-coureurs s’étaient pourtant accumulés que ses collègues et sa hiérarchie n’ont pas pris suffisamment au sérieux…
Alors, bien sûr, il ne s’agit pas de dire ici que ce Marc T. risquait d’aller égorger ses collègues (et rien ne permet d’affirmer le contraire non plus, du reste), mais bien de pointer le problème maintenant visible de recrutement dans les institutions et administrations françaises : ou bien les ressources humaines ne sont clairement pas à niveau, et l’urgence d’une remise à niveau ne peut pas être sous-estimée, ou bien ces ressources humaines ont maintenant un agenda en décalage croissant avec les besoins et les attentes réelles de leurs administrations, autrement dit sont elles-mêmes suffisamment gangrenées pour ne plus savoir ou vouloir faire le tri nécessaire lors de leurs recrutements.
Quoi qu’il en soit, il est maintenant impossible de nier l’infiltration des institutions républicaines – ce qui veut dire toutes les institutions, notamment l’armée et les forces de l’ordre – par des individus qui n’ont pas du tout à cœur le bien-être des Français (et pour une fois, on ne parle pas ici des politiciens).
Et vu l’équipe de branquignoles ultimes au pouvoir actuellement, voilà qui n’est pas du tout rassurant.
Il apparaît donc que les réseaux sociaux sont extrêmement bien surveillés…
La vigilance d’une Direction des Ressources Humaines ne saurait égaler la vigilance de milliers.
Et ce blog probablement aussi.
Nous aimerions beaucoup que cette rapidité soit appliquée dans des missions relevant du régalien ou de l’ordre public comme par exemple l’application des lois contre les locataires mauvais payeurs…
Je préconise l’établissement d’un FNMP (fichier national des mauvais payeurs) que les bailleurs pourraient consulter.
Cela en calmerait plus d’un.
qui établira et contrôlera ce fichier ?
Ben, le ministère de l’intérieur, cette question…
Ça existe en Espagne. Le plus regardé est géré par le principal site internet de location et vente immobilière. Pour y inscrire une personne, il faut avoir envoyé auparavant au locataire un burofax, ou exploit d’huissier, réclamant la somme due. Le locataire peut contester en justice cette inscription. Elle est supprimée quand le locataire apporte la preuve du paiement. Elle est normalement précédée d’une proposition de reglement amiable. Un contrat de location peut inclure une clause précisant que le locataire n’est pas inscrit sur une de ces listes. Ça n’empêche pas les squatteurs professionnels.
Le squatteur professionnel est en besoin de logement.
Il est donc normal de le loger durant un an en zonzon, où il financera son loyer par du travail obligatoire. 😉
Une loi et un numéro vert?
ne pas confondre avec le FPLP (front des mauvais « coucheurs » qui gazaouillent !)
On peut être incapable de faire une phrase sans fautes d’orthographe ou de grammaire et néanmoins être étudiant en alternance au minint.
ça au moins, c’est positif !
pour ceux qui ont lu l’article de la dépêche : « Affecté à la préfecture de police de Paris, où il devait épauler le préfet Laurent Nuñez dans la rédaction de notes et d’éléments de langage ».
Le cabinet dudit préfet fonctionne bien !
Il faut m’expliquer comment alors que l’islam ne reconnait pas l’égalité en droit de tous les êtres humains, un musulman peut travaillé dans la fonction publique, alors que la première valeur de la république est l’égalité de tous les citoyens en droit?
En tant que catholique, je ne partage certainement pas la totalité des « valeurs de la république » non plus.
Certaines de ces valeurs me revulsent même.
Heureusement que je ne suis pad fonctionnaire…
je pense même que depuis 1789, les catholiques en France ont largement plus souffert par la république que par les musulmans.
Patience !
😀
C’est pas la même temporalité non plus. La Sainte Ripoublique existe depuis bien plus longtemps que l’invasion Muzz qui est relativement récente (même si elle est intense). Je rejoins nemrod dans sa conclusion: Patience
La bataille de Poitiers c’est 732 et jusqu’en 1830 (prise d’Alger), la Méditerranée n’est pas sure pour les Chrétiens (d’où la route des Indes par le cap de Bonne Espérance) et le sud de la France a souffert de nombreuses razzias. Juste pour dire que la confrontation avec l’Islam est plus ancienne que la république (quoique certains rois ait fait alliance avec les ottomans).
Pour revenir à aujourd’hui, ne pas oublier que dans l’immédiat, c’est la république qui nous appauvrit, nous spolie, nous abêtit, nous injecte, fout en l’air le système de santé, restreint de plus en plus nos libertés, ne nous protège plus, détruit notre culture, laisse tomber notre patrimoine, renie nos origines et notre Histoire, ne respecte pas les lois, encourage la dénatalité et la mortalité, nous vend à l’étranger…
Donc pour les ennemis du pays, effectivement, patience… « elle va tomber toute seule » (r).
car c’est une république qui a été pourrie et pervertie…
La politique suivie est rigoureusement la même outre-Manche.
On peut critiquer le système républicain, mais le problème dépasse amplement le type de constitution…
@ breizh 24 septembre 2025, 13 h 16 min
« (d’où la route des Indes par le cap de Bonne Espérance) »
Les pirates tenaient le canal de Suez ? 😉
le canal de Suez n’a été ouvert que vers 1870
fr.wikipedia.org/wiki/Canal_de_Suez
@ CPB33 24 septembre 2025, 15 h 12 min
Appelle moi con si tu veux 😀 c’est tout le sens de ma question (et du smiley).
Mais non, GM, quelle idée ! C’est le canal de Panama qu’ils tenaient !
La difference majeure breizh, c’est que les faits historiques que tu relates sont des batailles et tensions.
la Méditerranée n’est pas sure pour les Chrétiens (d’où la route des Indes par le cap de Bonne Espérance)
Non, il n’y avait pas de canal de Suez, tout simplement. Passer par le Cap n’était pas un choix parmi de multiples options mais une nécessité.
Avant que cette route du Cap ne soit connue, il y avait néanmoins un vrai commerce avec l’Inde, mais il se faisait par l’intermédiaire des Arabes, via le Moyen-Orient.
Donc ils traversaient bien la Méditerranée pour échanger avec l’Inde…
Et de fait, c’est à cause des Ottomans qui ont fermé cette route que d’autres ont été envisagées…
@mitch pas d accord , depuis toujours, ce sont deux civilisations puissantes et coloniales qui se sont affrontées. Ces deux civilisations n ont cessé de se disputer la Méditerranée. Les arabes musulmans nous sont postérieurs et ont aussi colonisé le pourtour méditerranéen (écrasant et soumettant souvent bien plus brutalement les autochtones, demandez aux kabyles) . Bizarrement personne ne leur dit qu’ils sont des colonisateurs , l Algérie n appartient pas plus aux arabes qu à nous.
J ajoute , ma vision est la suivante : je vois dans ce qu il se passe aujourd’hui une nouvelle poussée de cet empire , histoire faite de flux et de reflux depuis l aube des temps sur ce territoire hautement convoité. L occident d aujourd’hui (pour faire simple les théoriciens de l UE) n assument plus ses valeurs ni son histoire, ni sa religion, ils font comme si tout ceci (valeurs, histoire religion n existaient pas, n avait aucune importance, voire même étaient nocive à l accueil inconditionnel de l autre , l autre étant le seul autorisé à exprimer des valeurs ,une histoire, une religion. La capitulation est profonde car elle est existentielle , il y a un désir de disparition chez nos élites.
N’exagérons rien, Breizh!
– 1793/94 : les guerres de Vendée, cela ne te dit rien ? 200 000 morts tout de même… (Lyon a subi le même sort).
– 1880 et 1902 : expulsions des congrégations (dont les congrégations enseignantes)…
– 1924 : nouvelles tentatives d’expulsion contre les religieux qui étaient revenu en France combattre pendant la guerre…
– 1984 : tentative de suppression de l’enseignement privé
– aujourd’hui : interdiction de l’instruction en famille…
Relis Vincent Peillon, ancien ministre de l’éduc nat.
Perso, je ne remet pas en cause ton statement initial sur le fait que cette ripoublique est pourrie juste qu’à la caouane depuis sa conception il y a plus de 2 siècles avec des bains de sang type la Vendée dont les livres d’histoire ne parlent quasi pas (la faute à ce salaud de Ed 😉 )
Sa pourriture est telle qu’elle a ouvert un boulevard aux frères Muzz pour venir terminer le boulot de nettoyage que la Ripoublique a entrepris avec zèle et efficacité.
tu veux du caoua avec ta couenne, Mitch ? 🙂
Ça me semble être en voie de rééquilibrage.
Je n’ai pas l’impression. Le République a plutôt l’air de les choyer.
Et le « en même temps alors » ?
à noter qu’il existe pratiquement des tribunaux avec charia (light pour l’instant) à Mayotte….
@cpb333 Et ça donne quoi un tribunal de charia light ? Je manque de références . Juste pour savoir.
Un voleur au lieu de lui couper la main ou lui coupe un doigt qui n’est pas le pouce.
On nous avait fait tout un fromage sur la pénétration des mouz’s brothers , alors , soit c’était un énième rapport Théodule très onéreux de l’une des innombrables agences dédiées , soit on tient pour acquis que seules les banlieues perdues de la République sont concernées ?
RH pas au niveau ou gangrenées par la peur d’être accusées de discrimination ?
Actuellement – et même dans le privé – il faut peser chaque mot quand on refuse pour incompétence un poste à un « racisé ».
C’est encore plus problématique quand la personne présente un signe religieux, un voile par exemple.
Je rappelle qu’il a officiellement 24 critères de discrimination : religion, orientation sexuelle, opinions politiques, moeurs, identité de genre, capacité à s’exprimer dans une autre langue, etc.
Il n’y a que pour certains postes où les vérifications sont vraiment rigoureuses car il est obligatoire de fournir un casier vierge.
Bref, je ne serai pas étonné que le politiquement correct tétanise certaines recruteurs.
Bien sûr.
Aux USA il y a un cas d’un individu qui en a fait son métier, il gagne sa vie en gagnant des procès contre des annonces mal rédigées, sans même être en mesure de postuler. Le juge le connait bien.
capacité à s’exprimer dans une autre langue
Ah bon?! c’est un critère de discrimination?! c’est n’importe quoi, certains jobs imposent de parler une autre langue. Dans l’aéronautique par exemple. T’es sur ce ton coup ? ca me parait n’importe quoi
Mitch, doucement. L’incapacité à s’exprimer dans une langue étrangère est un motif de recalage de candidature pour un poste où c’est important. Voir l’exemple d’Annihildalgo postulant pour une officine où la maîtrise convenable de l’anglais est nécessaire pour des raisons évidentes sauf pour elle en perpétuelle surestimation d’elle même.
@Mitch
Source : service public.fr
Il existe 25 critères de discrimination prohibés par la loi :
Origine
Sexe
Situation de famille
Grossesse
Apparence physique
Vulnérabilité particulière liée à la situation économique
Nom
Lieu de résidence
État de santé
Perte d’autonomie
Handicap
Caractéristiques génétiques
Mœurs
Orientation sexuelle
Identité de genre
Âge
Opinions politiques
Activités syndicales
Qualité de lanceur d’alerte
Qualité de facilitateur de lanceur d’alerte ou de personne en lien avec un lanceur d’alerte
Langue parlée (capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français)
Ethnie
Nation
Race prétendue
Religion
@blondin il est curieux que ne figure pas. dans la liste : études, compétences . Car j imagine que pour ces amoureux du paradis égalitaire, le tirage au sort anonyme est le but ultime. Cela me rappelle un épisode : nous devions recruter un stagiaire pour une aumônerie. Les responsables de mon asso chrétienne m ont proposé une musulmane voilée. Devant mon désaccord, ils m ont dit qu’il était discriminatoire devant la loi de refuser la candidature. J ai tenu bon , ils m ont présenté qqn d autre. On m a évidemment dit que je manquais de tolérance…. Serieux c est moi qui yoyote ?
Parmi cette liste, il y a pourtant les attributs suivants qui me semblent vraiment importants pour un recrutement:
Sexe, Situation de famille, Grossesse, Apparence physique, Lieu de résidence, État de santé, Handicap, Activités syndicales, Langue parlée, Nation.
Et je vais même pousser plus loin. Lors de l’embauche d’un fonctionnaire, les critères « Lieu de résidence, État de santé, Nation » sont explicites. Il faut en effet être français, habiter en France (voir même dans une région donnée), et être médicalement apte. Bon ça ne serait pas la première fois que l’état n’applique pas ses règles à lui même.
Rien d’illogique, la France est devenu l’un des pires Etats Voyous de la Planète.
Ce pays est le centre mondial de diffusion de l’Antisémitisme , notamment par l’intermédiaire de l’agence France-Palestine (que d’aucuns continuent à appeler AFP).
La reconnaissance d’un état (qui ne verra jamais le jour, c’est strictement impossible) vise à continuer l’oeuvre iranienne, pays affaibli par de récentes frappes.
N’ayons pas peur des mots : des frappes sur la France deviennent nécessaires.
On peut balancer de la GBU notamment sur l’Elysée et son bunker, le quai d’Orsay (cette entité devrait être détruite depuis longtemps) , la Lanterne, Bregançon etc , tous les centres de commandement qui diffusent l’anti capitalisme et le pro-palestinisme à haute dose doivent être détruits.
Qui aura le courage de le faire ?
L’excessif est insignifiant
@Du Rien de plus faux que cette expression, en tous les cas à notre époque . D’ailleurs les politiciens et les médias de tous bords le savent . Ils cherchent tous à faire le « buzz « . Et personne ne fait le buzz en étant modéré et conciliant. Et ça remonte à assez loin . « CRS SS » , remis au goût du jour par « la police tue » . Trouvez vous ces propos « insignifiants » (def : sans importance , sans valeur , sans intérêt, qui n a pas de portée ) ?
@Val
Avouons quand même que la « remise au goût du jour » manque quelque peu de rime poétique! Les soixantuitards avaient davantage de goût pour la littérature de bon aloi…
La rigolade et la créativité ont changé de camp , c est plutôt bon signe 😉
Entendu sur cnews une représentante du minint expliquer qu’il n’y avait pas d’enquête sur les stagiaires et alternants, car ils ne sont que de passage.
Le Marc T avait son stage de L3 dans ce ministère par ailleurs.
Bidon, ou scandaleux, au choix, car je suis témoin direct que les boites qui font de la DefNat bloquent les demandes provenant de candidats à double nationalité non-otan. Attitude tout à fait compréhensible, même si elle me défavorise.
Et le MinInt ne ferait rien ?
de candidats à double nationalité non-otan
Ils s’y prennent comment pour identifier si une personne a une seconde nationalité? (partant du principe qu’il a ‘oublié’ de le mentionner)
@ Mitch 24 septembre 2025, 15 h 35 min
Bonne question. En demandant un certificat de naissance tu peux détecter beaucoup d’éventuels double-nationaux, mais pas tous.
à son accent sud-af !!!
Perdu – Je n’ai pas d’accent (le Major confirmera sans doute). En Anglais, pareil pas d’accent. Je me fond dans la société dans laquelle je vis 😉
Et en néerlandais ?
Lieu de naissance, inscrit sur les papiers d’identité.
Un questionnaire accompagne le formulaire de candidature.
Gave est né à Alep. Tu penses qu’il avait double nationalité ?
D’où le besoin du certificat de naissance pour connaître le nom des parents.
Gave était le petit fils du gouverneur colonial dune province de l’actuelle Syrie, alors sous le joug d’une puissance occupante oppressive.
Le lieu de naissance n’est en aucun cas un critère absolu (tu peux être né dans un pays sans en avoir la nationalité). Quand au questionnaire, comment dire … certains peuvent avoir une petite mémoire 😉
De toutes façons, un blanc né en Afrique du Sud à l’époque de l’apartheid, c’est cuit sur un CV…
cela prend du temps et des moyens ce type d’enquête…
De nos jours c’est magique, ça devient une excuse.
Et l’état défaillant ajoute des taxes aux assurances pour indemniser les victimes d’attentats, plutôt que d’empêcher les attentats. Fastoche.
C’est vrai que c’est fastoche d’empêcher les attentats…
Certe non, c’est très compliqué, mais c’est son job.
Nous devrions payer des impôts pour que cela n’arrive pas et non des taxes pour indemniser des victimes.
Fastoche la solution, je voulais dire.
Comme le dit Christine, difficile ou pas c’est leur boulot. Boulot qu’ils n’ont pas eu contre leur gré. Donc ¡ A trabajar, se ha dicho!
Cette histoire de RH me fait aussi penser à celle en cours à France Téléducon. Cf. récent article de Causeur.
lequel ?
Et pourtant, à propos des réseaux sociaux, il faut écouter le Mignon qui a tout compris : « Les réseaux sociaux tuent notre capacité à mener une vie normale »
bfmtv.com/international/amerique-nord/etats-unis/video-emmanuel-macron-les-reseaux-sociaux-tuent-notre-capacite-a-mener-une-vie-normale_VN-202509230755.html
L’administration a simplement anticipé. 😉
Surtout que ça arrange bien l’administration de ne pas exécuter un taff qui lui incombe pourtant…
Je pense que le nœud du problème est là. Surtout que cette population de stagiaire plus ou moins longue durée est désormais la condition sine qua non du fonctionnement des ministères pour qui ce genre de candidats coûte moins cher qu’un titulaire. Ce qui n’était au départ qu’une facilité logique et bienvenue est devenu un mode managérial. On embauche des stagiaires pour faire le travail courant. Certains espèrent une titularisation et se défoncent au boulot. Là où j’évoluais, la sélection était globalement bien faite mais ça n’empêche pas les erreurs de casting. J’en ai fait l’expérience personnellement.
On ne sait pas si cette infiltration émane d’une organisation et qu’elle est une volonté consciente, délibérée, comme est l’entrisme des gauchistes.
En revanche, vu le nombre croissant de personnes qui ne partagent pas les valeurs de base de la société (cf. les pourcentages sans cesse croissants de personnes qui mettent la loi islamique avant celle de l’Etat ou de personnes qui trouvent normales de s’en prendre à des juifs), on va mécaniquement vers de graves problèmes.
associer loi islamique et croissant, c’est logique.
Vous avez raison et on voit les ravages chez les étudiants natifs français dans leur dscours (chez des étudiants en droit notamment).
C’est assez effrayant de voir la jeunesse françaiss détester son propre pays.
et si le Marc T n’avait rien dit sur les réseaux sociaux ?
Normalement quand vous enquêtez sur quelqu’un la première chose à faire est d’aller jeter un œil sur les réseaux sociaux voir ce qu’il y raconte.
Dans le cas ici présent ça ne semble même pas avoir effleurer les services compétents, alors que l’incompatibilité de la personne avec le poste visé était manifeste.
certes, mais ce que je veux dire, c’est qu’un intelligent qui souhaite infiltrer commencera par ne pas se dévoiler sur les réseaux… sauf pour faire de l’intox.
Bien heureusement pour l’instant on a plutôt maille à partir avec les plus abrutis…bon il faut dire que les calembredaines les poussant au sacrifice suprême doivent un peu les sélectionner.
En l’occurrence le lien a pu se faire après coup parce qu’il a mis une photo de son contrat en ligne.
Pas sure qu’on aurait pu l’identifier sans cela.
Il suffirait que le min int déclare à Bercy que sa potentielle recrue semble avoir un train de vie étonnant, vu sur les rezosocios, pour qu’une enquête se déclenche immédiatement aux bons soins de Bercy…
Paraît qu’on vit dans une société de surveillance . Ceux qui ont les moyens et la volonté l’utilise , mais , not’bon gouvèn’ment semble surtout intéressé par la surveillance d’not’ pognon
Ce n’est qu’une variante du laisser-aller général (on ne dit rien à la hiérarchie, la hiérarchie ne fait rien quand elle est prévenue, alimentant le fait qu’on ne se donne pas la peine de la prévenir) dans de nombreux cas, qui vont de l’écriture occlusive (signe politique ostentatoire en violation de la neutralité du service), au foulard, en passant par l’affichage politique (non, le musée n’a aucun lien avec la ZAD de ND de Landes, et les couloirs du personnel n’ont pas à être encombrés d’affiches sur ce thème, les affiches strictement syndicales doivent rester sur les panneaux prévus–et aucun lien avec la Palestine ni Clément Méric non plus, hein), mais également les « invités » tous de même bord pour des table rondes (chose qui déborde l’odieux-visuel public et la Fac), etc.
La paresse, la crainte d’être aussitôt accusé de racisme, la terreur d’être tué comme Samuel Patty (les autorités n’ont soutenu que son cercueil) explique beaucoup de choses, car même lorsque les textes sont éventuellement méconnus et qu’ils sont rappelés, il ne se passe rien. Mais il y a clairement des sympathies, notamment rouges / barbus, et la hiérarchie ‘pas d’ennemis à gauche’, finit par fermer les yeux sur les barbus pour ne pas fâcher les rouges.
Finalement se créent des bastions, les recruteurs n’étant jamais dissuadés de privilégier ouvertement le même ‘type’ (autrefois les pervenches à Paris, étaient quasi toutes ultramarines, par exemple). Alors, il ne vient plus à l’idée de personne de faire respecter les lois, contre, par exemple, les prières (RATP). Ou même le droit de ne pas prier.
Les ennemis déclarés du pays n’ont pas besoin de parvenir à des grades très élevés pour le rendre invivable et nuire. La discrimination raciale odieuse s’exerce contre des personnes au patronyme juif, ou autre, d’où un harcèlement bureaucratique infernal obligeant à faire N tentatives pour des démarches déjà bien confuses, avec des refus arbitraires, etc. et finalement une perte de temps considérable, qui pour l’instant se confond dans le bruit de fond de l’incompétence habituelle, mais en réalité a déjà commencé de modifier la nature du rapport des citoyens honnêtes aux administrations : au lieu de monstres indifférents, on a des monstres passifs agressifs ennemis non déclarés, au lieu de paresseux irresponsables et pénibles, on a partout l’équivalent de petits chefs infects.
Dans certains isolats qui s’étendent, cela s’accompagne encore d’une discrimination de fait à l’embauche fermant la carrière publique aux jeunes enfants sous-chiens, ou dhimmis.
A quelques nuances près, je partage ce constat
Ça me conforte dans ma décision ne n’avoir jamais voulu être sur les ressos zoziaux.
Fesse de Bouc ou Twix, sans moi.
Savoir écrire et parler français correctement …
Si tel n’est pas le cas, ANPE: à ne pas embaucher.
ANPE ? La Roussette , c’est hibernatus .
Quand on pense que la marotte de certains est d’appeler au retour du Service National…
Outre qu’on n’a pas un rond pour ce faire, apprendre le maniement des armes à des crétins semi-analphabètes et manipulés par les Frères Musulmans ne me paraît pas être l’idée du siècle !
vu le nombre de musulmans engagés dans les armées françaises à ce jour… (quelques milliers au moins)…
L’immense majorité des musulmans qui servent dans l’armée sont largement plus patriotes qu’un étudiant en sociologie lambda.
Ce n’est pas d’eux dont je parle, ni de ceux qui, nombreux, bossent, respectent la loi, fondent des familles, etc.
Je pensais plutôt au lumpenprolétariat des cités.
« patriotes » avec leur pays d’origine (à part ceux qui sont dans la Légion les autres sont quantités négligeables) !!!
Non, Blondin a raison. Le principal problème rencontré dans les armées vient de l’hétérogénéité (pour rester poli) dans la population des militaires du rang.
Sur Toulouse et sa région, Merah avait escompté en ciblant ses victimes que les militaires d’origine nord-africaine se révolteraient. C’est tout l’inverse qui s’est produit.
oui, mais depuis merah de l’eau a coulé sous les ponts et les recrutements raclent le fond du panier
Jusqu’en 2000, les fonctionnaires avaient la liberté d’opinions, dans la mesure où cela se cantonnait à leur vie privée et n’influencait pas l’exécution du travail et les relations entre collègues ou avec le public. J’ai ainsi eu des collègues de toutes tendances politiques y compris extremes, ou religions. En 20 ans cela n’a causé aucun problème. Les problèmes venaient essentiellement d’une très mauvaise gestion du personnel, de son manque de formation, et de feignants qu’on ne pouvait licencier. Faire une chasse aux sorcières à cause de quelques cas isolés et imaginer des réseaux organisés de recrutement dans un but nuisible à la France ou terroriste me paraît totalement exagéré, du niveau de l’infiltration d’extraterrestres, avec un arrière gout très liberticide.
c’est aussi mon impression.
De même que ce passage : « Alors, bien sûr, il ne s’agit pas de dire ici que ce Marc T. risquait d’aller égorger ses collègues (et rien ne permet d’affirmer le contraire non plus, du reste), » donne une impression de procès d’intention.
Par ailleurs, l’infiltration par des services étrangers existe, mais elle est loin d’émaner principalement de pays musulmans : nos chers alliés anglo-saxons ne sont pas en reste.
idem surtout dans la justice….
Je suis d’accord avec vous mais la question reste : si cette personne n’aime pas la France, pourquoi un stage au ministère de l’intérieur ? Pourquoi pas une autre collectivité ou entreprise plus en accord avec ses principes ?
justement, ce ministère est de plus plus conforme à ses principes….
Il suffit qu’un taré idéologue malhonnête devienne recruteur pour que le recrutement soit infléchi. C’est évident dans le cas où les entretiens virent au défilé d’éphèbes à la sexualité exubérante en bandoulière, avec quelques nana qui font ricaner quand elles se présentent. Il se crée alors un bastion. on en connaît où les chances de tel ou tel profil sont négatives.
rappel : moussa dardmalin ministre de la justice ou de l’intérieur (ne parlons pas des autres merdes précédents garde-des-sceaux)
taré idéologue malhonnête un DRH ?
Ça ressemble à un multiple pléonasme.
Et vous avez à peine évoqué l’infiltration dans la justice, la police, les prisons, l’éducation nationale…
nous connaissons bien un Marc Y. (terroriste d’extrème-drouaaaate) qui avait infiltré la SNCF pour essayer de faire arriver les trains à l’heure….
Quelle horreur… Bon, apparemment il a bien été mis hors d’état de nuire…
2 stagiaires de saint cyr chez nous, utilisateurs forcenés de Gmail pour les échanges pro…
Pour l’instant je leur ai poliment suggéré de prendre conscience de la connerie de cette habitude, mais ils sont un pent lents.
Et puis les RH de la fonction publique laissent à désirer, sur les 25 agents de mon service, nous sommes encore 2 à ne pas être « de gauche ».
la première question qui me vient (et que personne ici ne semble se poser) : comment se fait-il que le Ministère de l’Intérieur, qui est censé gérer des questions fort délicates, embauche t-il un alternant camerounais ou binational ?
Je pense que le patron voulait voir au-delà de ce cas particulier. Par ailleurs, ça dépend des tâches confiées. Si c’est un stage de photocopie, de repassage d’uniforme, ça peut aller.
Bonne journée.
en tout cas, Sam n’embauche dans son garage (comme stagiaires) que des blondes avec air-bags passés par son CT perso !!!
@leherisson : pour faire inclusif ?
Cet article sur atlantico.fr est édifiant et relate parfaitement ce que vous décrivez
https://www.atlantico.fr/article/decryptage/entrisme-islamiste-dans-l-armee-relations-de-la-dgse-avec-les-services-palestiniens-interview-choc-avec-l-ancien-membre-du-service-action-de-la-dgse-pierre-martinet-frederic-sroussi
Et les personnes employés dans les boites de services travaillant dans le gardiennage, les aéroports, les centrales nucléaire, etc… bref, on est mal baré, ca participe gaiement au CPEF
H.S. bon anniversaire au blog, pour ma part, ca fait 18 ans que je le suis.
TOUT ABSOLUMENT TOUT a comme genèse la non liberté des médias!
Seul un acte politique peut les libérer et personne n’y a intérêt. Aucun sujet ne peut être librement débattu sans que des intérêts catégoriels, communautaires, politiques, etc… n’influent sur la réflexion et donc la réponse aux problèmes. Éducation, économie, sécurité, immigration, gouvernance de l’État, libertés publiques, justice, … RIEN ne peut être vraiment traité sans libérer les médias et donc redonner un choix démocratique.
Libérer les médias est simple et … impossible sans une révolution. Pour cela il faut juste en faire une mission régalienne et neutre comme l’État est sensé agir.
Tous les médias, traditionnels et nouveaux, d’information comme d’opinion ou professionnels et autres doivent être financés exclusivement de deux façons: l’argent public et une publicité contrôlée.
Chaque français et résident en France doit pouvoir flécher vers les médias qu’il souhaite, au pro rata de son choix, le versement de fonds publics finançant la liberté d’opinion.
Tout média potentiellement bénéficiaire devra être inscrit, avoir un agrément pour exister uniquement lié à des obligations de moyens (fonctionnement) et le respect de la Loi.
68 millions d’habitants.
9 Milliards de frais de fonctionnement des médias publics et privés environ. Un « chèque » médias libres de 130 euros par tête, affectable selon le choix de chaque adulte (plus mineurs sous leur responsabilité). Ceux qui opteraient pour ne pas choisir verraient leur droit à soutenir reversé au pro-rata des bénéficiaires.
Publicité. Tout média pourra proposer de passer de la publicité (y compris les influenceurs, internet, etc…) mais 20% du coût facturé de la publicité reviendra au média la passant, les 80% restants revenant dans le pot commun à répartir au pro-rata des bénéficiaires.
AUCUNE AUTRE RESSOURCE
Résultat: une totale liberté de ton, de parole, enfin les débats ouverts et non biaisés, un ensemble de médias NE RÉPONDANT QU’A SES LECTEURS/AUDITEURS… Fini toute pression, toute compromission. Journalistes enfin libres et devant prouver la valeur de leur travail impitoyablement jugé par leur public. Fin du pouvoir de l’argent, des lobbies, du capital etc…
Retour à l’intelligence collective et des politiques juste, efficaces et acceptées!
C’est la seule solution de progrès et elle n’a rien d’utopique. Elle n’est pas compliquée à mettre en œuvre et son coût est ridicule par rapport à la ruine du pays et de ses citoyens qu’a généré cette propagande manipulatoire plus ou moins douce qui a pris le contrôle de notre avenir.
Faudra-t’il que ce pays soit irrémédiablement foutu et en révolution pour mettre en route ce préalable à toute réforme et avancée?
Il n’y a que nous pour porter cette demande indispensable au salut du pays.
commentaires?
Olivier FIELD
Question : pourquoi les médias devraient être subventionnés par l’argent public ?
Rendre la liberté d’expression comme un droit inaliénable suffira à remettre les choses en place.
C’est l’absence de débat, ou même d’alternative qui pose problème, et pas seulement une question de pognon.
Au fond les oligarques en ont tout autour du ventre, du pognon, ce n’est pas un vrai problème pour eux ..
On laisse le marché s’occuper de ça, il sait faire. 130€ d’économies par tête de pipe et par an. 8Md€ qui restent dans les poches des Français.
« Quelques jours seulement après son recrutement en alternance et alors qu’il venait d’être affecté à la préfecture de police de Paris »
Ce qui est hallucinant dans cette affaire, h16, c’est que cela se produit à la préfecture de police de Paris!… Un lieu marqué, il y a seulement quelques années, par l’affaire du terroriste Mickaël Harpon … Faut croire que les leçons de l’épisode n’ont pas été tirées …
Et si ça arrive dans un lieu où la vigilance devrait être bien plus grande qu’ailleurs, puisque c’est une partie de leur métier d’être vigilants, cela donne une idée de ce qui se passe ailleurs sur ce sujet …
Comment les médias pourraient être une « ,mission régalienne neutre » mais l information n est pas une mission régalienne. « Comme l État est sensé » : comment le peut il ? Alors que tous ses membres jouissent d un statut protecteur et des avantages que n ont aucune personne de la sphère privée, statut qui a été réformé partout dans l OCDE et ne le sera jamais chez nous. Elle est là la révolution qu il faudrait faire. Un vote, une personne, un statut. Et peut être, peut être pourrait on avoir autre chose su un ancien régime dans ce pays avec les fonctionnaires en nouvelle noblesse.