Décalage horreur
C’est l’oeil bouffi de sommeil et la mâchoire à moitié endolorie par trop de bâillements répétés que je me suis attelé à la rédaction d’un billet sur mon blog. Regardant l’horloge indiquer une heure improbable de fin de soirée alors que tout, dans mon corps robuste aux muscles turgescents de capitaliste festif qui assume sans vergogne ses opinions délétères, tout, disais-je, pointait sur un horaire plus raisonnable, j’en vins à la conclusion sans équivoque que c’est bien cette p-tain d’heure d’été qui m’a tout fichu en vrac.