Bartabas fume et fulmine
Dans mon précédent billet, j’avais relaté les petites crises hypogastriques du candidat perpétuel au détournement de sens, de valeurs et de fonds publics. A l’analyse des petites phobies de l’épithélium moustachu, il apparaissait une tendance étonnante et persistance chez les gauchistes : le caprice. Quelle ne fut pas ma non-stupéfaction lorsque je découvris dernièrement que cette tendance se trouvait une nouvelle fois vérifiée avec les petits débordements d’un éleveur de canassons …