Taxes dures et disques mous
Décidemment, les lobbies, ça fait très mal par où ça passe. La rage taxatoire n’arrête pas de s’étendre et trouve tous les jours de nouveaux territoires. Avec la surtaxe sur les mémoires flashes, la France avait trouvé utile de se ridiculiser aux yeux du monde moderne en renvoyant les baladeurs MP3 au rang d’objets de luxe surtaxé, et avait réussi dans la même manoeuvre à saborder son marché intérieur sur des objets pourtant à forte valeur ajoutée. Mais tout le monde le sait : le ridicule ne tue pas, rien n’empêche de s’en remettre une bonne couche : ce que nos représentants d’ayants-droits locaux se sont empressés de faire dernièrement…